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Il est judicieux, parfois, d’aller à l’encontre de nos « a priori ». De ceux qui s’instillent au plus profond de nos neurones et qui en troublent totalement notre perception. Par exemple, dans le landerneau, le Centre d’Examens de Santé, sis au 25 Rue du Clos à Auxerre. Le fameux « CES » - rien à voir avec l’enseignement secondaire ! - dont on parle peu au final et qui pourtant nous concerne tous ! Ramification préventive de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), ce lieu est ouvert à tous les publics, bien au-delà des seules personnes éloignées de la médecine…
AUXERRE : Il faut en avoir le cœur net ! Et franchir avec enthousiasme les portes de l’un de ces établissements, pourtant ouverts au grand public, afin de se forger sa propre opinion ! Tel est le point de départ du premier acte de ce chapitre « découverte » qui se rapporte à la visite du Centre d’Examens de Santé (CES) d’Auxerre. Un édifice, presque anodin dans sa configuration architecturale et à peine perceptible dans le paysage de la ville, situé à quelques encablures des locaux, entre autres, de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne (CPAM) qui en assure la gestion.
Nonobstant l’absence de qualité patrimoniale de la structure – ce n’est pas vraiment la vocation initiale de l’endroit ! -, ce site devrait être connu et fréquenté de tous, tant son rôle est prépondérant à l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens, sur un volet qui leur est très cher : celui de la santé !
En mode préventif et diagnostic, essentiellement, avant de passer ensuite à la seconde étape de ce parcours de soin très utile menant aux thérapies.
Les plus vulnérables de notre société mais aussi les autres !
Le Centre d’Examens de Santé. Bien sûr, beaucoup en connaissent l’existence et d’autres l’ignorent. Mais, les « a priori » sont solides et bien ancrés dans les esprits car une large majorité de personnes interrogées alentour pour les besoins de cet article en ont encore une perception éloignée de la réalité.
Ainsi, le lieu serait réservé exclusivement de facto à celles et ceux qui sont les plus éloignés de la médecine, ces personnes en grande précarité et en souffrance, les oubliés de l’existence, les « perdus de vue » de la sphère professionnelle, les décrocheurs, les jeunes, les sans domicile fixe, les migrants, etc.
Bref, celles et ceux qui seraient les plus vulnérables de notre société, ayant des problèmes d’accès à leurs droits les plus élémentaires dont celui de se soigner, celles et ceux qui sont en carence d’un suivi médical assuré par un médecin traitant dont ils n’intègrent plus la patientèle d’un cabinet par manque criant de praticiens sur notre territoire…
On ne peut rejeter comme l’eau du bain avec le bébé l’ensemble de ces arguments énoncés par les quidams, observateurs croisés au hasard de la rue. Bien sûr, le centre répond à des besoins de santé publique. En arguant comme axiomes prioritaires : la prévention et le dépistage. Mais, qu’on se le dise, cela s’adresse à tout le monde ! Ruraux comme urbains, jeunes et vieux, hommes, femmes et enfants ! C’est donc un élément prégnant de la chaîne sanitaire qui permet de veiller au grain en cas de crises importantes comme celles vécues lors du douloureux épisode de la COVID ou de la grippe.
Une immersion pour tester le parcours en qualité de patient…
Pour en savoir davantage sur ce qui se pratique réellement à l’intérieur de ce curieux bâtiment, érigé tout en longueur et posé là sur un petit promontoire surplombant un très utile parking afin d’y stationner son automobile, prise de rendez-vous et invitation à se rendre presque dès potron-minet à la porte d’entrée du complexe.
7h45 : c’est l’instant « t » un brin matinal pour s’annoncer à la personne, masque de protection sur le visage, qui officie à l’accueil. Vérification de la convocation et de l’identité, explication du programme (plutôt copieux !) du patient que je suis et me voilà assis dans le hall d’entrée, avec pour obligation de remplir un questionnaire, inspiré par deux sommités scientifiques de l’université de Montréal, RICCI & GAGNON, se rapportant à une auto-évaluation de l’activité physique.
Suis-je inactif, actif ou très actif ? Une série d’une vingtaine de questions complétée sur le document plus tard, et je suis appelé par une sympathique assistante qui me précède dans une pièce pour un premier entretien où il est question de « Carte Vitale ». Il s’avère que je connais bien la personne que j’ai reconnu malgré le tissu bleu lui couvrant le nez et la bouche – les restes de la pandémie ! - puisqu’il s’agit de l’une de mes voisines !
Commence alors et pour environ trois bonnes heures qui s’égrènent à la vitesse grand « V », un périple sanitaire des plus étonnants, d’une salle d’auscultation à une autre, où l’ouïe, la vue, les dents, la motricité, le cœur – l’électrocardiogramme avec les diodes posées sur le corps -, nécessitent entretiens et inspections des professionnels de santé qui évoluent in situ, avec moult explications.
En guise de préambule, signalons pour celles et ceux que cela rebutent toujours un peu, la partie biologique avec la sempiternelle prise de sang à jeun. Par chance, l’infirmière (elles sont neuf à œuvrer au CES) a des doigts de fée, enfonçant la pointe de l’aiguille avec délicatesse ! Une opération utile afin de contrôler les taux de diabète, de cholestérol, les plaquettes, etc.
Si le CES n’existait pas, il faudrait l’inventer !
Toujours accompagné d’une jeune femme, souriante et sympathique qui oriente la patientèle (un petit groupe d’une vingtaine de personnes dans cette tranche horaire très matinale) vers l’un ou l’autre des différents ateliers médicaux selon leur disponibilité faisant office de parcours de soin, le visiteur suit ce protocole complet et réfléchi, en rencontrant au fur et à mesure de ce « chek-up » éclectique les différentes composantes de cette équipe pluridisciplinaire, rodée à ce schéma parfaitement huilé.
Evoquer l’équipe, c’est saluer le professionnalisme et la gentillesse des six médecins cliniciens, des neuf infirmières, de la personne gérant la partie administrative et logistique, des deux dentistes, de l’assistante dentaire, des quatre techniciennes de laboratoire et de l’aide-soignante. Ils sont aux petits soins pour toutes les personnes qui sont accueillies dans le centre auxerrois.
Avant l’ultime étape qui me conduira d’ici quelques instants dans le bureau du médecin clinicien, responsable du CES, le docteur Said BROUCHE – c’est à lui de rendre le verdict et de compléter informatiquement votre dossier personnalisé-, c’est avec la psychologue – eh, oui, on peut même s’installer sur le divan pour exprimer en toute liberté et quiétude ce que l’on a sur le cœur dans ce lieu ! -, que je termine ce long cheminement sanitaire qu’il est impératif de fréquenter un jour ou l’autre, histoire de mieux évoquer les dépistages, parler des comportements à risque, connaître les pathologies, surveiller ses douleurs chroniques, renouer, enfin, des liens salvateurs et précieux avec la médecine pour celles et ceux qui en seraient trop éloignés.
Cerise sur le gâteau : une petite collation est même servie au beau milieu de ce parcours, afin d’humaniser davantage la relation particulière que vit la patientèle avec le monde médical en cet endroit qui, s’il n’existait pas, serait nécessaire d’inventer !
Dans le second volet de ce reportage, après cette mise en bouche découverte, place sera faite aux projets et à la stratégie de ce centre d’examens de santé avec l’équipe directionnelle de la CPAM de l’Yonne, un centre, promis à perdurer dans les mois et années à venir…
Thierry BRET
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C’est une figure de l’alimentaire en France et à l’international. Un personnage charismatique, haut en couleur, passionné de l’Ovalie et fier de ses racines bourguignonnes. A 76 ans, le « Traiteur intraitable » comme il aime se qualifier dans les spots publicitaires – il en a fait le slogan de son entreprise éponyme – sera l’un des invités du trophée « Prestige & Patrimoine », accueilli le 23 juin au Domaine de Roncemay. Un visiteur d’envergure qui prendra la parole, grâce à la CPME de l’Yonne…
AUXERRE : Une heure et demie en compagnie de Pierre MARTINET et de son franc-parler ! Voilà ce que nous a mijoté l’organisateur du fameux trophée « Prestige & Patrimoine », Gilles GENEST, à l’occasion de la deuxième édition de cette incontournable manifestation promotionnelle vantant les mérites de l’attractivité entrepreneuriale de notre territoire le 23 juin prochain.
Accueilli dans le splendide cadre golfique du Domaine de Roncemay, l’évènement aura pour parrain l’une des figures emblématiques de la réussite hexagonale côté business, le natif de Saône-et-Loire – du côté de la Bresse -, Pierre MARTINET.
Une silhouette, une voix, un parcours d’exception qui se sont façonnés au fil des ans – depuis 1968 – au gré d’une kyrielle d’expériences et d’aventures que viendra nous narrer lors d’une conférence le célèbre « Traiteur intraitable » !
A ses côtés, on retrouvera les deux porte-étendards de la CPME de l’Yonne, l’ancien président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises, Olivier TRICON – il a quitté son mandat pour prendre de nouvelles responsabilités au sein du mouvement s’immergeant un peu plus sur le dossier export et international -, et son successeur en la personne de Baptiste CLERIN, sous le feu des projecteurs avec le lancement de sa nouvelle vitrine professionnelle, « ORIGINAL CAMPER », concept positionné sur la vente et location de véhicules et produits nomades, inauguré ce samedi 17 juin à Monéteau.
L’itinéraire d’un entrepreneur tout feu tout flamme…
Un trio de choc à l’estampille de la CPME pour évoquer la réussite professionnelle, mais aussi l’abnégation, le volontarisme, le courage, la valeur travail, l’ambition, les envies d’un chef d’entreprise, ses projets.
Elle est loin l’époque où Pierre MARTINET, alors charcutier-traiteur, ouvrait sa première boutique à Jujurieux dans l’Ain en 1968 ! L’ancien président du mythique club de rugby de Bourgoin-Jallieu – il a aussi à son actif la création de son propre team automobile en variante rallye – n’a pas les deux pieds dans le même sabot, innovant sans cesse et faisant de sa SAS un acteur économique de poids. Avec des centaines de salariés à l’appui, une présence au Brésil et dans la plupart des pays européens. Sans omettre un chiffre d’affaires qui ne cesse de grimper.
Réputé pour la fameuse recette du museau en vinaigrette, entre autres, mais aussi pour ses taboulés et ses déclinaisons de produits bio, le groupe est installé en Isère, à Saint-Quentin-Fallavier où le siège social a bénéficié d’un nouvel agrandissement.
L’itinéraire de Pierre MARTINET – homme médiatique – sera distillé à livre ouvert lors de cette conférence placée sous l’égide de la CPME dont il est l’un des représentants…
En savoir plus :
Conférence de Pierre MARTINET
Trophée « Prestige & Patrimoine »
Domaine de Roncemay
Le vendredi 23 juin 2023 à 17h30
Un évènement organisé par la CPME 89, L’Atelier de l’Immo, J3G Patrimoine, AKOR Immo et SP Consulting Informatique.
Thierry BRET
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Il les collectionne, le jeune peintre en bâtiment de CHEVANNES ! Décidément, sa période astrologique doit être orientée vers le beau fixe, façon ciel bleu azuréen, pour le jeune entrepreneur de l’Yonne. Il s’était vu décerner le titre de « Maître Artisan » il y a quelques jours par le président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat Jean-Pierre RICHARD. Le voici, tout surpris, qui reçoit la médaille d’honneur du Sénat qu’il devra ajouter à sa panoplie !
APPOIGNY : Il y a des périodes comme cela de l’existence où les bonnes choses peuvent aussi s’accumuler ! Le jeune peintre en bâtiment de CHEVANNES, Dimitri MORIN, déjà auréolé d’une belle récompense la semaine dernière, avec le titre de « Maître Artisan » pour son entreprise « Le Bon Rouleau 89 », s’est vu remettre des mains de la sénatrice Dominique VERIEN, la médaille du Sénat, à l’issue de l’assemblée générale de la CAPEB de l’Yonne, samedi en milieu de journée.
Une pluie de distinctions qui semble quelque peu surprendre le jeune homme, placé sous le feu des projecteurs en un laps de temps record. A quand la remise de la prochaine breloque ?
Thierry BRET
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Il succède à Yves CHEVILLON à la barre d’EDF-BFC : Robert POGGI, en capitaine pour affronter les grands enjeux énergétiques
juin 12, 2023Sobriété énergétique, mobilité électrique, développement de l’hydrogène, recrutements tous azimuts dans les métiers du renouvelable… : les dossiers qui attendent le nouveau « pacha » du groupe énergéticien sur son bureau dijonnais ne lui font pas peur. Nommé depuis peu à la direction de l’Action régionale d’EDF Bourgogne Franche-Comté, Robert POGGI, ex-capitaine au long cours de la marine marchande (mais aussi plus près de nous ex-patron régional d’ENEDIS) sait garder le cap lorsqu’il tient le gouvernail d’une embarcation, même entrepreneuriale. Surtout qu’EDF BFC n’a vraiment rien d’un frêle esquif !
DIJON (Côte d’Or) : Robert POGGI ? Certains d’entre nous (et j’en suis) de la sphère journalistique régionale ont déjà eu à maintes reprises l’heureuse opportunité de le croiser dans l’une de ses vies antérieures au plan professionnel. Non pas à bord de l’une de ses puissantes embarcations qui ont sillonné les mers et océans du globe, emportant jadis ce passionné de l’univers maritime si onirique vers de lointains rivages - le garçon a exercé durant cinq ans les fonctions de capitaine de première classe au long cours sur des paquebots, ferry ou porte-conteneurs ! -, mais bel et bien sur la terre ferme, lorsque ce dernier dirigeait le devenir d’ENEDIS en notre contrée il y a peu encore !
Alors, le retrouver ainsi, assis tranquillement dans l’un des espaces salon du Village by Crédit Agricole dijonnais face à des journalistes avides de renseignements sur le profil et la ligne stratégique du nouveau « pacha » - le patron en bonne étymologie maritime ! – de l’un des acteurs phare de la production/distribution d’énergie en France, pouvait s’avérer être une demi-surprise, en vérité.
Sauf qu’en parcourant, in extenso, les quelques lignes du communiqué de presse remis par le service de communication ad hoc (pas de jeu de mot s’il vous plaît !) qui dépeignaient le parcours atypique de notre « commandant de bord », il y eut une mention qui fit tilt à nos esprits encore un peu embrumés par l’heure si matinale (8h30 !) de ce rendez-vous : « ingénieur Supélec » !
Un cursus impressionnant où la connaissance de l’électricité est son maître mot…
Mais, c’est bien sûr, aurait suggéré alors feu Raymond SOUPLEX dans l’une de ses interprétations picaresques de l’inspecteur BOURREL « Les Cinq dernières minutes » – une sorte de feuilleton à la MAIGRET de la première heure au sortir des années 1960 produite par l’ORTF, filmée en noir et blanc sur la Une ! - : Robert POGGI s’est spécialisé dans ce qui allait le mettre au « courant » tout au long de son existence : l’automatisme et l’électricité.
Déjà, au sein du Bureau VERITAS, durant deux années, structure au demeurant référente en son domaine, puis au sein d’industries électriques et gazières à Paris pour le compte de Gaz de France (GDF) en y gravissant tour à tour tous les échelons, avant de migrer vers ENEDIS où il géra le contrat de concession avec la ville de Paris – pas une mince affaire, certainement -, avant de prendre la direction territoriale de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.
On connaît la suite : c’est en Bourgogne que le nouveau promu fraîchement désigné à la tête d’EDF BFC se fit connaître des forces médiatiques en présence, en charge d’un millier de salariés et d’un million de clients. Dont bon nombre des entreprises qui officient sur le territoire régional…
Un sérieux plus à ajouter au cursus de celui qui vécut aussi l’expérience des profondeurs à bord de sous-marins à propulsion nucléaire…
L’exemplarité de l’entreprise en matière de sobriété énergétique…
Calme, posé, serein, disponible : il en aurait fallu plus à Robert POGGI qui a dû affronter moult grains, coups de tabac et tempêtes lors de ses pérégrinations océanes face à des journalistes soucieux de mieux connaître ses réactions après cette nomination. Elle n’est pas du fait du hasard – celui existe-t-il réellement ? – ni de la providence !
Son prédécesseur Yves CHEVILLON faisant valoir ses droits à une méritoire retraite, selon la formule consacrée, Robert POGGI a pu postuler en son âme et conscience pour tenir le gouvernail de ce grand navire qui n’a pas pour habitude de rester inerte, même dans la mer des Sargasses, fusse-t-elle conjoncturelle ou malmenée par des crises sanitaires successives en mode COVID.
Les enjeux énergétiques de la planète sont face à nous, telle une immense déferlante que le groupe EDF veut aborder avec le plus d’atouts possibles dans son jeu.
Les premières paroles de l’intéressé sont d’ailleurs sans ambages : « il faut continuer l’accélération sur la transition écologique et l’amplifier, précise Robert POGGI, mon ambition est claire : contribuer au développement de l’hydrogène et de la mobilité électrique… ».
Et en rappel, au cas où chacun de ses interlocuteurs d’un jour l’aurait oublié de dire « qu’EDF, en tant qu’entreprise du secteur de l’énergie, a un rôle d’exemplarité à jouer en matière de sobriété énergétique… ».
De capitaine de première classe au long cours, Robert POGGI est devenu « amiral » avec à bord de son vaisseau un équipage de spécialistes et d’experts de plus de 5 700 personnes ! Parés à relever tous les défis !
Non seulement, notre homme veut accroître les actions terrain qui contribuent à la lutte contre le réchauffement climatique, mais en outre, cerise sur le gâteau pour toutes celles et ceux qui rêvent un jour d’entrer dans la grande maison pour y faire carrière, le curseur sera pointé vers le chantier du recrutement avec le pôle « Compétences », visant à favoriser l’attractivité et le renfort des effectifs du groupe, via les métiers du renouvelable.
Optimiser les services énergétiques au plus près des utilisateurs, promouvoir le nucléaire – une solution d’avenir de notre indépendance énergétique à ne pas négliger – et améliorer les réseaux électriques afin de mieux préparer l’avenir constituent la feuille de route que le « capitaine POGGI » s’est fixée et tient à respecter, sans sextant ni boussole, mais avec les instruments digitaux et modernes qui sont les siens à bord de cette louable entreprise, tournée vers l’anticipation. Bon vent dans vos nouvelles aventures !
Thierry BRET
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Sa quête visuelle se mue en une surprenante scénographie : Bruno CLOGNIER en « seigneur des anneaux » artistique
juin 12, 2023Des anneaux et des cercles qui s’imbriquent les uns dans les autres. Comme des modules étranges gravitant sur eux-mêmes et qui ne sont pas sans rappeler la complexité géométrique d’un système sidéral, situé peut-être à des millions d’années-lumière de notre globe. L’imaginaire a du bon ! Mais, le travail de l’artiste originaire de l’Aisne, baptisé « Les Or et Brun », nous propose aussi une subtile découverte de cette osmose insolite entre sculpture et peinture…en trois dimensions !
GURGY : On y voit des visages. Peints sur un support pour le moins original dans sa texture et sa présentation. Non pas sur une toile, comme il est de coutume de manière habituelle dans une galerie. Mais, bel et bien sur des anneaux et des cercles qui se déploient dans l’espace. Comme des modules à la remarquable dimension suspendus dans les airs, de ceux qui égayent encore nos souvenirs d’enfant.
Les dimensions ? C’était justement l’un des soucis essentiels du plus fervent aficionado de ces artistes qui se posent avec la régularité d’un métronome durant la saison à l’Espace culturel de la commune : l’édile local, Jean-Luc LIVERNEAUX.
Mais, au vu du résultat définitif, il n’y a pas eu de problématiques particulières pour intégrer dans cet espace clos les œuvres de ce peintre-sculpteur d’exception qu’est Bruno CLOGNIER.
Cet esthète des arts plastiques dont il est par ailleurs diplômé (Ecole des Beaux-Arts de Paris où il obtiendra la plus belle des références en 1986 pour ses travaux), a choisi la localité périphérique de l’Auxerrois pour y présenter son travail de créatif fécond, en quête de son « Graal » artistique personnel.
Un artiste touche à tout à l’imaginaire fécond…
Le fruit de ses réflexions imaginatives repose sur le dessin, la base essentielle de son œuvre qui lui permet de structurer ses réalisations. De recherches en investigations, Bruno CLOGNIER s’investit dans cette expression nouvelle, une expression efficiente qui, à grand renfort de curiosité, l’entraîne à diversifier ses pratiques artistiques. Tâtant, au passage de la sculpture.
« Toutes ces pratiques ont en commun ce vecteur de faire sentir « l’être » ou « être », soit par le mode d’une représentation avec les « Or et Brun », soit par le mode de la non-représentation au travers le paysage de la série « Relief et Panoramique » - un autre reflet de son travail -. Toutes ces pratiques ont en commun d’investir picturalement cet acte de présence au monde, explique-t-il dans sa biographie.
Une quête artistique profonde et inspirée à laquelle nous convie le natif de Laon. « Puisse-t-elle desceller et déceler le meilleur des possibles que nous sommes et nous serons, car je l’espère sous vos yeux, mon œuvre ne mentira pas… ».
A vous, visiteurs, de juger ! Les œuvres de Bruno CLOGNIER sont visibles jusqu’au 25 juin inclus.
En savoir plus :
Exposition de l’artiste peintre et sculpteur Bruno CLOGNIER les « Or et Brun »
Espace culturel de Gurgy
Du 03 juin au 25 juin 2023
Visite mercredi, samedi, dimanche de 14h à 18 h
Place de l’Eglise
Entrée libre.
Thierry BRET
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