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Le débat est lancé. Avec ses partisans et ses détracteurs. Dans la langue de GOETHE, le mot dette se traduit par la locution : « die schuld ». Cela signifie aussi la faute ! Alors faute ou pas faute de s’être endetté à un tel niveau pour résoudre cette crise sanitaire ? Faute ou pas faute de rembourser nos dettes dans un avenir aussi lointain ? Au-delà de l’avis des experts en économie, la décision finale ne peut être que purement politique…

TRIBUNE : Le débat, souvent musclé, enflamme la toile. Mais aussi, les médias, avec des discours très techniques du côté des économistes. Les spécialistes, plutôt de gauche, proposent l’annulation pure et simple de la dette. Citons Gaël GIRAUD, Jézabel COUPPEY-SOUBEYRAN et le fameux Thomas PIKETTY, pour les plus connus.  

En face de ces fervents adeptes de l’annulation, on trouve des « conservateurs » respectueux des règles européennes en matière de crédits accordés aux états.

Leurs partisans sont Olivier BLANCHARD (ex-économiste du FMI) et surtout Eric BERR, chantre des « économistes atterrés ». Ils s’opposent à l’idéologie néolibérale.

Partisans et détracteurs sont pourtant d’accord sur un point : si les taux augmentent, la charge des emprunts deviendra insupportable pour les états. Donc, nous ne pourrons que recourir à l’annulation.

Pour les autres, annuler c’est aussi prendre le risque d’une création monétaire de contrepartie. Soit un risque inflationniste avec une augmentation des taux ! La quadrature du cercle, voire même une solution digne du « mouton à cinq pattes » !

 

Des chiffres astronomiques et de sacrés enjeux…

 

 

A date, notre dette nationale représente plus de 120 % du PIB avec 2 700 milliards d’euros. Important, certes, mais pas incongru. Ne mélangeons pas le stock de la dette avec le flux des ressources de l’Etat (PIB). Aucun banquier ne sera choqué par notre prêt immobilier de 300 000 euros si nous avons un revenu annuel de 30 000 euros.

Les actifs de l’Etat sont peau de chagrin. On préfère vendre que réduire les dépenses ! Ces actifs représentent 1 400 milliards d’actifs financiers (actions) et 700 milliards d’actifs non financiers.

Précisons que le volume des dettes est multiplié par deux quand on intègre les dépenses futures de l’exercice en cours et les engagements pris sur les retraites dues (les fameux engagements « hors bilan »).

Il faut aussi ajouter les cautions données comme les récents « Prêts garantis par l’Etat ». Les chiffres donnent tout de même le vertige : en 2020, on emprunte un milliard d’euros par jour, soit 700 000 euros chaque minute !

En 2021, nous sommes au moins sur le même rythme. Disons tout de suite que l’Etat rembourse ses emprunts chaque jour. De quelle manière : on fait « rouler » nos dettes en se faisant refinancer le capital sur les marchés financiers.

Donc, plus j’ai de crédits et plus je m’endette… Ce qui fait dire que dans ce cas, on ne rembourse pas. C’est aussi la solution technique des partisans du remboursement de nos dettes : « le fameux roulement ». L’exposition à une possible augmentation des taux constitue une véritable épée de Damoclès pour les états européens et particulièrement pour la France. La dette représente le pilier du fonctionnement de l’Etat et non l’investissement. Hélas !

 

Rembourser, c’est aussi faire des économies…

 

 

Pour la dette imputable à la COVID, c’est la BCE qui a ouvert tout grand les robinets. Les juristes affirment que la BCE n’a pas le droit d’effacer la dette des états. Pour les autres emprunts, la moitié est détenue par des investisseurs étrangers. De facto, ils doivent être prioritaires pour un remboursement. Ne pas honorer cet engagement, c’est se couper de dettes futures.

Parmi les solutions de remboursement les moins toniques mais déjà engagées, on trouve la vente des actifs. Si pour l’heure, on s’interdit de vendre la Joconde (deux milliards) le château de Versailles (au moins 4 milliards), la tour Eiffel (3 milliards), le musée du Louvre hors ce qu’il contient (8 milliards), on brade des sociétés comme la Française des Jeux.

Sans doute la vieille mentalité des traditionnalistes de la terre et de l’immobilier et des réfractaires de la bourse. En attendant, on s’appauvrit au détriment de l’emploi au lieu de s’enrichir efficacement afin de réinvestir dans l’économie.

Rembourser, c’est aussi faire des économies. Car il ne faut pas confondre les charges conjoncturelles et les charges structurelles.

Diminuer les charges conjoncturelles, en fait diminue le budget de l’Etat à travers les dépenses annuelles et récurrentes. Cela ne sert à rien. A défaut, on contraint des fournisseurs à licencier du personnel. Parmi les coupes sombres à envisager, aussi stupides qu’inutiles : pourquoi ne pas supprimer les petits fours servis en abondance le 14 juillet à l’Elysée, la vente d’une partie de la cave du palais présidentiel, diminuer les frais du parc automobile des ministères, limiter les charges de téléphone et du numérique des élus, etc.

Pour les charges structurelles, qui ont un caractère quasi permanent, on pointe surtout les charges de personnel. Des suppressions de postes sont-elles possibles et où en l’état ? La santé, la police, la justice, les prisons, l’armée, l’éducation ?

Bien sûr que non ! Nous parlons ici de secteurs qui doivent au contraire recruter. Si nous évoquons l’Education nationale : il faut une meilleure répartition des postes. Mais, on n’économisera pas grand-chose. Si, en fait, on y gagnera à coup sûr une belle grève pérenne…

Les charges de personnel, depuis quelques années ont explosé dans les municipalités et autres collectivités publiques. Il existe un véritable malaise dans les embauches de ce secteur. Toutefois, elles ont eu aussi le mérite de limiter la casse locale dans les emplois du secteur privé.

Parmi la diminution des charges structurelles qu’il faudra bien aborder un jour : c’est celle relative à la fraude sociale qui devra faire surface !

 

 

Tout le monde connaît depuis des lustres la gabegie des escroqueries en matière de fraude aux Caisses de retraite et à la Sécurité Sociale.

Dans son rapport officiel, le magistrat Charles PRATS estime à près de 50 milliards la fraude sociale !

Pour des raisons certainement démagogiques, aucun gouvernement n’a encore souhaité s’attaquer de front à ce serpent de mer ! Pourquoi ?

Nous touchons là un point très sensible de notre société, impliquant notamment des ressortissants étrangers où certaines aides qui sont attribuées concernent des personnes âgés de plus de 130 ou 140 ans afin de permettre aux familles de toucher la retraite !

Pire encore : on manipule les chiffres. Le sénateur Jean-Marie VANLERENBERGHE (LRM), rapporteur de la commission des Affaires sociales du Sénat, estime à « au moins » 100 millions d’euros la fraude sociale en France.

Le « au moins » n’est en fait qu’un doux euphémisme !

Quand à augmenter les impôts, mieux vaut ne pas y penser. Au contraire, l’urgence est de diminuer l’impôt sur les sociétés afin d’attirer les capitaux étrangers et surtout, à l’instar de l’Italie, de réduire voir de supprimer l’impôt sur les successions d’entreprises, les TPE, les commerces, l’artisanat,…

Trop souvent, pour ces activités professionnelles, la succession des entreprises débouche sine die à leur fermeture et à des licenciements. 

 

 

Des pistes de réflexion vertueuses pour sortir de ce cercle infernal…

 

 

Ne pas rembourser la dette nous expose à la fermeture du robinet des crédits. C’est la perte de la crédibilité de la signature de l’Etat français. La fin de la restructuration progressive de nos emprunts vers un allongement de leur maturité. Cette solution semble avoir le vent en poupe.

Nous nous endettons sur des durées de cinquante ans et nous envisageons des remboursements étalés sur un siècle ! Qui peut bien être intéressé ?

Les fonds de pensions de retraites américains. Cette ouverture permet à ces fonds nationaux de se développer en investissant dans la dette. En matière de dettes, il ne faut surtout pas se préoccuper de la position allemande. Angela MERKEL est trop soumise à l’Euro. Un retour au Mark ruinerait l’Allemagne à cause d’une monnaie trop forte pour pouvoir vendre d’une manière concurrentielle ! 

Alors, rêvons un peu ! Trouvons une solution pertinente pour sortir de ce cercle infernal. Trouver un cercle vertueux : c’est-à-dire investir dans l’appareil productif industriel. Cela augmentera notre indépendance industrielle en créant des emplois et en améliorant notre niveau de vie. Donc, la richesse nationale, le PIB et la capacité de pouvoir rembourser aisément les dettes…

Nous l’avons vu pour la découverte de l’hypothétique vaccin français. Un échec synonyme de carence pour l’Etat en ce qui concerne les fonds injectés vers la recherche.

Au final, rembourser ou ne pas apurer nos dettes ne peut être qu’une décision politique. C’est une armoire à tiroirs multiples mais surtout cela traduit la volonté affirmée de l’Etat d’être sans complaisance et sans démagogie.

N’oublions pas ce vieil adage, ode à la prudence (un dicton issu de la culture populaire de l’Ancien régime) : « Qui paye ses dettes s’enrichit ». A méditer plus que tout en cette période si délicate pour nos finances !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Depuis le début de la pandémie, le Crédit Agricole soutient les acteurs de la filière agri/viticole de notre contrée en accompagnant leurs projets de développement. Sans omettre, l’octroi d’aides indispensables pour éviter les écueils. Soit environ 400 prêts garantis par l’Etat (PGE) et 38 millions d’euros destinés aux exploitations frappées de plein fouet par la crise.   

DIJON (Côte d’Or) : Face aux grands enjeux sociétaux devant favoriser la préservation de la planète, renouveler les équipements agricoles au bénéfice de matériels plus à même de renforcer la transition agro-écologique est devenu une nécessité très sérieuse pour les professionnels de la filière.

Ainsi, le Plan de relance agriculture initié par le gouvernement prévoit le versement de subventions adéquates à cette démarche. Celles-ci sont distribuées par France AGRIMER.

Le Crédit agricole Champagne-Bourgogne propose en parallèle un coup de pouce supplémentaire à cette initiative étatique : une avance de subvention sous la forme d’un prêt à taux zéro.

Le partenaire historique de ce secteur séculaire de l’économie crée ainsi une offre de préfinancement servant à l’acquisition immédiate de ces futurs équipements.

A titre d’exemples, cela répond à l’objectif de réduire et optimiser l’usage des intrants tels que les produits phytosanitaires, les effluents, les fertilisants mais aussi d’adapter le travail des agriculteurs aux aléas climatiques. En effet, plusieurs épisodes de grêle, de gel, de sécheresse, de vents forts, voire de violentes tornades ont sévi la saison dernière sur l’Hexagone.

 

Une nouvelle mesure qui complète le dispositif déjà existant…

 

Dès réception de la subvention par l’agriculteur ou la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole), le remboursement sans frais sera effectif.

Quant au montant, il est équivalent à la subvention attendue. Soit entre 20 et 40 % du plafond éligible, en fonction du matériel agricole choisi, du projet global et, naturellement, du profil de l’emprunteur. Cette offre sera par ailleurs proposée directement par le concessionnaire qui commercialise ledit équipement.

Commentaire à chaud de l’un des dirigeants de l’établissement bancaire Jean-Christophe ROUBIN, en charge de la direction de l’agriculture : « Le fait de bénéficier d’un préfinancement sans intérêt sur la quote-part de l’investissement subventionné représente un réel avantage… ».

Cette nouvelle offre complète le dispositif existant. Elle permet d’accompagner les agriculteurs dans cette phase de mutations profondes.

Directeur du développement des marchés de l’entreprise, de l’agriculture/viticulture, des marchés spécialisés et de la banque privée, Tristan LAMY se félicite du lancement de cette procédure en parfaite cohérence avec le Plan de relance agricole déclenché par l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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C’est dans le fief de la nouvelle tête de file du parti souverainiste que les éléments moteurs de Debout la France 89 se réuniront ce samedi 27 février à l’initiative de leur délégué régional Pascal LEPETIT. Le départ de plusieurs personnalités de ce mouvement vers d’autres cieux politiques ne semble pas affecté celles et ceux qui conservent leur confiance dans leur leader historique. Ce rendez-vous permettra de se tourner vers l’avenir. Il a pour objectif les régionales 2021…

VEZELAY : Président de la Communauté de communes Yonne Nord, le maire de Villeblevin Thierry SPAHN n’honorera pas ce rendez-vous concocté en début de week-end.

Excusé de cette rencontre placée sous le sceau de la reconstruction, sa présence sera pourtant évoquée par ses coreligionnaires car son patronyme devrait bel et bien figurer sur la future liste candidatant pour les prochaines régionales.

C’est là l’un des points essentiels de cette séance de travail qui se déroulera ce samedi dans le Vézelien. Plus précisément dans le fief du nouveau secrétaire départemental de l’antenne icaunaise, Patrick MOREAU.

L’élu de Foissy-les-Vézelay a été adoubé il y a quelques jours par le bureau national pour succéder à Pascal BLAISE. Ce dernier a choisi de quitter la formation de Nicolas DUPONT-AIGNANT pour rallier le futur projet initié par Jean-Philippe TANGUY, l’ancien bras droit de l’ex-candidat à la présidentielle 2017 (voir article publié à ce sujet).

Le maire du Vézelien se portera également candidat sur la liste qui prend tournure et s’alignera aux régionales des 13 et 20 juin.

Debout la France aura la particularité de présenter sur les huit départements de Bourgogne Franche-Comté bon nombre de maires, d’élus municipaux et de conseillers régionaux. En jouant sa propre partition.

 

 

 

Vers un retour au bercail de celles et ceux qui sont indécis…

 

Interrogé sur ce point, Pascal LEPETIT, délégué régional de la formation politique, insiste sur l’importance de la construction de cette liste qui ne compte pas faire de la figuration selon ses dires.

Il profite de sa prise de parole téléphonique pour tacler celles et ceux qui se disent « gaullistes et indépendants qui ont choisi de faire allégeance au Rassemblement National en sortant des rangs de la manière la plus brutale qu’il soit… ».

D’ailleurs, il n’exclut pas un retour au bercail d’une majorité de celles et ceux qui se sont égarés, aujourd’hui indécis ou demeurent dans la plus grande circonspection après ce geste fort. C’est-à-dire environ 30 % de militants en indélicatesse avec le parti. On serait donc très loin des 90 % annoncés sur l’Yonne…

Magnanime, le délégué régional de Bourgogne Franche-Comté tend la main à celles et ceux qui désireraient revenir à la maison mère.

Toujours est-il que cette rencontre planifiée dans le sud de l’Yonne tombe à pic pour l’élu de la Nièvre. Il y parlera avenir et de recomposition du nouvel organigramme devant agir sur notre département.

Certes, les échéances régionales arrivent à grand pas. Mais, se préfigurent déjà à l’horizon les présidentielles où le poulain légitime de DLF, Nicolas DUPONT-AIGNANT, crédité à date de 8 % des intentions de vote au premier tour, aimerait bien jouer les trouble-fêtes en se qualifiant pour la phase finale…

 

Thierry BRET

 

 


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La ville de Sens a signé une convention de partenariat avec la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 23 février. En présence du numéro un de la Caisse des Dépôts. La portée de cet accord concerne la création d’un poste de manager de commerce, une fonction ô combien stratégique au développement du centre-ville et de son attractivité économique…

SENS : Bien que la capitale du nord de l’Yonne se distingue par le maintien de la foire et de la fête foraine en centre-ville depuis plus de cent ans, le commerce de proximité vit des heures bien sombres à l’instar de nombreuses autres villes de l’Hexagone.

En 2014, naissait une volonté de redynamiser le centre-ville afin de lutter, entre autres, contre la vacance des locaux commerciaux. De l’essor du e-commerce à l’extrême cherté de certains locaux, la ville de Sens avait du pain sur la planche.

 

La Banque des Territoires réaffirme son soutien à la ville de Sens...

 

Un premier poste de manager de centre-ville avait été créé la même année, dans le cadre du programme FISAC (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce).

Aujourd’hui, directeur de l’OCAGS (Office de Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais), Francis SARLIN avait pris ses fonctions le 01er août, jusqu’en décembre 2015. Il avait été missionné pour la réhabilitation du marché couvert et le développement du commerce en centre-ville, notamment.

La ville de Sens renouvelle l’expérience avec l’embauche d’Yvelise Ameline en tant que manager de commerce pendant deux ans. Un poste financé à hauteur de 40 000 euros par la Banque des Territoire, soit 70 % de son besoin de financement.

Cette aide financière fut donc actée sous forme de convention paraphée ce mardi par Marie-Louise FORT, édile de la ville et présidente de la Communauté d’agglomération du Sénonais, et Eric LOMBARD, directeur général de la Caisse des Dépôts.

 

 

Un partenariat mis en place dès 2018...

 

Cette convention est l’occasion de réaffirmer des objectifs communs comme le développement du territoire en termes de transition énergétique et écologique. Mais elle vient aussi renforcer une collaboration de longue date.

La Banque des Territoires, partenaire du programme national « Action Cœur de Ville », s’investit effectivement dans le développement du commerce sénonais depuis 2018. Elle l’avait rapidement associée au dispositif « Centre-ville de demain » et avait participé à l’élaboration d’une stratégie de renforcement des commerces de proximité.

Ce partenariat s’était notamment concrétisé par une étude réalisée par des élus et des techniciens, avec le concours de l’OCAGS. Les experts avaient conclu que le centre-ville était trop important pour une ville comme Sens, avec des commerces vacants plutôt aux extrémités du centre historique.

Il fallait recentrer le parcours marchand au cœur de la ville. D’où les nombreux travaux en cours tels que le réaménagement de la Place Drapès.

 

 

L’impact des actions menées au cœur de la ville de Sens...

 

 

Le directeur général de la Caisse des Dépôts a par ailleurs souligné le dynamisme de la ville de Sens au niveau démographique, entre autres, qui se caractérise par « un afflux régulier d’habitants ». Il a ajouté que « pour que cette dynamique se poursuive, il est important d’investir, de transformer, ce que vous faites Madame la maire… ».

Le dirigeant estime que depuis 2014, les actions menées par la ville, et plus particulièrement par le manager du centre-ville, ont porté leurs fruits puisque le taux de vacance des commerces est passé de 25/30 % à quasiment 10 %.

Pour lui, ces initiatives doivent être complétées par d’autres démarches comme un accompagnement des commerçants dans la digitalisation.

Un outil qui peine néanmoins à trouver preneur dans le Sénonais malgré une vraie nécessité imposée par la crise sanitaire et en dépit des encouragements de l’OCAGS.

 

Floriane BOIVIN

 


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Jusqu’au 13 mars, les automobilistes de l’Yonne ont la faculté de pouvoir faire contrôler leurs véhicules dans le cadre de la campagne de prévention « Voir et être vu ». Une initiative, traditionnellement portée par la coordination de la Sécurité Routière de la préfecture de l’Yonne. L’opération est relayée sur le terrain avec le concours de deux partenaires : les centres FEU VERT et NORAUTO.

AUXERRE : Le contrôle de la bonne qualité de l’éclairage des véhicules, propriétés des automobilistes de l’Yonne, a débuté ce mercredi.

Précisément à Sens où une session qui sera par ailleurs reconductible ce samedi 27 février au centre au FEU VERT de 10 heures à 16 heures route de Maillot aura permis de relever un certain nombre de corrections à apporter.

Déclinée d’ordinaire une à deux fois par an, la campagne « Voir et être vu » offrira l’opportunité aux automobilistes de notre territoire de faire contrôler l’état de leur moyen de locomotion et surtout de vérifier le bon fonctionnement des phares.

Les intervenants départementaux de la Sécurité Routière (IDSR) de la coordination se chargeront de ces vérifications.

Un stand sera installé sur l’un des parkings des centres auto partenaires pour accueillir les conducteurs. C’est-à-dire à Auxerre, Monéteau et Sens. Précisons que ces contrôles sont proposés de manière gracieuse.

 

 

Les dates de cette opération :

 

27 février de 10 h à 16 h au centre auto FEU VERT CARREFOUR à Sens, 84 Route de Maillot

03 mars de 10 h à 16 h au centre FEU VERT de Saint-Martin-du-Tertre 9, route de Voulx

06 mars de 10h à 16h au centre FEU VERT Fontaines des Clairions à Auxerre

13 mars de 10h à 16 h au centre NORAUTO du Centre commercial Cora à Monéteau.

 

Thierry BRET

 


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