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Deux jeunes femmes ont scellé une collaboration de plusieurs mois avec l’EHPAD Notre-Dame de la Providence. Elles ont signé une convention dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ». L’Etat présente ce dispositif comme une bouée de sauvetage exceptionnelle pendant la crise sanitaire. Mais permet-il réellement de lutter contre le chômage des jeunes ?

 

SENS : Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par les pouvoirs publics en juillet 2020. Il vient en aide aux jeunes impactés par la crise sanitaire. Son terme est initialement programmé pour janvier 2021. Il avait ensuite été prolongé jusqu’au 31 mars.

A Sens, la Mission Locale annonce que depuis le début de l’année, 35 jeunes ont bénéficié de ces contrats aidés, d’une durée de 9 mois, renouvelables jusqu’à 24 mois. Dans l’Yonne, en 2020, plus de 3 600 jeunes ont profité des avantages de ce plan dont 1 559 d’entre eux au sein du Parcours d’Accompagnement Contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie (PACEA).

 

A quoi sert ce nouveau plan gouvernemental ?

 

En théorie, ce type de plan permet aux jeunes de se former, de combler des lacunes en termes de qualifications nécessaires pour trouver plus facilement un emploi.

Mais pour les deux jeunes sénonaises, Assia et Coline, toutes deux âgées de 20 ans, il s’agit davantage d’une passerelle.

 Assia rêve de devenir infirmière depuis trois ans mais elle compte parmi les victimes de Parcoursup. Elle souhaitait donc enrichir son dossier par une expérience concrète avant de candidater de nouveau pour une école.

Coline, quant à elle, a abandonné ses études en économie et gestion pour se consacrer à une cause plus proche de l’humain. Elle souhaitait « être utile à la cause de la COVID ». Ce dispositif constitue également un bon tremplin pour sa réorientation vers le secteur médico-social dans lequel elle aimerait finalement faire carrière.

Entre l’alternance, les contrats traditionnels et les divers contrats aidés, les entreprises disposent aujourd’hui d’un choix plutôt riche de contrats à la carte. Une aubaine également en termes de main d’œuvre à moindre coût, surtout à l’heure où l’économie est au ralentie en raison des mesures restrictives liées à l’épidémie de SRAS CoV-2.

 

 

 

 

Dario RIGOLLET, directeur de l’EHPAD considère que « surtout en ce moment de crise COVID, ce sont des emplois utiles. Sinon au niveau financier, même si l’Etat nous aide énormément, c’est bien d’avoir aussi de l’aide de ce côté-là, au niveau des emplois ».

Le gouvernement offre une aide d’un montant pouvant s’élever jusqu’à 4 000 euros aux employeurs qui embauchent un jeune de moins de 26 ans. A noter que les entreprises accueillant un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans reçoivent 5000 euros et 8 000 euros si celui-ci a plus de 18 ans.

Le directeur admet aussi que l’établissement embauche « continuellement » des jeunes stagiaires en temps normal, apprentis ou sous contrats aidés, qui ne restent pas la plupart du temps, « peut-être parce qu’à ce moment-là on n’avait pas de poste en CDI… » justifie-t-il. Les entrepreneurs ont effectivement la possibilité d’opter pour des contrats aidés depuis de nombreuses années.

 

 

L’aide aux jeunes sans qualification : une stratégie politique récurrente

 

 

Et pour cause, l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, et plus particulièrement la paupérisation de la jeunesse française, n’est pas uniquement le fait de cette crise sanitaire.

Depuis plus de quarante ans, le chômage des moins de 26 ans est en constante augmentation, de 20,8 % en 2018 (contre 8,5 % pour les 25-49 ans). En 1975, ce taux n’était que de 6,9 %.

Les gouvernements successifs déploient régulièrement des plans massifs de sauvetages pour endiguer un taux de chômage et faciliter l’accès à l’emploi pour les moins de 15-24 ans pas ou peu qualifiés.

Cette cause est devenue l’un des slogans favoris de la classe politique, avec en vedette le CIE (Contrat Initiative Emploi) créé en 1995. On parle aujourd’hui du CUI-CIE pour le secteur marchand, qui fait d’ailleurs son grand retour, du CUI-CAE, qui s'adresse au secteur non marchand (transformés en PEC-Parcours Emploi Compétence), et du CIE-JEUNES dédié aux moins de 26 ans.

Ce dispositif fait l’objet d’une profonde réforme depuis ses débuts mais le principe est toujours resté le même : une aide financière à l’embauche pour les entreprises et la promesse d’un avenir aux chômeurs longue durée. Et bien que l’on constate son déclin depuis le début des années 2000 (de 600 000 contrats aidés en 2005 à 200 000 aujourd’hui), son utilisation demeure privilégiée. En 2016, 28,1 % des emplois occupés par les jeunes de moins de 26 ans étaient des contrats aidés.

 

 

 

Quelle est l’efficacité réelle du contrat aidé ?

 

 

Alors que ces mesures sont souvent critiquées depuis l’instauration des « Travaux d’utilité collective » (TUC) par Laurent FABIUS en 1987, l’Etat continue de les mettre en place. Cela signifie-t-il qu’elles répondent finalement aux objectifs fixés : soutenir l’emploi et favoriser l’insertion professionnelle ?

Dans un rapport de 2011, la Cour des Comptes signifiait que l’objectif était surtout « de lutter contre le chômage en période de basse conjoncture. Les contrats aidés, du secteur non marchand en particulier, permettent en effet de retirer temporairement des effectifs non négligeables des listes de demandeurs d’emploi ».

Une enquête de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) réalisée en 2017 confirme cette tendance.

« A court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés » en fonction du secteur et de la conjoncture économique.

Parmi les personnes ayant réalisé un contrat unique d’insertion dans le secteur marchand (CUI-CIE), 72 % déclaraient être en emploi six mois après et 25 % s’étaient réinscrit à Pôle Emploi.

Concernant ceux qui ont effectué ce même contrat dans le secteur non marchand (CUI-CAE), seulement 49 % étaient encore en poste dans le même délai et 43 % avaient réintégré les statistiques du chômage.

« La part de ceux qui s’orientent vers une formation ou sortent vers l’inactivité est inférieure à 5 % ».  

 

Floriane BOIVIN

 

 


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Le « Lundi au soleil » est une chose que l’on ne voit jamais dit la chanson ! La cheville ouvrière de la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais Magalie CONDUTEAU-TAVARES a eu tout le loisir de s’en apercevoir en ce début de la Semaine de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Face aux caméras de la TV de l'YONNE (ex-COMCOM TV), elle a endossé la vêture d’une journaliste de choc. Le temps d’interviewer in extenso des spécialistes de l’info et de la communication…

 

ROSOY : Comme un poisson dans l’eau ! La responsable de La Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais aurait-elle déjà exercé un job similaire dans une vie antérieure sur les plateaux de télévision ?

Animatrice de la première journée de la Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi orchestrée jusqu’au 02 avril sous la forme de webinaires par le Grand-Sénonais, l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand-Sénonais (OCAGS) et la CCI, la jeune femme a enchaîné les prestations informatives soutenues tout au long d’une journée au rythme intense.

Affûtant ses questions, elle a assuré le lien entre les internautes désireux d’intervenir par des chats adressés aux orateurs successifs. Magalie CONDUTEAU-TAVARES n’a in fine guère eu le temps de souffler entre deux interlocuteurs.

 

 

 

 

 

Cet exercice de prise de parole, grandeur nature et devant les caméras, n’était guère facile à appréhender ; d’autant que les interviewés, issus du sérail de la presse et de la communication, avaient moult choses à dire sur les bonnes pratiques à mettre en place afin de conseiller au mieux les entrepreneurs dans leurs échanges avec les journalistes.

Même le directeur de la communication de l’Agglo et de la Ville de Sens Philippe BLANCHOZ se prêtait au jeu, abordant l’un de ses thèmes familiers dont il use au quotidien : le développement des relations avec la presse ! Un exercice très utile…

 

Thierry BRET

 


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L’industriel chinois James ZHOU, actionnaire majoritaire du club de football icaunais, a fait des heureux en livrant une dotation de 810 000 gants de protection au centre hospitalier d’Auxerre. Il y a quelques semaines, le patron d’ORG Packaging avait déjà remis cinquante mille masques au Département…

 

AUXERRE : La période des étrennes est pourtant loin derrière nous mais James ZHOU continue à assurer la distribution des surprises en ce premier trimestre de l’année. Non seulement, elles sont belles mais de taille, au vu des volumes qui sont concernés !

Généreux envers la capitale de l’Yonne, l’entrepreneur chinois a fait montre une nouvelle fois d’altruisme en expédiant depuis l’Asie plusieurs palettes contenant 810 000 paires de gants protecteurs dont font usage les personnels soignants de l’hôpital.

 

 

Ce geste intervient un an après celui qui avait déjà permis à l’établissement sanitaire de bénéficier de cent mille masques, trente mille tests PCR et trois mille blouses de protection.

Les services du Conseil départemental avaient reçu en début de mois cinquante mille masques aux vertus protectrices.

L’acheminement de cette livraison providentielle a été assuré par le personnel du club de football.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi ne se présente pas dans sa configuration habituelle. Cette année, aucune présence physique n’est acceptée. La pandémie et son lot de désagréments ne l’autorisent  pas ! Pour autant, ce rendez-vous revêt de la plus haute importance pour les porteurs de projet et chefs d’entreprise encore néophytes dans l’apprentissage de leur métier...

 

SENS : Cela ne peut pas être pire que l’an passé ! La salle René Binet devait accueillir au printemps 2020 la manifestation en ses murs. Malheureusement, la propagation virulente du coronavirus en a voulu autrement avec l’arrêt systématique de tous les évènementiels prévus sur les mois de mars et d’avril. Nom de code de ce douloureux programme à respecter : le confinement !

Même si la crise sanitaire persiste toujours en ce premier trimestre 2021 plongeant nos concitoyens dans le doute et l’amertume, la question de faire l’impasse une seconde fois sur cet évènement ne s’inscrivait pas parmi les priorités de ses organisateurs.

La Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi aura donc bel et bien lieu. En utilisant les canaux vertueux du numérique ! Conséquence, il suffira d’avoir le regard rivé à l’écran de son ordinateur ou de son smartphone pour suivre le copieux programme concocté par les instances bien pensantes de ce concept.

 

Trois volets fondamentaux de l’entrepreneuriat seront abordés…

 

Le Grand Sénonais, la Fabrique à Entreprendre, le PEIPS (Pôle économique et insertion professionnelle du Sénonais), la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais (OCAGS) invitent celles et ceux intéressés par la double thématique de prendre date et de s’inscrire au préalable sur le site www.grand-senonais.fr pour y participer.

Durant cinq jours, le fil conducteur de ce rendez-vous interactif sera le témoignage. Celui d’entrepreneurs déjà expérimentés sur le sujet. Celui de formateurs qui ne peuvent que prodiguer les bons conseils. Celui des professionnels de l’information, aussi, puisque ce lundi 29 mars, la fine fleur des médias du territoire sera invitée à s’exprimer sur les us et coutumes des relations presse, l’un des maillons indispensables de la chaîne informative pour faire connaître son entreprise.

 

 

Côté entrepreneuriat, trois volets seront abordés. La création pure et simple d’une société, en parfaite logique. Le volet commercial verra l’intervention de Francis SARLIN, responsable de l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais qui évoquera le poids du e-commerce aujourd’hui.

Compte tenu du contexte ambiant, le soutien à l’entreprise et les fonds de relance territoriale constitueront un autre morceau de choix dans ce programme très éclectique.

 

Une table ronde accueillant une vingtaine de dirigeants…

 

L’environnement qui gravite autour du créateur/repreneur ne pourra être ignoré par les intervenants. Retraite, cession, assurances, santé, statuts juridiques, finances, réseaux, psychologie… : les items sont donc pléthoriques. Et prétextes à autant de discussions sans doute animées !

Le Club des Dirigeants de la CCI proposera une table ronde où une vingtaine d’entrepreneurs parleront des problématiques de recrutement (le nerf de la guerre pour bon nombre d’employeurs), notamment dans le secteur industriel.

Le rendez-vous est programmé le jeudi 01er avril à 8h30 sur la chaîne Youtube de l’évènement. Il sera animé par Hervé AUBERGER, responsable du Pôle Formation de la chambre consulaire et directeur de l’Ecole de Gestion et de Commerce de Sens (EGC).

Au total, vingt-et-un ateliers attendent les internautes (plus de deux cents participations croisées sont déjà assurées à date), sachant que les retardataires peuvent s’inscrire au dernier moment pour choisir leur programme.

 

Thierry BRET

 

En savoir plus :

Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi

Du 29 mars au 02 avril

Conférences, ateliers, ateliers, échanges.

Sur Internet

Inscription sur :

www.grand-senonais.fr

 


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Il n’y a pas que les hirondelles qui font le printemps ! Ni les grues cendrées dans le ciel de l’Yonne, annonciatrices des beaux jours retrouvés ! Toujours en forme olympique, l’imaginaire en proie à une intense créativité, la sémillante styliste de Cravant vient de réinvestir la fameuse forteresse dont elle est propriétaire depuis 1983 pour y peaufiner les nouvelles pièces de sa collection.

 

CRAVANT : Sinistrose s’abstenir ! Discuter avec l’octogénaire procure toujours un bien fou dans ce contexte si étrange qui nous plonge tout droit vers les langueurs inéluctables de l’atrophie intellectuelle et de la mélancolie profonde. Voire irréversible.

Les idées à fleur de peau, les envies les plus exubérantes dans la tête, Colette BECHET a semble-t-il trouvé le meilleur des antidotes qui existe pour juguler les effets pernicieux de ce satané virus : la créativité poussée à son paroxysme avec la joie de vivre en prime comme cerise goûteuse sur le gâteau !

Inventive, ne comptant pas les heures passées dans son atelier balayé par la morsure virevoltante d’un zéphyr qui s’invite parfois en trouble-fête, cette figure de la mode et de la couture de l’Yonne n’a de cesse de produire au quotidien de nouvelles créations.

 

 

Surtout depuis qu’elle a eu l’heureuse opportunité de découvrir une matière novatrice à ses yeux lui permettant de satisfaire sa soif inextinguible de créer des ouvrages : le chanvre !

Une rencontre providentielle auprès de Frédéric ROURE, le dirigeant de GEOCHANVRE à Lézinnes aura été le déclic révélateur !

Certains le cultivent, d’autres le fument, Colette BECHET le façonne à sa manière. Lui prêtant vie sous la forme de chapeaux, d’ombrelles, de paniers, de vêtements, de sacs, de protège-bouteille…

 

Faire travailler ses méninges pour conserver sa jeunesse…

 

Bref : de l’art dans sa plus parfaite quintessence que chacune et chacun pourra apprécier de visu en lui rendant une visite plus que de courtoisie. L’atelier du Donjon de Cravant est installé dans une vaste grange. Juste en face de l’édifice principal, cette ancienne forteresse qui appartenait dans des temps immémoriaux aux évêques d’Auxerre au Moyen-Age.

Pour s’y rendre, c’est simple : le grand portail ouvrant sur le jardin est le plus souvent ouvert aux quatre vents. Il suffit de sonner à la porte et de pénétrer à l’intérieur.

 

 

 

Elle est comme ça, Colette BECHET : un guide à la brillance artistique débordante qui aime raconter son parcours si atypique (elle a côtoyé de très près quelques figures immortelles du septième Art dont Brigitte BARDOT ou Claudia CARDINALE), recevoir des artistes en exposition (ce fut le cas à l’été 2020 de l’excellent Laurent NEVEU alias LOL qui y avait présenté son travail), et narrer avec anecdotes à l’appui l’histoire séculaire de ce site médiéval qui a su résister aux affres du temps.

Tout comme elle, d’ailleurs, qui a choisi le parti d’en rire et de créer, faisant travailler ses méninges afin de ne rien perdre ni de sa lucidité ni de son éternelle jeunesse…

 

Thierry BRET

 

En savoir plus :

 

Exposition permanente de Colette BECHET

Donjon de Cravant

1 Rue du Donjon

Tel : 06.41.16.69.17.

 

 

 

 


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