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Drastiques, les préconisations d’avant-visite ! Pas de portable, exit les objets métalliques et autres clés dans les poches, passeport et carte nationale d’identité bien mis en évidence à l’entrée, portails électroniques : on ne badine pas avec les services de sécurité alors que fleurissent sur les murs de la salle d’accueil des explicatifs sur « Vigipirate ». La communauté des Positives Entreprises de la CCI de l’Yonne a vécu un rendez-vous instructif, vendredi, avec celle des détenus qui travaillent à leur réinsertion sociale dans les ateliers du centre pénitentiaire de Joux-la-Ville. Immersion…

 

JOUX-LA-VILLE : Autant dire qu’il était recommandé de laisser ses bijoux, montres, ceintures et autres objets ostentatoires hors de l’enceinte pénitentiaire. Idem pour les  téléphones portables, il va de soi, pour d’évidentes raisons de sécurité. La quarantaine d’entrepreneurs, adhérents à la communauté des Positives Entreprises chère à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ont donc respecté au pied de la lettre la consigne sécuritaire imposée par l’Administration pénitentiaire et la société IDEX, en charge de la gestion des ateliers professionnels, accueillis au fameux centre de Joux-la-Ville.

 Avant de se diriger vers une exiguë salle de réunion pour y assister au briefing explicatif, donnant le tempo de cette visite. Le monde de l’entrepreneuriat qui s’immerge dans un centre de détention, ce n’est pas une surprise en soi. Ni un décalage d’appréciation. De la pure logique, en vérité.

Car, il faut le savoir que sur les six cents pensionnaires de l’établissement pénitentiaire de l’Yonne, 570 exercent une activité professionnelle quasi quotidienne dans l’un des quatre ateliers accueillis dans les trois mille mètres carrés de surface, dédiés à cet effet, au sein même du centre de détention.

 

Une vraie ruche où se meuvent des ouvrières et ouvriers

 

On y met des pralines en sachets – elles ont l’air savoureuses ces sucreries ! -, on y coupe de la toile plastifiée avec du matériel de belle technicité, on y conçoit des phares pour cycles – ces produits commercialisés par une société de Clamecy dans la Nièvre inonderont ensuite le marché scandinave ou batave -, on y fabrique en salle grise, à l’hermétisme éprouvé, des pièces pour le secteur de l’automobile. On y prépare des objets de conditionnement à base de carton.

Bref, une vraie petite ruche avec ses ouvrières et  ouvriers, qui agissent avec méthodologie comme dans n’importe quel atelier d’une unité de production  ordinaire. Le tout, placé sous le contrôle expert des spécialistes de la qualité – des détenus également -, des encadrants de la société IDEX qui assure la bonne logistique de tout ce système économique recrée dans un univers carcéral et sous la surveillance discrète mais vigilante des agents de l’Administration pénitentiaire.

Peu importe les peines, l’essentiel est de travailler, de renaître et de se préparer tôt ou tard, parfois après vingt années d’emprisonnement comme le confirmera une détenue s’affairant avec enthousiasme à la tâche, au retour à la vie sociale. La réinsertion, le mot magique qui fait briller les regards.

 

 

Des entrepreneurs de l’Yonne, très agréablement surpris…

 

Surpris, étonnés, les membres de la communauté des Positives Entreprises ont beaucoup appris de cette visite. Et de cette approche bien spécifique de la sous-traitance ramenée à des besoins ponctuels ou pérennes, entre les deux partenaires que peuvent être l’entreprise (artisanale, industrielle) et le centre de détention.

L’un des responsables de la société IDEX le rappellera d’ailleurs lors de son speech : « les ateliers permettent aux entreprises de maîtriser les coûts, de se décharger de la gestion d’une activité, de répondre aux enjeux de volume, d’adopter et de valoriser un engagement sociétal, réaliser des achats inclusifs et responsables en circuit court… ».

En outre, ils assurent pour les personnes détenues une rémunération réglementaire suivant les principes de la réforme pénitentiaire (rémunération à l’heure soit un équivalent à 45 % du SMIC, des droits sociaux…), une formation pour préparer leur réinsertion, une dynamique d’emploi et de socialisation.

Aujourd’hui, une quinzaine de sociétés entrepreneuriales collaborent avec le centre de détention de Joux-la-Ville. Dont certaines de longue date. Une manière de dépasser les frontières entre deux mondes, au nom de l’audace, de la socialisation et du civisme…

 

Thierry BRET

 


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Peut-on qualifier le préfet de l’Yonne Pascal JAN de préfet de l’innovation ? Lui qui décline déjà le mot « attractivité » à toutes les sauces depuis sa prise de fonction il y a deux ans déjà  – c’est plutôt positif pour les collectivités et les acteurs de l’économie du terroir ! – en a remis une couche supplémentaire avec la Journée internationale des Droits des Femmes. Comment ? En invitant une dizaine d’entre elles, issues de la fonction publique, à s’exprimer lors d’un déjeuner de presse dans les salons de la préfecture. Un échange, nourricier pour l’esprit, et très loin d’être indigeste…

 

AUXERRE : Non, la discussion ne s’est pas déroulée comme parfois entre la poire et le fromage. Déjà, parce qu’il n’était nullement question de ces ingrédients dans le menu servi à la table préfectorale du jour. En outre, parce les présentations liminaires et leurs prolongements autour de la condition féminine au travail (les métiers exercés dans le cadre de la fonction publique) avaient démarré bien avant de déguster le premier plat que n’aurait pas renié notre ami chroniqueur gastronomique (« L’Aile ou la Cuisse »), le toujours très gourmand Gauthier PAJONA. Des poireaux en vinaigrette, servis avec des noisettes pour faire le croquant en bouche : un régal !

En mode décontracté – un pull col roulé coloris bleu outremer lui rappelant peut-être la lointaine île de la Martinique où il exerça jadis ès qualité de recteur de l’Education nationale dans une vie antérieure ! -, la force invitante de cette tablée d’exception, le préfet de l’Yonne Pascal JAN, eut tout le loisir de mettre tout le monde à l’aise lors de ce déjeuner de presse, pourtant des plus officiels.

 

Evoquer les parcours professionnels intimement liés à la vie personnelle

 

Un exercice, le déjeuner de presse, pas souvent usité par la maison préfectorale et ses occupants. A tort, d’ailleurs, car c’est autour d’une table que se délient les langues lors de conversations nourries à grand renfort d’anecdotes et de profonds ressentis.

Bref, l’exercice oratoire entre la bouchée de pain et le petit coup de chablis premier cru de belle facture agrémentant le repas allait permettre à ces dames, au nombre de dix – elles n’étaient que huit à tenir la dragée haute dans le film de François OZON sorti en 2002 ! – de se raconter tant au niveau professionnel que…personnel.     

Comment en effet aborder les conditions féminines dans le monde du travail (en l’occurrence les métiers de la fonction publique, dénominateur commun de tous ces témoins dont certaines portaient l’uniforme) la veille de la Journée internationale des Droits des Femmes sans évoquer ainsi l’étroite relation avec leur vie personnelle ?

Une fois le tour de table des présentations effectuées – à l’instar d’un rituel méthodique et nécessaire pour mettre un patronyme sur un visage et une fonction -, entrer dans le vif du sujet devint la priorité pour Pascal JAN dans le rôle de « Monsieur Loyal », faisant tourner le verbe et la parole.

 

La féminisation dans la fonction publique : oui à 63 % !

 

En guise de préambule explicatif, le représentant de l’Etat exposa les positions du gouvernement. L’égalité entre les femmes et les hommes sur le plan professionnel, économique et social est l’une des grandes causes du second quinquennat, faisant l’objet d’un plan d’action interministériel qui s’articule autour de quatre piliers : l’action contre les violences faites aux femmes, la santé des femmes – c’est parfois une résultante de la précédente explication -, l’égalité professionnelle et économique (là aussi, dans ce domaine, il y a encore du chemin à parcourir) et la culture de l’égalité, un thème cher à la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, qui aurait pu trouver une légitime place autour de cette table, garnie de quatre journalistes dont deux femmes de France Télévisions !

Pour une fois qui n’est pas coutume hormis chez les Femmes Chefs d’Entreprises ou Femmes Leaders, la gent masculine était en très nette minorité – trois individus -, un vrai privilège en somme !

Vint le temps où Pascal JAN fit une succincte présentation de la situation de la féminisation dans la fonction publique. Les femmes sont largement majoritaires avec des effectifs qui s’élèvent à 63 %, selon les données de 2021. Mais, le bémol n’est pas très loin, après cette courte euphorie puisque elles restent minoritaires dans les emplois supérieurs de cette même fonction publique, à 42 %.

Toutefois, l’Yonne relève la tête. Parmi les principaux emplois de direction au sein des services déconcentrés de l’Etat, la plupart sont occupés à date par…des femmes ! Cocorico !

Puis, quelques grandes questions fondamentales – il était temps de se sustenter de l’excellent filet de truite, agrémenté de sa purée de céleri et de ses noisettes – arrivèrent de part et d’autre de la table. La place des femmes dans la préfectorale ? « Oui, observe Pascal JAN, il y a peu de femmes préfètes en France. Mais, en revanche, les sous-préfètes sont de plus en plus nombreuses à occuper cette fonction… ». Moyennant quoi et en toute logique si l’on suit les propos de l’ancien recteur, la possibilité de voir des femmes préfètes en plus grand nombre dans l’Hexagone un jour n’est in fine qu’une simple question de temps, de patience et de…promotion !

 

 

Le sempiternel « plafond de verre » qui barre les carrières des femmes

 

Les convives abordèrent également la place de la féminité dans la magistrature et les filières judiciaires. Avec en sus de sous-jacents items liés aux difficultés promotionnelles pour gravir les échelons et la récurrente problématique observée dans bon nombre de métiers, la mobilité.

Même notre confrère de France Bleu Auxerre, son rédacteur en chef Philippe RENAUD y alla de sa pertinente remarque, évoquant la prédominance des femmes dans les rédactions et les métiers de la presse depuis plusieurs années. Un signe de paupérisation du métier pour certains indécrottables ?!

Une expression s’invita à maintes reprises durant ce passionnant déjeuner : le « plafond de verre ». Que nenni, il n’y avait point ici d’allusion avec un parti politique qui ne pourrait aller plus loin dans ses velléités d’accession au pouvoir, mais bel et bien de la progression carriériste des femmes. Souvent absentes des hauts postes à responsabilité, de l’encadrement, des filières scientifiques (un comble alors que chacun sait scolairement parlant que les filles sont douées en mathématiques !). Ne dit-on pas d’ailleurs en parlant du parcours d’une femme gradée dans les forces de l’ordre ou dans l’armée, qu’elle est une « femme officier » ! L’équivalent masculin n’étant jamais employé, bien sûr ! Une belle preuve de sectarisme et de misogynie à la française !

A cela, s’ajoute invariablement le rédhibitoire argument de la procréation. Un frein pour beaucoup d’employeurs qui voient un acte naturel d’un très mauvais œil dans la progression sociale. On parle souvent, chez les femmes, de charge mentale. Beaucoup pour les hommes. A croire qu’elles seraient si frêles et si fragiles au point de ne pas supporter le stress et la pression ?! Alors, que beaucoup reconnaissent leur qualité en matière d’implication dans l’univers professionnel !

En résumé, et après le dessert composé d’un savoureux crumble de pommes assorti de sa confiture de cassis, que de chemin encore à parcourir pour que la femme soit l’égale de l’homme dans le monde professionnel, que ce soit dans le public comme dans le privé.

Un sujet n’a d’ailleurs pas été abordé lors de ces savoureuses agapes intellectuelles : les salaires et les différences d’appréciation en défaveur des femmes dans la France du XXIème siècle. Peut-être que le préfet de l’Yonne n’a pas voulu gâcher le déjeuner avec ce plat de résistance difficilement digeste !

 

En savoir plus :

Participaient, entre autres, à ce déjeuner témoignage :

Virginie ALBARACINE, lieutenant-colonel du groupement de gendarmerie départementale de l’Yonne,

Christine BONNY, médecin-chef du service départemental d'incendie et de secours de l'Yonne,

Julie COLIN, procureure de la République près le tribunal judiciaire de Sens,

Manuella INES, directrice départementale des territoires,

Dominique GONTARD, directrice départementale des finances publiques,

Salia RABHI, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations,

Amélie RAINIS, commandant divisionnaire fonctionnel, adjointe au directeur interdépartemental de la police nationale,

Clémence CHOUTET, sous-préfète et directrice du cabinet du préfet de l’Yonne.

Pascal JAN, préfet de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


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Il faut croire que la maîtrise des énergies et leur réduction drastique imposées par le DPE (diagnostic de performance énergétique) perturbe de plus en plus les esprits chafouins des propriétaires de biens immobiliers dans l’Yonne. L’Association des Responsables de Copropriété Icaunaise (ARCI) a pu le constater en organisant son premier Salon de la Copropriété, ce mercredi à Appoigny. Un évènement regroupant une vingtaine d’acteurs de l’immobilier qui étaient là pour prodiguer conseils et préconisations…

 

APPOIGNY : La maîtrise de l’énergie. C’était le credo de ce premier Salon de la Copropriété qui en appellera d’autres, à l’avenir. C’est une évidence. Tant le public, celui des copropriétaires de biens immobiliers, était venu en nombre pour glaner conseils et informations pratico-pratiques sur cet évènementiel porté par l’ARCI. Parce qu’il est vrai que l’application obligatoire du DPE, le fameux diagnostic de performance énergétique et les innombrables contraintes imposées par l’Etat et ses relais territoriaux, ne s’apparente guère à de la clarté et de la facilité dans l’esprit des propriétaires. Ces derniers sont en effet de plus en plus perplexes et contraints face à ces directives environnementales punitives – comme d’habitude en France dès lors que l’on évoque les améliorations écologiques ! – que constructives ! Un vrai imbroglio de recommandations et de contrôles d’une rare complexité contradictoire où plus personne n’y comprend que couic, pas même, parfois, les techniciens de l’immobilier ce qui est un comble !

 

 

Plus de soixante copropriétés adhérentes à la structure

 

Alors, oui, heureuse fut l’initiative de l’ARCI, cette association départementale qui ne fait pas trop parler d’elle mais qui a un rôle prépondérant pour améliorer la qualité de vie des copropriétaires et des syndics de ce territoire. Comme le rappelle Jacques NOTTE, son président, très pédagogue dans ses explications : « Notre objectif est simple : informer, conseiller et accompagner les conseils syndicaux et syndics bénévoles à améliorer la qualité de vie dans leur copropriété ».

Réunissant plusieurs partenaires (ADIL 89, CAUE 89, ANAH, la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois), l’ARCI a donc eu la judicieuse initiative de monter ce salon, accueilli à l’Espace culturel de la petite commune, gérée par Magloire SIOPATHIS. Aujourd’hui, elles sont plus de soixante copropriétés de l’Yonne à être adhérentes de cette structure associative qui place l’information, le conseil et la pédagogique parmi ses priorités.

Rassurer les propriétaires et copropriétaires était la vocation initiale de ce rendez-vous. « Ces personnes sont vraiment préoccupées par deux obligations, explique Jacques NOTTE, qui ont été imposées par la loi Climat et Résilience, à savoir le diagnostic de performance énergétique (DPE) collectif et la mise en place d’un plan pluriannuel de travaux dans les copropriétés quand le DPE révèle qu’il y aura des travaux à réaliser dans les dix ans… ».

Autant dire, un vrai casse-tête chinois pour les propriétaires immobiliers qui ne savent plus à quels saints se vouer devant la complexité de ces dossiers qui les attend ! Ceux-ci étaient venus nombreux récolter un maximum de renseignements auprès des vingt-et-un stands officiels, disposés çà et là à travers la grande salle de l’espace culturel.

 

 

 

L’ARCI, un lieu d’échange par excellence

 

Face aux échéances qui arrivent dare-dare pour les copropriétaires et propriétaires, l’ARCI a souhaité réagir à chaud en organisant ce premier rendez-vous qui en appellera certainement d’autres à l’avenir.

« Quand on veut obtenir quelque chose qu’on a jamais eu, il faut tenter de faire quelque chose que l’on a jamais fait, ajoute avec philosophie Jacques NOTTE, c’est pourquoi l’ARCI qui est un lieu d’échange avant tout à proposer la mise en place de ce projet… ».

Aujourd’hui, l’ARCI regroupe près de 65 copropriétés, soit plus de trois mille logements sur le département. Le développement sur le Sénonais est imminent. Lionel TERRASSON, élu du Grand Sénonais en charge de l’immobilier, et Jean-Pierre CROST, autre représentant de l’institution septentrionale, avaient effectué le déplacement près d’Auxerre pour la circonstance. Un programme d’amélioration de l’habitat est en phase de concrétisation, d’où le besoin d’intervention de l’ARCI.

Sur Auxerre, au sein de la pépinière d’entreprises de la CCI, l’association tient des permanences régulières pour informer les copropriétaires. En sus, quatre à cinq forums annuels sont organisés sur des thématiques précises afin de conserver une proximité avec les adhérents.

L’ADN de l’ARCI se résume par cette volonté d’instaurer un lieu d’échange, utile pour celles et ceux qui se passionnent pour l’immobilier. Vu le contexte actuel, la mission de l’ARCI est loin d’être négligeable…

 

Thierry BRET

 

 


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La cause, tout d’abord. Elle est noble et belle. La recherche en faveur de la cancérologie pédiatrique, via la structure associative, « Enfants Cancer Santé ». L’objectif, ensuite. Un rendez-vous destiné à accueillir les gourmands. Celles et ceux qui ne se contentent pas de déguster quelques morceaux de chocolat de temps à autre. Non, le Salon du Chocolat, concocté par le Lions Club de Sens, s’adresse aux férus, aux amateurs, aux adeptes de la fève de cacao, déclinable sous ses diverses variantes, amères, lactées et sucrées !

 

SENS : Il y a la représentation féérique de cloches. Splendides, sublimes, sans doute savoureuses. Mais, pour le savoir, il faudrait y goûter ! Des pièces faites de chocolat, pesant environ 5 kg. Elles seront mises en jeu lors d’une tombola. Elles sont l’œuvre d’un ancien professionnel de la chocolaterie. Michel BLANCHOT. Une figure, un personnage. Lui-même membre d’un club service, le Lions Club de Sens, depuis tant d’années.

L’ex-artisan, aujourd’hui à la retraite, est le promoteur du fameux salon de Sens. Un évènementiel qui existe depuis 1996 et que Michel a repris à son compte, côté organisation de l’action sociale, depuis 2013. A croire que les Sénonaises et les Sénonais attendent avec impatience le jour J de l’animation. Ce sont en effet près de 1 800 visiteurs qui se déplacent chaque année pour profiter de ses stands. Un salon dont l’entrée se veut payante : un débours de 2,50 euros seulement.

 

 

Parrainé par des personnalités du milieu de la chocolaterie ou de la gastronomie, le rendez-vous artistique et gourmand accueilli à la salle des fêtes de Sens recevra en son sein la visite de Dominique ANRACT, président national des boulangers pâtissiers de France. Un grand millésime donc pour une noble et belle cause. De quoi en rester totalement « chocolat » !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Serait-elle une fervente supportrice du club auxerrois, Madame la ministre des Sports et des Jeux Olympiques/Paralympiques ? Avec fière allure, la représentante du gouvernement n’a pas hésité une seconde à brandir satisfaite le maillot à l’estampille de l’AJA que lui a offert le président du club bourguignon, Baptiste MALHERBE, une parure floquée au nom de la ministre, au terme de sa prise de parole. Fière d’être présente à Auxerre lors de l’inauguration de ce fameux musée qui retrace l’histoire d’un club mythique…

 

AUXERRE: Ce n’est plus une séquence inaugurale. C’est la piste aux étoiles ! Avec un parterre de personnalités de la sphère institutionnelle et politique qui se presse contre la petite estrade érigée, non loin de l’enceinte footballistique de l’Abbé Deschamps. Il est vrai que le temps des discours est annoncé. Super ! L’exercice se déroulera sous un beau soleil qui fait la nique aux prévisionnistes qui avaient pourtant annoncé de la pluie sur l’Yonne, à peu près sur l’ensemble de la journée. Mais, cet épisode-là sera réservé aux coureurs cyclistes de la course Paris-Nice qui s’élancera depuis Auxerre dès le début de l’après-midi !

C’est un grand jour pour l’AJA. Un de plus à ajouter à la très longue histoire du club. Celui-là, ce 05 mars de l’an de grâce 2024, revêt un caractère un peu particulier. Une date à graver dans le marbre. Celui de la postérité. Mais, pas au sens sportif du terme. Pensez donc ! C’est le jour béni des dieux qui officialise l’inauguration du musée, propre à ce club légendaire. Il fait rêver les foules depuis 1905. Une paille ! Autant de souvenirs, de nostalgie, d’anecdotes, de ressentis qu’il était bon de rassembler en un lieu unique – ce sera le stade de l’Abbé Deschamps in fine – où sortira de terre ce fameux musée, quasi opérationnel puisque ouvrant ses portes dès le 20 mars.

 

« J’ai envie de vous parler avec le cœur »

 

Alors, à jour historique, évènement extraordinaire ! Celui vécu par de très nombreux invités, aujourd’hui, accueillis sous un grand chapiteau afin de prendre part à la fête. On y verra une multitude de têtes connues et reconnues, du monde économique au monde politique et institutionnel de notre terroir. Venant de Dijon, aussi, en qualité de représentants de la Région Bourgogne Franche-Comté, comme de Paris avec une dimension étatique. On doit cette surprise du chef, tirée du chapeau d’un magicien, au sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE et à sa pugnacité : la présence à la cérémonie inaugurale – décidément, elle en aura beaucoup à honorer en cette année olympique ! – de la ministre des Sports et des Jeux de Paris, Amélie OUDEA-CASTERA.

Elle n’aura pas effectué le court déplacement depuis la capitale pour rien, Madame la ministre ! Dans le même temps, la haute fonctionnaire portera sur les fonts baptismaux de la création le fameux musée permettant de découvrir l’histoire et les coulisses du club de l’Yonne mais aussi de participer à un comité d’engagement territorial en vue des Jeux de Paris, structure pilotée par le Conseil départemental de l’Yonne et la préfecture, sans omettre de donner le top départ de la troisième étape de la course du soleil, la énième édition du Paris/Nice, faisant halte dans l’Auxerrois grâce à une épreuve de contre-la-montre par équipes.

Bref, un judicieux « trois en un », en mode « en même temps », cher au Président de la République, Emmanuel MACRON.

Sur l’estrade, la ministre qui ne se départit jamais de son sourire, laisse de côté le discours qu’elle avait préparé sur le pupitre, en posant les feuilles.

« J’ai envie de vous parler avec mon cœur, glissera-t-elle en guise de préambule. J’ai de la joie d’être avec tous, aujourd’hui… ».

 

 

 

Fière de porter l’écharpe aux couleurs de l’AJA

 

A l’aise, l’ancienne sportive de haut niveau (elle fut championne de tennis) exprimera toute sa gratitude à ce « temple » du football hexagonal. « Ici, à Auxerre, il y a un concentré d’histoire, poursuivit-elle, et de dynamisme. C’est un club âgé de plus de cent-vingt ans et vous représentez tellement ! ».

Puis, ajoutant une note d’humour, la native de Paris évoquera la couleur violette de son pantalon – le même coloris que celui porté par le président du Département Patrick GENDRAUD qui n’aura pas manqué de le signaler lors d’une boutade dont il a le secret ! – « je suis fière de porter la même couleur de pantalon que lui, mais je suis également fière d’avoir la même écharpe que Patrick GENDRAUD et que vous tous autour du cou ! ». Une écharpe, naturellement, aux coloris blanc et bleu de l’AJ Auxerre.

S’adressant à Baptiste MALHERBE, président du club auxerrois, Amélie OUDEA-CASTERA saluera le travail de l’équipe dirigeante pour ancrer ce club vers son histoire prestigieuse et le projeter encore plus haut dans le futur. Guy ROUX ne fut pas oublié par l’interlocutrice, en verve dans cet exercice oratoire.

« Je voudrais lui adresser un petit mot d’admiration. Je garderai le souvenir de cette rencontre toute ma vie en moi… Vous n’avez pas été seulement à l’origine de ce centre de formation qui a accueilli de superbes joueurs mais vous avez passionné la France autour du football. Vous avez fait vibrer la France par toutes vos interventions, vous nous avez fait rire et intéressés…Vous avez la faculté de pouvoir transmettre et communiquer cet amour du sport, de la gagne, de l’impertinence avec naturel et authenticité : c’est juste fabuleux ! ».

S’en suivirent de longues secondes d’applaudissements, à la demande de la ministre. Cette admiration ne s’arrêta pas en si bon chemin. « Nous aurons la fierté de voir Guy ROUX en porteur de la flamme l’été prochain avant les Jeux ! Ce sera un grand moment ! ».

 

 

Plus de 1 000 jeunes Icaunais assisteront aux épreuves de Paris 2024

 

Remerciant le préfet de l’Yonne Pascal JAN, avec lequel elle aura pu s’entretenir en début de matinée lors d’une séance de travail, Amélie OUDEA-CASTERA évoquera la journée du 11 juillet 2024, date du passage de la flamme olympique dans l’Yonne, où sept collectivités ont été choisies pour la recevoir comme il se doit.

« Ce sera un moment magique pour tous les habitants de l’Yonne ! Tout est minuté, tout est programmé et ça va embarquer la population, ajouta enthousiaste la ministre des Jeux Olympiques et paralympiques. N’oubliez pas que l’olympisme, vous allez pouvoir le vivre pendant les épreuves de fin juillet et début août, grâce au club 2024 qui pourra accueillir au quotidien entre 500 et 1 000 personnes… ».

Optimiste et pleine d’espoir quant aux performances des tricolores – « le sport français est assez en forme cette année » -, la ministre encouragera l’assistance à se passionner également pour les épreuves paralympiques. « On va en avoir plein les yeux de ces exploits, de cette résilience, grâce à un évènement qui n’est accueilli qu’une fois par siècle en France… ».

Cette dernière eut également un mot pour la Région, représentée par Willy BOURGEOIS, vice-président en charge de la Communication et des Sports, « je ne peux pas passer sous silence l’engagement des territoires et de la Région Bourgogne Franche-Comté pour emmener notre jeunesse aller assister aux épreuves olympiques/paralympiques. C’est plus de mille enfants du département de l’Yonne qui auront ainsi la capacité de pouvoir assister à ces compétitions… ».

Rappelons aussi, à ce propos, que l’Yonne accueillera des délégations étrangères sur son sol, notamment une équipe d’escrime chinoise, de tireurs à l’arc en provenance du Liban, de rugby à sept fleurant bon les belles provinces du Canada.

Une ouverture vibratoire dont profiteront les Icaunais grâce au sport.

Avant de conclure, la représentante du gouvernement tira un grand coup de chapeau à l’édile d’Auxerre et président de l’Auxerrois, Crescent MARAULT. « Auxerre est un grand territoire de sport, insista la ministre, et tous les élus mettent à l’honneur le sport dans une année de grande cause. Celle voulue par Emmanuel MACRON de dédier cette année 2024 à la pratique physique et sportive… ».

Une première depuis 46 ans ! Le sport, comme remède miracle pour faire face à l’adversité ? Oui à 100 %, selon Amélie OUDEA-CASTERA qui en est en tout cas une très fervente ambassadrice !

 

Thierry BRET

 

 

 


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