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Envoûtante Anne-Charlotte LAUGIER ! Désopilante, même, avec son tout premier opus publié chez RAMSAY. L’ouvrage ne manque ni d’humour ni de situations cocasses. A mettre dans toutes les mains, il caracole depuis le milieu de l’été en pôle-position parmi les meilleures ventes de la maison d’édition parisienne. Cerise sur le gâteau : la romancière-journaliste, férue d’automobiles et de belles mécaniques, dédicacera ce premier succès à la galerie marchande d’Intermarché le samedi 05 septembre. Histoire de faire la nique à la morosité ambiante qui pointe déjà le bout de son nez !

JOIGNY : On ne parle que d’elle sur les réseaux sociaux. Surtout depuis qu’elle a publié son premier roman au titre si humoristique et un tantinet provocateur pour la gent féminine. Il est vrai que le contraste est saisissant avec ce qu’elle rédige d’ordinaire sur son blog professionnel consacré à l’univers automobile, « Charlotte au volant ».

Pas sérieuse s’abstenir ! En prenant la plume pour concocter ce « Journal d’une pétasse au volant », Anne-Charlotte LAUGIER a choisi de mettre le paquet. Côté dérision et surtout sens de l’ironie profonde.

Mais, attention, que l’on ne s’y méprenne pas. Rien d’insultant dans ce titre si paradoxal qui évoque la fameuse invective faite aux femmes au volant, précisément.

D’ailleurs, l’auteure nous explique sa définition de ce mot si singulier, « pétasse ». Se la péter avec classe ! Il fallait y penser, assurément !

 

Un concentré d'humour en cent trente pages...

 

Moyennant quoi, cette petite bombe de cent trente pages, un concentré de scénettes toutes aussi loufoques les unes que les autres, invite à l’amusement et aux rires. Son contenu s’avale avec avidité et réel plaisir. Celles et ceux de ses aficionados conquis par le style décalé de la Dame ne cessent d’en tresser des éloges sur la toile depuis plusieurs semaines. Et cela marche, on s’en doute…

La « Pétasse » à l’estampille d’Anne-Charlotte LAUGIER figure au sommet des meilleures ventes d’ouvrages publiés en cette période estivale par sa maison d’édition, RAMSAY. Qui n’est pas la première venue, convenez-en, dans le landerneau très hermétique de la filière scripturale.

Le livre rencontre le succès commercial et impose des séances de dédicaces à sa source créative, notamment dans l’Yonne puisqu’elle est originaire de l’Auxerrois. Ce personnage truculent et charmeur y parle de voitures (son pêché-mignon) mais également des problématiques quotidiennes rencontrées par la gent féminine dans ce monde de machistes !

Alors, si vous avez le bourdon ou un sérieux coup de blues avec la reprise de vos activités garnies de son lot d’incertitudes coutumières à se tirer une balle par jour de brouillard, un seul antidote est à recommander : lisez d’une traite ce bouquin. C’est une vraie bouffée d’air pur dans ce monde tant pollué par la « connerie » humaine !

 

En savoir plus :

Anne-Charlotte LAUGIER sera en séance de dédicace le 05 septembre 2020

A la Galerie de l’Intermarché de Joigny. De 09h00 à 13h30.

 

 


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Dans ce monde économique « qui change », cette question demeure incontournable. Le mouvement était déjà sensible depuis plusieurs années mais la crise sanitaire et la période de confinement l’ont amplifié. Le télétravail a conforté la place de l’informatique, à la maison, pour continuer à remplir ses missions, tout en restant en contact avec managers et collègues…

TRIBUNE: Le comportement personnel, en tant que client privé de présentiel, a amené tout un chacun à effectuer sur Internet l’essentiel de ses recherches d’informations. Qu’il s’agit de prix, de caractéristiques, de contacts avec ses fournisseurs de toutes activités, de prises de rendez-vous, de réservations, de commandes…

Côté entreprises, la première étape consiste à faire en sorte que leur client idéal les trouve, quand il fait des recherches, avec ses propres mots, les fameux mots clés.

Certaines entreprises pensent encore, que, comme elles ont créé un site, et un compte sur un ou plusieurs réseaux sociaux … elles ont fait « ce qu’il fallait ».

C’est oublier une caractéristique essentielle d’Internet : l’actualisation permanente.

Un site, avec des actualités obsolètes, ne sert pas l’image de l’entreprise. De même, un site qui ne propose pas à l’internaute, ce qu’il cherche, au moment où il le cherche.

 

 

La place du site dans la stratégie de l’entreprise…

 

Au moment de créer un site, certaines entreprises le traitent comme un maillon isolé, et se préoccupent surtout de la technique. Et de trouver un bon webmaster, pour prendre en charge une réalisation professionnelle.

La réflexion première et essentielle, quant à elle, relève de la stratégie de l’entreprise avec son lot d’interrogations suivantes : quelle place va occuper le site dans le système mis en place pour attirer le client idéal ?

Où se situe-t-il dans le parcours proposé au futur client ? Quels sont les autres outils à développer ?

Comment assurer leur cohérence et la progression de l’engagement proposé ?

Comment donner encore plus à ses clients ? Qui se chargera de l’animation au quotidien ?

La réponse à la question, posée au départ, dépend essentiellement de la place du client, et de la décision de le mettre au centre.

C’est avec un système cohérent, centré sur le problème du client idéal, que la solution de l’entreprise propose de lui apporter grâce à Internet, avec l’éventail des nombreux outils disponibles. C’est un atout sérieux pour attirer de nouveaux clients et les fidéliser.

 

Claire DOUTREMEPUICH

 


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Ah ! Enfin la belle rentrée des classes sur fond d’automne et de ses parfums de fougères, de champignons… La joie de retrouver les copains dans l’anxiété de connaître celle ou celui qui allait passer un an à enseigner les rudiments de la grammaire et de l’arithmétique : l’institutrice ou l’instituteur. Vous le devinez : on vous parle d’un temps que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître… Aujourd’hui nos braves enseignants se nomment « professeur des école ». C’est un peu plus pompeux et bien moins romantique…

TRIBUNE : La rentrée à la communale commençait par la tenue. L’occasion d’inaugurer une nouvelle culotte courte. Dans la tradition, on ne portait le pantalon qu’à partir de la classe de 6ème ! Pas de montre bien sûr : elle n’était arborée qu’après la communion solennelle… Et  enfin une nouvelle blouse. Celle-ci donnait de la fierté aux impétrants de l’Education nationale.

Pour être obligatoire, la blouse permettait malgré tout de se distinguer des amis par une couleur ou un imprimé. La blouse grise avec ceinture restait le grand classique. Les enseignants portaient également une blouse, sans fioriture ni originalité particulière. Certains ont sûrement gardé dans la mémoire ces odeurs de rentrée des classes : des parfums de cahiers neufs et de livres poussiéreux qui se mêlent aux fragrances de l’encre versée dans les encriers et du matériel scolaire prêté ou donné.

On remettait également la plume « sergent-major » qui permettait de remplir un cahier de belles lettres de l’alphabet. Il ne fallait pas oublier les pleins et les déliers. Les premiers mots écrits sur le tableau noir : la date et la phrase du jour.

« Nul ne doit se faire justice lui-même » : une citation de l’éducation civique était commentée par l’instituteur. La morale républicaine imprégnait les jeunes esprits. Le bon point récompensait une bonne réponse. Dix bons points donnaient droit à une image et dix images se voyaient récompensées par un tableau d’honneur. Les tablettes n’existaient pas, les ordinateurs non plus. Pour les leçons de vocabulaire, un tableau représentant par exemple un sous-bois en automne permettait de découvrir le langage et le vocabulaire de cette belle saison. C’était mieux dans le temps ? Que nenni !

Mais à une exception près : le respect de la loi : « l’école est laïque et gratuite jusqu’à 16 ans ». Aujourd’hui qu’en est-il ?

 

Une école qui a beaucoup évolué…

 

Pour l’école laïque : des pressions d’ordre religieux ont abouti à interdire la viande de porc à la cantine. L’histoire doit prendre en compte un récit de la guerre d’Algérie afin de ne pas heurter les élèves d’origine musulmane !

Pour la gratuité : depuis Jules Ferry, l’école est gratuite et obligatoire, ainsi l’école crée un espace sans distinction sociale. Pour l’obligation de scolarisation : l’école est toujours obligatoire jusqu’à seize ans mais la scolarité do

it commencer dès l’âge de trois ans.

Dans le cadre de la prévention et de lutte contre la pauvreté, la loi de 2020 instaure l’obligation pour tous les jeunes âgés de 16 à 18 ans, de faire une formation.

En France, près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification. Notre pays compte 60 000 jeunes mineurs ni en emploi, ni en formation, ni en études. Ces jeunes mineurs se heurtent à de grandes difficultés pour s’insérer dans le marché du travail et sont les premières victimes de la pauvreté. Avec l’obligation de formation, le gouvernement entend répondre aux besoins des personnes les plus fragiles en les accompagnants mieux et plus longuement, pour faciliter leur insertion et les faire sortir de la pauvreté.

Malgré tout, les contrôles sont peu pratiqués. De nombreux élèves de moins de seize ans ne vont plus à l’école et les parents ferment les yeux ! Quant aux jeunes plus âgés, ils refusent fréquemment les formations proposées. Ils alimentent parfois les faits divers : délinquance et réseaux de trafic de drogue !

 

La tentation du marketing a été la plus forte…

 

Dans le Morvan, au début des années 2000, l’Assistance Publique a récupéré une jeune fille de 16 ans, élevé officiellement par des habitants d’un petit village et qui ne savait ni lire ni écrire : elle n’avait jamais été à l’école, passant ainsi au travers de tous les contrôles possibles ! Elle eut la chance d’être placée chez des apiculteurs, qui en plus de l’école, lui ont appris leur beau métier.

Ecole gratuite : oui ! Jusque dans les années 60, l’école communale fournissait livres, cahiers, plumes et porte-plume, encre, double décimètre, règle. Compas et  équerre étaient prêtés lors des cours de géométrie. Le plumier et le cartable était remis par les parents. Quelle fierté d’emporter le plumier du grand-père ou du père ! Les familles devaient également recouvrir les livres : du papier épais, marron-clair pour les plus humbles. Pour certains une grosse courroie de cuire faisait office de cartable pour emporter livres et cahiers.

Nous avons fini par céder à la tentation des marques et autres artifices de la publicité : les trousses, les cartables et autres chaussures de sport qui peuvent frôler les deux cents euros !

Alors que fait-on ? Pour la communale, on peut tenter l’expérience : envoyer la gamine et le gamin avec juste un cartable et une trousse…

De toute façon « L’école, ça sert à rien ! ». Français : je le parle déjà. Technologie : je suis sur Facebook. Histoire : de toute façon, ils sont tous morts. Géographie : j’ai un GPS. Musique : j’ai You Tube.  Maths : j’ai la base : 2+2 = 4. Anglais : je regarde « Dora ». Physique chimie : je regarde « C’est pas sorcier ! ». Pour l’EPS, je regarde « Euro sport ». Ainsi va notre monde moderne !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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L’international malien entame sa cinquième saison sous le maillot de l’AJ Auxerre avec déjà son lot d’incertitudes. Surtout après le revers vécu face à Sochaux qui devait se solder par une claque à domicile sur le score de deux buts à rien. « Il faut que l’on retrouve nos principes ! ». Il y a urgence en effet pour ne pas revivre le même cauchemar sur la pelouse de Châteauroux samedi soir…

AUXERRE : « Le coach (Jean-Marc FURLAN) a su trouver les mots justes au cours de cette semaine. Nous devons nous reprendre après ce premier match synonyme de déconvenue… ».

Le milieu de l’AJ Auxerre se veut rassurant après la prestation en dents de scie de son équipe samedi dernier. Vaincus par les offensives des Franc-comtois dans ce derby qui n’aura pas tenu toutes ses promesses, les joueurs ont eu une semaine difficile pour digérer cette première défaite de la saison.

Interrogé à ce sujet, Birama TOURE se veut pourtant positif : « Nous sommes suffisamment grands et intelligents pour nous concentrer sur la nouvelle rencontre… ». Et vaincre ce premier signe indien ?  

Retrouver les principes du jeu pour amener le danger dans le camp adverse motive le joueur de 28 ans. Même si il l’avoue avec une  impuissance mesurée, « la prestation face à Sochaux pouvait laisser croire qu’on était perdu sur le terrain, qu’on ne se connaissait pas… ».

Moralité : il faut sans cesse remettre son travail sur l’ouvrage, pour progresser encore et encore…

 


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Après de nombreux mois de doutes et de turpitudes liés à la conjoncture sanitaire ambiante, le CAPI de l’Yonne, soit le Club des Artisans Producteurs Industriels, accueilli dans les locaux de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat à Auxerre, amorcera son grand retour sous la lumière des projecteurs.  

AUXERRE : La coordinatrice de ce pôle, Mathilde DOMY en charge du développement économique pour la délégation de l’Yonne au sein de la chambre consulaire régionale, a en effet arrêté la date du 24 septembre pour organiser les retrouvailles de la vingtaine d’adhérents de cette structure.

Créé à l’initiative de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté, ce groupement est constitué d’artisans d’un même secteur professionnel : la production et la sous-traitance industrielles ainsi que les services dans le département de l’Yonne.

 

 

Le maître-mot de ces rendez-vous reste la compétitivité économique. Une compétitivité mise à mal depuis plusieurs semaines du fait de cette période d’atermoiement propre à la COVID-19 qui n’en finit pas d’exaspérer les milieux entrepreneuriaux.

Le programme de cette réunion s’articulera autour d’une découverte des aides financières dispensées par l’Etat et la Région avec une présentation exhaustive des nouveaux dispositifs dont le FARCT, le Fonds d’Avances Remboursables Consolidation de la Trésorerie. Un programme solidaire initié par la Région Bourgogne Franche-Comté.

Des échanges sur les problématiques rencontrées par chacun des membres du CAPI de l’Yonne clôtureront cette rencontre…

 

En savoir plus :

Réunion de travail du Club des Artisans Producteurs Industriels (CAPI)

Chambre de Métiers et de l’Artisanat à Auxerre

56/58 Rue du Moulin du Président à Auxerre

A 18 heures

 


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