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L’article 24 pousse le PS à dénoncer le texte de loi Sécurité globale dans la rue…
novembre 30, 2020Défendre la liberté de penser et d’informer. C’est dans cet état d’esprit que se déroulera ce mardi 01er décembre à Auxerre dès 18 heures le rassemblement contre la proposition de loi Sécurité globale. Un texte décrié qui a mis le feu aux poudres le week-end dernier dans bon nombre de villes. En tête de cortège, on devrait y retrouver les responsables du Parti socialiste…
AUXERRE : Le Parti socialiste a confirmé ce lundi 30 novembre dans l’après-midi sa participation au rassemblement populaire contre la proposition de loi Sécurité globale dans les rues d’Auxerre, prévu le lendemain.
Dans un communiqué de presse, la fédération départementale de l’Yonne dirigée par l’élu auxerrois Mani CAMBEFORT explique le motif de sa présence dans ce cortège.
D’une part, il s’agit de dénoncer le fameux article 24 qui dans sa forme actuelle permettra d’interdire la diffusion d’images de policiers en action quand celle-ci peut porter atteinte à l’intégrité physique de ces fonctionnaires.
Un texte qui, aux dernières nouvelles, sera entièrement repensé et réécrit d’après Christophe CASTANER qui l’a confirmé par voie de presse, lundi.
L’autre motif de discordance pour les membres du PS renvoie à un avis rédigé le 03 novembre dernier où la défenseure des droits a souligné que « l’information du public et la publication d’images relatives aux interventions de police sont légitimes et nécessaires au fonctionnement démocratique ».
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Les victimes de violences conjugales disposent de 12 places d’hébergement : l’Yonne renforce son dispositif…
novembre 30, 2020Douze. C’est le nombre de places d’hébergement qui viennent d’être créées sur notre territoire afin de répondre aux urgences vitales des femmes qui subissent au quotidien des outrages conjugaux. Une cellule de prise en charge est aussi opérationnelle pour renforcer le suivi des situations les plus complexes…
AUXERRE : Les violences faites à la gent féminine sont croissantes avec les périodes successives de confinement. Et sur ce registre très douloureux, l’Yonne n’est pas un département qui demeure inactif. Bien au contraire.
Engagé dans une démarche volontariste, notre territoire vient de prendre un certain nombre d’initiatives dans sa lutte contre ce méprisable fléau. La Journée internationale du 25 novembre aura permis de le rappeler à bon escient.
D’une part, une cellule de prise en charge des femmes victimes de violence est désormais fonctionnelle afin de suivre pas à pas les problématiques de ce fait de société.
D’autre part, ces malheureuses victimes de la vindicte masculine peuvent être hébergées en urgence dans l’une des douze places d’hébergement qui peuvent les accueillir sur l’ensemble du territoire départemental. Une création qui fait suite à un appel à projets national issu du Grenelle contre les violences conjugales.
Organisés en concertation avec les centres commerciaux LECLERC (Auxerre, Migennes, Saint-Denis-les-Sens), des points d’accueil éphémères tenus par les services de la CIDFF et ADAVIRS ont pu sensibiliser le jour J la population sur les dérives vécues en couple. Une manifestation à laquelle participait le préfet de l’Yonne Henri PREVOST à Auxerre…
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Le droit aux libertés trouve toujours ses ardents défenseurs : l’Assemblée Populaire d’Auxerre ne faillit pas
novembre 28, 2020Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…
AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.
Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !
Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.
Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.
Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.
Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…
Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.
Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !
Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».
Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…
Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…
Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.
Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.
De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.
« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».
En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.
Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…
Thierry BRET
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La gestion de l’après-confinement fait appel à la mobilisation de chacun : rendez-nous la fraternité !
novembre 27, 2020Sortir des prisons et des bagnes que l’on construit autour de soi, tel est le propos. On pourrait aussi appeler cela une méthode de résolution de problèmes ! Pompeux et prétentieux, dites-vous ? Peut-être… Alors disons que c’est un moyen pour enlever nos œillères…
TRIBUNE (partie une) : Et pour débuter cette chronique, commençons par un petit exercice !
Reliez ces neuf points en quatre droites maximum, sans lever le crayon ! Mais, il existe aussi une solution avec trois traits seulement…
Deuxième proposition : encore plus fort avec seulement trois traits !
………… : un seul trait pour relier les neuf points déplacés !
L’unique difficulté résulte du fait que l’on s’enferme dans le carré imaginaire délimité par les neuf points. On dit juste neuf points et non neuf points qui délimitent un carré. Pour réussir ce test, il faut sortir du cadre que certains ont inventé. Le cadre ne fait pas partie du problème posé !
Si nous prenons en compte les solutions proposées, la liberté prend sa source dans la créativité. Elle s’exprime par l’utilisation d’un maximum de ressources, en sortant en permanence d’un cadre qui ne représentait que la contrainte, que nous nous étions inconsciemment imposée.
Elle ne constitue en rien un assujettissement à la problématique réelle. On édifie trop souvent nos bagnes et nos prisons ! De facto, c’est prendre les problèmes et la vie aussi simplement qu’ils se présentent.
Il convient de remettre en question, en permanence, ses croyances, ses dogmes, s’ouvrir à toutes les sources possibles : être inventif, créatif, productif, ingénieux, fertile…
Par exemple, on cherche des réponses à une crise économique découlant de la crise sanitaire. Dans la foulée, on s’enferme dans des solutions connues depuis plus d’un siècle et que l’on sait inopérantes aujourd’hui !
On s’emprisonne dans le passé et dans un système de pensées très limité. On peut aussi se dire que la crise sanitaire est la conséquence de nos crises économiques et de nos modes de productions. Trouver des solutions en imaginant le futur. Les clefs proposées seront plus innovantes et différentes ! On a coutume à dire que la moitié des solutions se trouvent dans le problème bien posé ! Et Einstein de conclure : « Un problème sans solution est un problème mal posé. ».
Nous sommes prisonniers de notre étroitesse d’esprit…
Ce petit test nous montre combien nous sommes les prisonniers, volontaires ou non, d’une étroitesse d’esprit. Cette même étroitesse qui nous conduit vers des aprioris, des intégrismes idéologiques de tout poil : religieux, politiques ou philosophiques. Finalement, les neuf points nous entraînent vers le rêve et la libre pensée…
Quelles applications aujourd’hui ? Un vaccin contre la COVID-19 : c’est en bonne voie !
Le plus préoccupant reste dans les aspects économiques et sociaux actuels. Comment sortir du terrorisme et de l’insécurité prégnante dans nos villes et nos banlieues, sans pour autant céder à la tentation du tout répressif ou de l’amalgame « religion musulmane » et « intégrisme musulman politique ».
Dans ce cas, les réactions purement émotionnelles, populistes et démagogiques sont vouées à l’échec. Elles nous laissent très loin de l’une des devises de la France, gravée sur le fronton des édifices publics : la « FRATERNITE ».
La liberté est mise à mal par les décisions gouvernementales et aliénées par les extrémistes de tout bord, l’égalité devient de plus en plus illusoire face à la croissance exponentielle des plus riches et devant l’impossibilité de nos dirigeants d’assurer l’équité ! Alors que reste-t-il ? La fraternité !
Cette fraternité qui unit les hommes quel que soit la couleur de leur peau, leurs convictions religieuses, leurs préférences sexuelles, leurs engagements politiques.
Un aspect important de la crise économique consécutive à la crise sanitaire, focalise l’attention de tous : les commerces « non indispensables » des centres villes !
Au-delà des manifestations et des appels à la révolte, voire des élus qui forcent l’interdiction à coups « d’arrêtés municipaux » aussitôt annulés par le Tribunal administratif sur demande d’un préfet. Petite précision au passage, le préfet n’a pas le pouvoir d’annuler, seul, les arrêtés municipaux.
Bon, toutes et tous à nos copies : Etat, communes, Chambres de Commerces et d’Industrie, Chambres des Métiers et de l’Artisanat, étudiants, commerçants, artisans, agriculteurs, syndicats professionnels, associations spécialisées, amateurs motivés et même les clients…
Se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain…
La résolution de ce problème est non seulement vitale mais urgente, compte tenu de la succession de crises sanitaires qui risquent, hélas, de polluer notre environnement et nos économies.
Il faut envisager des solutions pour contrer également une concurrence, incontournable, celle des GAFA ! A nos stylos et nos blocs de papier ? Peut-être pas, ne nous enfermons pas immédiatement dans une contrainte qui n’est pas dans la donne de départ.
« Si on vous traite d’amateur, dites que ce sont des amateurs qui ont construit l’Arche de Noé et des professionnels le Titanic. La suite, on la connaît, alors croyez en vous… a précisé Morgan Freeman.
Il est nécessaire de se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain, pur de toute contrainte afin d’aborder la recherche des solutions sans a priori. La seule « contrainte imaginable » est celle de mettre en valeur et en exergue la fraternité qui doit circuler entre tous les protagonistes décelés.
La fraternité change tout. La justice sans fraternité rend impitoyable ; la vérité sans fraternité rend critique ; le savoir sans fraternité rend présomptueux ; la responsabilité sans fraternité rend autoritaire ; l’intelligence sans fraternité rend calculateur ; la mémoire sans fraternité rend rancunier ; la gentillesse sans fraternité rend hypocrite ; l’honneur sans fraternité rend orgueilleux ; la richesse sans fraternité rend avare ; le don sans fraternité rend amer. Quant à la foi sans fraternité, elle rend fanatique…
Jean-Paul ALLOU
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Leur présence est insuffisante dans l’Hexagone : plus de points de recharge pour doper les véhicules électriques ?
novembre 26, 2020Les vérités de La Palice n’auraient pas trouvé mieux. Pour qu’il y ait un accroissement de la sensibilisation des automobilistes français au véhicule électrique, il serait nécessaire de disposer au détour d’une route, d’un parking de centre commercial ou d’une place de village davantage de points de recharge. Si tel était le cas à présent, ce serait quatre de nos concitoyens sur dix qui opteraient volontiers pour l’achat de ces modèles…
PARIS : On le sait, l’objectif du gouvernement sur ce volet capital de la transition énergétique est de pouvoir disposer de 100 000 points de recharge au terme de l’année 2021.
Un maillage ambitieux qui permettrait de conforter l’orientation stratégique en faveur de l’essor consumériste des automobiles électriques.
Aujourd’hui, l’Hexagone se situe à la troisième position européenne du nombre de bornes installées dans son paysage. Près de 30 000 unités.
Une présence intéressante, certes, mais qui est encore loin, somme toute, de l’Allemagne qui, pour une fois avec ses 41 461 recharges (chiffres communiqués par AVERE-France) se classe à la seconde place. Ce sont les Pays-Bas qui caracolent en tête de ce classement avec plus de 58 000 unités.
L’accélération de la pose de ces structures est indispensable au rayonnement du véhicule électrique.
Entre 2019 et 2020, leur part de marché a évolué de 1,6 à 6,1 %. On est encore très loin des réelles potentialités offertes par ces modèles dont 70 % de nos compatriotes seraient friands à condition qu’il y ait plus de bornes de recharge ! Bref, c’est le serpent qui se mord la queue !
75 % des Français disent ne pas trouver de bornes sur les longs trajets…
Du côté des constructeurs, 41 % aimeraient que ces bornes soient davantage présentes dans le cœur des villes où il est vrai, elles brillent le plus souvent par leur absence.
Bon nombre de stations-services n’en possèdent toujours pas. Quant aux professionnels de la grande distribution, ils commencent à s’y intéresser en leur dédiant un espace sur l’un de leur parking.
Dans un marché atone qui a connu une dégringolade de près de 27 % au niveau des ventes cette année, contexte sanitaire oblige, les véhicules électriques symbolisent ce renouveau tant attendu par les concessionnaires.
A la seule condition que très vite fleurissent de nouveaux appareils de recharge. 75 % des automobilistes français se plaignent de ne pas trouver ces précieux points de ravitaillement en électricité lorsqu’ils empruntent un parcours relativement long.
Il n’y a donc plus de temps à perdre pour la gouvernance qui veut changer le paradigme de la mobilité en France…
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