Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Souhaitant promouvoir l’ensemble de ses attraits touristiques, économiques et sportifs, notamment au niveau de ses équipements, notre territoire par la voix du Département et du Comité départemental olympique et sportif entame une vaste campagne de séduction auprès du Comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Un exercice de lobbying mobilisateur à enjeux multiples où il ne faudra pas perdre la moindre minute pour convaincre les organisateurs, les délégations sportives et les tours opérateurs des avantages offerts par une immersion des acteurs de l’olympisme et de leurs supporters dans le nord de la Bourgogne Franche-Comté en amont et pendant l’été 2024. Les J.O. qui induiraient des répercussions physiques dans l’Yonne ? D’une improbable utopie, ce rêve pourrait devenir une réalité tangible d’ici quelques mois…
AUXERRE : La référence identitaire de cette opération peu commune se nomme « Club Yonne 2024 ». Avec à sa tête, plusieurs partenaires qui se mobilisent pour porter haut et clair les couleurs de notre territoire auprès des sphères internationales de l’Olympie.
Le Conseil départemental, tout d’abord, très investi sur la défense de ce nouveau dossier aux retombées évidentes aura comme chef de file son président, Patrick GENDRAUD, en personne. Le CDOS, le comité départemental olympique et sportif, piloté par Patrice HENNEQUIN, lui a aussitôt emboîté le pas afin de sélectionner une demi-douzaine de sites d’exception pouvant accueillir les athlètes soucieux de façonner leurs préparatifs et leurs entraînements avant la grande échéance de Paris.
Quant à l’Agence de développement touristique de l’Yonne (ADTY), représentée par Bénédicte NASTORG, elle apportera ses compétences pour mettre en lumière la dynamique promotionnelle de notre territoire à travers ses atouts et ses nombreuses potentialités d’hébergement.
Une conférence de presse, réunissant ces diverses composantes impliquées dans ce projet favorable au rayonnement de l’Yonne, aura permis ce mardi 30 janvier dans l’amphithéâtre du 89 d’y voir un peu plus clair sur les intentions louables de ces protagonistes. Auxquels il aura fallu ajouter l’élue du Conseil départemental Isabelle JOAQUINA, en charge de la promotion du tourisme, et l’ancien champion du monde de canoë-kayak et triple compétiteur olympique, l’Auxerrois Cyrille CARRE qui faisait office sans que cela soit précisé de parrain de ce lancement officiel.
Une opportunité unique pour le territoire à ne manquer sous aucun prétexte
« C’est une chance inouïe qui ne se reproduira pas deux fois, insista le responsable de l’exécutif Icaunais Patrick GENDRAUD, nous devons tous être unis, élus, forces vives de l’économie et sportifs, en étant capables de mettre en exergue les attraits de l’Yonne avant, pendant et après les Jeux Olympiques de Paris ! Notre territoire possède d’incontestables atouts en matière de tourisme et notre proximité avec l’Ile de France nous octroie ce devoir de postuler auprès du Comité d’organisation des Jeux olympiques d’été 2024 (COJO) en adressant un dossier de candidature afin de montrer nos velléités participatives à cet évènement universel… ».
Un projet ambitieux en matière de communication et de logistique qui n’engendrerait aucune dépense particulière de la part du Département. Et Patrick GENDRAUD de renchérir à ce propos : « je fais référence à la célèbre maxime de Pierre de COUBERTIN, le rénovateur des Jeux Olympiques modernes, « l’essentiel, c’est de participer ! ». Nous devons aborder le montage de ce projet dans un esprit de bonne volonté… ».
Soucieux de rassembler autour du Club Yonne 2024 tous les partenaires institutionnels, économiques et sportifs, à l’instar des chambres consulaires et de l’Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie (UMIH), l’homme politique Icaunais a rappelé que « le délai temporel nous séparant de l’échéance olympique de Paris en 2024 était à la fois très éloigné de nous mais aussi très proche à la fois. Il faudra s’appuyer sur toutes les forces de notre territoire pour imposer ce dossier… ».
Les valeurs sûres du tourisme au service de l’olympisme…
Egrenant quelques exemples de sites touristiques pouvant interpeller les innombrables touristes/supporters présents en France lors de ces Jeux, Isabelle JOAQUINA rappela que la basilique Marie-Madeleine de Vézelay avec ses 1 023 413 visiteurs en 2017 constituait un incontournable lieu du séjour spirituel et patrimonial, connu dans le monde entier. Le site historique de la Colline éternelle devance d’ailleurs nettement le château de GUEDELON avec ses 300 000 visiteurs annuels.
« J’entends souvent dire que nos capacités d’hébergement ne suffisent pas, reprit Patrick GENDRAUD, dois-je rappeler que l’Yonne propose 130 586 lits sur l’ensemble de son offre qui se répartissent entre les 117 hôtels, les 283 meublés, la centaine de chambres d’hôtes, les hébergements collectifs comme les gîtes et les auberges de jeunesse (une centaine), l’hôtellerie de plein air (42 campings), des chalets. Quant à nos richesses patrimoniales et culturelles, elles n’ont rien à envier à d’autres territoires avec ses 17 châteaux, ses 42 musées et centres de création, ses 45 centres artistiques, ses 88 édifices religieux, ses 27 parcs et jardins, et une trentaine d’autres sites encore… ».
Que dire à l’analyse des slides qui auront été présentés et commentés aux soutiens de ce club réunis au 89 sur les autres forces attractives que représentent le tourisme fluvial (17 166 bateaux de plaisance ayant transité l’année dernière sur l’Yonne et les canaux du Nivernais et de Bourgogne), les 4 000 kilomètres de chemins équestres, les 2 000 kilomètres de circuits de grande randonnée, les 120 kilomètres accueillant la pratique du cycle en toute sécurité, etc.
Même les adorateurs des loisirs aériens y trouvent leur compte en profitant des aéroclubs et aérodromes propices à la pratique de disciplines offrant toute la liberté de se mouvoir dans le ciel : ULM, vol à voile, parachutisme, montgolfière…
Des infrastructures sportives parfaitement adaptées aux préparations des équipes
« Accueillir, non pas les épreuves olympiques in situ, mais les délégations sportives qui chercheraient à se mettre au vert bien avant les Jeux afin de peaufiner dans un cadre champêtre leurs phases de préparation intègre également notre stratégie, compléta Patrice HENNEQUIN, le président du CDOS. Les infrastructures départementales peuvent parfaitement remplir ces critères et offrir des conditions optimales à ces athlètes de très haut niveau… ».
Parmi celles-ci, une demi-douzaine de complexes sportifs répertoriés par l’organisme olympique départemental. En premier lieu, le stade de l’Abbé Deschamps avec ses 19 000 places et ses terrains annexes où évolue l’AJ Auxerre. Homologuées par la FIFA et l’UEFA, ces installations uniques s’étendent sur 16 hectares de terrain, à la pointe de la modernité avec ses salles de récupération (sauna, jacuzzi, kiné, salle antidopage…).
A Brienon sur Armançon où sévit le fameux club de tir à l’arc de la Sentinelle (celui qui a forgé de la vraie graine de champions dont Bérangère SCHUH primée au niveau mondial), l’enceinte de tir aux distances olympiques propose un ensemble de 24 cibles permanentes. Les archers peuvent s’exercer sur des distances de 20 à 70 mètres.
Accessible aux sportifs qui pourront concourir dans les compétitions des Jeux paralympiques (ils suivront de peu les épreuves des valides) à Paris, le complexe de tennis localisé à VERGIGNY a été retenu dans cette liste. Le site dispose de plusieurs courts de très belle facture au plan technique. Un peu plus loin, à Saint-Florentin, le stade Jean LACRAY est entré dans la postérité sportive en 2016 puisque le record national du 50 mètres minime y fut battu sur sa piste. Disposant d’une salle de musculation de 72 mètres carrés, agrémentée de nombreux agrès, ce complexe a permis l’éclosion de quelques belles pépites de l’athlétisme français dont le régional de l’étape Sébastien MAILLARD sur le 400 mètres.
Plus au nord du territoire, Sens pourrait permettre aux adeptes du tir sportif de se distinguer au sein des installations du club local de la Patriote Sénonaise. Soixante-dix postes de tir, sur des distances de 10, 25 et 50 mètres, sont fonctionnels. L’équipement est considéré comme le plus important de Bourgogne Franche-Comté.
Enfin, les amateurs de BMX, une discipline de cyclisme version mi-acrobatique, mi-tout terrain, auront peut-être l’heureuse opportunité de voir évoluer sur la future piste de Saint-Georges sur Baulche prévue en 2019 les stars olympiques de demain.
Sept groupes de travail parés à étudier le dossier
L’ensemble des partenaires institutionnels, économiques et sportifs travailleront aux côtés des représentants du Conseil départemental dans le cadre de sept commissions spécifiques pour élaborer le dossier de candidature soumis à la sagacité des membres du COJO.
Hébergements, équipements et infrastructures, communication et opérations événementielles, éducation, promotions touristiques…les thèmes seront tour à tour examinés par ces unités de réflexion qui devront plancher jusqu’au mois de mars. Date à laquelle sera transmis le dossier à Paris. Il faudra ensuite s’armer de patience et attendre quelques semaines de plus avant de connaître le verdict rendu par le COJO.
L’important dans ce dossier sera de mener à terme et de la meilleure manière possible les missions de lobbying auprès des tours opérateurs et des délégations sportives internationales pour vendre un territoire, le nôtre, qui a grandement besoin de ce sérieux coup de projecteur planétaire pour entrer définitivement dans le concert des destinations incontournables de notre Hexagone aux yeux de ces millions de visiteurs potentiels…
Un pari, certes, osé mais qu’il ne fallait surtout pas omettre de relever de manière collective.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Parce que le concept antisismique et anticyclonique de cette habitation aux lignes arrondies si insolites a été démontré de manière positive lors de tests homologués, les marchés du Moyen-Orient et de l’Amérique du Nord pourraient s’ouvrir d’ici les prochains mois pour la jeune société de l’Yonne. Du 26 au 29 novembre, les dirigeants de ROND HOME, soutenus par un pacte d’actionnaires regroupés grâce à l’interface de l’agence INITIACTIVES 89, participeront à un salon international à Dubaï, leur permettant d’augurer d’excellents contacts. Un prélude au futur déplacement sur le sol américain en février 2019 à Las Vegas où les vertus protectrices de leur concept imaginé à base de panneaux courbes en mousse de polyuréthane devraient faire mouche auprès des professionnels de l’immobilier…
VENOY : Les rêves à l’international de l’entreprise ROND HOME n’ont visiblement rien d’utopiques à l’analyse de leur plan de développement. Entité existante depuis 2015, la structure pilotée par Antony LEGA conçoit des panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane qui, une fois assemblés, offrent la configuration très réaliste d’obtenir une habitation aux formes rondes très caractéristiques.
Si l’unité de production se situe à CHENY, c’est bel et bien sur une parcelle de 4 000 mètres carrés de terrain de la zone du Soleil Levant à VENOY que la future maison témoin se finalise. Posé sur une belle surface, l’édifice se construit et s’aménage intérieurement, prêt à accueillir ses premiers visiteurs, de la clientèle de particuliers mais aussi de professionnels issus du gros œuvre et de la maçonnerie.
Car, ROND HOME a conçu un habitat à la ligne ultramoderne unique en Europe à partir d’un isolant optimal en matière de performance. Mais, la jeune SAS aura recours à des professionnels de la construction pour bâtir et promouvoir commercialement son projet.
Un produit normé qui répond aux exigences antisismiques et anticycloniques
Grâce à une prise au vent quasi nulle et à la résistance reconnue de ses matériaux, l’habitat à l’estampille ROND HOME possède des vertus de fiabilité imparable qui devraient interpeller les promoteurs et investisseurs de l’immobilier sur les zones à risques de la planète. Cet argument apparaît aujourd’hui comme le cheval de bataille principal de la stratégie marketing édifié par le mentor de cette entreprise aux réelles potentialités de développement.
Pourtant, le profil d’Antony LEGA peut surprendre les interlocuteurs qui découvrent sa création. Même s’il reconnaît être un féru de bricolage, un tantinet Géo TROUVETOU sur les bords et que l’un de ses oncles exerçait le métier d’entrepreneur dans le bâtiment, Antony qui a connu une vie professionnelle antérieure dans l’industrie exerce le métier de chef de service à la gare d’Auxerre en qualité de collaborateur de la SNCF !
« Depuis mon enfance, je rêve de créer une entreprise, affirme-t-il, l’idée d’élaborer un coffrage servant à concevoir une habitation qui répondrait à la problématique des secousses sismiques trottait dans ma tête. Ce rêve est devenu réalité… ».
INITIACTIVE 89 incite à la création d’un pacte d’actionnaires
Ce projet ayant pris corps au fil des années aura nécessité la présence de forces collaboratives. A commencer par le bureau d’études auxerrois « 3 I A » qui a travaillé sur la partie béton du concept. Il y a eu aussi la complicité avec deux autres personnes qui développent les moules nécessaires à la création des fameux panneaux recourbés sur le site de CHENY. Et puis, Francis MOREAU, directeur d’INITIACTIVE 89 (ex-agence de développement Yonne Active Création) est entré dans le jeu de la recherche de soutiens et partenaires financiers.
« A l’été 2016, le responsable d’INITIACTIVE 89 a convié lors d’une rencontre informelle une quinzaine de personnes, explique Antony LEGA, ces décideurs économiques et dirigeants d’entreprise pour la plupart étaient très intéressés par la dynamique de ce projet et ses perspectives… ».
Il n’en faudra pas davantage pour convaincre le groupe qui constituera très vite un pacte d’actionnaires. Celui-ci injectera une enveloppe de plus de 88 000 euros facilitant ainsi l’acquisition du terrain que ROND HOME convoitait sur la zone d’activité de VENOY. Un reliquat de 7 000 euros sera converti par l’un des membres de ce pacte en investissement en nature dans l’aide à l’aménagement de la bâtisse. Quant à la BPI Bourgogne Franche-Comté, elle débloquera un prêt de 100 000 euros dont l’affectation servira à construire le pavillon témoin.
Déjà deux commandes à livrer fin mars…
Explorant les potentialités commerciales offertes par des salons professionnels d’envergure comme BATIMAT (2015 et 2017), ROND HOME renouera en septembre avec ce type d’expérience événementielle. L’entreprise tiendra un stand sur l’animation « Faire construire sa maison », se déroulant porte de Versailles afin de rencontrer les constructeurs.
Si le carnet de commandes s’établit déjà à une quinzaine de projets sous le coude pour l’exercice en cours, les deux premières habitations de 2018 seront conçues d’ici la fin mars en Corrèze, dans le cadre de logements locatifs à Brive la Gaillarde.
L’international arrivera ensuite avec les rendez-vous démonstratifs de Dubaï et de Las Vegas. A moins que les touches initiées en Allemagne, en Finlande et en Israël ne se convertissent en signatures fermes et définitives pour l’achat de ce concept à 100 000 euros l’unité.
Ne se positionnant pas comme un constructeur de maison individuelle, ROND HOME multiplie les contacts auprès des partenaires professionnels à l’instar des maîtres d’œuvre et des dirigeants d’entreprises générales de maçonnerie avec lesquels elle pourrait optimiser ses affaires. « Nous commercialisons ces panneaux de mousse courbes avec le mode opératoire, c’est-à-dire un package complet comprenant la notice de montage et de construction de l’ensemble... ». Les premiers contacts proviennent du Bordelais et de l’Allier…
Enfin, d’autres entreprises de l’Yonne apportent également leur valeur ajoutée sur les phases évolutives de ce projet. IDX PROD, l’entité de l’incontournable Yannick DAVOUSE, prépare en ce moment un film vidéo avec le concours d’un drone afin de présenter la maison sur le futur site multimédia conçu par Jérôme CASSEGRAIN de l’agence CREATIVE COCKTAIL. En parallèle, ANTHALIS et son dirigeant Jean-François LEMOINE étudie la faisabilité de créer de nouveaux moules en acier qui serviront à rendre plus éclectique la production de panneaux à partir de différentes tailles.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
TOYOTA injecte plus de 300 millions d’euros sur le site de Valenciennes, favorisant ainsi la création de 300 emplois…
janvier 24, 2018La visite du Président de la République Emmanuel MACRON, venu à la rencontre des collaborateurs de l’industriel japonais à Onnaing près de Valenciennes coïncidait avec la spectaculaire annonce faite par les dirigeants du groupe automobile. Une enveloppe budgétaire de plus de 300 millions consentie au développement du site nordiste facilitera à terme la production annuelle de 300 000 véhicules. Une bonne nouvelle ne venant jamais seule, la ressource humaine sera renforcée de 300 emplois en contrat à durée indéterminée (CDI) supplémentaires dès cette année. Avec la possibilité de 400 autres contrats professionnels de même nature lorsque le site sera parvenu à sa pleine capacité de production…
VALENCIENNES (59) : La modernisation de la filiale française du constructeur asiatique était partie prenante de la réflexion depuis plusieurs mois. Une décision qui intègre le programme mondial de l’uniformisation progressive des différentes unités de production que possède TOYOTA. L’enseigne fabriquera des véhicules de nouvelle génération basés sur la plateforme TNGA, c’est-à-dire « Toyota New Global Architecture ». Soit une adéquation fonctionnelle à partir de nouveaux équipements composés de technologies et de systèmes à la performance éprouvée.
700 emplois probables sur le site in fine…
La présence du président de la République aux côtés des représentants des collectivités territoriales et locales en début de semaine n’étaient pas une surprise. A l’instar de la Région des Hauts-de-France et de la métropole de Valenciennes, chacun a contribué à cet investissement grâce à des aides allouées à la formation, l’innovation et l’amélioration de la performance environnementale du site.
La délégation a pris le soin de visiter l’infrastructure ultra moderne de Valenciennes. Et de saluer de manière officielle cette information. Dans un premier temps, la filiale française de TOYOTA entend transformer 300 contrats temporaires en contrats à durée indéterminée pour les travaux de préparation avec la possibilité d’étendre cet objectif à 400 nouveaux emplois en CDI supplémentaires dès que la capacité maximale sera atteinte.
Vice-président de TOYOTA Motor Corporation et président de la branche européenne du groupe, Didier LEROY devait accueillir le président MACRON et les officiels devant un parterre d’invités conséquents. Il expliqua les bénéfices de cette nouvelle plateforme technologique pour l’enseigne.
Une plateforme technologique indispensable à la performance…
« Le déploiement de la TNGA est un signe de confiance envers nos employés et nos fournisseurs qui délivrent qualité supérieure et efficacité. Cette annonce est le signe encourageant d’une expansion continue de nos activités en France et en Europe… ».
En 2017, le groupe nippon a réalisé d’excellents scores de production ici même avec la YARIS. L’apport de la nouvelle plateforme technologique devrait permettre à la berline de se renforcer au cœur de la gamme TOYOTA en Europe. A terme, l’ambition du constructeur est d’atteindre un rythme de 300 000 unités par an dans le futur.
Grâce à la TNGA, TOYOTA devrait assurer la production de la majorité de ses véhicules de nouvelle génération. Les PRIUS classiques et rechargeables de quatrième génération ainsi que le cross-over C-HR profitent déjà de ce savoir-faire optimum. Avec ce nouvel investissement, TOYOTA a déjà investi un total cumulé de 1,4 milliard d’euros pour favoriser le développement du seul et unique site de production en France, celui de Valenciennes.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le lard d’algues s’invite sur le marché français grâce à SEAMORE…
janvier 08, 2018Après la gamme originale de tagliatelles « I sea pasta », la start-up néerlandaise qui propose à travers ses créations biologiques des bienfaits réels en matière de santé lance aujourd’hui un second produit, un lard d’algues, véritable alternative au traditionnel bacon. Sain et durable, ce produit végétarien issu à 100 % d’ingrédients de la mer possède un goût naturellement salé et fumé. Une fois cuit, il devient très croustillant et offre des saveurs incroyables à découvrir à satiété…Un pari audacieux pour le concepteur de la marque, Willem SODDERLAND.
PARIS : Les spécialistes de la nutrition s’accordent à le dire : aujourd’hui, les algues représentent une réelle opportunité en matière de nourriture saine, tout en étant la plus durable au monde. La France constitue un marché abordable pour la société batave, SEAMORE ; celle-ci ayant décidé de relever le challenge en proposant depuis peu sur le marché consumériste un nouveau concept, « I sea bacon ».
« J’ai testé et je me suis régalé ! » : l’aveu du fondateur de la société d’Amsterdam…
Alors que la moitié de la production d’algues trouve ses sources sur les côtes bretonnes, la start-up, âgée de 18 mois, commercialise depuis peu dans une cinquantaine de magasins parisiens (NATURALIA) des packs permettant de savourer ces produits maritimes. L’entreprise devrait étendre très rapidement en 2018 son réseau de distribution vers d’autres types de points de vente qui feraient écho à ce légume de la mer aux vertus nutritionnistes intéressantes.
Fondateur de la société, Willem SODDERLAND, explique les raisons qui l’ont poussé à se passionner pour ces algues à la succulence avérée.
« Nous avons entendu parler d’une variété qui pouvait imiter le goût du bacon. Personnellement, j’ai souhaité tester ce produit… ».
Le test s’est avéré concluant pour le responsable de la société des Pays-Bas. « Les magnifiques algues pourpres se sont transformées en quelques secondes en un bacon vert et croustillant après les avoir mises dans une poêle : je me suis régalé ! ».
Les vertus de ce nouveau produit sont ainsi clairement identifiées : « I sea bacon » ressemble à s’y méprendre à la fameuse viande de porc séchée, les graisses saturées en moins.
« D’ailleurs, ajoute le patron de SEAMORE, aucun cochon n’a besoin d’être sacrifié pour nourrir l’humain : la nature est ainsi préservée… ».
Se nourrir d’algues, une réalité qui devrait croître dès 2050…
Utilisé dans des préparations aussi diverses que variées telles que le hamburger, les quiches, les salades et les recettes avec les œufs, ce lard d’algues s’avère très goûteux, voire succulent.
Les Français, fin gourmets et férus de cuisine à la saveur affirmée, devraient y trouver leur compte. Plusieurs chefs étoilés ont déjà intégré le concept dans leur cuisine. A l’instar d’André GERRITS, la toque du restaurant néerlandais « AMSTERDAMMERTJE » aux Pays-Bas. Et ce n’est pas fini…
« Avec une potentielle pénurie de nourriture qui, en 2050 devrait concerner 9 milliards d’individus, SEAMORE désire apporter une réelle solution dans la problématique nutritionnelle », précise Willem SODDERLAND.
Dix-huit mois après sa création, SEAMORE a déjà lancé deux produits dont le « I sea pasta » composé de délicieuses algues organiques sauvages « Himanthalia », aux Pays-Bas mais aussi en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Suisse et en Australie.
La France intègre désormais la liste des pays à satisfaire en priorité pour la jeune start-up ; d’autant que la structure possède à son actif de nombreuses récompenses internationales…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
AUDI fait toute la lumière sur son pôle recherche et développement au Salon du design de Miami
décembre 13, 2017Du 06 au 10 décembre, le « Design Miami », carrefour international du design industriel organisé en Floride (Etats-Unis), a accueilli les collectionneurs d’art les plus influents de la planète, les galeristes, les concepteurs et inventeurs ainsi que la fine fleur des critiques du monde entier. Partenaire automobile exclusif de cette manifestation depuis 2006, le constructeur allemand a profité de cette opportunité événementielle pour offrir un aperçu du processus complexe de recherche et de développement occasionné avec la nouvelle A8.
MIAMI (Etats-Unis) : Considéré comme un forum mondial du design par les spécialistes, le « Design Miami » mobilise l’attention des experts en créativité industrielle plusieurs jours durant début décembre. Dès son ouverture, le constructeur aux anneaux a voulu marquer les esprits en présentant une exposition mettent en exergue la réplique d’un système de test original de la division de développement technique qui illustrait la complexité de la nouvelle berline de luxe, l’Audi A 8, fleuron de la gamme.
Baptisé « Audi Motherboard », ce système de test est utilisé par le constructeur d’Outre-Rhin afin de vérifier les composants du véhicule à différents stades de son développement. Présentant au sein de trois espaces d’environ trois mètres sur trois les modules de contrôle employés par les ingénieurs pour tester les fonctions hardware et software, AUDI a pu expliquer au public comment se coordonnaient les simulations et les échanges de données indispensables entre ces systèmes. Du rarement vu de mémoire d’observateurs puisque les bancs d’essai de ce type sont en règle générale situés dans les zones de haute sécurité de la division du développement technique et inaccessibles au public.
C’est ainsi qu’est née la quatrième génération de l’Audi A 8, bénéficiant d’un nouveau langage de conception et d’un système tactile novateur, sans oublier une hybridation légère de 48 volts comme base pour l’entraînement électrifié. Concrètement, et avec ce processus, Audi A 8 est la première automobile au monde développée pour la conduite hautement autonome.
Un aspect technologique essentiel pour Bernhard NEUMANN, directeur du marketing, qui précisait à l’issue de ces séances démonstratives l’intérêt de cette présentation : « Nous montrons à nos visiteurs comment le modèle gère les situations complexes dans un embouteillage grâce à la technologie. Avec l’aide de l’installation, nous faisons vivre l’expérience de l’Audi A8 et de son processus de développement… ».
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99