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La planète Terre est aujourd’hui, pas plus grande qu’un écran de télévision, d’un smartphone ou d’un ordinateur. Nous globalisons en permanence et nous bénéficions, en temps réel de toute l’information mondiale. Dans 90 % des cas, nous enregistrons des images dramatiques, des catastrophes en tout genre...les accidents, les épreuves et les calamités ne nous sont pas épargnées. Impensable.
TRIBUNE : Un cataclysme ou un phénomène sismique et hop, les caméras sont présentes ! Malheur, affliction et détresse hantent nos jours et nos nuits. On nous prédit un désastre économique, un krach boursier, des revers de fortune pour les uns et la malédiction monétaire pour les autres… Alors quoi ? Nous, on veut sourire, rire, chanter, de la douceur et du bonheur !
Une pluie de bonnes nouvelles en 2020 nous redonnerait le moral. Par exemple, celles-ci. Trois français et un Irakien, enlevés à Bagdad, ont été libérés : de la bonne fortune à partager. Même aubaine pour le chercheur français Roland MARCHAL, libéré en Afrique sub-saharienne.
L’Inde lutte contre la pollution. Résultat : le sommet de l’Himalaya est à nouveau visible jusqu’à 200 kilomètres à la ronde ! Confinement oblige, des artistes comme Bob DYLAN créent et enregistrent de nouvelles chansons que l’on peut écouter depuis son salon…
On note un mois sans fusillades dans les écoles aux Etats-Unis, des guérisons miraculeuses de personnes âgées de plus de 90 ans, des témoignages de solidarité entre voisins, une pollution en chute libre dans de nombreux pays, des cessez-le-feu entre des belligérants ancestraux… des états qui viennent en aide à d’autres états…
Les drames de la vie engendrent aussi du bonheur. Relisons les « Contes des mille et une nuits » : « Bonheur, malheur, qui peut le dire ?... ».
Sciences et environnement nous confortent de leurs nouvelles…
La science nous apporte aussi son lot d’évènements heureux, de la joie et la proximité possible du nirvana. L’université de Cardiff a découvert une cellule immunitaire capable de s’attaquer à tous les types de cancer !
On enregistre la deuxième guérison totale d’un patient atteint du VIH : de l’espoir pour l’humanité !
Pour des raisons techniques et scientifiques, Pékin retire les chiens des animaux comestibles : c’est l’avènement de l’âge d’or pour la race canine en Chine.
Demain, plus de greffe du cœur, l’université d’Osaka vient de réussir l’implantation de cellules souches aux fins de « réparer » un cœur endommagé. Le Luxembourg interdit le glyphosate ; l’Autriche entame une démarche similaire…
En 2020, la Chine bannit la production de pailles et de sacs plastiques : encore que du bonheur !
L’exemple réjouissant d’une start-up de l'Yonne
SAUREA commercialise un moteur photovoltaïque sans électronique, conçu pour fonctionner vingt ans sans maintenance. Il est adapté notamment au pompage d'eau en site isolé. L'idée première est de motoriser des pompes manuelles existantes pour la consommation humaine ou l'irrigation, en particulier dans des « sites isolés énergiquement », explique Isabelle GALLET-COTY, présidente de l'entreprise. Le moteur est accompagné de trois panneaux solaires qui apportent un complément de puissance.
On s’aperçoit que les évènements douloureux occultent très souvent les moments joyeux et heureux de nos vies. La méduse n’a pas de cerveau et vit depuis plus de trente millions d’années : une très bonne nouvelle pour les imbéciles…
Ajoutons les moments heureux qui jalonnent notre propre histoire. Les premières fois de notre vie : un premier émoi ou un premier baiser, un coucher de soleil sur fond d’océan, le sourire d’un enfant… tous ces petits faits qui nous construisent et donnent à la mémoire les couleurs de la nostalgie. Gardons à l’esprit tous ces moments apaisants, ces tranches de bonheur tout simple qui redonnent à l’homme le désir de vivre en paix avec lui-même et le reste de l’humanité !
Ouvrons la porte à la légèreté ! Laissons sur le seuil la lourdeur ambiante d’un quotidien médiatisé autour de mauvaises nouvelles ! Gardons dans le cœur et l’esprit tous ces moments de rire, de sourire et de bonheur : c’est le meilleur moyen de renforcer notre système immunitaire. C’est ainsi que nous aborderons de la meilleure manière cette période de rentrée !
Jean-Paul ALLOU
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Les bons résultats de FORD au 2ème trimestre : le groupe s’octroie 1,1 milliard de dollars de bénéfice net
août 22, 2020BREVE : Le constructeur américain n’a semble-t-il pas été trop perturbé par la crise sanitaire qui sévit encore de plein fouet sur le sol des Etats-Unis. Publiant ses derniers résultats le 31 juillet, le groupe a dégagé un bénéfice net s’élevant à 1,1 milliard de dollars au terme du second trimestre.
Une donnée statistique plutôt flatteuse pour le fabricant de la KUGA qui réalise un chiffre d’affaires mondial de 19,37 milliards de dollars.
Parmi les explications fournies par un communiqué de presse adressé à l’AFP, le bon comportement de la filiale de développement des voitures autonomes ARGO AL accentue cette excellente tenue financière.
Un gain de 3,5 milliards de dollars inhérent aux activités propres de cette filiale est venu conforter la tendance positive dans laquelle se trouve le groupe américain sur les marchés.
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Et si l’après-coronavirus nous amenait à changer de mentalités, de paradigmes et…de constitution !
juin 15, 2020L’après-crise : « qui id facit » ? Si vous préférez, qui fait quoi ? Comme la tâche s’annonce périlleuse, autant mettre un peu de latin ! Pour mieux le perdre ? Même si beaucoup pensent que l’épidémie est toujours présente, les chiffres liés à la crise sanitaire sont encourageants. Alors, comme le chantait Gilbert BECAUD : « Et maintenant, que vais-je faire ? ». Quelles stratégies, quels programmes pour endiguer la crise économique et financière à venir ? On annonce même un remaniement ministériel : avec qui ? Les spéculations vont bon train…
TRIBUNE : Notre président tient toujours le carnet de chèques pour arroser certains secteurs en crise. Il signe des contrats de prêts à tout va. Sans trop savoir comment on les remboursera ! Une mesure importante est à relever toutefois : une médaille de l’engagement pour le personnel médical ! C’est vrai, ils l’attendaient tous avec impatience !
On ressuscite les « hochets du pouvoir » avec une médaille créée en 1884 ! En parlant de la Légion d’Honneur, Napoléon aurait déclaré un jour : « C’est avec les hochets que l’on mène les hommes » ! Bref, il n’est pas certain que nos braves soldats du médical se laissent mener par le bout du nez !
Et si on changeait un peu notre regard sur nos responsabilités ? Nous sommes tous concernés pour œuvrer vers des solutions efficaces, au lieu de toujours tout attendre de l’Etat.
Les Japonais ont inventé la forme de protectionnisme la plus noble et la plus incontestable : le protectionnisme culturel ! Dès 1950, l’Etat veut se relever de la guerre et décourage les importations. Certes, mais culturellement, pour un Japonais ne pas acheter la production locale, c’est faire injure à son pays ! Aujourd’hui, la dette du Japon représente plus de deux cent cinquante fois son PIB (plus que la France ou la Grèce) : une dette détenue par les Japonais eux-mêmes !
Et les autres pays dans tout ça ? L'Allemagne pilote le comité international de normalisation depuis une décennie. Ce n'est pas un hasard. En exerçant une influence sur le contenu des normes, les entreprises allemandes assurent leur leadership. Les Etats-Unis bloquent nos produits à coups de taxes, la Chine, la Pologne, l’Espagne, le Portugal… faussent toutes les règles de la concurrence en pratiquant des salaires extrêmement bas et parfois des conditions de travail dignes du Moyen-âge !
Oui, on peut tout à fait changer de mentalité et prioriser dans nos achats les produits nationaux et locaux. La viande est plus chère, dites-vous ? Eh bien, on mangera des protéines animales une à deux fois par semaine sans nuire à notre santé ! Chacun, aujourd’hui, a le devoir de bien peser ses arbitrages entre épargne et consommation ! Consommer « Français », c’est aussi nous permettre de nous en sortir. La relance de notre économie passe par la consommation et les investissements vers le « made in France ».
Arrêtons de pratiquer les règles de la candeur, pour ne pas dire de la bêtise…
Et l’Etat ? Il doit orienter les achats : créer une taxe de non-respect des normes sociales pour des importations venant de pays défaillants sur ce plan. Refuser les produits d’importation qui ne respectent pas nos normes mais qui sont imposés aux producteurs français (les produits bio par exemple)…
Arrêtons d’être naïfs : tout le monde agit pour protéger ses propres productions et nous autres, élevons bien haut l’étendard de la candeur pour ne pas dire de la bêtise…
Qu’attendons-nous pour refuser ces normes internationales imposées par l’Allemagne ! Depuis plus de dix ans, l’Allemagne encourage la dictature des lobbyistes voulue par l’Europe. La dette française devient abyssale : pourquoi ne pas créer un impôt « Corona solidarité », réparti sur tout le monde, particuliers et entreprises, de manière équitable ? Arrêtons d’endetter les cinq ou dix générations à venir ! Toute réduction de salaire réduit d’autant plus le pouvoir d’achat des citoyens, donc la consommation ! Nuisible à court et à long terme.
Notre président a signé des accords commerciaux avec le Japon. Il vient d‘entériner des échanges commerciaux avec le Vietnam et s’apprêtent à accorder de nouveaux avantages dans nos échanges avec la Chine ! Comme le disait Anne ROUMANOFF : « On ne nous dit pas tout ! ».
Changer de mentalité, c’est également pour l’Etat changer de paradigme. Nos manières de produire engendrent des virus et des crises sanitaires : il faut repenser la production industrielle et agricole. C’est aussi assurer notre avenir et celui de nos enfants.
Aujourd’hui, 45 % de la population mondiale (soit 3,5 milliards d’êtres humains) vit avec cinq dollars par jour et certains avec moins de deux… Le monde a de plus en plus faim, que fait-on ? On produit de l’éthanol, un agro-carburant, en cultivant des milliers d’hectares de maïs, fortement demandeurs d’eau. Changer nos mentalités, cela passe nécessairement par un changement de constitution !
Un nouveau paradigme afin d’œuvrer efficacement vers un changement salutaire, de nouvelles heuristiques afin de mieux découvrir et analyser les faits : voilà qui nous conduit vers une nouvelle constitution !
L’équité mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches…
Petits rappels historiques : en mai 2005, la France dit « NON » (à 55 %) au projet de constitution européenne. Afin de sortir du blocage, le Traité de Lisbonne, maquillage de Maastricht, est ratifié par les pays européens et Nicolas SARKOZY entérine le tout par une ratification parlementaire.
Dans les fameux cahiers de doléances de 1789, le peuple demande moins d’impôts, la fin des privilèges et plus de justice. Finalement, les revendications de base sont toujours les mêmes !
Le travail, un toit et du pain demeurent des droits fondamentaux pour tous et pour chacun ! Un constat évident : la fraternité ne fut en aucun cas un thème de la Révolution française, qualifiée de « bourgeoise » par les révolutionnaires russes. L’histoire contemporaine n’a pu trouver ses marques dans nos sociétés libérales.
« Liberté, Egalité, Fraternité » restent des paroles vaines, funestes même, depuis qu’elles sont devenues politiques, trois mensonges », disait Louis VEILLOT.
L’équité est toujours mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches. Nous avons du mal à la faire naître dans les lois sociales. Alors, si travailler, se loger et manger à sa faim est un droit, que faire ?
Simplement, il faut se plaindre à l’Etat français. Chaque citoyen détient sur le pouvoir une créance. Il est temps de la présenter. Pourquoi l’Etat ? Parce qu’il y a des manquements au respect de la Constitution.
Soyons des centaines de milliers à le faire savoir : auprès de nos tribunaux jusqu’à la Cour européenne de Justice. Nous devons harceler le pouvoir ! Il faut que l’Etat respecte à la lettre une Constitution voulue par le peuple en 1958 !
Fin de la première partie.
Jean-Paul ALLOU
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Privée de livraisons avec la Chine, GRAVIBAG conçoit ses produits avec des partenaires dans l’Hexagone
mai 31, 2020Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…
SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !
Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.
Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !
Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.
Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.
Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…
Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !
Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.
Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.
Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.
De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.
Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…
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Une couronne d’orientation de 60 tonnes part pour la Chine : SKF réalise l’impossible malgré le confinement !
mai 02, 2020Pas de chômage partiel ni de temps mort pour les 155 salariés que compte l’unité de production de ce poids lourd de l’industrie internationale localisée dans le sud du département. Tout en respectant les mesures de protection usuelles afin de limiter les risques liés à la propagation du coronavirus, les équipes de techniciens ont pu concevoir dans les délais impartis la plus importante pièce jamais fabriquée in situ : une couronne d’orientation de près de 59 tonnes pour huit mètres de diamètre…
AVALLON : Direction le port de Chalon-sur-Saône dans un premier temps pour ce convoi exceptionnel long de dix-neuf mètres. Le 28 avril dernier, la direction de l’unité industrielle icaunaise du groupe suédois SKF Slewing Bearings a dû pousser un grand ouf de soulagement lorsque s’est ébranlé lentement mais sûrement l’ensemble routier de la société de transport Georges Cayon à destination de la zone portuaire du Grand-Chalon.
C’est en effet à l’aide d’une barge d’embarcation en partance de la sous-préfecture de Saône-et-Loire que cette pièce métallique d’un diamètre très impressionnant (huit mètres), ayant nécessité son transport routier à l’horizontal, mettra le cap via la Saône et le Rhône pour rejoindre son port d’attache, celui de Fos-sur-Mer.
De là, transbordé dans les soutes d’un solide esquif, ce système de roulements, l’un des fers de lance du savoir-faire industriel de la société de Göteborg, naviguera entre mer et océan de longues semaines avant d’arriver à destination dans l’une des villes majeures de l’économie chinoise, Shanghai.
L’impressionnant colis sera ensuite livré dans la périphérie de Pékin, plus au nord. La pièce étant destinée à équiper un engin qui perce des tunnels…
50 % de sa production exportés vers la Chine…
Fruit d’une commande effectuée à l’été dernier, cet élément métallique de poids qui part à l’export rappelle que les activités du groupe SKF tournent à plein régime malgré la période de confinement actuelle.
Naturellement, les collaborateurs de l’entreprise n’ont pris aucun risque sanitaire durant la conception de cette pièce, respectant ainsi les mesures de protection d’usage imposées dans le cadre du confinement.
L’essentiel de la production que compte le groupe fondé en 1907 dans l’Yonne se destine à l’exportation dont 50 % en direction de la Chine.
La reprise du travail depuis quelques semaines déjà dans l’ex-Empire du Milieu augure d’un impact plutôt favorable aux futures activités du groupe.
D’ailleurs, Frédéric BOUILLY, directeur général du site de production avallonnais, se félicite de cette situation.
La preuve : une seconde pièce du même acabit se prépare déjà avec dextérité dans les ateliers…
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