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Pascal HENRIAT ne souhaite pas jouer les faire-valoir à Auxerre : le leader du MODEM se retire du jeu municipal…
novembre 09, 2019La discussion visant à travailler sur le projet électoral et l’équilibre de la future liste municipale aura tourné court. Une vingtaine de minutes, à peine, entre le chef de file du mouvement des démocrates, investi par la majorité présidentielle, et l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ, candidat à sa succession, soutenu par La République en Marche. Une entrevue suffisamment longue, néanmoins, pour que le divorce entre ces deux ténors de la politique auxerroise ne soit consommé. De manière irrévocable ?
AUXERRE : Le torchon brûle entre Guy FEREZ, maire de la capitale de l’Yonne, et son adjoint chargé des finances et du budget, Pascal HENRIAT. Et ce n’est pas la rencontre, brève mais supposée tendue, entre les deux hommes il y a peu qui aura changé quelque chose à la situation.
Au terme de ces vingt minutes de faux dialogue, il n’y aura eu ni propositions sérieuses ni réel consensus sur la ligne à adopter et le choix des hommes dans le cadre stratégique des prochaines municipales.
Provoquant une conférence de presse ce vendredi 08 novembre, le chef de file du MoDem de l’Yonne, ayant reçu au préalable l’investiture de la majorité présidentielle pour entamer des discussions avec Guy FEREZ, a fait part de sa profonde amertume et de sa réelle déception. Avant de se prononcer sur ses choix.
« Devant le refus de dialoguer de Guy FEREZ, j’ai compris que ce dernier ne souhaitait plus que l’on travaille ensemble… ».
Un camouflet auquel Pascal HENRIAT a désiré faire face. La réaction de l’intéressé ne s’est donc pas fait attendre. Le responsable du mouvement des démocrates de l’Yonne a annoncé son retrait sine die de la course aux municipales 2020. Lui qui occupait jusque-là un poste névralgique au sein de l’organigramme auxerrois depuis 2014. Les finances et le budget.
« Je ne ferai aucunement parti de la prochaine liste des municipales aux côtés du maire sortant, devait-il déclarer avec véhémence, Guy FEREZ est venu me chercher il y a six ans pour barrer la route à Guillaume LARRIVE ; je lui donne aujourd’hui mon bon de sortie en assumant le travail mené avec lui. Mais, en revendiquant désormais mon statut d’homme libre… ».
Un contexte kafkaïen difficilement compréhensible…
Nonobstant, le représentant du centrisme dans l’Yonne qui siège au Département conserve sa fonction au sein de l’équipe municipale actuelle jusqu’au terme de son mandat. Soit en mars 2020.
Toutefois, Pascal HENRIAT assume pleinement le travail qu’il a mené auprès du maire actuel. « Je ne suis pas en désaccord avec le bilan de Guy FEREZ, concède-t-il, ce que je n’admets pas résulte de l’absence de concertation qu’il y a eu pour bâtir le projet de la nouvelle mandature… ».
N’accordant plus sa confiance à l’ancien maire socialiste d’Auxerre, Pascal HENRIAT se dit ne plus être en sérénité avec lui-même pour poursuivre l’aventure.
Vu de l’extérieur, le contexte semble très kafkaïen. Démontrant ainsi toute la complexité de l’appareil politique qui auréole l’univers de La République en Marche depuis plusieurs mois. D’un côté, Guy FEREZ, qui a officiellement quitté sa formation originelle le Parti socialiste en juin 2019, a reçu le soutien des instances suprêmes du parti présidentiel pour mener à son terme la bataille auxerroise. L’entrevue avec le délégué national de LREM au printemps, Stanislas GUERINI, nous le remémore.
Dans le même temps, le leader du MoDem, Pascal HENRIAT, était désigné par le bureau exécutif de ce même organe politique pour mener à bien des tractations orales avec le maire sortant. Tout en veillant à ce que la représentation des idées dans le projet, devant être en cohérence avec les dix engagements éthiques de l’élu local progressiste, permette une représentation juste et équilibrée des équipes au sein de la future liste municipale et de l’agglomération. La lettre de mission à l’estampille de LREM sera datée du 26 septembre.
On connaît la suite : les attaches prises par le destinataire de cette missive, Pascal HENRIAT, avec Guy FEREZ afin d’engager des discussions sérieuses devant aboutir à un consensus n’ont pas eu les résultats escomptés pour le représentant du MoDem.
Des appels du pied qui resteront lettres mortes…
Pour autant, une question demeure : cette fin de non-recevoir exclut-elle définitivement du jeu des municipales le responsable centriste de l’Yonne ?
Les appels du pied d’autres candidats pourraient peut-être infléchir la position de Pascal HENRIAT. Pour l’heure, lui, affirme le contraire.
« C’est vrai que sur de nombreux points, Crescent MARAULT présente des idées qui ne sont guère éloignées des miennes. Comme moi, il a soutenu Alain JUPPE et Emmanuel MACRON aux dernières présidentielles. Comme moi, il est centriste. Mais, je n’oublie que c’est le représentant de la droite dure, Guillaume LARRIVE, des Républicains, qu’il l’a adoubé pour cette campagne électorale. Donc, je ne le suivrais pas. Quant aux Verts, on les a poussés à bout dans le mandat actuel alors qu’il n’y a jamais eu en six ans la moindre critique au sein de l’équipe municipale. J’approuve leur candidature ; ils ont eu raison de s’émanciper de la tutelle actuelle… ».
Quant à l’évocation de sa propre candidature en 2020, Pascal HENRIAT balaie la suggestion d’un revers de la main.
« Beaucoup me l’ont demandé, ajoute-t-il, j’y ai moi-même pensé. Mais, j’ai une vie professionnelle et je ne souhaite pas la mettre en difficulté. En outre, je ne voulais pas rajouter de candidats supplémentaires à cette élection qui en est déjà bien fournie… ».
Préférant se retirer de la vie politique auxerroise, Pascal HENRIAT qui est aussi l’un des acteurs clés de l’opposition au Conseil départemental, n’en demeurera pas moins attentif aux programmes des uns et des autres. Histoire de donner à un moment précis ses consignes de vote pour tel ou tel candidat.
Mais, attention, prévient-il solennel : « je ne suis pas à vendre ni moi ni les représentants du MoDem même s’il y aura des tentatives de l’équipe actuelle de débauchage… ».
Se disant au service de la politique au sens noble du terme plutôt qu’au service d’un politique qui en incarnerait le rôle, Pascal HENRIAT ne met pas un genou à terre, en acceptant n’importe quelle compromission.
A 58 ans, mature et aguerri à la chose politique, le leader du MoDem ne veut prêter allégeance à qui que ce soit. Se contentant d’exercer un droit de retrait, en homme libre, qui lui permettra peut-être de mieux rebondir ultérieurement ?
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L’AJA se déplace à Châteauroux : Jean-Marc FURLAN table sur un rebond offensif de son équipe…
novembre 01, 2019Se déplacer ce vendredi soir chez l’avant-dernier du championnat ne ressemblera pas nécessairement à une partie de plaisir pour les Bourguignons. Pas facile, en effet, d’évoluer face à un adversaire qui doit se réhabiliter coûte que coûte aux yeux de son public. Toutefois, le coach auxerrois, avec sa nature faconde et sa décontraction, accorde sa totale confiance à son groupe qu’il sait capable d’un rebond après la contre-performance enregistrée la semaine dernière à domicile face à Grenoble. Ce sera l’un des enjeux de cette treizième journée, vue sous le prisme de l’AJ Auxerre…
AUXERRE : Ce qui est toujours plaisant avec l’entraîneur du club de l’Yonne, c’est sa manière d’aborder l’exercice pourtant impitoyable de la conférence de presse avec sérénité. Calme, détendu, ne pratiquant pas la langue de bois, y saupoudrant parfois quelques zestes d’un humour qui lui est propre, Jean-Marc FURLAN manie le sens du verbe et de la parole avec un réel brio.
Du pain béni pour celles et ceux des suiveurs médiatiques qui souhaitent l’interroger sur le dessous de toutes les ficelles stratégiques d’un avant-match.
Jean-Marc FURLAN ne se contente pas de répondre aux questions sous un format minimaliste ou de manière lapidaire. Que nenni ! L’emblématique personnage de ce sport qu’il a en haute estime, et c’est normal, explique avec minutie ses choix tactiques, ses options de jeu, ses plans de travail. Bref : ses ambitions.
Après vingt semaines à la tête du club icaunais, notre homme excelle toujours autant dans cet exercice oratoire qui requiert de la vivacité d’esprit et un sens profond de la communication.
Avant le déplacement qui le conduira ce vendredi soir à accompagner son équipe face à l’adversaire du jour, La Berrichonne de Châteauroux, Jean-Marc FURLAN distille les préconisations idéales qui seraient à appliquer une fois le coup d’envoi donné.
Le mot d’ordre du jour se nomme le rebond. Fi de celui du basket-ball, mais bien celui se rapportant à cette action de rebondir avec enthousiasme après une incompréhensible défaite contre le FC Grenoble, 1-0 le week-end dernier.
« Nous sommes toujours pétris d’intentions favorables, constate-t-il après les revers enregistrés face à Troyes et au club de l’Isère, mais à la sortie, nous perdons le match. C’est l’imprévisibilité du football à laquelle nous ne pouvons pas grand-chose, malheureusement… ».
La construction du vestiaire : les fondamentaux d’une équipe pro…
Fataliste, l’ex-coach du Stade Brestois qui fait des étincelles en ligue supérieure cette saison ? Non ! Ce n’est pas le style de la maison.
Lui, il ne rêve que d’une chose : passer à l’abordage à chaque rencontre afin de prendre le meilleur sur l’équipe adverse.
Son projet de jeu ne se résume à pas à se procurer des occasions, il est indispensable de les concrétiser. Constatant avec un brin d’amertume que sa formation se crée des opportunités devant le but mais ne sait pas les transformer.
« Nous avons une marge de progression très importante à avoir dans le secteur offensif, souligne-t-il, j’entrevois de réels espoirs avec des joueurs qui ne sont présents au club que depuis le mois d’août… ».
Serait-il un chantre du fameux adage où il est nécessaire de laisser du temps au temps ?
« Je ne reproche rien à mes joueurs, concède-t-il, ni leur volonté ni sur leur engagement à chaque partie. Il faut simplement leur laisser un peu de temps… ».
Possédant le sabir d’un vrai manager, Jean-Marc FURLAN vit sa nouvelle expérience auxerroise tel un entrepreneur en soif de conquêtes et de résultats.
« Il existe un vrai projet de construction du vestiaire, ajoute-t-il, c’est fondamental de procéder de la sorte lorsque l’on évolue chez les professionnels. D’ailleurs, ce que j’apprécie chez ces jeunes footballeurs, c’est leur correction, leur aptitude à prendre en compte les paramètres d’exigence du coach. Ils sont très intelligents ; beaucoup plus que nous aurions pu l’être à notre époque dans les années 1980… ».
Un esprit de coupe contre les mal-classés…
Alors, ce match face à la dix-neuvième équipe de Ligue 2 est-il de nature piégeuse ou plus facile à appréhender pour lui ?
« Affronter des formations qui sont déjà dans le dur après une douzaine de journées suppose une énorme pression. On en oublie même le championnat pour vivre ces rencontres comme des matches de coupe… ».
Une manière intéressante de tester les membres du team et de connaître leurs appétences à pouvoir réagir ou non aux exigences de la rencontre.
Le match face à Châteauroux donnera également l’opportunité au coach auxerrois de revenir s’asseoir sur le banc de touche aux côtés de ses joueurs. Parfois colérique, Jean-Marc FURLAN avait écopé d’une sévère suspension équivalente à quatre journées après une intervention auprès du quatrième arbitre.
« Je suis très satisfait de faire mon retour sur le banc, plaisante-t-il, toutefois, il faut savoir que dans la gestion du management, en ayant soin de privilégier davantage de lucidité, il est plus facile de gérer une rencontre vue d’en haut ! ».
Qu’à cela ne tienne, c’est lui qu’il l’affirme, mais l’entraîneur de l’AJ Auxerre et son caractère bouillonnant peuvent engendrer des suspensions de banc environ tous les dix-huit mois !
Visiblement, le corps arbitral l’a à l’œil et connaît sa faille personnelle dans ce rendez-vous cyclique !
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Le Parti socialiste se range derrière la candidature de Guy FEREZ, libre et sans étiquette…
octobre 24, 2019Même si l’édile d’Auxerre a quitté sa formation originelle en juin dernier pour gagner en indépendance stratégique, on ne peut parler ni de réelle rupture ni de véritable divorce. A l’instar du programme qu’il incarne pour tenter de se succéder à lui-même aux prochaines échéances municipales, Guy FEREZ conserve une côte de confiance, quasi unanime, au sein du mouvement de gauche local. Prônant des valeurs qui correspondent toujours aux sensibilités des socialistes. Ce qui explique la présence de leur secrétaire fédéral départemental Mani CAMBEFORT aux côtés du candidat-maire le jour de sa déclaration officielle…
AUXERRE: « Le bilan du maire sortant est bon, avec son lot d’idées novatrices, ses projets de rénovation urbaine ou la mise en exergue de la démocratie de proximité…sans omettre le volontarisme des décisions prises en matière de développement durable ».
Celui qui parle ainsi n’est autre que le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste du département de l’Yonne, Mani CAMBEFORT. Invité à prendre place à la tribune officielle et à pouvoir s’exprimer lors de la conférence de presse déclarative sur les intentions de son ancien coreligionnaire Guy FEREZ, le jeune homme de 27 ans dresse un portrait flatteur du maire d’Auxerre, tant sur le plan politique que sur le plan humain.
« Nous ne partons pas d’une feuille blanche pour envisager l’avenir de la capitale de l’Yonne, précise-t-il, il existe dans le projet de Guy FEREZ une ligne politique consolidée sur de l’expérience. Et puis, dois-je rappeler que les élections municipales sont avant tout une histoire d’homme et de personne… ».
L’analyse se veut pertinente et construite. Elle émane d’un jeune garçon de 27 ans, à la tête bien faite, engagé dans la vie politique depuis 2011, et qui croit en la résurgence d’une force de gauche prégnante dans ce pays.
« On entend prendre toute notre place dans le département, ajoute-t-il, et y jouer notre rôle… ».
Mais, pour autant, aurait-il oublié que Guy FEREZ ne concourt plus pour ces élections dans la même coterie ? Celle du Parti socialiste dont l’élu icaunais s’est séparé en juin 2019.
Réponse de l’intéressé : « le maire d’Auxerre a appartenu au PS il y a peu encore et il a toujours fait montre d’un esprit d’ouverture vers autres sensibilités politiques. C’est l’une des grandes qualités de rassemblement de Guy FEREZ de pouvoir mobiliser autour de sa ligne directive et de son programme. Il est juste de préciser que cette ligne est conforme à nos valeurs. C’est pourquoi le Parti socialiste soutient sa candidature… ».
Un soutien qui correspond aux dimensions environnementales et sociales du programme…
Récemment, lors d’une conférence de presse qu’il donnait dans les bureaux du PS à Auxerre, Mani CAMBEFORT tenait des propos similaires. Rappelant que le conseil fédéral de l’Yonne partageait une vision identique dans l’approbation du bilan du maire au terme de son troisième mandat.
Une position qui avait suscité quelques réactions épidermiques et contradictoires de la part d’une poignée de militants au nombre de huit ne partageant pas tout à fait ce point de vue.
A cet égard, le premier secrétaire fédéral du PS avait lourdement insisté sur le fait que ce qui comptait en priorité dans le choix de ce soutien n’était autre que le programme du futur candidat et rien de plus. Notamment par le prisme de ses dimensions environnementales et sociales.
Donc, la présence de Mani CAMBEFORT en bonne et due place sur cette tribune médiatique à proximité du maire d’Auxerre correspond à tout sauf à une réelle surprise.
Alors, doit-on parler de séparation ou de divorce si l’on évoque le départ de Guy FEREZ de sa formation politique originelle ? Que nenni ! La réponse est peut-être beaucoup plus simple qu’il n’y paraît dans ce désir de reprendre sa destinée en main, loin des appareils politiques, gage de plus grande liberté et d’indépendance intellectuelle…
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Le nouveau bijou des soirées ludiques sénonaises, L’EMERAUDE LOUNGE, a pour vocation à se dupliquer…
octobre 22, 2019Inattendu dans sa forme, le concept prend depuis son ouverture, survenue le 03 août, ses marques progressives dans l’univers des loisirs proposés sur le Sénonais. Ciblant en première intention la jeunesse. Mais, la stratégie des deux associés, les frères LEGRAS, repose sur l’atteinte d’autres objectifs bien plus affirmés en soi. En premier lieu, il s’agit de toucher le monde de l’entreprise en privatisant l’espace ludique de 580 m2. La seconde priorité s’articule autour de la personnalisation de l’offre. Celle-ci s’oriente sur des évènements familiaux et festifs de type anniversaire ou défis sportifs…
SENS : Quelques curieux tentent vainement d’apercevoir derrière la vitrine ce que recèle le vaste espace ludique ayant ouvert ses portes au beau milieu de la période estivale.
Même si l’une des devantures rappelle de par son décor insolite la proximité de la fête anglo-saxonne d’Halloween dans le calendrier, personne ne peut s’imaginer réellement ce que propose L’EMERAUDE LOUNGE sans avoir pénétré à l’intérieur du magasin !
Ici, dans ce nouveau point d’ancrage commercial consacré à l’art de vivre et à la détente, les surprises autour du jeu sont de taille. Le résultat de cet agencement est vécu comme un aboutissement pour les deux membres de la fratrie : Ludwig et Grégory.
En effet, il aura fallu trois longues années de patience et d’abnégation pour y parvenir ; le temps nécessaire de trouver le local adéquat dans la sous-préfecture de l’Yonne qui réponde aux exigences du cahier des charges initial.
Autrefois, on vendait des chaussures au linéaire dans ce vaste édifice situé sur l’un des points névralgiques, à l’entrée sud de la ville. Aujourd’hui, et après moins d’un semestre de travaux de réhabilitation, c’est le rire et l’amusement que l’on vante à satiété à sa clientèle.
Coût de l’investissement pour remettre le bâti en état de fonctionnalité : 90 000 euros hors taxes. Un budget lourd à réunir pour ces deux jeunes garçons de moins de trente ans qui auront su convaincre avec persévérance l’un des conseillers stratégiques de l’agence de développement INITIACTIVE 89, Julien LACOMBE. Ce dernier n’a pas tergiversé devant le côté insolite du dossier : un prêt d’honneur a pu être souscrit très vite avec l’aval bancaire à l’issue.
Dès lors, les deux frangins durent se creuser un tantinet les méninges pour baptiser de la raison sociale qui leur semblait la plus judicieuse ce nouveau pôle d’intérêt dans le monde du loisir.
Les adeptes d’énigmes et de mystères seront déçus d’apprendre que derrière le nom de cette enseigne, « L’EMERAUDE LOUNGE », il n’existe pas de secret ! Sauf celui qui aura provoqué un déclic auprès des deux dirigeants de l’entreprise : la résonance dans l’association de ces deux mots.
Développer le concept sous la forme d’une franchise à moyenne échéance…
En quoi cet univers est-il si particulier et si différent ? Très simple, il accueille une somme de disciplines ludiques que nulle part ailleurs on ne peut pratiquer dans l’Yonne. Certes, la présence de baby-foot, de billards ou de jeux de fléchettes n’a rien de sensationnel, de prime abord.
Là où les choses diffèrent, c’est de voir in situ des pistes de curling (sans la glace) au nombre de deux et celles de cet étrange billard aux dimensions inconcevables qui se pratique avec les pieds : le snookball.
La découverte de ces deux disciplines permet aux amateurs de cocktails de se détendre au-delà d’un verre et de profiter en toute quiétude de ces instants de farniente entre amis. Voire entre collègues. Bref : l’unicité du cadre et son modèle d’attractivité pourraient devenir très vite un lieu à fréquenter à l’avenir dans le sérail sénonais.
L’orientation stratégique donnée au projet est de le faire évoluer très vite sur le territoire. De manière régionale mais aussi nationale via le principe de la franchise. Ludwig LEGRAS et son cadet, Grégory, voient loin. Un développement potentiel vers la Seine-et-Marne, le Loiret, l’Aube. Mais aussi, adapté à l’ensemble de l’Hexagone…
Ils sont suivis de près par les spécialistes de la question entrepreneuriale (banque, experts-comptables…). Les projections présentent déjà quelques garanties de réussite avec un prévisionnel de 300 000 euros de chiffre d’affaires au terme de la troisième année d’exploitation.
Les responsables de la SAS ont par ailleurs procédé à leur première embauche, en la personne d’une serveuse sous contrat à plein temps. Demain, il sera aussi question de façonner une scène qui recevra des groupes musicaux, pour l’essentiel d’inspiration locale.
Les deux frères vivent leur projet comme un rêve éveillé. Loin de leurs cursus initiaux concrétisés par des diplômes dans la maçonnerie et l’aménagement paysager. A 25 et 21 ans, ils ne le regrettent nullement car ils ont osé passer de l’autre côté du miroir : celui de l’entrepreneuriat !
Un article réalisé en partenariat avec la Ville de Sens et la Communauté du Grand-Sénonais.
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Municipales : Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI fait valoir les exigences d’AGIR La Droite constructive…
octobre 15, 2019Les tractations en tout genre s’activent auprès des états-majors de la sphère politique à l’aune des prochaines échéances électorales. Ce sont celles qui permettront de définir en les affinant les stratégies conduites par les candidats des municipales. L’un des ténors de la politique icaunaise, le référent départemental du mouvement AGIR La Droite constructive, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, a déjà intégré cette période d’intenses négociations dans un emploi du temps très serré. D’autant que l’heure des grandes manœuvres devra être bouclée avant que ne débute de manière officielle la campagne…
MOULINS-sur-OUANNE : Il est catégorique dans ses affirmations, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. Le mouvement politique dont il arbore les couleurs et défend les valeurs sur le territoire de l’Yonne ne se contentera pas de faire de la figuration. Ni de jouer les passe-plats !
Ainsi, les contacts pris, depuis peu, avec le supposé futur candidat à la mairie d’Auxerre Guy FEREZ (ce dernier devrait se déclarer de manière officielle ce vendredi 18 octobre) vont dans ce sens en termes d’objectifs.
Le représentant départemental d’AGIR La Droite constructive souhaite peser de tout son poids dans ce jeu où le moindre siège sur la liste en phase d’élaboration se débat avec moult convictions dans les alcôves.
« J’ai pu rencontrer l’actuel édile d’Auxerre, confie le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, et lui ai fait part de notre volonté d’obtenir le nombre de sièges qui nous revient. Partant du postulat que la formation que je représente comprend un nombre d’adhérents conséquent avec des élus représentatifs (conseillers régionaux, départementaux, maires, conseillers municipaux…). Le maire a répondu favorablement à mes préoccupations. Nous nous sommes rapprochés de Guy FEREZ, afin d’évoquer ensemble la place qui revient de facto à AGIR La Droite constructive, qui est, dois-je le rappeler, un soutien de la majorité présidentielle… ».
On l’aura compris, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI ne lâchera rien dans les négociations qui prévalent à l’heure actuelle. AGIR possède des exigences que son porte-étendard veut faire entendre à juste raison.
« Nous sommes les seuls à représenter un courant de pensée politique issue de la droite modérée, souligne-t-il, l’idéal pour nous sur la fameuse liste des quatorze qui accompagneront le vainqueur de l’élection serait d’y voir un à deux postes d’adjoint… ».
Faire jeu égal en matière de représentativité avec les autres formations…
L’ancien avocat d’affaires se réfère dans ses prétentions sur la légitimité de la ligne de conduite imposée dans le cadre du scrutin des Européennes. L’outil se nommait « Renaissance » et se composait de représentants du MoDem, de La République en Marche, des radicaux et d’AGIR La Droite constructive.
Observant que la France a un impérieux besoin de réformes en profondeur, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI rappelle que les collectivités doivent l’être également.
« Durant trois décennies, les décisions salvatrices à notre nation ont été systématiquement repoussées par les différentes majorités au pouvoir. Retardant les échéances de manière très regrettable… ».
Comment se positionnera le responsable du jeune parti du ministre de la Culture, Franck RIESTER, à Sens ?
« J’aurais souhaité une approche plus consensuelle en amont, déclare le maire de Moulins-sur-Ouanne, mais je n’ai pas encore abordé ce dossier de manière constructive. Il est probable que des discussions seront engagées… ».
Quant à un rapprochement avec le candidat de la droite et du centre droit, Crescent MARAULT, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI balaie d’un revers de la main l’hypothèse : « Je n’ai pas été approché par ce candidat, c’est un constat, obtempère-t-il, et puis est-ce qu’il est « Macron » compatible ? ».
Celui qui avait voté en faveur de François FILLON au premier tour de la Présidentielle avant de déposer un bulletin vierge de tout nom lors du scrutin décisif n’hésite plus à soutenir la ligne gouvernementale voulue par Emmanuel MACRON car les réformes lui apparaissent comme indispensables.
« Si nous ne les faisons pas, le pays risque de sombrer dans une majorité qui n’est pas dans ma famille politique ni personnelle… ».
Une mise au point à l’adresse de Daniel DELVERT
Reste la correction de trajectoire que le référent départemental d’AGIR souhaite apporter à la suite des propos médiatiques tenus par l’un des siens, Daniel DELVERT, via nos colonnes.
« Ce dernier est intervenu dans la presse il y a quelque temps, et cela était tout à fait son droit, pour y faire valoir son point de vue de militant. Mais, je tiens à le préciser : en aucun cas, il n’a eu mandat officiel pour représenter AGIR La Droite constructive sur le département de l’Yonne. Ce qui signifie que Daniel DELVERT n’a jamais été désigné comme chef de file à Auxerre à ce jour… ».
Estimant que le militant auxerrois s’était mépris sur le champ d’action qu’il pouvait mener dans la capitale de l’Yonne, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI confirme que « Daniel DELVERT a pris sur soi le soin de s’exprimer dans les médias ».
Quant à un éventuel rapprochement avec la liste portée par le mouvement écologiste et ses leaders charismatiques (Maud NAVARRE, Denis ROYCOURT), le responsable d’AGIR 89 insiste sur la dénégation des propos tenus par Daniel DELVERT.
« Nous ne soutenons absolument pas cette initiative… ».
Net et sans bavure dans ses réponses, le référent départemental de la droite modérée a conclu l’entretien en précisant que Daniel DELVERT demeurait à ses yeux un militant sympathique. Ni plus, pas moins…
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