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Il ne pouvait en être autrement. Logique, au vu du contexte actuel et de la course folle de l’inflation en matière énergétique que l’on nous promet depuis si longtemps ! Dans un souci d’équilibre financier à long terme, et afin de pérenniser un service public sur notre territoire rural non prioritaire pour les autres opérateurs, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de passer désormais à un modèle payant pour les bornes de recharge des véhicules électriques. Une application effective depuis le 02 janvier…

 

AUXERRE : Il fallait s’y attendre. Tant les tensions sont palpables et déconcertantes sur tout ce qui touche le volet énergétique dans l’Hexagone depuis plusieurs mois. Mais, il faut bien se rendre à l’évidence. Les choses évoluent selon les soubresauts de la conjoncture et des crises successives qui s’abattent sur le ciel européen. Voire mondial.

Le SDEY, syndicat départemental d’énergies de l’Yonne, n’a eu d’autres choix en effet que de s’aligner sur les évènements qui induisent une forte augmentation du coût de l’électricité dans l’Hexagone. Et encore, nous ne sommes pas à plaindre puisque le bouclier tarifaire voulu par l’Etat a quelque peu réduit la facture énergétique. Qu’elle soit électrique ou gazière en ce début d’année.

Oui mais voilà. A l’instar de bon nombre d’entreprises, de collectivités ou de structures associatives qui désirent exister durablement et apporter de précieux services auprès de nos concitoyens, des ajustements financiers sont indispensables. Ne serait-ce, dans le cadre du SDEY, que pour asseoir dans la durée la notion de service public apporté dans notre département – le développement de la centaine de bornes de recharge pour véhicules électriques – et de préserver pour l’organisme son légitime équilibre budgétaire.

 

Un point de recharge pour quatre véhicules dans l’Yonne grâce au SDEY…

 

Ainsi, depuis lundi, le syndicat départemental icaunais a donc décidé d’opter pour une formule payante, à partir d’une grille de tarification dûment étudiée, dans cette offre de service public que représente ce réseau de bornes, nécessaires à l’alimentation des modèles automobiles électriques ; ces derniers connaissant une nette progression au niveau des ventes sur notre territoire.

On le sait, le SDEY s’est investi sans relâche depuis 2015 pour aménager du mieux possible le département de l’Yonne avec ces fameuses bornes désignées sous le sigle technique « IRVE » (Infrastructures de Recharge des Véhicules Electriques).

A date, l’organisme piloté par Jean-Noël LOURY, président et Eric GENTIS, directeur, exploite près de 40 % des infrastructures ouvertes au public aux quatre coins de l’Yonne. Aujourd’hui, la photographie instantanée prise sur ces appareils est plutôt flatteuse puisqu’il existe un point de recharge pour quatre automobiles dans le périmètre icaunais.

 

Maintenir sa place d’aménageur public principal sur le territoire icaunais…

 

Sachant que différentes variétés de bornes y ont été installées, même dans les communes les plus reculées du département : on dénombre ainsi 109 bornes inférieures à 25 KW, une vingtaine de bornes offrant une capacité de recharge comprise entre 25 KW et 100 KW ; enfin, deux bornes – de vraies « Rolls-Royce » de la recharge rapide ! – ont été posées par le SDEY sur le territoire.

Un service favorisant la transition énergétique des automobilistes de l’Yonne qui était jusque-là entièrement gratuit et très sollicité en raison de l’adoption de ce mode de déplacement réduisant les rejets de carbone.

Une sollicitation telle de la part des automobilistes qui induit naturellement une usure prématurée du matériel, augmentant au passage les coûts de maintenance et le risque de devoir remplacer lesdites bornes.

Quant à la proposition tarifaire mise en application au 02 janvier 2023, elle est relativement basse en année 1 pour avoir la possibilité de réviser le prix à la hausse ultérieurement.

La mise en place d’une formule abonnement est concrète pour se rapprocher des modèles économiques d’autres acteurs et opérateurs de ce segment d’activité.

Précisons que le SDEY doit être en mesure d’assumer des coûts importants sans rentabilité à court terme afin d’occuper l’espace et de maintenir sa place d’aménageur public principal de l’Yonne.

 

 

En savoir plus :

925 MWh ont été distribués en 2021 sur les bornes du SDEY.

1 333 MWh ont été distribués sur les bornes du syndicat de l’Yonne entre le 01er janvier et le 30 septembre 2022.

Les tarifs pratiqués :

Puissance inférieure à 25 KW, 0,50 euros du kWh

Plus 0,30 centimes la minute dès la quinzième minute après le temps de charge.

Tarif abonné : 0,40 euros du kWh

Puissance comprise entre 50 et 100 kW, 0,70 euros du kWh

Plus de 0,40 euros du kWh la minute dès 15 minutes après la fin de charge.

Tarif abonné : 0,60 euros du kWh.

Puissance de plus de 100 kW, 0,90 euros du kWh.

Plus 0,50 euros la minute dès 15 minutes après la fin de charge

Tarif abonné : 0,80 euros du kWh.

Quant aux prix et avantages de l’abonnement, ils sont les suivants, 14,99 euros par mois, avec une exonération de la composante « temps », entre 21h et 06 h du matin.

 

Thierry BRET

 


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L’amplitude kilométrique, du nord au sud de la deuxième circonscription de l’Yonne, représente tout de même plus d’une centaine de kilomètres. Difficile, d’assurer une présence physique régulière pour le parlementaire de l’Yonne qui est confronté à autant de distance pour rencontrer élus et citoyens ! L’ouverture d’une deuxième permanence, après celle d’Avallon, trouve ainsi sa pleine légitimité au cœur de Migennes.  

 

MIGENNES : Un peu délaissée de la circonscription, la partie septentrionale ? « Affirmatif », de l’avis même de son parlementaire, le député André VILLIERS. L’ancien chef de file de l’UDI, rallié à la cause d’Edouard PHILIPPE et de son nouvel appareil politique, « Horizons » - l’un des socles de la majorité présidentielle - depuis plusieurs mois, a donc décidé de conjurer le sort qui maintenait ce secteur géographique un peu trop éloigné de l’épicentre politique d’Avallon à son goût.

Déjà en 2017, l’idée d’ouvrir une seconde permanence au nord de ce territoire – point névralgique pour rayonner au plus près des élus, citoyens et autres acteurs de la vie institutionnelle et économique – lui avait effleuré l’esprit. Mais, cette fois-ci, en 2022, sera donc la bonne.

« J’ai décidé de lever ce handicap qui pénalisait ce secteur de la circonscription, précise l’élu de l’Yonne, en y installant un lieu de rencontre avec du personnel permanent… ».

 

 

Une équipe à l’écoute des citoyens du territoire…

 

Les familiers du toujours très vaillant agriculteur/éleveur prolixe lors de ses interventions y retrouveront Marie-Françoise MALCUY, une fidèle d’entre les fidèles qui avait accompagnée dès 2017 l’ancien président du Conseil départemental de l’Yonne lorsque ce dernier avait en responsabilité les rênes de l’organe institutionnel depuis l’hémicycle auxerrois.

Une autre recrue complète l’équipe : le jeune et très prometteur Yassin KOUACH, promu es qualité d’attaché parlementaire.  

Le garçon sera particulièrement sollicité par le pensionnaire du Palais Bourbon, puisqu’il naviguera entre les deux permanences distantes d’une centaine de kilomètres, l’une de l’autre. Quoi de plus naturel, en somme, puisque les voyages, chacun le sait, forment la jeunesse !

Disposant de ce local, bien aménagé et plutôt fonctionnel pour y accueillir du public, André VILLIERS prendra attache avec les administrés de sa circonscription – une population sur la partie nord estimée à près de 60 000 habitants – uniquement sur rendez-vous. Sachant que Marie-Françoise MALCUY et Yassin KOUACH bénéficieront d’un trois quart de temps à se partager sur chacun des deux lieux choisis par l’élu.

 

 

Multiplier les échanges en prenant le pouls du terrain...

 

Etre au plus près du terrain représente la marque de l’engagement politique du nouveau porte-étendard du parti porté par l’ancien Premier ministre Edouard PHILIPPE.

« C’est indispensable de pouvoir rencontrer les personnes qui vivent sur la circonscription, reconnaît André VILLIERS, adepte du tutoiement facile, de la poignée de main chaleureuse et de la proximité.

Optimiste de nature, sans être plongé dans la béatitude, le député de l’Yonne a pleinement conscience des difficultés vécues à l’heure actuelle par la nation hexagonale. Tout en relativisant les choses lorsqu’il évoque en aparté le contexte international si complexe.

Un André VILLIERS, fier d’être Français, qui en bon « morvandiau » aura su décorer sa nouvelle permanence d’un sapin illuminé de boules et de guirlandes dans le pur esprit de Noël.

Comme une offrande apportée aux habitants du nord de la deuxième circonscription qui trouveront désormais portes ouvertes pour faire part de leurs sollicitations et de leurs doléances en prenant rendez-vous avec leur parlementaire…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Il le dit lui-même avec bonhommie : « les chiffres que nous avons réalisés en 2022 me donnent la banane ! ». Pourtant, le garçon ne possède pas une once de prétention. Encore moins la grosse tête ! Toujours très précautionneux envers autrui, tant dans la relation exercée avec la clientèle qu’auprès des dix-sept collaborateurs qui exercent le savoir-faire de l’enseigne dans l’Yonne. A 37 ans, Baptiste CHAPUIS est un chef d’entreprise heureux, croyant en l’avenir. D’ailleurs, pour célébrer le dixième anniversaire de sa structure, 123 Immobilier, il ajoute dès ce 02 janvier une cinquième agence dans sa besace.

 

MONTHOLON : « Je ne m’aventure pas en terre inconnue ! ». C’est sûr ! Le dirigeant du groupe 123 Immobilier Baptiste CHAPUIS commence à être habitué aux ouvertures de nouvelles vitrines commerciales sur son territoire de prédilection que représente l’Yonne.

Cinquième agence à intégrer le panel représentatif des opportunités offertes par ce spécialiste de la location/vente de biens immobiliers, le site de cette agence newlook, réhabilitée par des artisans du cru en mode ergonomique et environnemental, ne se situe pas là par pur hasard, sur l’échiquier de la conquête des parts de marché qui anime l’entrepreneur.

Il suffit d’observer la topologie des lieux – l’acquisition d’une ancienne officine pharmaceutique vacante depuis un moment et idéalement positionnée sur un axe circulatoire pénétrant dans la nouvelle commune née au 01er janvier 2017 – pour mieux comprendre le choix subtil du décideur économique. La nouvelle agence, ouverte au public dès le lendemain du Jour de l’An, peut se comparer à une cerise sur le gâteau plutôt goûteuse car visible et accessible de tous, grâce à la proximité de deux parkings.

 

Une nouvelle agence à raison d’un cycle biennal ou presque…

 

L’antenne promotionnelle du groupe 123 Immobilier va pouvoir rayonner sur un large périmètre, telle une tête d’épingle clairement identifiée placée à l’épicentre d’une zone géographique comprise entre Toucy, Charny-Orée-de-Puisaye, Migennes et Joigny. Autant dire du pain bénit pour un Baptiste CHAPUIS lucide et ô combien réaliste qui a pris soin d’accroître son potentiel d’infrastructures commerciales à raison d’un nouvel établissement créé au rythme calendaire d’une unité ouverte presque tous les deux ans !

Pour s’y retrouver, c’est simple au niveau de l’arithmétique ! En l’espace d’une décennie – la société célèbrera son dixième anniversaire en 2023 -, le groupe 123 Immobilier aura étalé le rythme de ses ouvertures d’agences de la manière suivante, Auxerre Rue de Paris en 2013, avant Appoigny en 2015, Auxerre Gambetta en 2017, puis celle de Migennes presque deux années plus tard avant d’inaugurer celle de Montholon en janvier.

 

 

Des taux de visibilité très élevés auprès des internautes franciliens…

 

Bref, le choix de se placer en tête de gondole dans l’Aillantais correspond à un désir d’optimiser sa stratégie de conquête sur l’un des marchés prégnants de ce secteur, la résidence secondaire. Et pourquoi pas, par ricochet, celui de l’occupation principale par les propriétaires.

Disposant d’une offre soutenue de plus de deux cents biens immobiliers en permanence, le groupe 123 Immobilier surfe parmi les meilleurs taux de visibilité sur la toile auprès des prospects et clientèles franciliens (40 %). Le Bon Coin a d’ailleurs référencé le site de l’entreprise icaunaise parmi ses meilleures consultations de l’année.

Bénéficiant de 180 mètres carrés, l’entité a refait à neuf le rez-de-chaussée de l’ancienne pharmacie, l’agrémentant de salles de réunion, d’un espace accueil et de bureaux individualisés où les leds et l’isolation thermique assurent une qualité BBC optimale à l’édifice.

L’étage accueillera, outre des salles de réunion, trois espaces bureaux pouvant recevoir des entrepreneurs et porteurs de projets du cru. Un petit business center bien dans l’esprit de Baptiste CHAPUIS, lui-même adhérent de plusieurs associations telles la Jeune Chambre Economique ou DYNABUY Chablis qui encouragent les initiatives entrepreneuriales.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est presque une minuscule goutte, perdue dans l’immensité de l’océan. Pourtant, sensibiliser les élus d’un territoire – en l’occurrence le nôtre -  et de manière plus exhaustive l’ensemble des citoyens sur les risques de pénurie d’eau à court terme figure parmi les missions régaliennes de l’un des opérateurs intervenant avec cette précieuse substance, source essentielle de la vie, VEOLIA. En dévoilant la perception qu’ont les Bourguignons de ce liquide vital à l’humanité, grâce au CIEAU, bon nombre de surprises ont ainsi été révélées…

 

JOIGNY : Deux tiers des habitants de notre contrée se disent très inquiets dans un proche avenir. Le motif de leur angoisse est simple : le manque d’eau. Ironie du sort sur un territoire qui est grand producteur de vins !

Mais, au-delà de la boutade plaisante, il y a de quoi être alarmiste. D’autant que la récente enquête réalisée par le Centre d’Information Eau de Bourgogne (CIEAU) avec le concours de KANTAR, baromètre référentiel dans le domaine des études de l’eau à destination des médias et des professionnels de la filière, ne berce pas les illusions des observateurs vers un optimisme béat.

Le réchauffement climatique et ses successifs épisodes de canicules et de sécheresses – ces dernières débutent désormais dès le printemps pour se clore au milieu de l’automne – ont de quoi affoler les consciences. Notamment, chez une grande proportion de nos concitoyens hexagonaux qui en constatent journellement les effets. A défaut de faire bouger les chefs d’Etats, eu égard aux conclusions de la récente COP 27 !

 

40 % des Bourguignons doutent de l’existence du réchauffement climatique…

 

Mais, pas tous, visiblement ! Prenons l’une des statistiques intéressantes, offertes sur un plateau d’argent par l’excellente oratrice d’un jour invitée par VEOLIA, la spécialiste des relations externes du CIEAU de Bourgogne, Nathalie DAVOISNE, qui a de quoi surprendre au premier degré.

50 % des Bourguignons ne voient pas de corrélation directe entre ces périodes de sécheresses à répétition et de chaleurs intenses avec le dérèglement climatique qui secoue pourtant avec âpreté et moult sinistres la planète, en s’accélérant depuis une décennie ! Même si 77 % de ces mêmes Bourguignons se disent impactés par leurs effets…

Mieux, mais tout aussi inquiétant sur la perception réelle de nos compatriotes territoriaux en la matière, 40 % de ces Bourguignons ne sont pas convaincus qu’il existe bel et bien un réchauffement climatique de par le monde ! Un aspect climato-sceptique des plus surprenants dans une région à forte tendance agricole, viticole et forestière où les conséquences de ce dérèglement du climat impacte avec dureté les économies des secteurs concernés.

Etrange paradoxe que celui-ci qui aura peut-être poussé VEOLIA – on ne présente plus ce poids lourd qui intervient dans la gestion et la distribution de l’eau – a concocté une réunion informative à destination des élus de l’Yonne il y a peu dans les salons de l’hôtel de ville de Joigny.

Sage initiative qui avait pour thème « de l’eau de qualité en quantité » et qui offrait une judicieuse opportunité, entre autres, à la porte-parole du CIEAU de pouvoir s’exprimer face aux élus. Celles et ceux qui ont pris pleinement conscience de la problématique aquatique qui préoccupe une majorité de Bourguignons en signifiant leur présence.

 

 

L’eau de pluie traitée en lieu et place de l’eau du robinet ?

 

Au pupitre, devant des oreilles très attentives et des regards scrutateurs pour mieux appréhender les graphismes successifs montrant les résultats de cette passionnante enquête, Nathalie DAVOISNE va dérouler ses arguments. Forte de ses vingt ans d’expériences vécues au sein de l’organisme qui prend le pouls de l’eau de la région. Des éléments informatifs de belle facture et pertinents, fruits des projets data qu’elle porte depuis deux ans à la mise en place d’une base de données sur l’eau à partir de renseignements publics.  

Ses items de prédilection, étayés par des chiffres durant sa présentation, se rapporteront à la pollution de l’eau (67 % des personnes interrogées le pensent), de la qualité de l’eau sortie du robinet (88 % des Bourguignons lui font confiance), de la consommation de cette même eau (71 % la boivent au quotidien), de la tarification de cette eau (70 % la trouvent trop chère), voire même sur sa saveur puisque 42 % seulement affirment que l’eau du robinet n’a pas bon goût.

La pollution (88 % des sondés estiment que le traitement des eaux polluées impactent le prix du service) ou les investissements (77 % estiment qu’ils sont indispensables tout comme la dépollution de l’eau) représentent d’autres aspects de l’enquête qui ont été commentées par la conférencière.

Preuve que les mentalités changent et se tournent davantage vers le pragmatisme écologique, 90 % des personnes questionnées souhaitent remplacer l’eau du robinet par l’eau de pluie, après l’avoir traitée il va sans dire.

 

Récompenser les bons usagers grâce à des incitations financières…

 

Nathalie DAVOISNE, dans un souci de ne pas trop plomber l’ambiance après l’énumération de statistiques un tantinet pessimistes, aborda avant ses conclusions les préconisations propres à positiver (enfin !) ce dossier capital de l’eau.

Si 63 % des consommateurs se disent prêts à utiliser désormais des eaux usées mais traitées au préalable, 87 % aimeraient disposer d’une application numérique « alerte au dépassement » de leur consommation afin de mieux en maîtriser les usages. Et les coûts par effet ricochet.

La réduction des fuites est aussi une solution envisagée. Une problématique sérieuse et récurrente que VEOLIA sait gérer dorénavant en multipliant ses moyens de recherche, faisant appel au flair infaillible de nos amis canidés pour y parvenir avec de réelles satisfactions sur le terrain, croquettes comprises pour récompenser l’animal !

Reste l’ultime incitation qui pourrait faire pencher définitivement la balance et faire prendre conscience aux Français une bonne fois pour toute que l’eau est précieuse à plus d’un égard.

L’incitation financière qui est apparue dans l’enquête, véritable photographie à consulter sur le site du Centre d’information de l’eau régional.

81 % des Bourguignons souhaitent en bénéficier et recevoir des subsides monétarisés pour leurs efforts en termes de consommation maîtrisée et citoyenne. A contrario, ils sont aussi 71 % à réclamer des sanctions pénalisantes pour les utilisateurs qui usent et abusent de leur consommation en gaspillant le précieux liquide, essentiel à notre existence…

Quant à VEOLIA, l’initiative du jour s’est soldée par un grand motif de satisfaction en voulant mieux sensibiliser les élus sur ces sujets, les éclairer sur les problématiques et la réglementation, mais aussi leur apporter des exemples d'actions (préventives et curatives) et la façon dont les organismes impliqués sur ces sujets peuvent les accompagner. Limpide comme de l’eau de source…

 

Thierry BRET

  


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Sobriété. Mais, forte en symboles la pochette très épurée du nouvel album de l’une des plus belles plumes de la variété hexagonale, Didier BARBELIVIEN. Elle représente une enveloppe affublée d’un timbre postal oblitéré. A 68 ans, l’artiste qui n’a décidément plus rien à démontrer dans la filière musicale qui est sienne depuis tant d’années (« Petite fille du soleil », « On va s’aimer », « A toutes les filles », « Les Sunlights des Tropiques »…), nous revient avec douze nouvelles chansons, concoctées dans le studio d’enregistrement de l’Icaunais Mathieu CHOCAT (« Production Artistique), prétexte d’une séance de dédicaces organisée à la Médiathèque de Joigny ce mercredi 07 décembre…

 

JOIGNY : « Souvenirs », « Le Secret », « Le Temps d’aimer », « Les artistes » ou « Ta main ». Autant de nouveaux titres parmi les douze créations nouvelles à découvrir depuis le 21 octobre sur les plateformes ou chez les disquaires que propose l’un des compositeurs interprètes les plus prolifiques de l’Hexagone, Didier BARBELIVIEN.

Qu’on en juge ! Le natif de Paris a composé depuis ses débuts dans le circuit artistique en 1978 plus de deux mille chansons enregistrées par lui-même et les plus grands artistes de ces cinq dernières décennies ! De Céline DION à Julien CLERC, de Mireille MATHIEU à DALIDA, de Johnny HALLYDAY à Patricia KAAS, ou encore de Démis ROUSSOS à Julio IGLESIAS, tous ont collaboré avec cet auteur, compositeur et d’interprète de talent et prolixe qui compte une vingtaine d’albums à son actif.

Le dernier en date, paru fin octobre et dont il assure depuis la promotion sur les plateaux de télévision et en radio, s’intitule sobrement « Didier BARBELIVIEN ». Il représente une enveloppe en papier kraft, comprenant son patronyme, affublé d’un timbre postal, oblitéré…L’envoi d’une ultime livraison, peut-être ?

 

La présence de l’Icaunais Mathieu CHOCAT dans ce disque à la couleur jazzy…

 

C’est avec le regretté CHRISTOPHE « Petite fille du soleil » ou Gilbert MONTAGNE « On va s’aimer » qu’il tutoiera les sommets en sa qualité d’auteur, décrochant les premières places dans le hit-parade hexagonal d’alors, le « Top 50 »  

La Médiathèque Olympe de Gouges – la bien-nommée ! – l’accueillera ce mercredi 07 décembre dans l’après-midi lors d’une séance de rencontre avec son public et de dédicaces. Logique que le chanteur consacre du temps à l’Yonne puisque ce dernier opus a été enregistré et travaillé dans les studios d’enregistrement de l’ex-accordéoniste bien connu autrefois, Mathieu CHOCAT, un pur produit de la Bourgogne septentrionale qui exerce désormais ses talents professionnels dans la production artistique et les arrangements musicaux comme le nom de sa société l’indique.

La présence de Didier BARBELIVIEN est un évènement à Joigny d’autant que le chanteur laissera bientôt la place désormais à l’auteur puisque ce nouvel album est censé être son dernier…

 

Thierry BRET

 


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