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L’agence de développement touristique et relais territorial des offices du tourisme et des syndicats d’initiative de l’Yonne rejoindra dès la rentrée le bâtiment du « 89 », l’imposante infrastructure du Conseil départemental, pour y installer ses bureaux. Un choix stratégique qui a été dûment réfléchi en amont de cette décision. Elle permettra à l’organisme de faciliter son mode opératoire tout en se dotant de moyens supplémentaires pour la saison 2020…

AUXERRE : Annoncé le jour de l’assemblée générale, le déménagement de l’agence de développement Yonne Tourisme dans les locaux du « 89 » ne représente plus qu’une affaire de quelques mois.

Si tout se présente sous de meilleurs auspices, les collaborateurs de l’entité qui gèrent la politique évènementielle et communicative de l’instance touristique de notre territoire occuperont leurs nouveaux bureaux à compter du 01er octobre.

Plusieurs services du Conseil départemental, opérationnels en ce lieu, travaillent déjà étroitement avec l’agence icaunaise. Ce rapprochement géographique n’en est que plus pertinent pour son efficacité. Dans l’optique de réaliser une première action de mutualisation des savoirs et compétences.

Soucieux de faciliter le travail de ses équipes et d’optimiser ainsi la qualité de ses prestations, les dirigeants de l’agence Yonne Tourisme feront grâce à ce choix l’économie des bureaux actuels. Dégageant ainsi, par ricochet, des subsides financiers supplémentaires qui pourraient servir à embellir à l’estampille de l’agence le vaste hall d’entrée du bâtiment institutionnel, boulevard de la Marne.


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Nos concitoyens ont appris que Tom ENDERS, président d’Airbus, venait de percevoir un parachute doré de 36 millions d’euros. Simultanément, le procès de Bernard TAPIE fait du bruit. Logique : le bouillant homme d’affaires, même amoindri par la maladie, a encaissé 450 millions d’euros d’indemnités dont 45 millions d’euros au titre du « préjudice moral ». Il fallait oser ! Mais, l’ancien patron de l’Olympique de Marseille ne s’est pas privé de le faire. Au même moment, et à l’issue de la mini-révolte des « Gilets jaunes », une substantielle augmentation de 100 euros a été chichement accordée à celles et ceux qui connaissent des difficultés à finir le mois. Ubuesque ! Déjà à une certaine époque, le regretté COLUCHE s’en inspirait : « Nous avions du mal à finir le mois. Chez nous, la fin du mois commençait le 02… ». Sans commentaire !

TRIBUNE : La liste de ces aberrations est loin d’être exhaustive. Deux ans plus tôt, Georges PLASSAT, président déchu de Carrefour, recevait un joli pécule de 14 millions d’euros alors qu’il mit en danger l’équilibre financier de ce leader de la grande distribution mondiale.

Il existe une étrange et triste similitude dans ces gifles données généreusement aux Français comme à des freluquets de cinq ans. La fin de mandat de Tom ENDERS coïncide avec la mise au chômage de 2 500 employés du groupe aéronautique. Induisant de facto que probablement dix mille personnes, voire davantage, vont rejoindre les rangs déjà bien garnis du Pôle Emploi, si l’on y inclut les sous-traitants de l’avionneur.

Quant au départ de Georges PLASSAT, il coïncidait également avec le licenciement irréversible de 2 500 collaborateurs du groupe Carrefour. On peut qualifier de scandaleuse ces deux affaires à l’inconstante similitude. Un mot convient mieux : c’est une insulte faite aux Français et à leurs voisins allemands. Airbus est une société franco-germanique dont on se glorifie, à juste titre, comme un succès de la coopération entre deux des pays les plus puissants du Vieux continent. Mais, le parachute doré perçu de manière amorale par Tom ENDERS est versé après un échec ruineux. Celui de l’Airbus 380, qui va coûter des milliards d’euros aux contribuables des deux cousins germains !

La défiance croissante envers les élites…

Or, ces sommes astronomiques étaient inscrites dans leur contrat. Donc, vous diront tous les juristes, il n’y a rien à dire, on ne peut rien faire. Mais qui a signé ces contrats en amont ?

Et, l’affaire Bernard TAPIE ? Qui a décidé de lui verser cette somme colossale de 450 millions d’euros ? On cherche et on trouve un comité d’arbitrage où siégeaient trois personnes : deux avocats marron, il n’y a pas d’autres qualificatif, et … un ancien président du Conseil constitutionnel, Jacques MAZEAUD.

Combien ces messieurs de bonne moralité et à la haute vertu ont-ils empoché pour rendre cet arbitrage ? 300 000 euros chacun ! Il ne faut donc plus s’étonner du fait que les Français n’aient plus confiance dans ce qu’on appelle abusivement leurs élites.

Puisque nous plongeons les mains avec dégoût dans la fosse d’aisance nationale, continuons d’en tirer quelques vils extraits. Lorsque le Grand Débat national a été lancé, on a proposé à un membre de cette caste élitiste d’en assurer la coordination.

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Il s’agissait de Chantal JOUANNO. Pour cela, elle devait toucher 180 000 euros environ. Or, on a découvert qu’elle percevait déjà une somme à peu près équivalente pour diriger le Comité national du Débat Public, organisme dont personne ne sait à quoi il sert. A part, évidemment, rémunérer ladite présidente !

Parallèlement, on découvrit que Jacques TOUBON, ancienne gloire de la Chiraquie percevait près de 200 000 euros pour diriger le Comité de défense des droits. Bien entendu, tout cela s’ajoute à ses nombreux revenus de retraite pour les noms moins nombreuses fonctions qu’il a occupées : député, ministre, conseiller d’État, et j’en passe et des meilleures…

Une longue litanie de faits insupportables pour les citoyens…

Mais ce n’est pas fini dans cette longue litanie de choses qui fâchent de plus en plus les citoyens de ce pays : Alain JUPPE vient d’être nommé au Conseil constitutionnel avec une rémunération de 160 000 euros annuels auxquels s’additionnent diverses indemnités.

Cette rémunération s’empile, comme dans le cas de Jacques TOUBON, à de multiples revenus et avantages copieux : retraite d’ancien Premier ministre, ministre tout court, inspecteur des Finances, maire de Bordeaux, maire adjoint de Paris…Circulez, il n’y a rien à voir comme l’a écrit le trublion de l’humour, COLUCHE.

Enfin, devant cette avalanche de subsides mirobolants que quelques nantis de la société perçoivent avec des félicitations, il est bon de rappeler que le salaire médian en France s’élève à 1 797 euros par mois !

« L’argent n’a pas d’odeur » disait l’empereur Vespasien ! Et deux mille ans après cette maxime, Joseph STIGLIZT, prix Nobel d’économie, s’est fendu d’un ouvrage dont le titre résume toute la sournoiserie de notre monde : « Le triomphe de la cupidité… ».

« Il y a en France quelqu’un qui est plus intelligent que Diderot, plus spirituel que Voltaire, plus vif que d’Alembert, c’est personne, c’est-à-dire tout le monde, c’est l’opinion publique... ». Une phrase dite par TALLEYRAND, l’un des hommes les plus subtils et les plus perspicaces de notre Histoire.

Comment tout cela va-t-il finir ? Nous devrions le savoir bientôt. Dès que le président de la République Emmanuel MACRON aura égrené mi-avril la liste des potentielles préconisations qu’il souhaite mettre en œuvre pour soutenir le pouvoir d’achat des Français et ainsi redistribuer l’argent qu’il leur revient. On peut toujours espérer : cela, c’est sûr, ne coûte rien…

Emmanuel RACINE


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Satisfecit pour les responsables de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ! Au premier avril, près de 19 000 Icaunais (18 944 personnes plus exactement) avaient déjà constitué leur DMP. Ce fameux dossier médical partagé qui intègre désormais les priorités de l’organisme en matière de communication. Considéré comme un carnet de santé numérique qui se substitue à l’ancien dossier médical personnalisé, ce document pourrait compter 1,5 million d’exemplaires parmi les assurés de Bourgogne Franche-Comté d’ici 2022…

AUXERRE : Le nombre de nouvelles ouvertures augmente chaque jour. Sur le territoire de l’Yonne mais aussi dans notre contrée. En effet, la Bourgogne Franche-Comté a enregistré en date du 01er avril un total de 282 135 documents. Soit un taux de couverture de 10 % des assurés sociaux de la Caisse primaire d’assurance maladie.

Des chiffres qui ne font que confirmer la progression légitime de ce procédé mis en exergue depuis la rentrée. Gratuit et confidentiel, le dossier médical partagé n’a d’autre objectif que de faciliter la prise en charge médicale. Il évite les prescriptions et les examens en double.

Rappelons que seuls les patients et les professionnels de santé y ont accès et peuvent en assurer son alimentation en données informatives. D’ici la fin de 2019, 522 000 dossiers devraient être répertoriés en Bourgogne Franche-Comté.

Il suffit de se connecter sur le site www.dmp.fr ou de télécharger l’application gratuite correspondante pour consulter et enrichir ce précieux document sécurisé qui est accessible sur l’ensemble du territoire national.

Précisions, enfin, que les départements du Doubs et de la Haute-Saône, avec un taux de 16,5 % de couverture, sont les plus avancés en matière d’enregistrement. A contrario, l’Yonne (5,6 %) et Territoire de Belfort (5,3 %) ferment la marche du peloton régional…


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Dire qu’il ne se passe rien à la CPME de l’Yonne serait une pure gageure ! Un manque de respect vis-à-vis de celles et ceux qui, par le prisme de différents mandats, prennent sur leur précieux temps et de façon bénévole, un engagement pour défendre les intérêts des entrepreneurs et leurs outils de production. Lors de la récente assemblée générale, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne Olivier TRICON n’a pas ergoté, outre mesure, pour remettre, comme il en a l’habitude, les pendules à l’heure. Et à les régler avec exactitude à celle d’été !

AUXERRE : Par passion, par conviction, les membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne s’investissent dans la défense de leurs intérêts. Comment ? En multipliant la prise de mandats parmi les instances institutionnelles qui sont représentatives de notre société.

Une responsabilité quotidienne que le président du syndicat patronal icaunais met en exergue et encourage à chacune de ses interventions. Lors de la dernière assemblée générale de l’organisme, il n’a pas hésité à en remettre une couche sur le sujet. Rappelant que si certains mandats apparaissaient comme chronophages, ils n’en demeuraient pas moins fondamentaux au bon ordre de marche et à la progression sociétale de la CPME.

Réfutant la théorie infondée qu’il ne se passait jamais rien ou presque au sein de la confédération, Olivier TRICON a salué l’ensemble de ses pairs qui ont opté pour tenir ce type de missions essentielles.

« Dans beaucoup de cas, précisa le patron de la CPME départementale, c’est le chef d’entreprise qui est mis en défaut alors que les mandataires déploient toutes leurs forces, avec talents. Ils réussissent souvent à avoir gain de cause en faveur de l’entrepreneur. Même, si parfois quelques échecs sont à relever : mais, il faut en convenir cela représente un très faible pourcentage… ».

Une omniprésence et un travail assuré en profondeur…

Représentée aux prud’hommes, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne l’est aussi au Tribunal de Commerce. Dans la première instance, Olivier TRICON avoue que la mise en place de nouveaux juges, avec les formations qui en découlèrent, ont pris pas mal de temps en 2018.

« Prendre ses marques et suivre les parcours pédagogiques tout en étant opérationnel le plus rapidement possible ont supposé une mobilisation sans bornes de nos représentant. Au Tribunal de Commerce, nous suivons tous les ans les différentes possibilités d’y intégrer des juges issus de la CPME. Mais, nous travaillons de concert avec les représentants du MEDEF… ».

Poursuivant ce tour d’horizon, le responsable du syndicat patronal de l’Yonne évoque les relations établies avec la Chambre de Commerce et d’Industrie.

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« Nous sommes partenaires avec l’organe consulaire, explique-t-il, nous intervenons sur des actions très ciblées qui concernent le milieu de l’entrepreneuriat. Tels que les RIDY ou « Monte ta boîte ». Par l’intermédiaire des mandats que nous honorons au sein de la CCI, nous avons aussi des échanges réguliers et constructifs avec le président Alain PEREZ… ».

Reste la Chambre des Métiers et de l’Artisanat où les intentions demeurent identiques aux précédentes structures. « Nos représentants restent vigilants, observe le président TRICON, ils sont en éveil pour essayer de faire avancer les choses positivement… ».

Pour aller encore plus loin dans ce travail en profondeur qui apparaît comme indissociable des missions régaliennes de la CPME, Olivier TRICON vient de confier à l’une de ses adhérentes, Florence TROTTIN, la responsabilité de la commission des mandats. Cette dernière vient de répertorier la liste de tous les mandats envisageables et possibles par le syndicat patronal sur le territoire.

Une jauge de cinquante nouveaux membres en 2018…

Fort du travail de prospection qui a été réalisé avec brio par la secrétaire générale départementale du mouvement, Emmanuelle MIREDIN, le président TRICON s’est félicité de la venue de cinquante nouveaux adhérents parmi les effectifs.

Provenant de différentes strates de l’économie, ces jeunes impétrants constituent un remarquable vivier devant assurer à court terme le flux de représentativité dont le syndicat a besoin au détour de ces nombreux mandats à occuper.

   


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En atteignant 97,4 millions d’euros au 31 décembre 2018, la Banque Verte améliore de 1,9 % son résultat net par rapport à l’exercice antérieur. Proposant un coût du risque maîtrisé, l’établissement régional peut faire progresser les encours de sa collecte grâce aux dépôts à vue et par le biais de l’épargne bancaire. En particulier, celle qui est déclinée grâce aux livrets et à l’épargne-logement. Rentable et performante, la banque régionale n’en obtient que du satisfecit de la part d’une clientèle de plus en plus fidélisée et en pleine croissance…   

DIJON (Côte d’Or) : Décortiquer les ingrédients statistiques fournis par le service de presse du Crédit Agricole Champagne Bourgogne au lendemain des deux assemblées générales ordinaires perpétrées à Troyes et  à Dijon permet de mieux appréhender la situation économique réelle de l’établissement. Que dire à l’énoncé de ces chiffres flatteurs qui traduisent avec exactitude le bilan précis d’un exercice 2018 plutôt revigorant ?

Primo, le Crédit Agricole Champagne Bourgogne se porte bien. Secundo, les indices de satisfaction obtenus auprès de sa clientèle de particuliers et de professionnels excellent. Tertio, plusieurs seuils de référence, en particulier l’indice IRC qui est en hausse, atteignent des niveaux historiques. Bref : tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes du côté de cette banque qui ne cesse de cultiver son ancrage territorial en y soutenant l’investissement.

Les multiples assemblées générales, relayées à l’échelle des quatre départements où sont implantés les services de la structure entrepreneuriale, regorgeaient de sociétaires ces dernières semaines. Montrant que le fil d’Ariane entretenu avec dextérité entre le banquier et son client est loin d’être rompu.

A l’heure du numérique à tout crin, le leitmotiv de l’ingénierie à l’estampille de la Banque Verte n’est-il pas le suivant : « 100 % digitale, 100 % humaine ». Alors que la satisfaction est indissociable à son succès, le Crédit Agricole régional gère aujourd’hui un portefeuille de plus de 27 000 clients. Beaucoup bénéficient de multiples services et prestations déclinées par l’une des 144 agences de ce réseau de proximité.

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Des crédits toujours en progression…

Avec un montant global de 1 959 millions d’euros, la courbe des crédits enregistre une progression de 2 %. Un état de fait qui prouve que l’établissement financier souhaite rester un acteur et un partenaire économiques au premier plan dans sa zone de prédilection.

Dans l’absolu, ce sont les particuliers qui bénéficient de cette manne qui n’a rien de providentielle. Notamment pour concrétiser des projets liés à la consommation et à l’habitat. Viennent ensuite les entreprises. Celles-ci ont des besoins en équipement et en trésorerie.

Dans les faits, les encours des crédits ont connu une augmentation de 4 % au terme de 2018.

Mais, 2019 n’est pas encline à une inversion de tendance. Bien au contraire, l’optimisation de nouvelles offres (EKO, Bien vivre à domicile, Trajectoires Patrimoine) impulsent de nouvelles opportunités pour ce réseau bancaire désireux d’apporter des réponses concrètes et efficientes à sa clientèle. Le Crédit Agricole dispose de capacités suffisantes pour abattre la carte de l’adaptabilité.

Grâce à ce pragmatisme mis en exergue par les 1 707 collaborateurs du groupe, le réseau maintient son cap. Malgré un produit net bancaire en retrait de 2,3 %, imputable au faible niveau des taux d’intérêt et du renforcement de la sinistralité de l’assurance-dommage. Le PNB s’élève à 337,5 millions d’euros. Quant aux charges de fonctionnement, elles sont maîtrisées (+ 1,7 %).

Reste l’analyse de quelques chiffres clés qui rassérènent sur l’état de santé de l’établissement. Deux milliards d’euros de nouveaux crédits ont été octroyés dont 800 millions d’euros destinés aux financements des entreprises, agriculteurs et collectivités publiques. Le nombre de contrat d’assurances de biens et de personnes s’établit à 373 461 euros. Quant à l’épargne collectée, elle représente 17 175 millions d’euros. Soit 29,11 % de parts de marché en collecte bilan au mois de décembre 2018.

 


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