Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Directeur du département « Opinion et stratégies d’entreprise de l’IFOP », Jérôme FOURQUET, diplômé de l’Institut d’études politiques de Rennes et titulaire d’un DEA de géographie électorale (Université Paris VIII), possède une expertise de vingt-et-un ans. Intervenant sur toutes les enquêtes d’actualité, ses pôles d’expertises portent notamment sur les enjeux électoraux, les sujets économiques et sociaux, les fractures territoriales et les questions internationales et de défense. L’auteur de « L’Archipel français », prix 2019 du livre politique, décerné par un jury réuni à l'Assemblée nationale, était l’hôte du Cercle Condorcet de Sens…

TRIBUNE : « Les géographes définissent un archipel comme un ensemble d’îles relativement proches les unes des autres. Cette image permet décidément de bien rendre compte des processus en cours au sein de la société française.

Celle-ci se compose de différents groupes ayant leur propre mode de vie, des mœurs bien à eux et parfois une vision du monde singulière. A l’image des îles d’un archipel, ces populations vivent à l’écart les unes des autres, tout en entretenant bien sûr des rapports entre elles... »

Il s’agit d’un constat. Sans parti pris, dépourvu de toute idéologie sur la France d’aujourd’hui pour mieux comprendre « les lignes de fractures » de notre société contemporaine et saisir les enjeux sociaux et politiques de cette fragmentation. Il émane de Jérôme FOURQUET, un spécialiste en la matière. Ces éléments éclatés permettaient-ils de faire une nation ?

« Nous sommes confrontés à un processus d’ « archipélisation » croissante du corps social. De multiples lignes de faille - éducative, géographique, sociale, générationnelle, idéologique et ethnoculturelle- s’entrecroisent engendrant autant d’îles et d’îlots plus ou moins étendus ».

La République française se déclare une et indivisible dans sa constitution. La souveraineté du peuple repose sur cette disposition. Cinq républiques ont montré que cette construction politique a été un combat constant pour les partis politiques et les groupes sociaux qui s’en sont fait les défenseurs.

Peut-elle encore aboutir ? Ou est-elle en voie de se défaire ? C’est la question que pose l’important ouvrage de Jérôme FOURQUET.

 

 

 

Etre « côte à côte » aujourd’hui, mais demain en « face à face » ?

 

Il observe depuis au moins cinquante ans une transformation inédite de la France : à travers la dissolution des matrices originelles, chrétiennes et républicaines laïques, dont la quasi disparition du communisme municipal ; l’individualisation des parcours de vie, la sécession des « diplômés » se regroupant dans un quant à soi plus large que les traditionnels « riches ». Ils témoignent notamment de cette transformation qui s’est concrétisée dans la dernière élection : un président et un parti nouveaux, renvoyant les anciens partis dominants, de droite et de gauche, à des portions congrues.

Autre analyse intéressante qui ne peut qu’interpeller : celle faite à travers l’évolution des choix de prénoms (l’anthroponymie : étude des noms de personnes, ici des prénoms plus particulièrement...marqueurs culturels des changements vécus par la société) avec l’évolution des formes d’union, ou l’évolution des revendications sociétales nouvelles (mariage pour tous, PMA, etc.). Une nation différente, multiple et divisée se dessine selon les conclusions de Jérôme FOURQUET. Une société en forme d’archipel dont les composantes appartiennent certes à un socle commun, mais qui se sont séparées en îles plus ou moins autonomes, ou désirant l’être. « Côte à côte aujourd’hui...et demain en face à face ? ».

La solidarité au principe de notre nation pourrait-elle faire défaut, avec ce néo-libéralisme qui ne serait que la poursuite des intérêts individuels ?

Les oppositions droite-gauche, chrétien-républicain, chrétien-communiste, qui ont structuré la vie politique française depuis deux siècles, et contribué aux progrès de la société sont-ils devenus inopérantes, voire sans fondements ?

Jérôme FOURQUET, après avoir observé cette évolution très rapide et inattendue, s’interroge sur ce que pourrait devenir cette nation. Il a accepté d’exposer ses analyses et de débattre avec nous de la question qu’il pose lui-même en bandeau rouge : où allons-nous ?

 

Michel GANDOLFO

Président du Cercle Condorcet de Sens

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le B.N.B. serait-il un principe utopique ? Une belle promesse électorale de plus ? Un rêve inaccessible ? Une réalité qui ne s’applique qu’au Bhoutan ? En France, comme partout ailleurs, on se focalise sur le P.I.B. (Produit intérieur brut). Soit la somme des richesses qui est créée par les acteurs économiques nationaux. Seul Nicolas SARKOZY a évoqué en son temps ce fameux « bonheur national brut » au cours de son mandat. Alors illusion ou opportunité ?

TRIBUNE : Depuis, la seule évolution concrète, c’est la création d’un système de climatisation gratuit dans nos ministères. On répartit d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous privent d’air !

Du « vouloir vivre », on exprime de plus en plus le « vouloir être », les « ardents » selon THEILLARD de CHARDIN. Dans sa propédeutique de la spiritualité, ce dernier les oppose aux « pessimistes » et aux « jouisseurs ». Quelle est la place de l’homme dans les choix économiques et dans l’évaluation des pays ?

En France, on recense neuf millions de pauvres, quatre millions de mal logés, 150 000 sans domicile fixe. Rien qu’en 2018, 600 SDF sont morts tristement dans la rue. De simples faits au regard de la mesure du P.I.B. !

On compare les pays grâce au sacro-saint P.I.B. Mais que vaut réellement un pays, encore mieux que vaut l’individu ? La mesure est la suivante : le PIB par habitant s’élève à 43 000 dollars américains en France. Il est de 600 $ en Centrafrique, 126 000 $ au Qatar…et 3 000 au Bhoutan.

 

Le Bhoutan, petit pays d’Asie vertueux ?

 

Ce pays de l’espace himalayen a décidé de reléguer le PIB bien après le bonheur de ses habitants. Ainsi, le B.N.B (bonheur national brut) fût décidé en 1972 par l’ancien Roi, Sigme Singye WANGCHUK. C’est une approche transversale et holistique dans les domaines concernés. Elle se base sur les techniques qui couvrent neuf domaines (vitalité, éducation, bien-être psychologique…). Trente-trois indicateurs et cent-vingt-quatre variables déclinent ces domaines.

La place de l’économie au Bhoutan est centrée prioritairement sur l’écologie (Bilan carbone négatif). L’évaluation du B.N.B. se fait par enquêtes et chaque loi doit être validée par la commission ad hoc. Celles-ci permettent de s’intéresser à la population non encore heureuse : celle dont le seuil de suffisance est atteint dans moins de six domaines et définie par un pourcentage.

 

 

 

Ledit pourcentage est donné par X. On étudie ensuite l’ampleur des insuffisances : c'est-à-dire le pourcentage des domaines en insuffisance dans cette population. Ledit pourcentage est appelé Y. La formule magique pour calculer la valeur du B.N.B. est celle-ci : 100 % - (X) (Y)]. Afin d’améliorer l’indice, il faut donc diminuer X et Y !

 

Il est grand temps de changer de paradigme…

 

On peut étudier des modèles mis en pratique qui semblent pertinents ! Le beurre oui, mais pour l’argent du beurre, il faut attendre un peu. Le Bhoutan a la réputation d’être le pays le plus heureux de la planète mais il reste très pauvre.

Pour une transposition dans nos pays, il faudra se poser la question centrale : qui est légitime pour définir ce qui compte le plus pour évaluer le bonheur du citoyen ?

Changer de paradigme, c’est transformer nos modèles et les orienter  vers une meilleure répartition des richesses. Les freins à notre bonheur sont les inégalités sociales, la crise écologique…

Autant de thèmes qui appellent de toute urgence un changement des mentalités et du cadre de référence. Le B.N.B. rappelle l’article 1 de la constitution du 24 juin 1793 : c’est-à-dire le but de la société, « le bonheur commun » !

Il n’y a pas de déductions hâtives à avoir : le chanvre pousse comme du chiendent au Bhoutan, certes, mais ce n’est pas pour autant que les bhoutanais fument du cannabis pour exprimer leur bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le renouvellement de la convention-cadre établie entre le Conseil départemental de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) ne fut que pure formalité entre ses signataires, ce vendredi 20 février à Auxerre. Tant l’évidence primait sur l’acceptation d’un accord déjà bien ancré dans la pratique de ce partenariat depuis 2008. Vingt-cinq agents de la collectivité territoriale en sont les bénéficiaires. Avantage suprême : leur employeur institutionnel leur autorise du temps pour qu’ils puissent se former et agir lors de missions dévolues à leurs tâches…

 

AUXERRE : 80 % des actions enclenchées dans le cadre de la sécurité civique reposent sur le principe éthique du volontariat. Autant dire que pour le corps des sapeurs-pompiers, il est inconcevable de négliger une telle matière première dont il est bon, avec la constance régulière d’un métronome, de raviver la mémoire et raffiner la quintessence altruiste de ces bonnes âmes lors de manifestations spécifiques.

Pensé en 2017, le Plan d’action visant à recruter des sapeurs-pompiers volontaires, voulu par Gérard COLLOMB, ministre de l’Intérieur de l’époque, n’est pas passé inaperçu dans le sérail local. Présentant un intérêt inéluctable pour les soldats du feu et les structures institutionnelles qui sont inféodées à leur mode de fonctionnement. A l’instar du Conseil départemental de l’Yonne.

Il est donc logique, voire légitime, que l’organe représentant le pouvoir politique exécutif de notre territoire fasse usage d’exemplarité dans la promotion de ce dossier vertueux.

Depuis 2008, et bien avant les opérations nationales menées à grand renfort de communication, un certain nombre de collaborateurs de la structure avait fait connaître leur intention de s’engager en faveur de cette noble et valeureuse cause. Au service de leurs concitoyens.

 

 

Elles et ils sont désormais vingt-cinq de cette vénérable maison à offrir de leur précieux temps pour renforcer les équipes de professionnels déjà en place au sein des différents centres d’intervention de l’Yonne.

Devant cet engouement volontariste à la déontologie dénuée de toute ambiguïté, le Département ne pouvait rester insensible à ces engagements salvateurs pour les services de secours de notre territoire.

D’où l’idée que l’on puisse accorder du temps supplémentaire à prendre sur sa présence au travail afin d’accroître ses connaissances techniques à la suite de formations ou pour épauler les équipes en intervention.

 

 

Un principe gagnant/gagnant pour les secours et les employeurs…

 

Très tôt, les résultats se sont avérés positifs. Si en 2017, trente-neuf sapeurs-pompiers volontaires exerçant leur activité professionnelle dans une vingtaine de sociétés publiques et privées avaient paraphé ce document (l’accord tripartite entre l’employeur, le SDIS et le Département), leur nombre devait dépasser toutes les espérances en ce début d’année.

Cent-quarante personnes, salariées dans soixante-quinze entreprises, ont rejoint les effectifs des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) de notre territoire.

A la grande satisfaction du président du SDIS, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département, et du directeur de l’instance sécuritaire, le colonel Jérôme COSTE. Ce dernier était accompagné pour la circonstance lors de cette cérémonie officielle par le colonel Pierre BEPOIX et le commandant Gilles ROGUIER.

 

 

 

Grossir les rangs des sapeurs-pompiers volontaires demeure la priorité du Département et de son président, Patrick GENDRAUD, y compris auprès de ses propres collaborateurs. A ce jour, l’Yonne en dénombre plus de mille trois cents cinquante. L’objectif est de gagner encore de la visibilité auprès des employeurs et de leurs salariés.

La mise à disposition par l’entreprise de cinq jours consacrés aux aspects pédagogiques et théoriques peut inciter les personnes intéressées à franchir le cap. Celui de l’engagement en faveur d’un acte citoyen qui peut vite devenir profitable pour l’entrepreneur lui-même si un sinistre ou un incident de travail venait à se déclarer dans ses locaux.

A bon entendeur, pour les chefs d’entreprises ou directeurs de service, qui auraient encore des doutes sur la pertinence déontologique d’une telle initiative…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !

Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.

Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.

A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.

 

 

Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…

 

Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !

A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.

L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.

 

 

Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.

La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.

La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…

Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil