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Le retour du 90 km/h sur certains tronçons dans l’Yonne sur la bonne voie ? Le Département tâte le terrain…
décembre 23, 2021Une chose semble déjà évidente : la consultation engagée par le Département de l’Yonne depuis le 01er décembre sur le possible retour à la normale, soit 90 km/h sur certaines routes départementales, mobilise les internautes de notre territoire. Même s’il reste encore quelques jours d’ici le 31 décembre pour répondre au questionnaire figurant sur le site de l’organe institutionnel, les Icaunais ont un avis et le font savoir !
AUXERRE: Visiblement, la prise de pouls des citoyens par le Conseil départemental de l’Yonne sur l’épineuse question de la remise aux normes de la vitesse autorisée à 90 km/h sur nos routes passionne les internautes icaunais. Débuté au premier jour de décembre, via le site numérique de l’organisme, celle-ci s’achèvera le 31 de ce mois, le jour de la Saint-Sylvestre. Peut-être sera-ce l’occasion d’aborder la question entre la dinde et le fromage lors du traditionnel réveillon, susceptible d’être agrémenté par ce genre de propos ! Il faut bien trouver des sujets de discussion divertissants en cette période de rebond de la pandémie !
Toujours est-il que l’hypothétique retour à une vitesse plafonnée à 90 km/h ne concernerait pas la totalité des 4 875 kilomètres de routes départementales que compte notre territoire. Qui plus est, si cela venait à se réaliser en 2022, la décision ne s’appliquerait que sur quelques tronçons clairement identifiés.
Patrick GENDRAUD, l’un des 36 signataires à l’époque du refus…
L’idée de cette consultation populaire ne correspond pas au fruit du hasard. Que nenni ! On se souvient que l’item était au centre de la dernière campagne électorale des départementales de juin. Notamment des candidats de la liste majoritaire, « Unis pour l’Yonne », conduite par le président Patrick GENDRAUD.
A l’époque de l’application de ce texte de loi en 2018, l’ancien maire de Chablis s’était opposé à sa mise en forme. Il s’était offusqué de ce passage en force et sans consultation au 80 km/h qui avait pris tout le monde de court, suite aux préconisations du Premier ministre d’alors, Edouard PHILIPPE. Rappelons pour mémoire que Patrick GENDRAUD est l’un des 36 signataires d’une tribune rendue publique rédigée par des présidents de département insatisfaits par la tournure des évènements.
Rendre sa vitesse normale à cinq cents kilomètres de routes…
Mis en ligne sur le site de l’organe institutionnel, un questionnaire comprenant quelques réflexions fondamentales sur l’appréciation des Icaunais vis-à-vis de la route permet durant ce dernier mois de l’année de recueillir de précieuses indications, sans doute déterminantes sur le verdict qui sera rendu par la suite.
Grâce à la promulgation du texte législatif du 24 décembre 2019, offrant l’opportunité aux départements de revenir à la vitesse antérieure, le Conseil de l’Yonne a pu se saisir de l’occasion afin de consulter les citoyens. Dans un véritable esprit participatif.
S’appuyant sur ces retours informatifs avant d’entériner leurs décisions, les élus devront tranchés pour que 500 kilomètres de routes départementales, dites pénétrantes (celles en liaison avec les territoires limitrophes) et qui les traversent de part en part, soient concernées par ce retour au 90 km/h.
Dans les faits, cela supposerait le changement de près de 500 panneaux de signalisation, la logique, et le coût de 110 000 euros à la charge du Département pour le faire. Une somme, certes, appréciable pour revenir en marche arrière mais qui ne semble pas être un frein…
En savoir plus :
Rappel : l’Yonne reste un département où l’accidentologie est élevée. De juillet 2016 à juin 2018 inclus (soit 24 mois), on dénombre ainsi 225 blessés et 32 tués sur le réseau routier départemental.
De juillet 2018 à juin 2020 inclus, après la mise en place du 80 km/h, ces statistiques s’établissent à 277 blessés et 38 tués sur une période identique.
Aujourd’hui, environ 1/3 des départements métropolitains a fait le choix de revenir, généralement partiellement, à 90 km/h. C’est notamment le cas du Loiret, de la Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte d’Or, départements limitrophes de l’Yonne, qui ont repassé en moyenne 13 % de leur réseau routier à 90 km/h, en ciblant les axes pénétrants et structurants.
Le réseau routier départemental Icaunais représente environ 4 875 km de chaussée. L’installation, nécessaire, de panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h est, en cas de souhait de déroger à la réglementation nationale, à la charge de la collectivité locale gestionnaire du réseau.
Thierry BRET
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Quarante-deux clichés à déguster sans modération : Jean-Michel LORAIN nous régale de sa passion pour la vie sauvage
décembre 18, 2021Ce regard, évocateur et si émouvant, est immortalisé sur la toile. Celui d’un jeune gorille, surpris dans son élément naturel qui fixe avec tendresse l’objectif du photographe. Ce dernier a des étoiles plein les yeux. Normal ! Quand on en est une soi-même sur un tout autre registre qui se nomme la gastronomie ! On connaissait le talent de l’une des grandes toques de la cuisine française derrière les fourneaux. Le voici qui exulte, visuels à l’appui, à travers sa passion de toujours : la photographie…
JOIGNY : Loin de l’univers épicurien fleurant bon les senteurs subtiles de recettes mitonnées aux petits oignons pour délecter les palais des plus fins gourmets de tout horizon, Jean-Michel LORAIN possède lui aussi son violon d’Ingres.
Son inévitable bouffée d’oxygène salvatrice qui lui permet de temps à autre mais avec une régularité constante de se ressourcer. Distillant le bien autour de lui, car il a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la vie animale et la préservation des espèces les plus menacées.
Une voie humaniste et écologiste que le chef étoilé aurait pu vivre sous le boisseau. Dans le secret absolu et en la limitant à son seul cercle familial ou privé. Mais, sa volonté de bien faire pour autrui en protégeant la biodiversité de notre planète en danger s’est révélée la plus forte.
C’est sûr : cette première exposition photographique en appelle déjà d’autres. Sélectionnant la quintessence de l’approche photographique parmi des milliers de visuels qui ont été savamment exécutés, à force d’abnégation, de pugnacité et de patience, le reporter gastronome nous propose un condensé de prises de vue du plus bel aloi.
La beauté troublante de visuels qui immortalisent les sujets…
A leur contemplation, on se surprend déjà à rêver. A parcourir des kilomètres à pied ou en 4X4 à travers la savane africaine pour débusquer un félin se reposant au beau des milieux des herbages. A approcher au plus près ces grands mammifères plutôt dociles que sont les gorilles, nos lointains cousins germains.
Intitulé « Regard Animal », ce rendez-vous artistique est finement ciselé. Dans une mise en scène parfaitement étudiée par l’auteur de ces photographies qui bascule de facto dans l’approche réussie de l’art animalier.
Quarante-deux visuels sont ainsi dévoilés à l’appréciation du public qui peut en admirer le rendu jusqu’au terme de ce mois de décembre. Une invitation au voyage dans les paysages de l’Afrique et de sa contingence animale. Un émerveillement inestimable pour le regard car la beauté des sujets est troublante.
Que dire de cette maman girafe et de son girafeau qui se promènent nonchalamment dans la savane ! De ce couple de singes, la mère et son petit, inscrit pour l’éternité dans ce travail esthétique qui se passe de mots pour le commenter ! De ces oiseaux couchés dans la brillance de ce cadre suspendu à sa cimaise !
L’Afrique est à portée de main. Dans la salle de cette galerie d’art de Joigny (L’app’ART) qui offre une excellente vision à l’ensemble. On ferme les paupières et on laisse courir son imaginaire. Prêt à entendre le feulement d’un guépard qui croise dans les parages !
La vente de visuels au profit de « Dessine-nous un avenir »…
Cerise sur le gâteau : on peut aussi acquérir les œuvres de Jean-Michel LORAIN afin de les mettre en lumière au beau milieu de son environnement personnel ou professionnel. Un achat synonyme d’altruisme puisqu’une partie des recettes obtenues est destinée à alimenter les fonds de l’association que le propriétaire de « La Côte Saint-Jacques » porte depuis plusieurs années avec la complicité bienveillante de son épouse, Karine.
« Dessine-nous un avenir » n’a d’autres objectifs que de sensibiliser les plus jeunes de ces générations à l’urgence de protéger la planète et sa biodiversité. En aidant en parallèle les structures associatives ou ONG qui luttent au quotidien dans l’accomplissement de ces lourdes tâches. Le combat de Jean-Michel LORAIN et de son épouse qu’ils souhaitent partager vers le plus grand nombre…
En savoir plus :
Exposition « Regard Animal » de Jean-Michel LORAIN
Galerie L’app’ART
Jusqu’au 31 décembre 2021
31 rue Cortel - Joigny
Mercredi à vendredi 14h-19h /
Samedi 10h-19h et dimanche 10h-18h
Thierry BRET
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Un tintamarre de protestations devant l’hôtel de ville à Auxerre : des casseroles pour exiger la démission du maire
décembre 17, 2021Curieuse scène qui a interloqué bon nombre de passants jeudi soir sur le parvis de l’hôtel de ville de la capitale de l’Yonne. Une quarantaine de personnes, brandissant cuillères, louches et casseroles, ont organisé un tapage nocturne à susciter l’intervention des forces de l’ordre ! Ces dernières se contentant d’observer du coin de l’œil, à distance, ce rassemblement pacifique mais bruyant proposé sous les fenêtres calfeutrées de la mairie…
AUXERRE : Du bruit, encore du bruit, toujours du bruit ! Non pas de façon comparable aux sonorités émises par les Tambours du Bronx mais suffisamment pour perturber, vu de l’extérieur, la séance plénière du conseil municipal devant débuter aux alentours de 18 heures.
La scène, malgré les décorations de Noël qui scintillent çà et là, est plantée. Pourtant, l’heure n’est pas à la fête. Loin s’en faut !
A l’intérieur de l’hôtel de ville d’Auxerre, les élus municipaux planchent pour l’ultime session de l’année sur les grandes questions du moment, avec le vote du budget dans le viseur devant impulser financièrement la stratégie de la majorité.
A l’extérieur, ce sont une quarantaine de citoyens ayant répondu favorablement à l’invitation d’Auxerre Ecologie Solidarités qui font acte de présence. De manière très remarquée, en scandant par vagues successives des slogans revendicatifs à l’égard de l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois Crescent MARAULT et en frappant avec force et vigueur les ustensiles de cuisine qu’ils tiennent à la main.
Huées et quolibets scandés sur le parvis de l’hôtel de ville…
Une bruyante manifestation, certes très sonore, mais hostile au premier des élus de la ville, surtout après le verdict prononcé par le Tribunal judiciaire de Sens, le condamnant à une période de huit mois d’emprisonnement avec sursis, le versement de dix mille euros d’amende et une inéligibilité d’un an assorti d’un sursis.
Fait rarissime dans les annales pour être cité, les fenêtres de l’édifice municipal étaient toutes occultées par leurs volets de bois. Sans doute pour atténuer le bruit de la colère qui grondait sur le parvis. Il est vrai que ce concert de casseroles (pour certaines pas lavées !) n’avait rien de très harmonieux à l’oreille des mélomanes avertis !
Entrecoupé de quelques interventions faites par Denis MARTIN, le responsable de ce collectif qui a été porté sur les fonts baptismaux il y a peu, ce récital de rythmes effrénés reprenait de plus belle, saluant les propos de l’orateur. Puis à l’évocation du patronyme du maire d’Auxerre, ce furent des huées et des quolibets qui prirent le relais parmi l’assistance. Motivée mais in fine, peu nombreuse.
De temps à autre, Denis MARTIN présentait au public une pancarte où était écrit le message suivant : « Nous voulons un maire intègre ». Le public lui répondait en chœur : « MARAULT démission ! ».
D’autres mouvements protestataires à venir en début d’année…
Vint l’instant où l’élue écologiste Florence LOURY prit la parole pour expliquer qu’une partie des représentants de l’opposition (tous sauf Maud NAVARRE et Farah ZIANI qui furent quelque peu raillées par la foule) s’adresserait en début de séance à l’assemblée municipale réunie au premier étage dans la salle du conseil.
Quant aux motivations des présents à venir protester sous les fenêtres de l’hôtel de ville, elles mettaient en relief « l’absence de probité de la part de responsables de la classe politique peu enclins à l’exemplarité » à leurs yeux.
« Il faut être clean pour exercer un mandat, expliqua l’une des manifestantes, nous autres citoyens, si cela nous arrivait, il n’y aurait pas de sursis ! ».
Une désapprobation unanime que son voisin partagea. « Je n’ai pas voté pour un maire qui a des casseroles ! ».
D’autres mouvements d’humeur de la sorte risquent de se reproduire dans les jours qui viennent, voire dans et semaines à venir, prévient l’un des porte-paroles de l’association Auxerre Ecologie Solidarités.
Certifiant déjà que le prochain conseil de janvier serait du même tonneau. A Auxerre, on ne tape pas sur des bambous mais sur des casseroles pour se faire entendre quand les avis sont en discordance !
Thierry BRET
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Deux nouveaux bénéficiaires sur l’Avallonnais : le PEC, la solution d’inclusion durable dans l’emploi…
décembre 10, 2021Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?
AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !
Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.
Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…
Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.
Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.
Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.
Thierry BRET
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PICQ & CHARBONNIER n’en finit pas de verdir sa stratégie : une seconde station de gaz naturel près d’Avallon
décembre 09, 2021Etre un acteur économique responsable ! C’est ce qui anime au quotidien la pensée de Christophe CHARBONNIER, dirigeant du transporteur PICQ & CHARBONNIER. Une société séculaire qui fait toujours la une de l’actualité. Pas plus tard qu’hier, ce mercredi 08 décembre, où était inaugurée la seconde station de gaz naturel à proximité d’Avallon, près de la bretelle autoroutière de l’A6. Une innovation en faveur de la mobilité durable…
AVALLON : La première de ces stations implantées par la société de transport de l’Yonne, fonctionnant à base de gaz naturel liquéfié comprimé, est opérationnelle depuis 2017. Et quatre ans après son ouverture dans l’une des zones industrielles à Auxerre, de l’aveu de son dirigeant Christophe CHARBONNIER, c’est une réussite en matière d’action favorable à la préservation de l’environnement.
Le GNV propose donc à la filière professionnelle de « verdir » leurs moyens de locomotion et personne ne s’en plaindra à l’échelle de la planète. Surtout après le récent et très alarmiste rapport annuel du GIEC qui n’incite pas vraiment à l’optimisme, du côté du réchauffement climatique et des catastrophes qui en découlent en tout genre !
Une phase de tests avant de lancer le projet à la mi-novembre…
C’est avec la complicité de son partenaire des débuts, GAZ’UP, structure coopérative installée à Montauban, que le transporteur de l’Yonne a pu mettre en place ce projet d’implantation d’une deuxième station similaire à la première.
Il est vrai que GAZ’UP est aujourd’hui le seul réseau de stations de gaz naturel pour véhicules appartenant collectivement aux professionnels du secteur transport. Ainsi, dans l’absolu, toutes les entreprises évoluant sur ce segment peuvent adopter une stratégie volontariste pour devenir des acteurs à part entière de la transition énergétique.
D’autres partenaires se sont également investis pour que ce projet de station puisse aller jusqu’au bout du chemin. C’est le cas de la Région Bourgogne Franche-Comté dont le cheval de bataille, cher à son premier vice-président Michel NEUGNOT, reste l’accélération du processus de développement de la mobilité verte. Via l’hydrogène, bien sûr, mais également le gaz naturel pour les véhicules routiers.
Testée au début du mois de novembre, la station est désormais fonctionnelle, accueillant le précieux gaz à – 140 degrés depuis maintenant trois semaines.
La production de biogaz à partir de méthanisation en 2024…
L’inauguration aura servi de prétexte pour en faire plus amples connaissances et découvrir les potentialités avantageuses offertes par ce combustible naturel.
Le site a séduit l’édile d’Avallon et conseillère départementale Jamilah HABSAOUI, ainsi que la conseillère départementale de l’Yonne, Sonia PATOURET. Toutes deux ont pris part à la séance inaugurale officielle avec la découpe du fameux ruban tricolore !
Au quotidien, les poids lourds de PICQ & CHARBONNIER réalisent l’équivalent du tour de la planète en nombre de kilomètres parcourus. Depuis 2017, la PME s’est dotée d’une flotte de 71 tracteurs et de 15 VL/VUL fonctionnant avec ce fameux GNV sur 130 tracteurs routiers.
L’avenir se préfigure sous de très bons auspices côté initiatives ambitieuses avec la conception in situ de biogaz à partir de méthanisation. Un projet qui pourrait voir le jour à horizon 2024.
Thierry BRET
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