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Petite leçon de chose destinée à nourrir les neurones des néophytes en la matière et des béotiens, en particulier. Qu’est-ce qu’un G.E.I.E. ? On donne sa langue au chat ?! C’est l’acronyme caractéristique qui désigne un Groupement Européen d’Intérêt Economique. Le statut juridique qualifiant précisément « EURACTIS », une structure interprofessionnelle des métiers du droit et du chiffre qui proposait son assemblée générale annuelle à l’Hostellerie des Clos à Chablis. Immersion…

 

CHABLIS : Leur provenance couvre divers horizons géographiques. Des Ardennes à la Marne, de la Côte d’Or aux contreforts jurassiens du Doubs. De l’Ile-de-France, limitrophe, aussi. Sans omettre une petite note spécifique à l’international avec des ressortissants qui exercent outre-Quiévrain, c’est-à-dire la Belgique !

Pourtant, son président d’honneur est originaire des Ardennes : Me Jean-Pierre JOLIOT, avocat honoraire, ancien membre du Conseil de l’Ordre du barreau des Ardennes, ancien membre du barreau de Paris, spécialiste en Droit Pénal et gérant fondateur du GEIE EURACTIS.

Les membres de ce GEIE, regroupant des professionnels du droit et du chiffre (cela comprend des avocats, des experts-comptables, des commissaires aux comptes, des huissiers de justice, des juristes…) aiment converger, une fois l’an – et quand la crise sanitaire ne leur interdit pas l’accès à notre noble territoire !- vers l’Yonne, pour y tenir, conformément à leurs statuts, leur assemblée générale. Parfois en la délocalisant, non loin des coteaux de Chablis, à l’Hostellerie des Clos par exemple, chez Noémie VIGNAUD.

 

Trois décennies de conférences de haute volée au service de la filière…

 

Apparu dans le paysage économique en 1992, EURACTIS, dont le siège social est situé dans le département des Ardennes, fut le tout premier dans l’Hexagone et le second à exister au sein de l’Union européenne. D’ailleurs, à l’international, ses ramifications s’étendent jusqu’en Grèce, au Luxembourg et très prochainement en péninsule ibérique, sur le son flanc ouest, côté Portugal !  

On l’aura compris : la raison première de ce groupement professionnel, son supplément d’âme en somme, est de renforcer les coopérations corporatistes dans des domaines complémentaires en constante évolution, vu sous le prisme de l’Europe, tant au niveau juridique que fiscal mais aussi en conseil à prodiguer aux particuliers et entreprises.

Depuis trois décennies, les réunions de ce GEIE se sont multipliées parmi les différents pays des membres du groupement. Des rendez-vous où devaient se retrouver une somme de personnalités.

On citera volontiers les exemples suivants : Melkior WATHELET, vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Justice et des Affaires économiques de 1992 à 1995 en Belgique, Séverine BRAIL, haut fonctionnaire à la Commission européenne et marraine du groupement, Jean TOUZET, procureur général honoraire, Gilles LATAPIE, ancien président de la Cour d'assises des Ardennes, venu évoquer lors d’une mémorable conférence son dernier opus consacré à l’affaire « FOURNIRET » ou encore Jennifer PICOURY, présidente du Tribunal Judiciaire de CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE.

 

 

Un gros morceau thématique en guise d’amuse-bouche…

 

Au menu de ces retrouvailles, plusieurs réjouissances intellectuelles furent soumises à la sagacité des participants. En guise de hors d’œuvre : « Les modes alternatifs de règlement des différends et le traitement des difficultés des entreprises »". 

Face à une justice de plus en plus malmenée (manque d'effectif dans les juridictions, longueur des procédures...), le législateur a depuis plusieurs années mis en place des modes alternatifs et amiables pour permettre une résolution des litiges (conciliation, la procédure participative, la médiation, l'acte d'avocat...). 

Au quotidien, les praticiens témoignent de l'efficacité de ces procédures qui permettent dans un nombre important de dossiers de trouver des solutions plus rapides et mieux appréhendées par les parties en présence. Au-delà des aspects purement juridiques, il est impératif de prendre en compte selon les situations rencontrées les dimensions tant psychologiques qu'économiques en vue que le praticien apporte le meilleur conseil à son client.

 

 

De la pédagogie, rien que de la pédagogie envers les entrepreneurs…

 

Puis, vint le plat de résistance à ce rendez-vous annuel : des échanges ayant attrait au traitement des difficultés des entreprises. Soit les procédures préventives dites amiables et les procédures curatives dites judiciaires. 

Les procédures de mandat ad hoc, conciliation, sauvegarde, redressement judiciaire et liquidation judiciaire ont alors été évoquées.

Il est primordial d'informer et de sensibiliser les acteurs qui accompagnent quotidiennement les entreprises sur l'existence de la boîte à outil mise en place par le législateur français depuis plusieurs années. Le constat est sans appel, trop peu de dirigeants ou d'entrepreneurs individuels par méconnaissance, crainte voire malheureusement honte, ne sollicitent l'ouverture de procédures amiables ou de sauvegarde.

On les voit trop tardivement pousser la porte des tribunaux de commerce ou des tribunaux judiciaires, selon l'activité exercée. Pourtant, les chiffres sont là. Plus les mesures en vue de pallier les difficultés (difficultés de trésorerie en raison de factures impayées, perte d'un fournisseur, prêts bancaires en retard...) sont prises tôt, plus le retournement de l'entreprise, la pérennité de l'activité et la préservation de l'emploi sont possibles.

Il est donc indispensable que les interlocuteurs privilégiés (experts-comptables, commissaires aux comptes, avocats, établissements bancaires) fassent preuve au quotidien de pédagogie auprès des dirigeants et chefs d'entreprises.

D’où la nécessité de privilégier ces moments forts et spécifiques pour diffuser en termes de communication les messages prégnants auprès de la sphère économique hexagonale.

 

En savoir plus :

En avril 2023, c’est au Portugal à Cascaïs que se retrouveront les adhérents de ce GEIE, avec l'intégration d'un avocat et d'un notaire portugais.

Après 19 ans de gérance d’EURACTIS, Me Jean-Pierre JOLIOT a souhaité la nomination d’un successeur. Me Alexandra JOLIOT-FROISSARD a été élue à ce titre et ce, depuis 2011. De nouveaux membres ont également rejoints ce groupement. Aujourd'hui, le groupement est géré conjointement par Me Alexandra JOLIOT-FROISSARD (avocate au barreau des Ardennes) et Pierre-Nicolas JOLIOT (juriste dans un établissement bancaire régional).

Doté de membres ayant des compétences diverses, le G.E.I.E. EURACTIS a toute sa raison d’être au vu de la prolifération des textes législatifs et la complexité des domaines juridiques émergents qui justifient la nécessité d’un travail en synergie.

 

Thierry BRET

 

 

 


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« Pour vous et pour le territoire, j’ai décidé d’être candidate à ma réélection : je vous le confirme ! ». L’auditoire, présent en nombre dans la salle des fêtes de Cerisiers, en aurait-il douté, ne fut-ce qu’un bref instant ?! A l’aise, au pupitre et micro en main, durant l’exposé de sa profession de foi, la députée sortante de la majorité présidentielle a retracé face à un public fidèle le film de sa vie, publique et personnelle, depuis sa naissance en 1967. « Nights in white satin » chantaient alors les Moody Blues !

 

CERISIERS : Pas une aile de mouche n’aurait pu s’entendre dans le silence presque monacal qui régnait parmi les travées, dès la prise de parole de l’oratrice. Une assistance se voulant policée. Très attentive au moindre des propos délivrés. Une salle qui était forcément toute acquise à la cause de l’intervenante.

Détendue, visiblement à l’aise à l’amorce de l’exercice, cette dernière a gagné en épaisseur. Faisant fi de sa timidité originelle dont elle a su se départir au fil de son mandat de parlementaire et de moult séances de travail au Palais Bourbon. Le sourire aux lèvres et la conviction des mots bien ancrés dans sa bouche, Michèle CROUZET parle. En déroulant son propos.

Elle se raconte, même. Elle remonte le temps depuis sa prime jeunesse, elle, la petite fille des seventies, née au moment du premier vol orbital de Soyouz et de l’avènement des BEATLES (« Sergent Pepper lonely hearts club band ») en 1967.

« C’est l’année où Georges POMPIDOU (ndlr : alors Premier ministre du général de GAULLE) surnommait Jacques CHIRAC, le « bulldozer » ! », plaisantera-t-elle.

Une source d’inspiration révélatrice pour cette fille d’agriculteurs qui a connu la vraie vie en exerçant un emploi ? En tant que gérante salariée, dans un premier temps, puis en rejoignant son époux – assis parmi les premiers rangs -, pour s’associer avec lui et gérer en commun leur entreprise.

 

Une investiture qui ne doit rien au hasard…

 

Il faudra attendre 2017 pour assister à la plongée de Michèle CROUZET dans le grand bain de la politique. Un apprentissage plutôt rude et impitoyable, selon elle, où rien ne lui aura été épargné !

Se présentant sous les couleurs de la majorité présidentielle, d’abord en qualité d’adhérente de La République en Marche, puis, après une légère bifurcation idéologique sous l’égide du MoDem, l’élue de Sens gagne la troisième circonscription de l’Yonne. Au nez et à la barbe de celles et ceux qui ne croyaient pas en elle. Une surprise électorale, à bien des égards, imputable au plus pur des hasards, commenteront ses nombreux détracteurs d’alors.

« Que nenni, rétorque la parlementaire à la tribune avec ce calme olympien qu’elle affiche en surface, déjà à cette époque, le Président de la République m’avait accordé sa confiance et investi à cette candidature. Cinq ans plus tard, Emmanuel MACRON me l’a renouvelée. Cela atteste que cette désignation n’est pas le fait du hasard. Il y en a autour de nous qui ne s’habitueront jamais au réel ni au changement ! ».

Et vlan, voilà une manière ampoulée de régler quelques comptes avec le microcosme politique du cru. Et de remettre aussi les points sur les « i » !

 

 

En combattante des valeurs présidentielles…

 

N’aimant ni les mensonges, ni les manipulations, Michèle CROUZET poursuit ensuite son long monologue, en se dévoilant davantage. Sans fioritures, fidèle à son caractère et à ses engagements, soulignera-t-elle avec force et vigueur. « Moi, je suis loyale et sincère ; je reste conforme à mes valeurs… ». 

Vient le moment où elle évoque sa rencontre faite de feeling avec une personnalité de terrain, de la France du terroir, qui allait changer son orientation politique : François BAYROU.

« Nous nous sommes liés d’une confiance et d’une amitié sans faille, précise-t-elle en parlant du maire de Pau, président du MoDem, mouvement qu’elle a depuis rejoint.

Se félicitant d’intervenir au sein d’une majorité unie autour du locataire de l’Elysée, Michèle CROUZET se dit prête à mener des combats pour défendre les idées et le programme présidentiels.

 

 

Puis, incisive, elle décoche une flèche bien ciblée envers l’un des candidats de sa circonscription qui pourrait peut-être lui ravir la place au soir du second tour.

« Notre territoire ne serait être une zone de jeu pour les personnalités qui n’y habitent pas et passent leur temps derrière les plateaux de télévision… ».

Le très médiatique Julien ODOUL est donc le destinataire privilégié de cette pique ?

Autre leitmotiv revenant sans cesse dans son allocution : la défense du nord de l’Yonne et de ses habitants. « Je veux continuer à vous défendre parce que vous le méritez ! ». 

 

 

Unique candidate à pouvoir se prétendre de la majorité présidentielle…

 

Avant qu’elle ne recentre son discours sur la pleine légitimité de sa candidature, l’un des temps fort de cette intervention : « je suis la seule et unique candidate de la majorité présidentielle, les autres ne représentent que l’opposition… ».

Un argument maintes fois martelé au cours de la soirée qui se déroule sans accroc et ponctuée de salves d’applaudissements. Dans le viseur de cette affirmation, se situe Véronique FRANTZ, l’adjointe en charge des affaires culturelles et patrimoniales de la Ville de Sens. Elle qui n’avait pas caché il y a peu ses velléités électoralistes en brandissant l’étendard de la nouvelle formation de l’ex-premier ministre Edouard PHILIPPE, « Horizons ».

Toutefois, au grand dam de l’adjointe sénonaise, « Horizons » figure désormais parmi le triptyque de la coalition présidentielle, « Ensemble », qui accueille dans ses rangs l’inévitable MoDem et Renaissance, nouveau patronyme de La République en Marche en quête de formule sémantique. Donc, si elle persiste, elle le ferait sciemment en connaissance de cause et sans pouvoir se réclamer du parti du maire du Havre. Dont acte !

EHPAD, justice, scolarité, alimentation, industrie (la société BOUDIN à Maillot), artisanat (le tailleur de pierre Nicolas BONNET), emploi, patrimoine, santé – elle obtiendra une enveloppe de 64,2 millions d’euros pour la troisième circonscription au côté du gouvernement et avec l’inconditionnel appui du ministre des PME/TPE, Jean-Baptiste LEMOYNE -, Michèle CROUZET démontre dans une longue tirade qu’elle a agi durant son mandat. Elle veut en présenter le bilan lors d’un grand inventaire à la Prévert. Entre autres, 3,5 millions d’euros émanant de l’Etat via le ministère du Transport ruisselleront dans l’Yonne septentrionale en faveur de l’accessibilité de la gare régionale de Sens.

 

Le volet sécuritaire aura bénéficié des aides de l’Etat…

 

Enfin, sur le volet sécuritaire qu’elle ne manquera pas d’illustrer, la parlementaire a rappelé que le commissariat de Sens – celui-ci ne connaissait alors que des baisses d’effectifs et ne bénéficiait d’aucun moyen matériel digne de ce nom - a pu enfin se refaire une santé et obtenir gain de cause, grâce à son intervention en haut lieu.

Non seulement, plusieurs ministres de l’Intérieur s’y sont rendus en visite officielle, en couplant leur déplacement avec la visite de l’Ecole de la Police nationale. Mais, en outre, de nouveaux renforts humains sont venus étoffer l’effectif local. Sans omettre des moyens numériques et la dotation de nouveaux véhicules au parc automobile.

En cas de réélection, Michèle CROUZET sollicitera le futur président de l’Assemblée nationale afin de siéger à la commission des affaires sociales.

« Lors de mon prochain mandat, ajoute-t-elle, je désire m’impliquer davantage sur le dossier de la scolarité, sur le grand âge et sur la santé en milieu rural… ».

Pour cela, il faudra obtenir le maximum de suffrages auprès des électeurs les 12 et 19 juin. Affaire à suivre, donc, au terme de ces cinq semaines de campagne où conviction doit rimer avec communication…

 

Thierry BRET

 

 


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Quel plaisir toujours que de mettre ses pieds dans notre belle capitale bourguignonne : Dijon. La ville est magnifique. Et, ce n'est pas son superbe musée des Beaux-Arts qui contredirait cette affirmation ! Gourmande, la cité de Côte d’Or l'est assurément. Ce ne sont pas les chefs de son proche passé, MM. COLIN, BREUIL, THIBERT, BILLOUX, DERBORD, et ceux d'aujourd'hui, MM. FRACHOT, KIMURA, UCHIMURA, ZUDDAS ou encore BURDIN qui prétendraient le contraire !

 

DIJON : Une majestueuse halle de marché, toute proche la  petite charcuterie FAUCHON - pas d'homonymie parisienne !- mérite que l'on en pousse la porte. Rien que pour ses  magnifiques oreilles de cochon en gelée ! A proximité, le Café de l'industrie, histoire de trinquer à la Côte de Nuits, de Beaune ou d'ailleurs ! Bref, la gourmandise coule dans les veines de cette ville, où ne manque que rivière ou fleuve !

 

 

Et voilà notre capitale, promue depuis le 06 mai dernier au rang de nouvelle « Gastropole ». Raison de plus pour découvrir cette Cité internationale de la Gastronomie et du Vin, flambante neuve sur ses sept hectares, en lieu et place  de l'hôtel-Dieu.

Le rosoyant tram nous dépose juste devant. Il est midi, bel horaire pour pareille découverte, non ? L'espace est lumineux et sent encore le neuf ! Quant au dédale pavé, il ne manque pas d'une élégance certaine.

 

 

L’âme et la patine de l’ensemble viendront au fil du temps…

 

Autour de nous, de jolis stands souvent bien achalandés se présentent à nos regards : le « Billot » pour la boucherie-charcuterie, la librairie gourmande, un poissonnier, un commerce de primeur, le manège à moutarde qui propose notamment de découvrir celle d'Orléans (miel et chardonnay mêlés). Un peu plus loin, une vitrine aux impeccables cocottes « Le Creuset », reines des cuissons mijotées ! Mais Dijonnais et Dijonnaises viendront-ils y faire leurs courses ?

Tout est fort joli, manquant encore d'âme et de patine. Elles viendront  sûrement avec le temps. On ne peut cependant s'empêcher de penser, à une enclave quelque peu « bobo-isée », rappelant aussi l'éphémère expérience POKEA dans la zone commerciale sud-sénonaise, en 2016.

 

 

Très chère tranche de pâté en croûte !

 

Pour se rafraîchir -  diantre, nous sommes en Bourgogne ! - la terrasse de la cave est plutôt accueillante : le Haute Côtes de Nuits d'un vigneron est à prix raisonnable (22 euros), contrairement à la tranche de pâté en croûte commandée en accompagnement qui facturée à 9 euros correspond à un tarif de 70 €/kg, soit le double d'un véritable artisan-charcutier (30 euros étant le tarif chez les artisans des « Petits cochons », sis à Saint-Clément). A ce tarif, on eut aimé une petite serviette en papier, histoire de s'essuyer ! Sauf que d'essuie-mains, il n'y eut point.

 

 

L’estomac crie famine alors que les restaurants laissent sur la faim…

 

Midi 45 : il est l'heure de déjeuner ! Le restaurant « La Table des Climats » est à côté. Point de menu extérieur affiché, mais entrons. Las ! L'impeccable maître d'hôtel nous explique navré que ce jour-là, le restaurant est totalement privatisé. C'est vrai que précédemment, nous vîmes entrer une cohorte de messieurs d'un âge certain, portant pour la plupart le ruban ou la rosette de la Légion d'honneur, au revers de leur veston ! Tant pis pour nous, pauvres clients, juste désireux de déjeuner et de payer !

 

 

Le temps passe, mais un autre établissement  « Le Comptoir de la Cité » est juste à l'entrée de ladite cité. Il présente une ardoise alléchante. L'entrée de saison est la suivante : asperges vertes, truite fumée et sabayon moutarde, ce qui conviendrait parfaitement. Il reste des places de libre. Bref, tout va bien pour notre petit quatuor. Sauf que la péremptoire hôtesse de salle nous informe ne pouvoir nous accueillir. Je lui en demande la raison, demeurée sans réponse !

 

 

Une bonne adresse pour déjeuner, hors de la Cité !

 

Nous avions faim. Et, la cité ne le comprit pas ! En reprenant le tram, et descendant à l'arrêt « Godrans », je me dis qu'en France, à 13h40, c'est peine perdue pour déjeuner. Sauf que « Chez Léon », un bouchon lyonnais, haut en couleurs, qui nous accueillit avec plaisir (20 rue de Godrans - 03 80 50 01 07).

Service aimable, cuisine simple et bonne dont une délicieuse tête de veau, et en dessert de bonnes crêpes « Suzette » flambées. Sur la carte des vins, impeccablement écrite sur un cahier, nous dénichons une petite pépite que votre serviteur vous recommande chaudement : un Bourgogne Pinot noir du domaine Philippe et Hélène LIVERA, vignerons à Gevrey-Chambertin, à la concentration intense.

Il est maintenant l'heure de retrouver la gare de Dijon et de monter, dans le TER Bourgogne. Pour quelques mois encore, on peut profiter du confort suspendu des antiques (1975) wagons Corail,  tractés par une locomotive. Dans quelques temps, ce matériel roulant, symbole d'une époque où SNCF rimait avec confort, sera ferraillé et remplacé par de « modernistes » rames « Regiolis », à l'inconfort latent. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Il y a des termes qui ne trompent pas dans le discours des politiques. « Equipe », « déterminisme », « collectif », « compétences », « au service », « territoire », « confiance ». Autant de mots distillés dans les propos avec parcimonie, certes, mais au final qui se révèlent avoir de l’impact pour celles et ceux qui les entendent. Soit les électeurs qui auront à choisir les 12 et 19 juin les membres de la nouvelle Assemblée Nationale. Ces mots, le député sortant de la première circonscription de l’Yonne les a savamment choisis et se promet de les expliquer durant sa campagne de communication…

 

LAINSECQ: « Il est libre, Max », entonnait le regretté Hervé CHRISTIANI sur toutes les ondes radiophoniques de France et de Navarre au printemps 1981. Une simple ritournelle à la musicalité harmonieuse qui allait lui permettre de décrocher les étoiles du succès, à l’heure où la France allait basculer dans le mitterrandisme. Etrange paradoxe !

Libre. Qui a le pouvoir de décider, d’agir, par soi-même. La définition, la plus élémentaire. Mais, « libre », au sens philosophique stricto sensu, correspond à la formule suivante : « c’est agir relativement à une loi que l’on s’est donné à soi-même à partir de l’usage de la raison, de façon impérative et non selon les lois de la nature et de sa sensibilité… ». Bref,  la parfaite autonomie de sa volonté. Donc, de ses actes !

Libre, c’est en substance le credo, clé de voûte à l’ensemble de l’édifice, régulièrement martelé lors de sa conférence de presse, par Guillaume LARRIVE. Non pas avec un « s » en guise de terminaison comme l’aura proclamé en son temps en créant son propre mouvement la candidate désabusée des Républicains, Valérie PECRESSE, au soir du premier tour des présidentielles. Mais, « libre », sans autres fioritures épistolaires et tellement simple à comprendre.  

 

Un candidat qui se veut « engagé pour l’Yonne »…

 

C’est donc sous ce vocable que le député sortant de la première circonscription de l’Yonne, toujours LR et soutenu plus que jamais par l’UDI et le centre droit, se présentera aux suffrages des électeurs les 12 et 19 juin prochains. Un Guillaume LARRIVE plus incisif que jamais dans les réponses faites aux interrogations médiatiques vis-à-vis de cette nouvelle joute électorale qui s’amorce.

D’ailleurs, le mot faisant référence à sa liberté d’esprit (et de ton lors de ce rendez-vous devant lancer officiellement sa campagne) n’est pas le seul à avoir été répété à maintes occasions durant cet entretien. Son corollaire linguistique est l’engagement.

« Engagé pour l’Yonne » figure même en slogan incitatif en haut à gauche de l’affiche dont les équipes de collage placardent allègrement le document depuis plusieurs semaines aux quatre coins de ce secteur géographique si étendu, regroupant 111 localités depuis l’Auxerrois à la Puisaye-Forterre, au Coulangeois à l’Aillantais.

 

Le choix de Lainsecq n’était pas anodin : c’est le cœur de la Puisaye…

 

C’est au cœur de la Puisaye chez l’une de ses ferventes supportrices, l’élue Nadia CHOUBARD, que le parlementaire a décidé de dévoiler sa stratégie de campagne. Celle-ci, devant courir sur les cinq semaines à venir. Elle comprendra vingt-six réunions publiques accueillies dans certaines communes de la circonscription. L’opportunité fut donnée au quadragénaire – Guillaume LARRIVE est âgé aujourd’hui de 45 ans -, d’expliquer avec moult détails la gouvernance de son équipe de campagne.

 

 

D’une part, galanterie oblige envers la gent féminine, Dominique VERIEN fut la première à être présentée par l’orateur. La sénatrice, présidente de l’UDI 89, tout sourire, était visiblement très satisfaite de se retrouver là, d’autant qu’elle intervient en qualité de présidente du Comité de soutien à la réélection du député sortant.

D’autre part, on ne fut pas surpris de découvrir dans le poste de suppléant, le 3ème  vice-président du Conseil départemental et maire de Venoy, Christophe BONNEFOND. Un ami de longue date et fidèle parmi les fidèles de Guillaume LARRIVE.

 

 

La sénatrice et le « développeur du territoire » : compétences et confiance…

 

Evoquant ensuite son désir de poursuivre la défense des intérêts de ses administrés, Guillaume LARRIVE s’est dit « utile de continuer sa mission à l’Assemblée Nationale du fait de son expérience – vingt-cinq au service de l’Etat - et de son énergie ».           

A son actif, l’élu de l’Yonne a aussi publié trois ouvrages, écrivant ce qu’il pensait du microcosme politique et sans craindre le débat d’idées où il aime se confronter. Puis, l’air grave, il réaffirme son engagement à la chose publique, donnant du poing sur la table. Ce qui fera sourire Dominique VERIEN, après un léger sursaut ! Eh oui, ça bouillonne dans le cerveau du candidat LARRIVE qui de l’énergie à revendre !

Impatient d’en découdre sur le terrain, il devait souligner son profond attachement à une candidature d’équipe : « j’y crois profondément et c’est vital pour l’’Yonne ». Insistant sur la présence de Dominique VERIEN, la sénatrice réélue qui a accepté de prendre la présidence de son comité de soutien et sur l’implication de Christophe BONNEFOND, qualifié de « développeur » du territoire du fait de ses diverses responsabilités institutionnelles. Un suppléant qui possède tous les atouts de la compétence et de la confiance, aux yeux de Guillaume LARRIVE, qui en a donc fait son partenaire (au-delà de la sacro-sainte parité qui n’est pas une obligation !) pour mener à bien cette nouvelle bataille où en cas de victoire le président des Républicains de l’Yonne pourrait réaliser la passe de trois. Ce qui est plutôt rare dans l’Yonne pour le même député !

 

Thierry BRET

 

 


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La signature du jour l’a été dans l’un des salons d’honneur du Département à Auxerre. Un simple paraphe apposé au bas d’une feuille ? Que nenni ! Plutôt trois, en vérité ! Permettant au bout du compte d’améliorer de manière très significative la qualité de la prise en charge des usagers et des patients de notre territoire. Une avancée sanitaire qualifiée d’essentielle pour ses signataires, en l’occurrence le Conseil départemental et la Caisse Primaire d’Assurance Maladie…

 

AUXERRE : Voilà un évènementiel qui fera date sur le registre de l’amélioration de la prise en charge des usagers et des patients de notre territoire ainsi que sur l’accélération des remboursements de nouveaux actes médicaux. Celui vécu ce jeudi 12 mai dans l’un des salons du Conseil départemental de l’Yonne. La signature de trois conventions de partenariat, unissant le pouvoir exécutif de notre territoire à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. L’une a porté sur l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), l’autre, sur la Protection Maternelle et Infantile (PMI), la troisième, enfin, mettant en exergue les activités du Centre de Santé Solidarités de l’Auxerrois, le fameux acronyme du CSSA.

 

Du trois en un au service des Icaunais les plus vulnérables…

 

Un partenariat devant impacter l’une des préoccupations majeures du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD : la santé, sujet ô combien épineux dans la France actuelle.

Une invitation à venir signer cet accord considéré comme « très important » pour Gilles BROSSARD, le directeur de la CPAM de l’Yonne. Ce partenariat est le fruit d’un travail collaboratif bien construit entre les services du Département et ceux de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Un dispositif, au final, très abouti et complet, qui comprend la prise en charge des prestations de protection santé maternelle infantile, avec les remboursements d’actes se rapportant aux futurs parents, parents et enfants de moins de six ans – la prévention, la vaccination, le suivi de la grossesse, le soutien à la parentalité - ; quant à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), la CPAM s’engage à traiter dans un délai très court l’affiliation des jeunes – cela concerne deux mille individus sur l’Yonne – et les droits à la complémentaire santé solidaire (l’outil ayant remplacé la CMU en 2019).

 

Un bonus spécifique à l’Yonne : la complémentarité entre centres de soins…

 

Cerise sur le gâteau (« un bonus » comme le stipulera Gilles BROSSARD lors de sa prise de parole explicative), les jeunes gens ciblés par ces dispositifs se voient offrir un bilan de santé complet dans le centre d’examen de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

Un double effet positif au niveau de la mesure, avec le volet sanitaire et prévoyance qui vient s’agréger aux aspects administratifs qui bénéficient de davantage de souplesse.

 

 

Reste le dernier opus à ces multiples conventions importantes : la convention de partenariat entre le  Centre de Santé Solidarités de l’Auxerrois (CSSA) et le Centre d’examen de santé de la CPAM localisé à Auxerre.

Judicieusement, il instaure une complémentarité entre ces deux centres sanitaires – ce qui représente une particularité très spécifique à l’Yonne – sachant que le centre d’examen de santé de l’Assurance Maladie effectuera des actes de prévention tandis que le CSSA fera les soins.

 

Renforcer la cohérence de la politique sanitaire départementale…

 

Mutuellement, et dans le respect d’un principe de réciprocité, les deux centres s’engagent du fait de cette convention à s’adresser la patientèle. Une opportunité heureuse, in fine, afin de proposer une offre sanitaire globale vers ces populations plus vulnérables.

« On arrive ainsi à fabriquer de la complémentarité et une offre de service élargie grâce à ces trois conventions, devait conclure le directeur de la CPMA de l’Yonne, une complémentarité qui s’exerce dans l’accès aux droits, sur l’aspect préventif et sur le volet santé… ».

De quoi renforcer la cohérence de la politique sanitaire applicable sur le territoire telle qu’est déclinée par le Conseil départemental et ses élus, Patrick GENDRAUD, Elisabeth FRESSATO et Gilles PIRMAN, en charge de ce dossier capital.

 

Thierry BRET

 

 


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