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La finale hexagonale de l’épreuve se déroulera dans l’antre de l’Assemblée nationale ! Rien que cela ! Ce sera le 16 novembre prochain. Mais, pas de quoi perturber la toujours sémillante Agathe ROUZAUD dont la voix n’a pas tremblé en assurant son pitch contre de nombreux projets régionaux, tout aussi géniaux que le sien, lors du SIIVIM 2023, le Sommet International de l’Innovation en Villes Médianes, accueilli à Nevers cher à l’édile Denis THURIOT…

 

NEVERS (Nièvre) : Le concept ne manque pas d’originalité. Un véhicule accueillant, sous le principe de l’itinérance, des startups de Bourgogne Franche-Comté qui viennent y concourir en se présentant sous la forme d’un pitch.

Après avoir gagné la sélection départementale icaunaise de ce « Fundtruck BFC 2023 » un peu particulier, la société ECOLLANT et l’une de ses dirigeantes, Agathe ROUZAUD, toujours en verve lorsqu’il s’agit de démontrer les bienfaits de la jeune structure à l’oral, se sont rendus dans le département voisin afin d’y disputer la finale régionale.

 

 

Un moment capital puisque accueilli dans le cadre du 5ème SIIVIM, le Sommet International de l’Innovation en Villes Médianes, se déroulant deux journées durant à Nevers, où participèrent de nombreuses délégations étrangères.

Là, face à quelques pépites territoriales de bon aloi, la porte-flambeau de la société ECOLLANT jettera toutes ses forces et son talent oratoire afin de subjuguer le jury régional de la retenir en vue de la finale nationale du 16 novembre à Paris. Dans un cadre remarquable, le palais Bourbon, siège de l’Assemblée nationale ! Pari réussi pour la jeune Agathe : le billet qualificatif est dans la poche !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Son credo, c’est le soutien. Son objectif, c’est d’être là à tout moment pour aider et accompagner les dirigeants de sociétés dans le pilotage de leur entreprise. Qu’ils soient artisans, commerçants ou professions libérales, Régis JACQUEMET veut être dans l’ombre des gérants de  sociétés, auxiliaire précieux à la prise de décision stratégique. Une mission qu’il exerce depuis 2016, date à laquelle il a fondé sa structure entrepreneuriale qui lui permet de rayonner dans l’Yonne et parfois au-delà…

 

AUXERRE : Sa silhouette s’affiche avec régularité lors des réunions mensuelles déclinées par le BNI local. Trente ans, déjà, que le garçon, volubile et sympathique, exerce son métier dans le domaine de l’accompagnement du dirigeant d’entreprise. C’est dire s’il en connaît un rayon sur le sujet ! Son pitch de présentation où il explicite la création de sa structure professionnelle apparue en 2016 est aujourd’hui bien rodé. « Avec JACQUEMET Conseils, allez vers des lendemains plus sereins ! ». Tout est dit, en matière de confiance. Une confiance que ce personnage aux cheveux un brin bouclés détaille lors d’un rendez-vous pour en savoir davantage sur sa praticité et ses méthodes, inspirées de chez RIVALIS, le leader du pilotage d’entreprise en France, une entité dont fait partie intégrante l’entrepreneur de l’Yonne.

Preuve à l’appui, Régis JACQUEMET ne se départit jamais d’une chemise ou d’une chemisette selon la saison à l’estampille de la fameuse société. RIVALIS ? Un réseau hexagonal de plus de 700 conseillers en pilotage d’entreprise, tous d’anciens managers et/ou dirigeants de sociétés, mais de surcroît des experts dans leurs domaines de compétences. Leur vocation ? Apporter les réponses appropriées aux problématiques rencontrées par les dirigeants qui requièrent leur service.

On a envie d’en apprendre davantage aux côtés de Régis JACQUEMET sur les méthodes usitées pour « piloter » une entreprise. De quoi s’agit-il précisément ?

Réponse de l’intéressé :

« Le pilotage d’entreprise est une spécialité de la gestion d’entreprise, explique-t-il, il permet d’avoir une vision claire et une réponse en temps réel sur toutes les questions et décisions qui engagent la rentabilité de l’entreprise… ».

 

 

Ok, un bon point pour lui. Tout cela semble limpide. Mais, au juste, comment le dirigeant de ce cabinet conseil opère-t-il exactement auprès des patrons de TPE/PME ?

« En fait, je les conseille, les accompagne, les soutient au quotidien dans leurs choix et décisions à prendre dans tous les domaines, précise-t-il, c’est-à-dire la gestion d’entreprise, la trésorerie, l’organisation générale, la rentabilité des devis, le suivi des chantiers, les relations avec le personnel, la facturation et les impayés, le suivi des objectifs… ».

La liste ne semble pas être exhaustive et Régis de rajouter en sus : « le but étant d’optimiser les forces vives de l’entreprise afin qu’elles contribuent au développement de celle-ci ».

Certes, mais il doit bien y avoir le concours d’une aide technologique pour arriver à assurer autant de missions en même temps ?! Que oui ! Il existe un logiciel qui agit en temps réel et permet d’analyser toutes les situations. Un véritable tableau de bord numérique, idéal pour aider le « commandant de bord » Régis JACQUEMET dans ses œuvres.

A 61 ans, notre interlocuteur est en harmonie avec ce qu’il fait au quotidien, heureux et passionné. Un pilote de ligne de l’accompagnement entrepreneurial qui veut éviter à tout prix pour les dirigeants qu’il suit de près de subir des zones de turbulences…

 

Thierry BRET

 

 


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La remarque, à la limite d’une plaisante boutade, émane de l’un des élus du Nord de l’Yonne, soucieux de donner son avis au terme de la cérémonie protocolaire : « au moins, avec la signature du contrat « Territoires en action » entre la Région Bourgogne Franche-Comté et le PETR du Nord de l’Yonne, force est de constater que le PETR sert vraiment à quelque chose ! ». D’autant que l’enveloppe budgétaire obtenue est loin d’être négligeable avec 5,6 millions d’euros à la clé dont 800 000 euros iront directement injecter les projets de la ville de Sens. Il n’y a pas à dire : le PETR, il n’y a que cela de vrai pour aller à la quête aux subventions !

 

JOIGNY : Le coup de pouce est conséquent. Il s’établit à 5,6 millions d’euros et des poussières – le montant exact de ce soutien de la Région Bourgogne Franche-Comté au PETR du Nord de l’Yonne s’élève à 5 698 721 euros – qui font briller les yeux des élus septentrionaux de notre département.

Une manne financière, très importante, devant servir à élaborer le projet de territoire de ce secteur géographique à vocation industrielle et agricole, selon quatre objectifs : l’accompagnement des transitions écologiques et énergétiques, la promotion d’une agriculture locale et durable, l’ancrage de l’endroit en matière d’attractivité, de solidarité et d’agilité (sans doute au niveau économique) et le développement des mobilités durables et solidaires.

 

Une enveloppe spécifique affectée à l’agglomération de Sens

 

5,6 millions, la belle affaire ! Dont une partie (800 000 euros, excusez du peu !) sera affectée au bénéfice de Sens dans le cadre d’une bonification à l’estampille « ville moyenne ». Une manière sympathique d’accompagner les projets stratégiques de l’agglomération sénonaise et ceux-ci ne manquent pas, qu’on se le dise !

Faisait-il donc office de Père Noël bien avant l’heure, le vice-président de l’institution régionale en charge de la Cohésion territoriale, de la politique de la ville, des ruralités et des parcs naturels ? En tout cas, la visite de l’élu franc-comtois Eric HOULLEY – il possède à son actif une autre carte de visite en sa qualité d’édile de la ville de Lure en Haute-Saône – devait en satisfaire quelques-uns, présents parmi les institutionnels dans l’une des salles de l’hôtel de ville de Joigny, accueillant la signature d’un double accord entre la Région et le PETR du cru, à savoir le contrat « Territoires en action » et la convention « Centralités rurales en Région », avec la commune de Joigny.

Le septième vice-président de la Région ne sera pas venu les mains vides avec dans sa besace ces bonnes nouvelles pour le développement territorial. Avec cette somme de belle facture, ce seront autant de réalisations qui sortiront de terre ou qui bénéficieront d’un sérieux lifting côté rénovation, à commencer par les quais de l’Yonne de la cité chère à Nicolas SORET qui en fit brièvement l’inventaire.

 

 

 

Quatre axes prioritaires répondant aux critères de « Territoires en action »

 

« 40 % de l’enveloppe (soit 4 898 721 euros après le retrait des 800 000 euros destinés à la ville de Sens) sera consacrée à l’adaptation au changement climatique, précisera le numéro trois du Conseil régional, cela comprendra des projets de rénovation énergétique de bâtiments publics, et des aménagements urbains qualitatifs, végétalisés et multithématiques… ».

Puis, poursuivant sur sa lancée, Nicolas SORET expliquera dans un deuxième temps l’affectation des crédits dévolus à l’attractivité territoriale. « 45 % de cette enveloppe permettra de créer de nouveaux équipements exemplaires à destination des jeunes. Nous moderniserons aussi les structures existantes telles que les centres socio-culturels ou les clubs sportifs ».

La mobilité, autre vecteur stratégique essentiel de la bascule des territoires vers une transition écologique et énergétique raisonnée, verra ses actions financées à hauteur de 10 % de ces subsides régionaux. Les itinéraires cyclables seront ainsi priorisés parmi les projets. Reste le reliquat de 5 %. L’enveloppe sera dédiée à la santé…

« En injectant ces fonds dans ce domaine, souligne Nicolas SORET, nous souhaitons soutenir la construction de maisons de santé pluridisciplinaires et favoriser l’accueil de nouveaux professionnels de santé sur le territoire… ».

En sus, le maire de Joigny devait rappeler que les aides de la Région ne s’arrêtaient pas là !

« Obtenir grâce au Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) ces fonds ne correspond pas à un solde de tout compte de la part de la Région, devait-il ajouter à l’auditoire composé en majeure partie des élus du PETR du Nord de l’Yonne. D’autres fers sont déjà au feu nous et nous attendons maintenant les fonds européens ! ».

On connaît l’appétence de l’élu socialiste pour trouver des mannes financières qui n’ont rien de providentielles puisqu’elles sont existantes. Son seul credo qui l’anime : « avec les fonds européens, c’est simple, affirmera-t-il, il faut être le premier arrivé pour être le premier servi ! ».

A l’instar de ses coreligionnaires du nord de l’Yonne, il est déjà dans les starting-blocks !

 

Thierry BRET

 

 


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Député LFI de la dixième circonscription parisienne, fils de réfugiés chiliens, Rodrigo ARENAS est membre à l’Assemblée nationale de la Commission des Affaires culturelles et de l’Education. Il fut aussi avant cela, co-président de la FCPE, première fédération de parents d’élèves. Dès le début de l’attaque du Hamas contre Israël, il s’est démarqué d’autres collègues députés Insoumis, en dénonçant dans un courrier interne, «les crimes abominables commis par les combattants et les terroristes du Hamas». Une mise au point confirmée par sa présence avec « SOS Racisme », le surlendemain de l’attaque contre Israël, à la marche organisée à Paris, pour dire « non au terrorisme » en défenseur de l’école de la République et d’une paix sous couvert de l’ONU entre Israël et les Palestiniens…

 

INTERVIEW : Par-delà les discours de circonstance pour dénoncer ce qui vient d’arriver à Arras, quelle est votre position sur l’assassinat, une fois encore, d’un professeur dont le seul crime était de faire son métier ?

Je vais laisser la démagogie aux démagogues. En fait, il y a plusieurs choses qui rentrent en ligne de compte, l’école ne peut pas tout et cela, il faut l’accepter. Ce terroriste, on peut l’appeler comme ça au vu de ce qui s’est passé à Arras, est arrivé en France tout jeune et il est passé par cet établissement. A un moment donné, on voit bien comment influent l’environnement, la cellule familiale, les fréquentations… Quand vous avez un enfant qui rentre dans une déviance, on voit bien que l’école n’est pas capable de traiter ça, cela va au-delà de ses compétences…

Comment justement, parvenir à « rattraper » un potentiel terroriste ?

C’est ce vieux débat qu’il y eut entre Jean-Paul SARTRE et Albert CAMUS, où le premier disait dès 1973 que le terrorisme était la seule arme des opprimés. Ils se sont affrontés à ce sujet, mais SARTRE a travaillé sur le sujet avec un philosophe juif, pour parvenir sept ans après à reconnaître qu’il s’était trompé. Tout cela est un long chemin et si même SARTRE met du temps pour le parcourir, imaginez un enfant ou un jeune ! Il faut accepter de donner du temps pour cela, le problème étant que l’éducation, ce n’est pas « Twitter » : ce n’est pas un réseau social…

 

Comme après chaque attentat, le risque de récupération politique est grand…

A un moment donné, j’appelle mes collègues à arrêter de surfer sur l’opinion et de faire peur aux gens. On a en France un service de police digne de ce nom, des services de renseignement aussi, en revanche, on voit bien, comme avec les fichés « S », que les effectifs ne sont pas en nombre. Mais, cela ne veut pas dire qu’ils sont inefficaces…

 

 

Civils israéliens assassinés d’un côté, populations palestiniennes bombardées de l’autre : comment vous situez-vous ?

En fait, à bientôt cinquante ans, je fais partie d’une génération qui a milité pour la paix entre Israël et la Palestine. J’ai été un fervent soutien du processus de paix signé en 1993. Cette époque, cette mémoire, ne représentent pas l’histoire pour les moins de vingt ans, il faut accepter aussi cette question de génération… Peut-on imaginer, que l’on vive en Israël, à Gaza ou dans les territoires occupés, pendant plusieurs générations, dans une situation où tous les jours il y a des morts, ce que cela peut produire ? Moi ce que je dis, c’est que l’issue ne peut être que pacifique et internationale. Mais pour faire la paix, il faut être deux et que chacun accepte des concessions. Le problème aujourd’hui est que l’on a un gouvernement israélien, par la voix de son premier ministre, qui ne veut pas faire la paix et en face, un groupe armé qui s’appelle le Hamas, qui à mon sens n’est pas une armée de libération nationale, mais issu des Frères musulmans, qui veut imposer un état islamique aux antipodes de mes valeurs. Et qui a les moyens financiers et militaires pour organiser ces attentats. Ce n’est pas une guerre, une guerre c’est contre une armée, pas contre une population désarmée… Nier aujourd’hui que cela soit lié à un processus historique sur plusieurs décennies, c’est être borgne. Il y a de la souffrance, des gens sont en train de crever, mais cette solution est une impasse politique, à la fois pour les Israéliens et les Palestiniens…

Quel peut-être le rôle de la France dans ce conflit ?

Je pense que nous avons un rôle à jouer, même si l’on est « tricard » au Liban et que la diplomatie française, avec Emmanuel MACRON, ait vu diminuer ses moyens. Mais par contre, nous avons les moyens de peser, dans le cadre de l’ONU, en soutenant son président, António GUTERRES. Il est là notre rôle, de soutenir ceux qui sont au-dessus de la mêlée et ont les moyens de faire une intervention menant à la paix, mais cela va prendre du temps. Je ne dis pas qu’il faut choisir un camp, car le seul camp, c’est celui de la paix. Mais force est de constater que la France dans tout ça, elle est absente…

 

Pour en revenir à l’école, diriez-vous qu’elle est aujourd’hui à deux vitesses ?

Vous avez aujourd’hui un gouvernement, parce que c’est son projet, qui abime l’école publique, son image et les moyens qu’elle a pour fonctionner, en privilégiant le privé, y compris les écoles hors contrat avec l’Etat. C’est pour cela que je parle même d’une école à « trois vitesses ». Jusqu’à présent, public ou privé, les enseignants étaient payés avec l’argent public. Aujourd’hui, ce n’est plus tout à fait ça, avec une partie de la population faisant sécession, ayant suffisamment de moyens pour le bâti, les profs, les contenus, etc., qui construisent une école à leur image où cultiver l’entre soi. Ils n’en ont rien à faire de la République ! Clairement, aujourd’hui, pour pouvoir sauver l’école, il faut lui réserver 100 % des fonds publics et je suis partisan de la suppression des subventions aux écoles privées puisque nous n’avons plus les moyens de les entretenir. On nous explique qu’il n’y a plus d’argent, mais par contre, on en aurait assez pour payer les écoles faisant une sélection d’entrée, là où le service public a obligation d’accueillir tout le monde mais sans les moyens de le faire. On ne peut plus continuer comme ça… 

 

L’école est-elle encore un ascenseur social à vos yeux ?

Du fait de l’inégalité scolaire et des inégalités sociales, on arrive in fine à ce que l’école française soit devenue, ce n’est pas moi qui le dit, mais les statistiques, la plus inégalitaire d’Europe. Ce rêve de méritocratie républicaine permettant quand on est mal né, de parvenir à l’élite de la nation par le biais de l’école, ce n’est plus vrai ! Le mythe sur lequel reposait l’école est interrogé par la réalité. On fait partie d’une génération qui croyait à l’ascenseur social, cela faisait notre culture commune. Aujourd’hui, plus personne n’y croit. Quand vous abimez le socle philosophique et idéologique sur lequel repose l’école et bien vous êtes en crise… On a trois ministres de l’Education nationale qui se sont succédés, qui viennent du privé et pas n’importe lequel, « Stanislas » pour l’un, « Ecole Alsacienne » pour les deux autres, les gamins « mal nés », ce n’est pas leur business ! Et d’ailleurs, il n’y a qu’à voir l’entourage d’Emmanuel MACRON pour s’en convaincre…

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 

 


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Il l’écrit lui-même sur son compte Facebook, livrant ainsi ses états d’âme sur la toile : « ce jour restera gravé à jamais dans ma mémoire ! ». Un jour, certes qui n’est pas ordinaire pour l’élu de l’opposition auxerrois. Car, il est synonyme d’accession à la présidence de l’association des « Résidences Jeunes de l’Yonne ». Une nomination à laquelle est très attachée Rémi PROU-MELINE qui entend bien relever les défis inhérents au devenir et à la pérennité de l’établissement.

 

AUXERRE : En guise de préambule : à quoi sert exactement l’association des « Résidences Jeunes de l’Yonne » ? Proposant des solutions d’hébergement aux adultes âgés de 16 à 25 ans, cette structure accueille celles et ceux de cette frange de la population qui sont dans l’obligation de se mouvoir pour les besoins de leur travail ou pour suivre des études sur notre territoire.

Communément appelés « foyers des jeunes travailleurs » mais aussi « résidence sociale », ils sont destinés à recevoir en leurs murs apprentis, étudiants, intérimaires, stagiaires mais également des travailleurs qui bénéficient d’un contrat en CDD ou en CDI.

Toutefois, ce qui anime plus particulièrement ces endroits à privilégier lorsque l’existence nous amène à s’installer dans une nouvelle ville, ce sont les programmes inhérents à leurs animations diverses, proposées de manière hebdomadaire.

Soirées à thème, ateliers cuisine, activités sportives, espace détente et loisirs, mais aussi conseils de vie sociale y sont proposés avec les équipes ad hoc, destinées à porter la cohésion sociale au sein de ces établissements.

 

Un investissement de plus sur le territoire…

 

A Auxerre, la structure a célébré le cap de son cinquantième anniversaire. Elle est désormais, et ce depuis début octobre, présidée par l’élu d’opposition de l’Auxerrois, Rémi PROU-MELINE.

« Je ferai tout pour être à la hauteur de la confiance qui m’a été accordée, explique le nouveau responsable, d’autant que la jeunesse, l’échec scolaire et la précarité étudiante sont des sujets qui doivent être ardemment défendus aujourd’hui et qui me touchent tout particulièrement… ».

Opérationnelle depuis 1969, la structure accueille une population qui se doit d’être accompagnée pour faciliter son intégration dans la vie sociale. Deux bâtiments, un foyer des jeunes travailleurs et une résidence sociale, constituent cette offre d’accueil indispensable à ces réussites. Plus de quatre cents jeunes transitent chaque année par ces hébergements.

« J’ai connu dans mon parcours de vie des étapes, des épreuves et des personnes qui m’ont poussé à m’investir pour mon territoire, ajoute Rémi PROU-MELINE.

Une motivation supplémentaire, sans doute pour le nouveau président, pour faire de ce mandat un sacerdoce ?

 

Thierry BRET

 


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