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Que les amoureux de Dame Nature se rassurent, on en reprend donc pour dix ans, seulement ! Cela aurait pu être pire, en effet, si aucune date butoir n’avait été précisée à l’issue de ce vote au résultat pour le moins curieux, en mode « bal des hypocrites » ! Croisons les doigts pour qu’il y ait désormais de réelles alternatives à l’utilisation de cet herbicide, très controversé dans le landerneau, y compris par les agriculteurs eux-mêmes qui en sont les premières victimes au niveau de leur santé. Un état de fait qui toutefois n’aura pas convaincu les états de l’Union européenne de s’en débarrasser une bonne fois pour toute, comme il était permis d’espérer !

Ainsi, la montagne européenne a donc une nouvelle fois accouché d’une souris. Toute minuscule et chétive soit elle, sans doute déjà en proie à l’empoisonnement qui lui sera fatal ! Entre une série de frappes massives sur la bande de Gaza et quelques missiles supplémentaires expédiés depuis la Russie de manière anodine aux alentours de Kiev, la décision de la Commission européenne est donc passée comme une lettre à La Poste au beau milieu de la semaine, quasiment inaperçue, et sans que cela provoque des cris d’orfraie des foules en délire, battant le pavé sous la pluie dans les rues de nos métropoles.

Pourtant, il y a réellement du souci à se faire. Déjà au niveau de l’environnement, ultra saturé de pesticides en tout genre, idéal pour notre santé et celle de nos amis, les animaux !  Quid d’ailleurs des végétaux qui ne cessent de crever et de dépérir à force de se rassasier de toutes ses molécules chimiques !  

 

 

Déjà en 2018, l’Union européenne avait prolongé de dix ans…

 

Véritable serpent de mer de la sphère agricole depuis bientôt une décennie en Europe, le glyphosate est donc revenu par la petite porte dans l’actualité, ces jours-ci. A la manière discrète d’un chômeur, venu pointer à l’agence de Pôle Emploi locale, histoire de renouveler coûte que coûte le bail de ses indemnités, et disparaître de nouveau dans la nature. Car, c’est vrai : le glyphosate et ses effets tant décriés sur notre métabolisme ne font plus guère la une des médias. A tort, peut-être, car finalement les lobbyistes auront été les plus forts avec ce vote étonnant de l’Europe, survenu à Bruxelles – le paradis des lobbys puisque cinq mille personnes y promeuvent les intérêts de toutes les structures d’influence sur l’espace institutionnel – ce jeudi 16 novembre.

Il y a cinq ans, l’Union européenne avait déjà dû débattre sur la thématique suivante et ô combien kafkaïenne, « faut-il interdire ou non ce produit » sortant des usines du groupe MONSANTO depuis 1974 ?

En 2018, l’Europe avait déjà choisi la manière la plus « noble » pour tenter de résoudre le problème – c’est-à-dire les risques de cancers développés par l’utilisation intensive de cet herbicide foliaire systémique - : en bottant en touche le dossier en prorogeant de dix années supplémentaires son utilisation dans les campagnes du Vieux Continent. La nouvelle session, il y a quarante-huit heures chrono, sur le sujet ressemble à s’y méprendre à la version initiale de ce feuilleton aux multiples épisodes qui exaspère de plus en plus les écologistes – ils sont contre son usage - et les agriculteurs – ils sont pour car selon eux, aucune alternative n’existe à l’heure actuelle dans le catalogue pourtant très éclectique des industriels -.

 

Des études réalisées par des spécialistes aux contours contradictoires

 

Jean COCTEAU écrivait jadis que « la vie était un éternel retour ». Il n’avait pas tort. Comme le prouve cet exemple très actuel qui pollue le monde agricole depuis si longtemps. La décision de proroger de dix années de mieux l’emploi de ce produit potentiellement cancérogène selon certaines études, notamment celle de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), organisme institutionnel qui n’est tout de même pas né de la dernière pluie, a de quoi inquiéter dans les chaumières. Notamment, celles établies dans nos campagnes. Même si d’autres analyses, contradictoires celles-là, démontrent que l’herbicide si controversé n’altère en rien le métabolisme de l’homme ni des animaux.

Alors que le délai d’utilisation en Europe expirait en décembre prochain, à la grande satisfaction des écologistes et de nombreux professionnels pratiquant une agriculture raisonnée, l’annonce de la reconduction de ce produit pour une décennie fait tout de même l’effet d’une bombe dans le sérail. Tant chez les scientifiques qui ne comprennent pas le choix des états membres de l’Union, que des politiques eux-mêmes qui y perdent leur latin !

Du côté de l’EFSA, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, le contexte n’est pas « préoccupant » en cas d’utilisation du glyphosate. Seul « un risque élevé à long terme pour les mammifères » pourrait survenir en matière de toxicité. Sauf que de mémoire, l’humain intègre bien cette famille des mammifères, non ?!

Autre son de cloche, celui de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA). Pour elle, il n’existe pas assez de preuves suffisantes permettant de confirmer que le pesticide si décrié est de nature cancérogène. Sauf qu’à la lecture de leur rapport, il est fait mention de risques de lésions oculaires grave. Du côté de l’OMS, les avis sont plus catégoriques. Le glyphosate est classé comme « cancérogène probable ». Notamment, avec l’apparition de leucémies et de cancers du sang chez l’homme.

 

 

La position alambiquée de la France qui choisit le ni…ni

 

Reste le volet politique de ce choix si décoiffant ! Au terme de ce scrutin, observé par les spécialistes de la chose, il s’avère que sept pays dont l’Allemagne et l’Italie se sont in fine abstenus. La France a suivi cette mouvance.

Avançant ainsi à tâtons et avec extrême prudence, afin de ne pas froisser le monde agricole (des électeurs potentiels !) qui utilise le produit. Même si le ministre en charge de la Transition écologique, Christophe BECHU, aurait préféré, comme il devait le déclarer sur les ondes de France Inter, que « la position hexagonale prenne la forme d’un vote contre ».

Une abstention qui a pour équivalence un vote contre, drôle de raisonnement, tout de même ! N’aurait-il pas été plus judicieux de voter réellement en défaveur de ce prolongement de dix années supplémentaires et de le faire savoir haut et fort autour de soi.

En matière de symbole et de responsabilité, cela aurait eu le mérite d’être clair, au-delà de nos frontières ! Pas comme cette décision du ni pour, ni contre, préjudiciable à toute dynamique et affirmation de soi-même …

 

Thierry BRET

 


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Forcément, cela va ruisseler en mode ultra positif pour l’ensemble des professionnels du secteur ! Et le sourire du président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, en dit long sur les perspectives excellentes à venir ! En investissant 421 millions d’euros pour la modernisation des lignes ferroviaires de notre contrée, SNCF Réseau redonne du baume au cœur à des partenaires indispensables à la réalisation de ces chantiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le Forum de l’Economie et de l’Emploi du ferroviaire a vécu sa troisième édition, ce jeudi, réunissant plus de cent cinquante acteurs intéressés par les projets et perspectives de la SNCF en matière d’aménagement des lignes qui traversent la Bourgogne Franche-Comté. Et en premier, les représentants de la FRTP, c’est-à-dire la Fédération régionale des Travaux Publics !

Logique que le président régional Vincent MARTIN soit aux premières loges de ces échanges nourris et constructifs car SNCF Réseau poursuit le travail entamé depuis 2019 avec son partenaire, à savoir la modernisation des lignes ferroviaires régionales.   

Une modernisation dont l’investissement s’élève à 421 millions d’euros en 2023, avec une moyenne de plus de 350 millions d’euros chaque année pour les trois prochaines années, qui permet de recruter plus d’une centaine de personnes chaque année.

 

 

Rappelons que cet investissement est financé conjointement par l’Etat et la Région ; il profite au plan économique aux entreprises locales qui sont spécialisées dans les travaux ferroviaires mais aussi auprès des nombreux sous-traitants, voire des entreprises d’insertion, qui évoluent dans le domaine de l’emploi.

Logique que le président Vincent MARTIN pose aux côtés du président directeur général de SNCF Réseau, Marc CHABANEL, aux termes de cette journée de rencontres fructueuses pour les travaux publics et les opportunités qui lui sont offertes à l’avenir…

 

Thierry BRET

 

 


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La gare de Tonnerre a donc subi au fil de ces derniers mois une sérieuse cure de jouvence. Des travaux qui ont été entrepris par la Région Bourgogne Franche-Comté et SNCF Gares & Connexions. Ils avaient pour objectif d’améliorer les performances thermiques de l’infrastructure, de remplacer la toiture et les menuiseries, mais aussi d’optimiser l’isolation de l’édifice tout en ravalant la façade. Epilogue, ce mardi, avec l’inauguration officielle du site…

 

TONNERRE : Réalisé dans le cadre de la Convention de Financement Patrimoine, entre la Région BFC et SNCF Gares & Connexions, ce chantier a fait l’objet d’une étude d’impact carbone, d’un diagnostic et d’un schéma d’organisation de la gestion des déchets. Autant dire que l’ouvrage favorisant le transport ferroviaire en y accueillant des passagers du Tonnerrois a été relooké selon un cahier des charges environnemental précis, suivi au pied de la lettre par les maîtres d’œuvre et les entreprises, choisies localement.

Un chantier qui s’est décliné en différents travaux d’embellissement (le ravalement de la façade grâce à un décapage permettant une reprise des fissures du bâtiment) comme de l’optimisation des capacités thermiques (une isolation répondant aux indices de performance thermique propre à la réglementation en vigueur) du site.

Esthétiquement, car il en est également question, le remplacement de la toiture vétuste par du zinc offre une agréable vision de l’ensemble. Il était nécessaire de respecter les valeurs environnementales en cours. Sachant que les éléments en bois sont, quant à eux, issus des filières FSC (Forest Stewardship Council) et PEFC (programme de reconnaissance des certifications forestières).

 

 

A l’intérieur de l’édifice, au rez-de-chaussée, la réfection complète de dix-huit menuiseries par des supports en acier favorisant les performances thermiques confère un cachet spécifique à la gare.

Quant au coût de ce chantier, il s’élève à 580 000 euros, intégralement financé par la Région Bourgogne Franche-Comté. Le résultat a été apprécié lors de la cérémonie inaugurale par Michel NEUGNOT, premier vice-président du Conseil régional, l’édile de Tonnerre, Cédric CLECH, Marie-Josée VAILLANT, présidente de l’Office de tourisme et maire de Chablis, et Sophie DUCORDEAUX, directrice du développement des gares de Bourgogne Franche-Comté pour la SNCF.

 

Thierry BRET

 

 


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En ce mois de novembre, période des produits tripiers, notre rubrique culinaire vous emmène déguster l'un des abats préférés des convives icaunais : la tête de veau. Souvent, elle est proposée au menu du jeudi. Le « Restaurant du Pont » à Cry-sur-Armançon n'échappe pas à la règle. Pourquoi ce jour-là ? J'avoue tout de go en ignorer la raison !

 

CRY-SUR-ARMANCON : La France comptait environ un millier de tripiers en 1970. Combien en demeure-t-il désormais ? Deux cents, tout au plus. Dans l'Yonne, on pense aux sympathiques frangins MAGNONI, présents sur nombre de marchés (Pont-sur-Yonne, Sens, Toucy, notamment...).

Au sud-est de notre département, à une portée d'arquebuse de la Côte d'Or, se dresse le joli village de Cry-sur-Armançon (164 habitants environ). Il est bordé de majestueuses forêts. L'Armançon y coule gaillardement.

 

 

Rendre l’hommage qu’ils méritent aux tenanciers de l’établissement

 

Le « Restaurant du Pont » est l'unique commerce villageois. Poussons-en la porte. Antan, avant que les peintures ne soient refaites, des affiches de « La Française des Jeux » indiquaient quelques gains de grattage en francs français. Rappelons en la matière ce chiffre édifiant : seuls, environ 25 % de villages ont la chance de disposer encore d'un ou plusieurs commerces.
Autour du comptoir en formica, ça discute de façon animée. Ce bistrot, c'est LE lieu de rencontres du village, et l'on ne peut que rendre l'hommage qu'ils méritent à ses tenanciers. Le jour venu, pourront-ils trouver un successeur ? En tous cas, le mâcon est gouleyant. Ce que paraît confirmer le gentil chien de la maisonnée.

 

 

La tête de veau, fière représentante du 5ème quartier et des abats blancs

 


La salle du restaurant est toute lumineuse. Elle arbore sa jaune panoplie. Quelques affiches d'albums de l'indémodable « Tintin », dont « L’Etoile mystérieuse » et son énorme champignon, décorent les murs. Les assiettes de la maison sont siglées. En entrée, le feuilleté de boudin est plutôt bon. L'autre proposition, le jambon persillé, est de conception industrielle, comme les desserts d'ailleurs. C'est un peu dommage. Mais, nous sommes venus pour le plat principal qu'est la tête de veau, fière représentante du cinquième quartier et des blancs  abats parmi lesquels les délicats ris, à contrario des abats rouges constitués par foie et autres rognons.

 

 

 

La tête de veau arrive dans des assiettes copieuses plutôt chaudes ! Sa sauce herbée est un rien acide, ce qui est plaisant avec la texture de notre mets. Autour de nous, une petite  cinquantaine de convives semblent communier avec le bel abat, tenant de ces savoureux plats populaires appréciés des connaisseurs ! L'atmosphère est plutôt plaisante en ce jeudi, et la petite fille qui fait le tour des tables est plutôt rigolote. Elle est ici comme chez elle !


Un café et voici l'heure de traverser à nouveau le joli pont de pierre. Et qu'on se le rappelle, jeudi prochain, le 16 novembre précisément, c'est le jour du beaujolais nouveau ! Mais demain à Cry, demeurera-t-il un bistrot, ainsi que  des amateurs de mets tripiers ?

 



En savoir plus :

 

Les - : on aimait ces vieilles affiches en francs français présentés sur ce mur défraîchi. Désormais, c'est plus lumineux, mais...

Les + : bravo aux sympathiques tenanciers de l'unique commerce de ce village.

 

 

 

Contact :

 

Restaurant du Pont de Cry

02 Rue du Moulin

89390 Cry-sur-Armançon

Tel : 03.86.55.73.09.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


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