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Pas de comptabilité à priori dans ces sujets. Mais, ils sont – ou devraient être – tous au cœur des préoccupations des comptables d’entreprises, des cabinets d’expertise-comptable et de leurs clients chefs d’entreprises. Car, un dénominateur commun les unit : il s’agit d’enjeux cruciaux dont la mauvaise appréhension peut conduire à la catastrophe, comme nous allons le voir ci-après...

 

TRIBUNE : Commençons par la cyber-sécurité. Sujet tarte à la crème, certes, mais ô combien sensible, plus encore dans un contexte géopolitique déboussolé où les attaques numériques, venant entre autres de hackers pro-russes, font partie des armes non conventionnelles à l’efficacité redoutable.

Tous les secteurs de l’économie sont concernés, allant des grandes entreprises, ministères, hôpitaux, banques (celles-ci déjouent quotidiennement plusieurs milliers d’attaques !), aux services publics ou privés (ainsi dans un pays en avance dans le tout-numérique comme le Danemark, une attaque a paralysé récemment le trafic ferroviaire). Les menaces ne pèsent pas que sur les grands groupes ou les états. Qui ne connaît parmi ses proches une victime de virus informatique, de boîte mail piratée, ou de « ransomware » ?

 

Guichet unique : vers un désastre annoncé ?

 

Premier enseignement : la menace informatique est partout, en permanence, et bien souvent, on n’en a pas conscience.

Quand ce n’est pas par malveillance que le monde numérique dysfonctionne, ce peut être simplement par mauvaise conception ou mise en œuvre des outils. C’est ce qu’illustre la mésaventure récente du « Guichet unique » qui est censé devenir le portail Internet sécurisé par lequel toutes les formalités concernant les entreprises seront réalisées.

Il doit remplacer notamment « INFOGREFFE » ou certaines missions traditionnellement sont dévolues aux centres des formalités. Ce Guichet unique devait être mis en ligne au premier janvier 2023, mais face aux multiples bugs, le monde économique a unanimement réagi en demandant en urgence le maintien des anciennes procédures. Le journal « Option Finances » titrait même : « Guichet unique : chronique d’un désastre annoncé ».

Finalement, le gouvernement a décidé en février dernier de revenir pendant un certain temps encore aux anciennes procédures déclaratives. Cette histoire montre qu’il est nécessaire de réaliser des tests multiples avant de lancer un applicatif important.

 

 

 

Le temps, un facteur à ne pas négliger pour tout nouveau système…

 

 

Deuxième enseignement : la mise en place de nouveaux outils innovants doit être mûrement et longuement préparée avant mise en service, quitte à déborder sur le planning annoncé. C’est ce qu’a su faire de manière pertinente l’administration fiscale en 2017 quand elle a pris la décision de reporter l’entrée en vigueur du prélèvement à la source, autre grand chantier, estimant que le système n’était pas assez fiabilisé et que les utilisateurs n’étaient pas assez préparés.

Le temps est donc un facteur à ne pas négliger : toute innovation nécessite de la réflexion pour être mise au point et être acceptée par les utilisateurs. Attention toutefois à ne pas utiliser ce critère de manière tellement extensive qu’on en viendrait à différer indéfiniment la mise en œuvre. C’est ce qui arrive en partie au fameux RGPD (Règlement Général de Protection des Données).

Qui se souvient que ce règlement, qui a vocation à assurer le respect de la protection de la vie privée, est en vigueur depuis mai 2018 ?

A ce jour, force est de constater que de nombreuses entreprises, et pas toujours les plus petites, n’ont absolument rien mis en œuvre face à cette obligation. Or la CNIL contrôle de plus en plus d’entités, même de toutes petites (un médecin), et adresse des mises en demeure ou des amendes. Au-delà, c’est un manque de chance pour l’entreprise de faire face de manière adéquate à une attaque cyber ou une panne matérielle : que restaurer si on n’a rien sauvegardé ?

 

 

 

La facture électronique : un grand bouleversement similaire à la gestion informatisée…

 

 

Troisième enseignement : s’il ne faut pas confondre vitesse et précipitation, il ne faut pas non plus faire l’autruche mais au contraire prendre les évolutions ou contraintes à bras le corps sans attendre.

Alors quid, dans tout cela, du dernier sujet à l’ordre du jour : la facture électronique ? Celle-ci se mettra en place progressivement entre 2024 (pour les grands groupes) et 2026 (pour tout le monde). C’est un bouleversement dans le fonctionnement de nos entreprises. Peut-être comparable à l’arrivée de l’informatique de gestion il y a trente ans.

Instruits des cas concrets que nous avons évoqués, nous retiendrons que la facture électronique est intégralement basée sur Internet dont on a dit qu’il s’agissait d’un univers pavé de menaces et dangers. A la différence du lancement du « Guichet unique », sa mise en œuvre doit être entourée d’un maximum de sécurités.

Les entreprises (les plus petites du moins) ont encore le temps de s’y préparer. Au lieu de faire l’autruche, anticipons et ne sous-estimons pas le chantier ! Comme on l’a fait pour le RGPD. Mais, au contraire préparons-nous dès maintenant par la mise en place d’outils et de procédures informatiques adéquats que nous aurons le temps de tester.

Alors collectivement comme individuellement, nous pourrons dire avoir retenu les leçons de l’histoire pour passer avec succès cette étape majeure dans la transition vers l’économie numérique !

Epilogue : un danger peut toujours en cacher un autre. Quelques jours après son lancement officiel, le « Guichet unique » (celui-ci ne fonctionnait pas correctement) subissait une attaque informatique paralysant tout le système. Quand, cela ne veut pas, ça ne veut pas !

 

Marc DEMONTEIX

Chambre professionnelle des Experts-comptables et Commissaires aux Comptes de l’Yonne

Une chronique réalisée en partenariat avec l’Ordre départemental des experts-comptables de l’Yonne.

 

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Le jeunisme n’a franchement plus la cote en ce bas monde ! Excusez du peu, mais les dernières informations en provenance d’Outre-Atlantique nous le prouvent de manière incontestable. Et ce n’est vraiment pas fait pour nous rassurer !

Alors que les élections présidentielles américaines n’auront lieu qu’à l’automne 2024, se présentent déjà sur la grille de départ en faisant ronfler de manière pétaradante les moteurs de leurs équipes de campagne, deux candidats – le sortant, Joe BIDEN et son challenger naturel, Donald TRUMP – pour prétendre gouverner la première puissance de la planète.

Du moins, si d’ici là, la Chine de Xi JINPING ne leur passe pas devant à force de s’imposer comme le pays faiseur de pluie et de beau temps à travers le globe, aussi bien sur le dénouement de solutions inextricables de la diplomatie – le fort à propos rapprochement entre l’Arabie Saoudite et l’Iran, deux ennemis héréditaires qui se disputent le Moyen-Orient à grands coups d’idéologie religieuse -, la préconisation d’un plan de paix plus que controversé en Ukraine favorable à Moscou et une amitié désormais sans limite avec la Russie de POUTINE alors que Chinois et Russes se détestent cordialement depuis tant d’années, question de suprématie territoriale…

Sans omettre, bien sûr, l’hégémonie écrasante et dominatrice de l’Empire du Milieu en matière économique dans une multitude de secteurs aux quatre coins de la sphère terrestre.

 

 

L’expérience des sortants et des prétendants, mais à quels prix ?

 

Mais, revenons à notre propos liminaire. Sur le ring de ce futur combat des chefs qui se précise à courte échéance, du côté des Etats-Unis, à ma droite se trouvera sans aucun doute puisqu’il se présente comme tel et unique candidat des Républicains avant même la primaire devant départager les divers prétendants, Donald TRUMP, un « joyeux garnement » aux 78 ans printemps et aux péripéties judiciaires qui ne sont plus anachroniques ; à ma gauche, dans le camp d’en face, celui des Démocrates, le cacochyme président sortant, un Joe BIDEN qui vient de se déclarer officiellement cette semaine du haut de ses quatre-vingt ans et qui peine à gravir les marches le menant à bord d’un avion, s’y reprenant à trois fois après autant de chutes pour y parvenir !

80 contre 78 : on se croirait au vu de ses chiffres plutôt élevés aux termes d’une rencontre de basket-ball de la NBA !

L’expérience doit primer, il est vrai, pour servir les intérêts d’un pays, aussi stratégique et indissociable de l’ordre mondial que celui-ci, surtout au vu d’un contexte international qui ne laisse rien présager de bon pour le futur. Avec une volonté manifeste de bouter les Occidentaux, hors du tapis vert de ce poker menteur géopolitique qui se joue depuis tant d’années entre les blocs de l’Est et de l’Ouest. En y ajoutant désormais le Nord et le Sud qui tentent à imprégner profondément de leurs empreintes cette nouvelle configuration de l’ordre mondial.

 

 

 

Une planète qui concentre un nombre exponentiel de jeunes…

 

Mais, là, tout de même, au-delà du bilan contestable et/ou positif selon ses goûts personnels de ces deux personnages clés de l’actuelle politique américaine – ils ont été tous deux présidents de leur état élus démocratiquement -, il y a peut-être une limite naturelle à ne pas franchir : celle de l’âge !

Dans un monde où la jeunesse est en très nette croissante – selon le rapport mondial de l’UNESCO publié en 2021, il y avait près d’1,5 milliard de jeunes âgés de 15 à 24 ans qui vivaient sur le globe, soit 16 % de la population - ; sans compter la catégorie, tout aussi jeune des 25-40 ans, au cœur de l’activité économique et productive, le monde est en perpétuelle évolution de créativité, d’innovation, de capacités à faire bouger les lignes, tant dans la lutte contre les inégalités que dans la contribution au développement durable et à la construction de la paix.

Sauf en Russie où l’indéboulonnable maître du Kremlin – lui, il est âgé seulement de 70 ans - s’obstine toujours pour de sombres histoires d’ego, de pouvoir absolu et de révisionnisme de l’Histoire – il faut chasser les nazis hors de l’Occident ! – à sacrifier ouvertement sa jeunesse (surtout celles des minorités d’Asie centrale et de l’est de la Russie) en les envoyant dans le casse-pipe ukrainien vers une mort certaine.

 

 

L’âge, la valeur sûre pour assurer la gouvernance d’un pays…

 

Il n’est, d’ailleurs, pas si sûr que l’âge soit synonyme de pleine sagesse dans l’exercice de ces fonctions à haute responsabilité. Le passé l’a déjà démontré au fil de l’Histoire et le présent n’a donc rien à lui envier ! Il suffit de jeter un coup d’œil sur un planisphère et de regarder qui est réellement aux commandes de tel ou tel pays, du globe, sachant qu’il en est comptabilisé officiellement 210 !

De vieux « dinosaures » de la chose politique occupent toujours le fauteuil bien rivé de chef d’état – royaume ou république ; démocratie et autocratie – avec tous les inconvénients qui se greffent à la fonction en termes de modernisme, de libertés, de libre pensées, de progrès social, d’ouverture à la technologie et à la relation à l’autre, d’expressions artistiques et culturelles, de liberté des mœurs, de mixité sociale, de parité, etc.

Et malheureusement, cela n’est pas prêt de changer dans le meilleur des mondes. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, celle du Nord, en Asie ou en Europe : l’âge reste une valeur sûre et affirmée pour jouer un rôle prépondérant dans la gouvernance d’une nation. Même le moralisateur Vatican, plus petit état mondial par ses dimensions mais aussi le plus puissant au niveau de sa puissance spirituelle et financière, cultive ce précepte de l’âge canonique obligatoire – un gage de sûreté ? - pour exercer une fonction sacerdotale.

Il suffit de regarder le pape François et ses 86 ans – il peine encore à tenir debout - qui exerce toujours la chaire de Pierre, en effectuant des voyages de plus en plus pénibles aux quatre coins du globe, le dernier en date se vit en Hongrie.

Or, la désignation par le Conclave de Jean-Paul II à cette fonction suprême à 58 ans fut d’ailleurs considérée par beaucoup de puristes de l’Eglise comme une véritable hérésie. Ses vingt-six années passées à la tête de l’état pontifical restent pourtant gravées dans moult mémoires…et le réformiste Jean-Paul II d’être le plus populaire des papes, même après sa mort.

En résumé, ce combat des chefs qui se préfigure entre un Joe BIDEN, octogénaire un brin radoteur, et le cacique Donald TRUMP qui le suit de très près sur la courbe de l’âge, n’est guère folichon dans le contexte actuel où les jeunes générations peinent à faire entendre leurs voix dans ce monde torturé et complexe. Si ce n’est celle de l’abstention et du rejet de la chose politique, comme dans l’Hexagone où malgré un président quadragénaire – ce qui est un comble - cette jeunesse se dit pourtant non représentée…

 

Thierry BRET

 

 


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Combien étaient-ils à garnir les travées du Palais des Congrès ? A assister à l’assemblée générale annuelle de l’établissement mutualiste régional, jeudi soir ? Cinq cents personnes ? Six cents ? Davantage, encore ? Un raout où convergèrent les sociétaires des huit départements plus un (ceux de l’Ain du moins en partie), une cérémonie aux enjeux ô combien stratégiques, vu le contexte économique et sociétal actuels. Comme savent seules les organiser les entreprises à la mécanique organisationnelle bien huilée. La Banque Populaire BFC a déroulé sa manifestation, entre convivialité, remises de prix et analyses de ses résultats…Ainsi soit-il !

 

BEAUNE (Côte d’Or) : Un décorum exceptionnel, digne des grands shows à l’américaine avec écrans géants – une triple vision des intervenants lors de leur prise de parole, excusez du peu ! -, une tribune et un plateau conférence visible du plus grand nombre ; une sonorisation à la qualité auditive parfaite, des jeux de lumière faisant ressortir toute la palette chromatique proposée par la régie en charge de l’animation dont ce bleu si intense, la couleur fétiche de l’établissement, qui en a fait sa signature coutumière depuis des lustres, le plus souvent usité en balayant le public pendant la soirée.

Bien sûr, la salle était abondamment garnie : à croire qu’il n’y avait pas d’autres évènementiels à se mettre sous la dent du côté de Beaune ce jeudi soir et que les Ateliers Cinématographiques de Claude LELOUCH, situés à quelques encablures de là, avaient fait une salvatrice relâche dans leur programmation pour cinéphiles avertis pour faire place nette à l’évènement économique de la journée !

Pour peu, on s’attendait presque à voir surgir de la pénombre environnante en lever de rideau de l’auguste animation la silhouette gracile d’un CALOGERO, basse en bandoulière, ou d’un Patrick BRUEL au meilleur de sa forme !

 

Une banque qui a su passer à travers les gouttes des vagues dépressionnaires…

 

Bienvenue dans l’antre de l’assemblée générale de l’un des établissements bancaires qui aura confirmé cette année encore son statut de financeur de tout premier plan de l’économie de Bourgogne et de Franche-Comté – sans omettre le une frange de ce Pays de l’Ain ! – et qui n’aura de cesse durant le long déroulé de la soirée d’afficher ses belles performances financières obtenues en 2022, commentaires et analyses à l’appui.

Une année riche et intense qui aura accentué la prégnance de la banque mutualiste sur sa zone territoriale de prédilection, comme elle l’avait déjà consolidée, les années antérieures…

Et pourtant, c’est à croire que la Banque Populaire qui accumule les succès sait pertinemment comment passer à travers les gouttes des orages. Ils furent nombreux à se succéder en vagues de dépressions infernales au cours de ces derniers mois : crises à multiples rebondissements, conjoncture internationale des plus tendues, conditions climatiques déplorables et perturbatrices pour certaines catégories socio-professionnelles, contexte social impacté par une inflation en totale voie expansionniste et galopante…

Un environnement macro-économique des plus sulfureux, voire anxiogène pour nos compatriotes, sans compter le relèvement historique des taux d’intérêt qui impacte le moindre interstice de l’économie de marché.

 

Une logique de temps long applicable à la stratégie…

 

Situation paradoxale inhérente au facteur chance ou véritable miracle lié à une saine gestion, à un équilibre parfait et à un respect de la feuille de route décisionnelle qui se sera appuyé sur l’engagement de toutes les équipes de ce grand navire amiral qu’est le siège social du groupe et de son immense flottille composée de toutes ses agences commerciales ? Malgré la présence régulière de la mer des Sargasses et son immobilisme lorsque l’économie fonctionnera au strict ralenti, du fait des atermoiements imputables de COVID-19 ou par vent de force 9 avec le retour des crises les plus alarmistes de l’inflation, la Banque Populaire BFC a su essuyer les grains en utilisant sa force de frappe : son expertise et ses expériences au service de d’une clientèle multiple. Un établissement qui a su mettre aussi à profit la prégnance de la technologie, le rajeunissement de ses ressources humaines et la modernité de son approche commerciale pertinente pour maintenir le cap, malgré ce climat délétère et pernicieux.

Jamais, les résultats obtenus en 2022 à force d’implication, de volonté et de sueur de la part du millier de collaborateurs engagés dans la même direction n’auront été aussi flamboyants, battant des records dont ne peuvent que se satisfaire des sociétaires admiratifs.

La recette de ces bons résultats, même si elle n’est pas miraculeuse en soi et ne doit rien à une prière accordée à la grâce de Bernadette SOUBIROUS, sainte patronne de la ville de Nevers, ne repose en fait que sur une humble stratégie, mise en exergue à la perfection : tout ce qu’entreprend en guise d’engagement et d’investissement la structure bancaire régionale repose sur une logique de temps long…A méditer pour toutes celles et ceux qui confondent encore lors de leurs prises de décision vitesse et précipitation !

 

 

Un produit net bancaire qui dépasse la barre des 400 millions d’euros…

 

Il est clair que la continuité, dans sa perfection, du schéma stratégique « S’engager ensemble pour nos clients et notre territoire » - une véritable table des « Dix Commandements », gravés dans le marbre ! – a permis de consolider, cette année encore, le développement de cet acteur majeur de la vie économique régionale qui aura au bas mot financé plus de 4,3 milliards d’euros de projets !

D’ailleurs, à ce jeu-là, ce ne sont pas les 690 000 clients référencés par l’établissement qui s’en plaindront, visiblement !

Quant au nouveau plan tactique, baptisé « Immensément Bleu » - en référence et on y revient à ce fameux coloris cher à la structure ! -, il prévoit en 2024 de travailler avec 720 000 clients ; ce qui de l’avis de Jean-Paul JULIA, « grand ordonnateur » de la soirée, en sa qualité de directeur général, demeure parfaitement d’actualité.

Quant aux chiffres clés résumant cette année 2022, considérée comme historique, ils révèlent la santé insolente de cette structure qui pèse de tout son poids dans le paysage régional.

Les encours de crédits clientèles sont de l’ordre de 18,1 milliards d’euros (soit une hausse de 10 %) – qui a dit que les banques ne prêtaient plus aux consommateurs ?! -, permettant ainsi à la BP BFC d’établir à 419 millions d’euros son produit net bancaire - l’équivalent du chiffre d’affaires – avec là aussi + 6 % de mieux en comparaison avec l’exercice antérieur. Anecdote à noter dans ses neurones : c’est la première fois que le PNB dépasse le montant des 400 millions d’euros dans l’histoire de la vénérable institution…

Avec ses données encourageantes, le résultat net de la banque régionale atteint 95,5 millions d’euros (+ 11 %) ; le coût du risque ressort sur l’exercice à 54 millions d’euros, soit moins 13 %. Enfin, le ratio de solvabilité se situe à 19,05 % - sachant que le minimum requis est de 10,5 % - ce qui traduit dans les faits la bonne santé de l’établissement régional.

 

 

Valoriser les initiatives de celles et ceux qui façonnent la région…

 

Intervenant à la tribune, le président du Conseil d’administration, le Sénonais Michel GRASS, ne manqua pas de commenter ces résultats : « ils sont la démonstration que notre modèle mutualiste représente une force singulière pour comprendre, anticiper et affronter les difficultés… ». Puis de conclure : « c’est parce que la Banque Populaire BFC appartient à ses clients sociétaires que nous mettons toute notre énergie à leur service et au profit du développement de notre territoire et à la qualité de vie au travail de nos collaborateurs… ».

Des propos qu’étayera le directeur général du groupe, Jean-Paul JULIA, « ces résultats démontrent la capacité de nos clients à se développer, à se réinventer parfois, à rebondir aussi et à réussir si souvent ! Notre envie de porter leur réussite reste notre boussole ; nos différents Prix en témoignent : les Prix Initiatives Associations, les Prix de la Dynamique Agricole ou encore les Prix Stars et Métiers. Nous avons franchi une nouvelle étape en 2022 avec le lancement du livre « 9 Talents », pour valoriser les parcours de celles et ceux qui façonnent notre région, qui font son rayonnement et sa fierté ».

De quoi convaincre les sociétaires qui découvrirent d’autres pans de la dense actualité de la banque régionale dont nous vous ferons écho grâce à un autre rendez-vous rédactionnel ces prochains jours…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le cocktail est du genre profondément indigeste. Très lourd de conséquences pour celles des structures entrepreneuriales qui n’auront d’autres choix que de l’avaler. Voire de le subir comme une très grande majorité d’entre elles. C’est ce qui semble le plus probable comme scénario, à en croire les spécialistes. Fervents adeptes et suiveurs de la chose économique et de ses soubresauts …

« On a encore rien vu du côté des faillites et des dépôts de bilan en France…mais cela va considérablement s’accélérer au second semestre…». Serait-ce une « fake news » de plus à mettre à l’actif d’un supporter de la théorie du complot ? Un de ces « Illuminatis » qui fait la pluie et le beau temps sur la planète Terre à grands coups de post inquisiteurs sur les réseaux sociaux ?

Que nenni, celui qui s’exprime ainsi n’est autre qu’un dirigeant de société spécialisée dans l’import/export qui exerce ses activités professionnelles en France comme en Asie depuis des lustres où il possède des filiales. L’inquiétude est palpable dans la tonalité de sa voix, interrogée au téléphone sur une situation de crise économique qui ne va cesser, selon lui, de s’affirmer au fil de ces prochaines semaines. Entraînant l’économie hexagonale – mais pas seulement en pointant du doigt l’Europe et les Etats-Unis – vers une inextricable situation de banqueroute…

 

Un tsunami à trois étages qui nous guette…

 

Malheureusement, force est de constater qu’il n’est pas le seul à y penser. Comme notre entrepreneur, ils sont des milliers (voire beaucoup plus en France comme ailleurs dans le monde), à se demander à quelle sauce ils vont être mangés au cours de cette année 2023 d’une rare complexité. S’interrogeant avec la même et sempiternelle interrogation : jusqu’à quand le système actuel va-t-il tenir ?!

Ce cocktail dont certains observateurs évoquent l’inéluctable probabilité – encore peu en France visiblement où notre société est trop obnubilée par la phase évolutive de la crise sociale et le tapage des casseroles dans les cortèges revendicatifs ! -, s’articule en trois points.

Il y a la mauvaise santé de l’Amérique de Joe BIDEN, un pays criblé de dettes que la crise en Ukraine et ses implications militaires – légitimes afin de défendre le monde libre de la démocratie qui est menacée - , l’inflation hyper galopante et spéculative dont les consommateurs français subissent au quotidien l’impact (et encore pour celles et ceux qui peuvent prétendre consommer !) et enfin le crédit immobilier qui voit ses taux d’intérêt se relever de manière très abrupte et soudaine ; ce qui n’est jamais bon signe pour les ménages qui vont devoir assumer leurs remboursements en piochant davantage dans leurs bas de laine, dès l’acquisition d’un bien.

 

 

La faillite des banques américaines comme déclencheur de la situation…

 

Un curieux mélange de mauvaises nouvelles à la façon d’un « cocktail Molotov » à vocation explosive et imprévisible, même si, pour une fois, les Russes et leurs actions belliqueuses persistantes dans l’Est de l’Europe n’en sont point à l’origine, à défaut d’y ajouter tout de même un peu d’huile sur le feu avec leurs menaces nucléaires qui perturbent les marchés, notamment celui des céréales et de l’alimentation mondiale !

Cette trilogie de conjonctures négatives prend, pour une part, sa source de l’autre côté de l’Atlantique où du côté de l’Oncle Sam, rien ne va plus dans l’administration.

Les faillites bancaires survenues en mars dernier (« Silicon Valley Bank » à titre d’exemple mais elle n’est pas la seule) engendrent nécessairement suspicions et doutes quant à la pérennité du système financier américain. Trois grandes banques US en ont donc vécu les aléas funestes parce que trop exposées au secteur de la technologie et à la crypto-monnaie. Deux domaines qui quoi qu’on en dise n’ont plus vraiment le vent en poupe auprès des investisseurs de plus en plus fébriles à l’idée d’y injecter le moindre dollar…

 

 

La dette publique : le fléau pandémique de tous les pays de la planète…

 

En atteignant et en dépassant il y a peu – personne n’en a trop parlé manifestement du côté hexagonal déjà trop englué par nos problématiques de retraites – 31 000 milliards de dollars, les Etats-Unis ont battu tous les records de la dette publique.

Un chiffre astronomique qui pourrait presque faire sourire Elon MUSK – un garçon ayant du potentiel au niveau finances ! - si ce dernier n’avait dû appuyer sur le bouton rouge de la destruction systématique de son lanceur spatial révolutionnaire (STARSHIP) qui n’aura survolé le ciel du Texas qu’une poignée de minutes avant de montrer de sérieuses failles dans son fonctionnement.

A l’instar d’une kyrielle de pays dont ceux de l’Union européenne – la France n’a pas lésiné sur le « quoi qu’il en coûte » rassurant sur le moment pour nos compatriotes et ses professionnels mais entraînant de facto une dette qui sera à amortir sur au minimum plus de six décennies afin de retrouver un hypothétique équilibre, provoquant un difficile héritage qui va incomber à notre descendance -, les Etats-Unis d’Amérique ont énormément dépensé pour contrecarrer les effets pervers de la fameuse crise sanitaire qui aura chamboulé la planète durant plus de deux ans. C’était aussi compter sans la guerre en Ukraine qui, de fait est intervenue à peine quelques mois après la probable maîtrise du coronavirus aux effets mortels.

Cet endettement vertigineux de la plus grande des puissances – le cumul de l’Union européenne s’élève à 13 500 milliards de dollars ; celui de la Chine plafonne à 12 600 milliards de dollars) – a impacté les taux directeurs, ceux qui déterminent les crédits ; conséquence les intérêts d’emprunts reprennent du poil de la bête, se situant à 3,15 % ces jours-ci sur l’immobilier.

Un plan d’endettement que ne pourrait pas non plus adouber la Chambre des représentants détenue désormais par les Républicains, histoire de coincer l’octogénaire président américain dans les cordes du ring de ce nouveau combat politique qui s’amorce entre lui et Donald TRUMP lors de la présidentielle de 2024…

 

 

Que peut faire l’humain dans ce monde si déshumanisé ?

 

Quant à l’inflation, elle ne cesse de progresser des deux côtés de l’Atlantique grevant fortement les budgets des ménages. De plus de 15 % en moyenne en l’espace d’un an, sachant que cette courbe ascendante n’est pas prête ni de s’inverser ni de disparaître des tablettes de l’actualité.

D’autant que les spéculateurs (ils sont connus de tous et le font avec la bénédiction urbi et orbi des dirigeants de nos pays qu’ils soient démocratie et autocratie, logique il y a les taxes à récupérer !) engrangent les profits à ne plus savoir qu’en faire alors que 80 % de la population du globe (si ce n’est pas plus) souffrent dans leur chair et peinent à se nourrir convenablement, ne serait-ce qu’une fois par jour…

Devant un tel tableau plutôt d’ébène qui se profile à brève échéance – c’est pour le second semestre 2023 – et dans un système où toutes les économies sont dépendantes du dollar (la parité entre le dollar en hausse et l’euro n’est d’ailleurs plus à l’ordre du jour…), la situation économique ne devrait qu’empirer selon ces indicateurs.

Ce fameux triptyque comprenant la hausse des crédits immobiliers, la probable banqueroute américaine du fait de son fort taux d’endettement et l’inflation expansionniste et abusive en vogue qui profite toujours aux amateurs de bonnes affaires, sans foi ni loi.

Les entreprises devraient bien sûr accuser le coup, c’est une évidence ! Et garnir de surcroît un peu plus la liste des dépôts de bilan et des faillites potentielles à venir.

Quant à leurs composantes, les humains – des chômeurs et précaires assurés -, ils n’ont finalement que si peu d’importance dans une société qui ne jure plus que par l’intelligence artificielle, les avatars à faire vivre dans des mondes virtuels et les réseaux dit « sociaux » qui optimisent le sens du relationnel comme chacun le sait…

La messe est dite : amen !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Loup y es-tu dans nos campagnes de Bourgogne Franche-Comté ? Visiblement, un peu trop pour les élus régionaux du Rassemblement National. Ils tirent à boulet rouge contre la présence de ce mammifère faisant peur dans les chaumières depuis la nuit des temps. Il est vrai que les agriculteurs en pâtissent puisque plus d’un millier de bêtes ont été les victimes du prédateur entre 2021 et 2022. De là à exiger un débat public lors de la session de juin dans l’hémicycle, il n’y a qu’un pas…de loup à franchir !

 

DIJON (Côte d’Or) : Haro sur une menace réelle et croissante dans nos campagnes qui perturbe les activités agricoles et horrifie de plus en plus les éleveurs d’ovins. Ces derniers comptent les cadavres de leurs malheureuses brebis égorgées après le passage nocturne du loup dans leurs champs.

Le retour en grâce du mammifère dans l’Hexagone est loin d’être apprécié de tous à l’instar de la réimplantation de l’ours dans les Pyrénées. Bien sûr, le milieu de l’agriculture pousse des cris d’orfraie devant l’évidence : le loup n’est pas un animal comme les autres, il tue pour se nourrir et provoque des dégâts parmi les troupeaux, menaçant l’écosystème pastoral. Un milieu agricole qui se met à dos, fort logiquement, la sphère des écologistes et autres défenseurs de la cause animalière…

 

L’impossible cohabitation entre éleveurs de moutons et mangeurs d’ovins !

 

Du côté politique – on aime y chasser en meute aussi pour défendre une idée ou un projet -, c’est le Rassemblement National qui met donc les pieds dans le plat. En l’occurrence par la voix du président de groupe de la Région Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Celui-ci exige des « réponses concrètes » de la part de l’exécutif pour maîtriser enfin la situation.

« Sur la question du loup, explique-t-il dans un communiqué de presse, il y a visiblement un blocage entre les positions idéologiques de la gauche et des écologistes qui croient au miracle de la cohabitation – (celle-là n’est aucunement d’ordre politique !) -, entre les éleveurs de moutons et les mangeurs d’ovins d’un côté, et l’absence de considération du gouvernement pour les éleveurs, de l’autre… ».

 

 

Quand le loup s’invite lors d’un grand débat à l’hémicycle…

 

Constatant que les attaques de la bête – elle n’a pourtant rien à voir avec celle du Gévaudan ! - augmentent ces dernières semaines de manière significative (à Nitry dans l’Yonne mais aussi en Saône-et-Loire, dans le Doubs et de l’autre côté de la frontière helvétique dans le canton de Vaud), le porte-parole du parti mariniste demande à la majorité régionale de prendre enfin ses responsabilités.

« Il est temps de rendre compte de la situation exacte devant les élus régionaux, souligne Julien ODOUL. Le choix clair de la défense de nos éleveurs, de la protection de leurs troupeaux et par conséquent de la mise en place d’une politique de régulation massive du loup dans nos territoires est notre priorité… ».

De ce fait, il réclame un débat public lors de la prochaine session de l’assemblée plénière, prévue en juin.

« Il est temps d’évoquer les conséquences économiques et sociales subies par les éleveurs de la région après autant de dévastations, ajoute le numéro cinq du Rassemblement National. Et surtout d’envisager quelles mesures sont à prendre pour lutter efficacement contre ce prédateur… ».

 

 

La nomination d’un médiateur « grands prédateurs » est insuffisante…

 

Arguant que depuis plusieurs mois, les éleveurs et la Chambre régionale d’Agriculture alertent les pouvoirs publics, les préfets et le Conseil régional sans réelle réponse coordonnée et concrète face à la recrudescence de ces attaques multiples, Julien ODOUL tel un « loup aux dents longues » pointe du doigt la responsabilité de l’exécutif. Celui-ci est selon lui, trop inféodé à ses alliés écologistes et incapable de prendre les mesures nécessaires en faveur des éleveurs et de leurs intérêts animaliers.

« La seule action régionale faisant office de réponse est de financer aujourd’hui un médiateur « grands prédateurs » : mais cela ne suffit pas… ».

Bref, le loup tient donc la vedette en ce mois d’avril dans les alcôves de la politique régionale. En sera-t-il la tête d’affiche en juin à la Région lors de débats que l’on suppose animés, nul ne le sait encore à l’heure où se rédigent ces lignes !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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