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Julien AUBERT aux Ateliers de l’Yonne : des conclusions sur la transition énergétique qui font des étincelles…
décembre 07, 2019Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye) les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…
CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.
Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.
A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.
Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.
Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.
« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».
Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !
Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…
Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.
« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».
Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.
Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.
Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.
« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est incapable de procéder à une addition raisonnable… ».
Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !
Ne pas être trop dépendant de l’électrique…
Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?
L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…
« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».
Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.
Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.
« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».
Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.
Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.
Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.
Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.
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Les entrepreneuses de l’Yonne tirent leurs épingles du jeu au concours « Initiative au Féminin »…
décembre 07, 2019Deux structures professionnelles s’adjugent de belles récompenses lors de la distribution des prix de cette quatorzième édition. Ce challenge régional est destiné à promouvoir l’entrepreneuriat au féminin. La cérémonie a été suivie en présence des représentants de l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté…
NUITS-SAINT-GEORGES (Côte d’Or) : L’Yonne ne revient pas bredouille de ce concours régional qui a le particularisme de promouvoir chaque année la créativité entrepreneuriale de la gent féminine. Et même si le premier prix a échappé de justesse à l’une de nos dynamiques représentantes, on ne peut que saluer l’excellente performance réalisée par le duo d’entrepreneuses, Karine ABALTI et Odile VANDERMOERE.
Les co-fondatrices de la brasserie « La VAUGERMAINE », à Saint-Cyr-les-Colons, occupent au final une méritoire seconde place malgré la présence d’une centaine de solides dossiers en compétition.
Le travail et la production fournie par la micro-brasserie de l’Yonne ont eu l’heur de satisfaire les membres du jury d’INITIATIVE Doubs Territoire de Belfort.
L’association, membre du premier réseau associatif d’accompagnement et de financement de la création/reprise d’entreprises, avait la charge d’organiser cette quatorzième édition de ce challenge en Côte d’Or.
La victoire des trophées 2019 est revenue à une chef d’entreprise du Doubs, Gertrude BLOCHAOU. Elle a créé une société de programmation informatique à Besançon, « TAGWISER ».
On notera aussi, pour compléter la troisième marche du podium, la présence de Dorothée DRAGAN, prestataire de transport de matière de déconditionnement alimentaire. Cette dernière officie dans la Nièvre à Devay grâce à sa structure, baptisée « DL METHA TRANS ».
Plusieurs icaunaises figurent dans le Top 20 de ce classement…
Mention spéciale, également, à Cynthia RELANGE. La créatrice de « FAIR MOMS », entité qui assure la commercialisation de produits artisanaux pour enfants issus du commerce équitable, a séduit les faveurs du public. Celui-ci ne s’y est point trompé en lui accordant son « Coup de Cœur ». La lauréate de ce prix exerce ses activités à Joigny.
Présidé par Alice BADET, elle-même à la tête de l’entreprise MAVIMAX à Dijon (il s’agit d’une micro-crèche), le jury a éprouvé les plus grandes difficultés à extraire sept lauréates parmi les 118 dossiers de candidatures reçus. Tant la qualité était au rendez-vous de ce concours.
Précisons que l’Yonne place deux autres entrepreneuses parmi le Top 20 de cette édition âprement disputée : l’Auxerroise Mathilde PELEN dont l’original concept artistique, un café cabaret à bord d’une péniche amarrée sur les quais de l’Yonne à Auxerre a été inauguré vendredi soir (La Scène des Quais), et Catherine BERARD, de l’agence ORPHEA, à Villeneuve-sur-Yonne.
L’association d’aide et d’accompagnement à la création/reprise d’entreprises icaunaise, INITIACTIVE 89, a soutenu les deux projets des lauréates de ce challenge 2019 vers la concrétisation. Une sage inspiration, de toute évidence !
Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…
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SKODA lance la quatrième génération : OCTAVIA peut atteindre une nouvelle dimension…
décembre 04, 2019Spacieuse, bénéficiant d’une connexion plus appropriée, le nouveau fleuron haut-de-gamme de l’ancien constructeur tchèque (l’enseigne a rejoint le giron du groupe allemand Volkswagen depuis 1991) mérite que l’on s’y intéresse de plus près. Alors que les ventes mondiales ont allègrement dépassé le million de modèles pour la seconde année consécutive en 2018, SKODA intègre désormais le panel des valeurs sûres de l’automobile. Et ce n’est pas l’iconique OCTAVIA qui contredira ces lignes…
PARIS : Quoi de neuf chez SKODA en cette fin d’année 2019 ? La firme automobile, partie intégrante du groupe VW, fait encore parler d’elle avec une version flamboyante au design recherché et aux technologies innovantes.
Plus grande que sa mouture précédente, la nouvelle OCTAVIA présente des atouts plus attractifs, propres à sensibiliser les consommateurs qui en avaient déjà apprécié toute la quintessence.
Proposé en motorisation multiple (essence, Diesel, hybridation légère, hybride rechargeable, gaz naturel…), le véhicule embarque à son bord une technologie très poussée tout en optimisant le confort de ses passagers.
Vu de l’extérieur, l’impression donnée par la berline est son allongement au niveau de son châssis. Il est vrai que l’ingénierie a conçu une automobile plus longue et plus large que la version antérieure.
L’habitacle s’en trouve optimisé. La fonctionnalité du véhicule répond aux attentes des utilisateurs. Notons l’apport d’une connectivité de pointe, avec la présence de nouveaux systèmes d’assistance qui privilégient le confort et la sécurité.
Dans sa version Combi, l’ergonomie se constate y compris dans le coffre. Celui-ci était déjà le plus grand de son segment jusqu’alors. Il a gagné en profondeur, avec un surplus de trente litres supplémentaires, pour atteindre désormais 640 litres qui facilitent le rangement.
Même la berline peut contenir 600 litres. Soit une dizaine de litres de mieux que dans la version précédente.
Esthétiquement, OCTAVIA a de l’allure. Ses phares avant, plus étroits, comme ses phares arrière utilisent la technologie LED moderne. Les roues, allant jusqu’à 19 pouces, confèrent au modèle une apparence de puissance. Précisions pour les puristes : les peintures noir, cristal, bleu lave et bleu titan offrent une finition novatrice.
Bref : un véhicule que l’on peut mettre en de bonnes mains. Il faut l’essayer avant de l’approuver comme le stipule la formule, mais on devrait surtout en entendre parler dans les statistiques de vente en 2020.
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Alain PEREZ (CCI) : la Chambre économique de l’Yonne ne doit plus user de discrétion…
décembre 04, 2019Portée sur les fonts baptismaux depuis 2004, la structure qui fédère aujourd’hui les trois entités consulaires de l’Yonne n’a pas souvent l’occasion de faire parler d’elle en occupant les manchettes à la une de l’actualité. L’organisation de vœux conjoints, le 14 janvier 2020 dans l’Auxerrois, lui donnera la possibilité de mettre enfin le bout de son nez hors de l’eau. Une première en quinze ans. L’actuel responsable de cette assemblée de chambres consulaires, Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, nous en livre les raisons…
AUXERRE: Hormis les rares observateurs de la chose économique, peu de nos concitoyens supposent même l’existence de cette articulation, pourtant nécessaire, unissant les trois chambres consulaires de l’Yonne : la Chambre de Commerce et d’Industrie, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat et la Chambre d’agriculture.
Apparue en 2004, la Chambre économique de l’Yonne représente toutefois un élément de notre paysage institutionnel qui a su rester très discret au cours de ces quinze dernières années de fonctionnement. La présidence se veut interchangeable à raison d’un nouveau mandat effectif tous les deux ans. Un état de fait qui aura ainsi propulsé dans le fauteuil de la gouvernance le président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, au premier janvier.
Héritant de cette entité située en marge de l’actualité, l’ancien dirigeant de la société IRIS Logistique ne souhaitait pas confiner plus longtemps cette structure au ban des projecteurs médiatiques.
Partant de l’évidence d’un postulat (l’union fait toujours la force), Alain PEREZ, habile et clairvoyant, a pris son bâton de pèlerin pour rencontrer de visu ses deux homologues des chambres consulaires de l’agriculture et de l’artisanat. Avec une petite idée qui lui trottait au fond de la tête : concevoir une présentation de vœux commune. Du jamais vu dans l’univers des consulaires, visiblement !
Proposer d’autres manifestations conjointes à l’avenir…
La décision de concocter cet évènementiel a été tranchée quelques jours avant l’annonciation de l’été. Histoire de profiter de la période des vacances, avec sérénité. Les trois présidents des chambres se sont donc mis d’accord sur le principe : le 14 janvier, à l’Espace culturel d’Appoigny, qui offre une jauge de 450 places en terme de capacité, se déroulera ce qui figure déjà comme un évènement exceptionnel.
La manifestation permettra aux trois présidents de s’exprimer à la tribune, d’une même tonalité, et dans un consensus absolu. Une situation qui plaît et séduit Alain PEREZ, partisan depuis belle lurette d’un rapprochement indispensable entre consulaires.
« Au-delà des prébendes corporatistes et de leurs prérogatives habituelles, il est grand temps de défendre les intérêts du territoire autrement, explique Alain PEREZ, en étant force de rassemblement. Je suis personnellement convaincu du bien-fondé de ce rapprochement entre les consulaires. Cela nous permettrait de favoriser l’émergence d’une identité territoriale solide et pérenne… ».
Cette grande première pourrait-elle en appeler d’autres à l’avenir ? Assurément ! D’autres manifestations communes, notamment en matière de formation, offriraient l’opportunité de réunir les mêmes partenaires. Et ce, peut-être dans les prochains mois.
On l’a donc compris par ses enjeux. La Chambre économique de l’Yonne ne veut plus faire de la simple figuration institutionnelle dans le paysage.
Grâce à cette opération, à laquelle sera convié l’économiste Nicolas BOUZOU, le président Alain PEREZ veut frapper fort, tout en marquant les esprits, autour de cette rentrée économique qui lancera déjà la nouvelle année.
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La Maison de l’Entreprise débutera 2020 de très belle manière : avec Luc FERRY en guise d’hors d’œuvre…
décembre 04, 2019Le médiatique politologue et philosophe français avait déjà assuré une brillante prestation lors de sa venue à Auxerre en 2001. Ce déplacement nourrissait à l’époque le cycle de conférences annuelles organisé avec le concours de notre confrère, « Sciences Humaines ». Cette fois-ci, Luc FERRY dévoilera une autre facette de son talent d’orateur et d’analyste, en axant la teneur de sa conférence sur un sujet plus en phase avec les motivations actuelles des milieux économiques…
AUXERRE : Il y a huit ans, l’ex-ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et de la Recherche s’interrogeait sur le sens profond de la nature humaine. Devant un amphithéâtre plein comme un œuf tant la venue de l’emblématique personnage dans la capitale de l’Yonne avait déjà suscité enthousiasme et satisfecit de la part de celles et ceux qui désiraient s’en mettre plein derrière les oreilles !
Car, il reste toujours quelque chose de subliminal dans les neurones lorsque l’on suit un exercice oratoire de Luc FERRY, à l’éloquence si ajustée à sa cible et aux propos intenses en information.
Pour son retour sur le territoire de l’Yonne, le politologue/philosophe changera quelque peu de registre au niveau de la thématique traitée.
Logique : sa venue coïncide avec le déroulement de la traditionnelle cérémonie des vœux qui sera déclinée le jeudi 23 janvier en début de soirée. Au même endroit et à une heure sensiblement identique à celle de la précédente étape icaunaise du fameux conférencier.
Un échange vif autour des motivations des entrepreneurs…
Cette fois-ci, Luc FERRY posera son regard éclairé sur une question qui le turlupine depuis un moment : « Mais qu’est-ce qui fait courir les chefs d’entreprises quand tout devrait les en dissuader ? ».
Une interrogation en forme de boutade, il va s’en dire, de la part de l’exégète qui ne manquera pas d’apporter son lot de réponses et de réflexions, enrichies d’échanges pertinents avec la salle.
Il reviendra à Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne et maître à penser de la Maison de l’Entreprise d’introduire le débat avec sa faconde habituelle.
Auparavant, ce seront succédés sur la scène de l’amphithéâtre les personnalités du milieu entrepreneurial de l’Yonne pour un exercice de circonstance : la présentation personnalisée des vœux.
Ainsi, Jean-Dominique DAGREGORIO, président de l’UIMM de l’Yonne et de la Maison de l’Entreprise, Etienne CANO, président du MEDEF départemental, mais aussi Xavier PAPIN, président de la Fédération départementale du bâtiment et André BEX, président du Pôle Formation 58/89, livreront leurs messages orientés entre le constat de l’année écoulée et les espérances envisagées avec la nouvelle période qui nous accueillera.
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