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Au-delà de la découverte d’entreprise par une représentante de l’Etat (la société industrielle FIMM portée par la valeureuse et battante Julia CATTIN), le scoop figurait aussi parmi les invités de ce rendez-vous que la ministre déléguée auprès du Premier ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO a consacré ce jeudi au territoire de l’Yonne. C’est à Joigny, en effet, qu’elle a lancé au terme de cette visite son appel à projets national en faveur de l’entrepreneuriat au féminin !

 

JOIGNY: Nicolas SORET devait en plaisanter quelques minutes avant que la prise de parole de la représentante du gouvernement soit immortalisée face aux caméras et autres appareils photographiques : « On se souviendra longtemps que cet appel à projets a été prononcé dans la ville de Joigny ! ».

Du pain béni promotionnel pour la localité de prédilection du président de la Communauté de communes du Jovinien et édile de l’agglomération !

Ce dernier avait accueilli un peu plus tôt dans l’après-midi de ce jeudi 22 avril la ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO sur le parvis de la société FIMM.

La flamboyante PME du groupe MANUVIT s’est spécialisée dans la conception et fabrication de solutions de manutention. La structure est dirigée depuis quelques années par une femme au tempérament dynamique, reconnue et appréciée parmi la sphère institutionnelle et économique de l’Yonne, la PDG du groupe Julia CATTIN.

De l’entrepreneuriat à l’inspiration féminine, il en sera grandement question lors de l’intervention médiatique d’Elisabeth MORENO. Sur le papier, soit la note explicative adressée vingt-quatre heures auparavant aux rédactions, il avait bel et bien été mentionné que la représentante du gouvernement effectuerait une annonce importante en faveur de l’entrepreneuriat des femmes.

 

Créer une saine émulation des talents dans l’Hexagone…

 

Impatients d’en savoir davantage sur cette déclaration, les journalistes rongeaient leur frein en attendant d’écouter les propos de la ministre, qui fut elle-même une entrepreneuse chevronnée agissant dans le secteur du bâtiment et du numérique.

Au terme de son immersion dans le monde industriel tel qui est préconisé par FIMM (la conception de diables et de chariots servant à la manutention), l’ancienne présidente de HEWLETT PACKARD Afrique se prêta volontiers à l’exercice du micro tendu, un jargon propre aux relations presse lui permettant de répondre aux inévitables interrogations des médias.

Dire que les représentantes de la gent féminine sont capables de diriger des entreprises, y compris dans des filières dites masculinisées, semble être une évidence pour la ministre. « Les talents n’ont pas de genre ! », précisa-t-elle tout de go dans ses propos liminaires.

 

 

La défenseuse de l’Egalité entre les femmes et les hommes a voulu frapper fort en ce 22 avril qui ne sera plus dorénavant considéré comme une journée ordinaire telle que l’avait prédit Nicolas SORET.

En lançant un appel à projets en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes dans l’entrepreneuriat, le successeur de Marlène SCHIAPPA entend bien créer une saine émulation parmi toutes celles qui désirent assumer les rênes du pouvoir, en dirigeant une entreprise. A l’instar de Julia CATTIN, maintes fois plébiscitée par la ministre.

 

 

Que vise plus précisément cet appel à projets ?

 

 

D’une part, l’autonomie économique des femmes. Via des actions de soutien à l’entrepreneuriat et aux outils qui favorisent la sensibilisation à cette prise d’initiative. Celle-ci pouvant se traduire par la création ou la reprise d’une entreprise.

« Les femmes doivent émanciper le paysage économique, lâchera Elisabeth MORENO au cours de cette interview.

Il est vrai que les freins au développement de cet entrepreneuriat à la griffe féminine demeurent encore trop nombreux dans l’Hexagone.

D’autre part, le volet de l’insertion professionnelle de ce public représente une indispensable nécessité. A promouvoir coûte que coûte du fait de cette période de crise.

En dernier lieu de cet argumentaire spécifique se situe la promotion de la mixité dans certains secteurs identifiés comme insuffisamment mixtes à l’image des métiers de l’environnement, du numérique, du bâtiment ou de l’aéronautique. Seuls 15,5 % des travailleurs appartiennent à une famille professionnelle mixte. On constate qu’il reste un long travail à effectuer pour faire bouger les lignes, voire les mentalités.

 

 

Une enveloppe de 500 000 euros débloquée par l’Etat

 

Ouvert aux personnes morales à but non lucratif (associations, partenaires sociaux, fondations, établissements publics…), l’appel à projet dévoilé en avant-première par Elisabeth MORENO s’applique à l’instant « t ». Pour une durée de quatre semaines, jusqu’au 22 mai. Il a nécessité le déblocage d’une enveloppe budgétaire de 500 000 euros.

 

En savoir plus :

A consulter la référence suivante : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projet-2021-egalite-economique-entre-les-femmes-et-les-hommes

 

Thierry BRET

 

 


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Depuis des décennies, la place de la femme dans certains secteurs d’activité connaît une part de rejet. Certaines entreprises refusent même d’embaucher des femmes qui pourraient y effectuer un travail dit « d’homme ». Pourtant, des entrepreneurs plus visionnaires traitent cette problématique en prenant le contre-pied de cette tendance discriminatoire…

 

AUXERRE : Océane, une jeune étudiante qui préparait son CAP s’est vue refuser plusieurs demandes de formations au sein d’entreprises. Anciennement affectée à une formation en gendarmerie, elle s’est reconvertie dans un tout autre registre professionnel en suivant un apprentissage de magasinière au sein de l’entreprise Joël LEFEVRE, concessionnaire de poids lourd DAF à Appoigny.

Elle avait entendu parler de ce métier et souhaitait l’essayer. De ce fait, elle a déposé plusieurs CV. Sa place dans ce corps de métier a été remise en cause plusieurs fois. Des absences de réponses, des refus ont été au rendez-vous pour la jeune fille. Un de ses CV n’a pas été accepté par une entreprise car celle-ci ne possédait pas de vestiaires spécifiques pour les femmes…  

 

 

Un réel problème de discrimination professionnelle dans l’Hexagone…

 

Se faire refuser un CV en raison de son sexe est une forme de discrimination à l’embauche. Il est par ailleurs inscrit dans le Code du Travail à l’article L1132-1, qu’« aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement ou de nomination ou de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise […] en matière de […] son sexe, de ses mœurs… ».[1]

Le secrétariat d’État chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations a publié un dossier en 2019. La conclusion serait que l’inégalité est toujours d’actualité.

D’après les résultats publiés par Eurostat et l’INSEE puis relayés par le secrétariat d’État en 2018, en France, le taux d’emploi des 15-64 ans, selon le sexe possède un écart. 68,9 % des hommes ont un emploi contre 61,9 % des femmes. La parité n’est ici pas totalement présente. [2]

 

 

Une ouverture d’esprit qui augure d’un nouvel avenir…

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de l’entreprise éponyme, ne voit pas les choses de la même manière. Il a décidé d’accepter Océane pour qu’elle ait l’opportunité de découvrir ce qu’elle voulait faire professionnellement.

N’ayant pas non plus de vestiaires pour les femmes, il lui a fait un aménagement afin qu’elle puisse se changer en toute intimité au même titre que les hommes.

Il n’y a aucun problème d’acceptation des femmes dans son entreprise. Il suffit d’aimer le métier et d’avoir de la volonté. Après cela, le directeur général de l’entreprise n’y voit aucun inconvénient.

Sur 220 salariés employés par la SAS Joël LEFEVRE, 20 % sont des femmes. Il assure même que cela deviendra équitable au sein de l’entreprise avec le temps. Tant qu’il y a de la demande et des compétences, les hommes et les femmes seront acceptés. Au sein de la vingtaine de concessions du groupe, celle d’Appoigny accueille le plus de femmes dans ses équipes.

Selon Océane, ces refus d’embauches vont évoluer car il y a de plus en plus de demande de la part de la gent féminine pour ces métiers qualifiés de masculin.

Les entreprises n’auront alors pas d’autre choix que de faire une place pour les femmes dans leurs effectifs.

 

En savoir plus :

[1] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042026716/

[1] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/wp-content/uploads/2019/05/30652-DICOM-CC-2019-essentiel.pdf

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La filière du bâtiment a connu un coup d’arrêt fort brutal de ses activités au printemps dernier. Date du tout premier confinement. Une quarantaine de femmes, entrepreneuses du secteur, ont été invitées à s’exprimer lors d’une rencontre interrégionale menée par la Fédération française du Bâtiment (FFB) à Lyon il y a quelques jours. Occasion de partager leurs expériences et de témoigner sur les méthodes de travail développées avec cette crise…

 

LYON (Rhône) : Plus d’une quarantaine de femmes, cheffes d’entreprise de leur état, de la filière du bâtiment ont été conviées par la FFB Auvergne-Rhône-Alpes à prendre position sur le partage des pratiques mises en exergue au sein de leurs sociétés lors d’un colloque organisé dans l’ancienne capitale des Gaules. Plusieurs d’entre elles représentaient des régions limitrophes.

Comme l’avait spécifié la présidente du groupe femmes FFB de la région accueillante, Sylvie FAURE, « cette prise de parole se voulait libérée et décomplexée, sans jugement, ni posture tout en restant positif et volontariste… ». Une entrée en matière des plus encourageantes pour les participantes à cet exercice.

Parmi les temps forts qui ont été ainsi abordés par ces femmes meneuses de société, deux points particuliers relatifs à la capacité de résilience du chef d’entreprise et celui se rapportant à la mobilisation et au management des équipes durant cet épisode si insolite de la crise de la COVID-19.

Sociologue, spécialiste de l’encadrement, psychologue du travail, entrepreneuses : tous les intervenants de ces tables rondes eurent à dire sur ces items ne manquant pas d’attrait.

Pour Anne-Sophie PANSERI, dirigeante de la société MAVIFLEX (production de portes souples et manuelles), l’idée de fermer immédiatement son entreprise fut une décision logique.

« J’avais la boule au ventre de faire venir les équipes à l’usine, confie-t-elle, je me suis posée beaucoup de questions sur ma responsabilité en tant que dirigeante ».

Son de cloche similaire pour Sylvie GUINARD, présidente de THIMONNIER, concepteur de solutions d’emballage : « L’entreprise n’a jamais fermé ! Nous étions en contact régulier avec nos fournisseurs pour nous assurer qu’ils maintenaient leur activité… ».

Tous se sont accordés à dire que les salariés avaient démontré une vraie implication. « Nous avons beaucoup communiqué avec nos équipes, notamment dans le respect des règles sanitaires et dans l’organisation de celles-ci, explique Karine DRUGUET.

Au travers de ses études, la psychologue du travail Laure CHANSELME releva deux sources de stress pour le dirigeant. D’une part, un profond sentiment d’injustice lié à la caractérisation d’activités essentielles versus des activités non-essentielles contraintes de tout stopper. D’autre part, un sentiment d’impuissance de ne plus pouvoir maîtriser l’environnement de l’entreprise.

 

Se sentir épauler grâce à la solidarité…

 

Pour faire face à ces situations inédites et instables, la force du réseau et du groupe a été soulignée par tous. Une solidarité, un lieu d'échanges et de partage qui permet au dirigeant de prendre du recul, d'extérioriser et de trouver des solutions. 

« Il y a un moment d'abattement et les autres nous relèvent. Cette solidarité fait la différence. Plus largement, nous avons notamment pu constater que les femmes organisées et aidées en réseau réussissent mieux que celles qui sont seules… » précisa Anne-Sophie PANSERI, ancienne présidente du Réseau Femmes Chefs d'Entreprise.

Pour Christel DREAU, de la société éponyme à FONTENAY (Yonne) et vice-présidente du groupe femmes de la FFB de Bourgogne Franche-Comté, le groupe femmes a été un véritable soutien : « On a besoin de cette solidarité, de se sentir épaulées. Il est important de pouvoir échanger avec ses pairs. Dans ce genre de situation, on voit tout le sens et l'utilité du groupe femmes ».

 


Quant à Sylvie FAURE, elle a insisté sur le rôle essentiel qu'a joué la FFB au niveau national, régional et départemental pour accompagner les entreprises du secteur. Un réseau qui a su démontrer toute sa force et son importance.

 

Le management des équipes au cœur des débats…

 

La dernière table ronde était consacrée au management des équipes. Télétravail, préservation du lien entre les collaborateurs en présentiel et distanciel, modes collaboratifs... 

Des méthodes de travail qui, si elles ont pu être imposées de manière brutale en raison de la situation, seront sans doute amenées à perdurer.

Selon Marie-Hélène PONS, dirigeante de l'entreprise SOGICS, « il est difficile de trouver une unité entre les salariés en télétravail et ceux en présentiel. Au sein de l'entreprise, personne n'était habitué à travailler à distance, nous n'avions jamais expérimenté le télétravail. Il a fallu trouver les bons outils, adaptés à nos besoins »

Ce confinement a permis de changer les mentalités et approches d'encadrement, comme en témoigne Anne-Sophie PANSERI : « Cette situation nous a ouvert les yeux sur un autre management. Avant cette crise, j'étais opposée au télétravail. Aujourd'hui, je considère que je dois faire confiance aux collaborateurs. On ne peut pas pénaliser une organisation juste pour quelques personnes qui ne jouent pas le jeu... ».

En conclusion des échanges, Pierre DRELON, sociologue et intervenant en management, a rappelé combien le besoin d'interaction sociale était prégnant dans le monde de l'entreprise, comme ailleurs.

« Les hommes et les femmes sont programmés pour s'adapter. Ils et elles sont faits pour mettre en place les changements utiles en puisant dans leur imagination et leur capacité d'innovation qui provient des échanges et des interactions sociales. Le propre de l'entreprise est la prise de risques » souligna le sociologue qui, non sans un brin de provocation, posa la question suivante.

« Le vrai confinement n'était-il pas celui des Trente Glorieuses au cours duquel nous étions centrés avant tout sur les droits acquis, l'absence de prise de risques, la mise en place de certifications... ? 

Paradoxalement, c'est peut-être seulement maintenant que nous allons sortir d'un confinement de plus de cinquante ans, qui nous poussera à réinventer nos méthodes de travail et à sortir d'une certaine zone de confort ? ».

Une interrogation pertinente qui mérite sans doute de véritables réponses…

 

Thierry BRET

 


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La pertinence du concept s’appuie sur les principes qui régissent la vente immobilière. Concrètement, on peut céder son véhicule automobile d’occasion en requérant l’intervention d’un agent. C’est la base éthique de cette nouvelle enseigne qui a été portée sur les fonts baptismaux début avril à Sens.

 

SENS : Et une vitrine commerciale supplémentaire pour SIMPLICI CAR ! Apparue dans le paysage de la commercialisation automobile en 2011, l’enseigne compte désormais une trentaine de comptoirs dans l’Hexagone. Etoffant petit à petit son maillage sur le territoire, elle ne cesse de progresser.

Les prochains points de vente seront positionnés en Seine-et-Marne, à Fontainebleau et à Lagny-sur-Marne, non loin de la base arrière du groupe à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Depuis quelques jours, l’Yonne est pourvue de cette marque. Alessandro SALOMONI a décidé de franchir le Rubicon en rejoignant la structure en devenant un franchisé. Il s’est installé dans la zone des Vauguillettes. Son prévisionnel en termes de chiffre d’affaires pourrait s’élever à plus de deux millions d’euros dans les deux années à venir.

 

 

Une estimation gratuite des véhicules d’occasion…

 

Le principe est basique : vous confiez votre véhicule au jeune entrepreneur. Il va ensuite procéder à son expertise en optant pour un prix plus haut que si vous le revendiez dans un garage et s’occuper ensuite de la cession.

Une fois l’acquéreur trouvé, Alessandro achète le véhicule à un tarif net vendeur, avant de gérer ensuite toutes les démarches propres à la transaction.

Son rayon d’action couvre la France entière. Avec, parmi les prestations possibles, l’opportunité de financement, une garantie, la gestion de la carte grise et un service gratuit pour le cédant.

 

 

Proposant en parallèle un service de location de longue durée pour les professionnels, SIMPLICI CAR offre un choix éclectique de deux mille cinq cents automobiles. Les modèles sont visibles sur le site de la société mais aussi sur différentes plateformes d’achat ou de notoriété tels « Le Bon Coin », Facebook et Instagram.

A ce jour, cinq véhicules sont venus compléter le parc. L’objectif est de proposer à terme une trentaine d’automobiles de manière régulière.

Travaillant en famille, Alessandro SALOMONI a recours à sa mère pour gérer la partie administrative de la société ; fonction qu’elle assure en free-lance.

 

En savoir plus :

https://www.facebook.com/SimplicicarSens 

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 

 

 


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La nouvelle est positive pour les cent-trente personnes travaillant sur la plateforme logistique du Gâtinais. Alors qu’elles étaient menacées de perdre leur emploi, la signature d’un nouveau contrat avec le spécialiste de l’animalerie en ligne MAXI ZOO, filiale du groupe allemand FRESSNAPF, augure de belles perspectives. FM LOGISTIC poursuivra ses activités au moins pour cinq ans.

 

SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : Yannick BUISSON, directeur général de FM LOGISTIC Europe de l’Ouest et France, l’avait martelé à maintes reprises lors d’une rencontre se déroulant avec les élus du nord de l’Yonne en mars.

Il ferait tout son possible pour retrouver un nouveau partenaire permettant à l’infrastructure logistique du Gâtinais de survivre après le terme du contrat la liant depuis trois ans avec le distributeur Carrefour.

 

 

Le défi était certes complexe à envisager dans le climat économique actuel : il aura tenu ses promesses au bout du compte. Grâce à la mobilisation très forte des élus du territoire et des services de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST en tête.

La bonne nouvelle a été confirmée ce jeudi 15 avril par la direction de FM LOGISTIC. Une filiale du groupe d’Outre-Rhin FRESSNAPF, l’animalerie en ligne MAXI ZOO (210 vitrines commerciales dans l’Hexagone) s’est finalement engagée avec la plateforme icaunaise pour une durée de cinq ans. Un contrat qui va courir jusqu’en 2026.

 

 

 

 

La décision met un terme aux spéculations concernant la fermeture définitive de ladite plateforme et la mise en place d’un plan social qui pesait au-dessus des têtes des cent-trente collaborateurs du groupe FM LOGISTIC, condamnés à se projeter dans un nouveau plan de carrière.

Cette nouvelle ne peut que réjouir également les quatre-vingt-dix intérimaires qui étaient employés par l’entreprise.

FM LOGISTIC assurera l’approvisionnement de l’ensemble des magasins gérés par MAXI ZOO en France, à partir de sa base icaunaise qui proposera le stockage des produits, le conditionnement, les préparations de commandes et celles à l’unité du service e-commerce.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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