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La sensibilité slave à fleur de peau. Avec ce qu’elle a de si poignant, d’émotionnellement riche. D’extrême sensibilité, aussi. Pianiste virtuose, l’Ukrainienne Anna JBANOVA excelle avec son toucher délicat sur le clavier. Violoncelliste hors pair, le Russe Dimitri MASLENNIKOV – d’origine tzigane et natif de Finlande – remportait dès 13 ans le prix Rostropovitch ! Le Français, François PINEAU-BENOIS, est une étoile du violon qui brille de plus en plus fort à chaque représentation. La nouvelle saison de l’Abbaye de REIGNY ne pouvait pas mieux débuter !

 

VERMENTON: Clin d’œil ironique à l’actualité internationale, en voilà trois qui s’entendent comme larrons en foire dès qu’ils se présentent sur une scène ! Un trio instrumentiste de virtuoses, d’astres au firmament allant tout droit vers le zénith, de musiciens suffisamment calibrés pour interpréter Franz SCHUBERT et Sergueï RACHMANINOV. La beauté musicale à l’état pur, en somme. Prête à auréoler de sa succulence auditive ce cadre magnifique né à l’époque cistercienne, chère à Béatrice et à Louis-Marie MAUVAIS – les propriétaires du site -, l’emblématique Abbaye de REIGNY !

Comme une bouffée d’air pur qui rafraîchit les idées embuées, un vigoureux zéphyr virevoltant et printanier qui annonce des jours meilleurs, voilà la 17ème saison culturelle qui démarre avec grâce dans ce haut lieu patrimonial de la Bourgogne septentrionale. Un premier concert accueilli en ces lieux en cette journée dominicale du 02 avril, au beau milieu de l’après-midi.

Sur la même scène, trois nationalités – plusieurs mêmes par extrapolation ! -, Ukrainienne, Russe et Française. Pas forcément les « meilleurs amis » du monde pour d’entre elles, depuis plus d’un an. Mais, ici, on fait fi de la nature géopolitique des relations. Seul ce tempérament musical passionnel entre ces trois artistes subsiste et prend corps sans retenue pour emmener le public vers l’onirisme et la grâce.

 

 

Une promenade musicale entre « Barry Lyndon » et le « Trio élégiaque »…

 

Les mélomanes ne s’y tromperont pas. D’une part, à l’écoute du « trio n° 2 opus 100 » de SCHUBERT, reconnaissable parmi mille puisque le morceau a intégré la mirifique bande-son du célèbre « Barry Lyndon », l’opus cinématographique de Stanley KUBRICK en 1975 qui changeait catégoriquement de registre lui qui nous avait envoyé par-delà les étoiles de la voûte céleste avec sa célèbre « 2001, l’Odyssée de l’espace » ou le troublant, voire dérangeant, « Orange Mécanique ».

D’autre part, il y a le fameux « Trio élégiaque » - il s’agira de la première variante -, dont le compositeur n’est autre que Sergueï RACHMANINOV. Une pièce écrite en 1892 à Moscou alors que son auteur était à peine âgé de dix-huit ans !

Il faut croire que nos trois instrumentistes de talent ont su séduire avec brio le comité artistique des Amis de l’Abbaye de REIGNY, organisateur de cet évènement printanier. L’exceptionnelle puissance expressive de ce trio cosmopolite aura ainsi l’opportunité de laisser libre cours à toute sa dextérité et sa maestria lors de récital qui promet d’être divin. Une excellente manière d’entamer la nouvelle saison dans ce lieu chargé d’histoire et de spiritualité…

 

 

En savoir plus :

Récital à l’Abbaye de REIGNY, près de Vermenton, à 16 heures.

Un concert romantique passionnel autour des œuvres de SCHUBERT et de RACHMANINOV.

Avec au piano, Anna JBANOVA, au violon, François PINEAU-BENOIS, et au violoncelle, Dimitri MASLENNIKOV.

Place : 25 € / 35 € selon catégorie

Réservation indispensable.

Ecrire par mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Ou par texto au : 06 13 52 94 86

  

Thierry BRET

 

 


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D’Allemagne, de Belgique, de Suisse, d’Italie mais aussi de Grande-Bretagne : les experts de l’affûtage et de la rectification n’ont pas hésité à venir des quatre coins de l’Europe, ce week-end, afin de prendre part au traditionnel rendez-vous biennal du Syndicat des Affûteurs Français d’Outils Tranchants (SNAFOT). Un évènement industriel de très belle facture, accueillie à Auxerre…

 

AUXERRE : « Ce fut un très beau salon ! ». Quelques mots suffirent pour le directeur du parc des expositions géré par Centre France Evènements, filiale du groupe de presse régional, Sébastien FUENTES pour résumer ce qui fut un week-end constructif et convivial pour les spécialistes européens de l’affûtage et de la rectification.

Des industriels en provenance de plusieurs pays du Vieux Continent qui se retrouvent à raison d’un rendez-vous organisé tous les deux ans par l’organisme fédérateur dédié à cette filière : le SNAFOT, le Syndicat national des Affûteurs Français d’Outils Tranchants.

Apparu en 1976, voilà près de cinquante ans, cet organisme se veut être rassembleur parmi cette caste spécifique de la vie industrielle, se présentant comme une association professionnelle désireuse de créer des liens et de partager des informations. Une structure qui se plaît à mettre en exergue la promotion de ses métiers, par le biais de ses différents centres de formation mais aussi cet évènement qui a posé ses jalons en terre de l’Yonne, trois jours durant.

 

 

 

 

Des retrouvailles après quatre ans de disette imputable à la COVID !

 

Ce salon, baptisé « AFF’ Tech », aura ainsi facilité les échanges entre ses participants tant les industriels que leurs fournisseurs et clients ; d’autant que ces derniers n’avaient pas eu l’occasion de se revoir depuis bientôt…quatre ans ! La COVID ayant eu raison de la précédente édition de 2021, programmée à Reims.

Cette fois-ci, il n’en fut rien. Aucune perturbation en vue durant ces trois journées de travail et de cordialité à AUXERREXPO, devenu le temps d’un week-end, la capitale européenne de ce secteur industriel, peu connu du grand public…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le tournage se déroulera aux environs de Vézelay et d’Asquins à partir du 15 mai. La seconde partie, très attendue, d’une adaptation cinématographique du dernier ouvrage dont il est auteur : « C’est le monde à l’envers » avec à la signature Nicolas VANIER. Une histoire dont le décor naturel n’est autre que le Morvan. L’idéal, en somme vue de l’Yonne, d’y prendre part en participant au casting de nouveau-nés et de très jeunes enfants, qui deviendront des figurants à part entière…

 

PARIS : Chargée de la figuration pour le compte de la société de production, « Bonne Pioche », Marie PAIRIS recherche bébés et jeunes enfants pour le tournage de la deuxième partie du prochain long-métrage de Nicolas VANIER. Le projet cinématographique se nomme « C’est le monde à l’envers », le fruit d’un nouvel opus épistolaire de l’écrivain/cinéaste.

On ne compte plus les succès imputables au septième art de l’écrivain réalisateur qui a pris fait et cause pour la protection de l’environnement et la défense de la nature : « L’Ecole buissonnière », « L’Odyssée sauvage », « Le dernier trappeur ». Avec parfois, des incursions dans ces histoires d’autrefois qui berçaient notre enfance : « Poly », « Belle et Sébastien »… Et toujours, avec la réussite et la poésie, en prime !

Aux environs de Vézelay, dans ces contreforts du Morvan où il fait bon vivre ce retour aux sources salvateurs à la nature, seront donnés les premiers tours de manivelles des caméras, du moins pour la seconde partie filmée de l’œuvre. Ce sera à la mi-mai. Et ce jusqu’au 09 juin.

 

 

 

Aux côtés des acteurs principaux, Michaël YOUN, Valérie BONNETON, Yannick NOAH, il y aura aussi cette pléthore de figurants qui font le sel d’une grande œuvre, proposant rêverie et émotion. Et si c’était votre enfant qui tenait ce rôle ?

Pour se faire, il suffit d’inscrire votre enfant en y précisant les informations suivantes (nom, prénom, adresse, coordonnées téléphoniques et mails ainsi que ceux des parents) et en y adjoignant trois visuels récents et en couleur, portrait et pied à la référence suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Précisons que toute prestation (soit un jour de tournage) est rémunérée au tarif de 105 euros brut/Jour selon le barème en vigueur dans le cinéma.

 

 En savoir plus :

 

Les recherches de figurants portent sur des nouveau-nés de sexe indifférent nés entre le 01er et le 28 février 2023,

Les jumeaux/jumelles sont les bienvenus avec de préférence de petits gabarits (prématurés),

Des très jeunes enfants (garçon et fille) sont également recherchés pour ce tournage, ils doivent être âgés entre 9 et 24 mois en mai 2023.

 

Thierry BRET

 

 


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D’ordinaire, on se rend au Silex pour y découvrir des talents instrumentistes confirmés, voire underground, histoire de se coller de la bonne musique entre les oreilles et laisser exprimer pleinement le groove qui est en soi ! Le tour de force artistique de la très décalée et émancipatrice, Catherine RYMARSKI – elle signe ce retour au premier plan sous le pseudo de MARSKA – est d’inclure désormais l’art pictural dans cet antre des nocturnes festives à n’en plus finir !

 

AUXERRE : Depuis le vernissage de la toute dernière création de l’artiste franco-suédoise– c’était le 01er février en présence de nombreux amis -, la mini-galerie d’art du Silex voit converger chaque jour des amateurs ou des curieux qui prennent soin de s’imprégner longuement des douze toiles qui y sont exposées sur les cimaises. Pour mémoire, jusqu’au mercredi 06 avril, soit dit en passant.

Il est vrai que la nouvelle livraison créative de la peintre auxerroise Catherine RYMARSKI suscite de l’intérêt. Certes, ce sont des travaux se situant aux antipodes de ses récentes œuvres concoctées sur les origines de ces figurines rupestres – des runes - qui remontent à la nuit des temps. Plusieurs séjours en Suède furent d’ailleurs nécessaires pour mieux en appréhender la signification et le symbolisme, afin que l’artiste puisse être en connexion avec ses lointains ancêtres scandinaves jusqu’au bout du pinceau. Des origines dont elle fait l’apologie avec fierté, y compris à travers ses toiles.

 

 

Un Silex qui continue à diversifier ses activités culturelles…

 

Baptisée très sobrement, en se référant aux prénoms de ses muses qui l’auront inspiré, « Nadia, Frida, Diana, Joanna, et toutes les autres… », la nouvelle exposition de « MARSKA » puisque tel est le patronyme usuel qu’elle emploie pour en apposer la griffe au bas du tableau, s’est donc installée dans un univers atypique auquel l’on ne s’attendait pas pour y contempler ses peintures. Le Silex !    

Une corde supplémentaire de plus à ajouter dans l’escarcelle de ce lieu culturel connu et apprécié par beaucoup dans la sphère artistique de l’Yonne – et même de plus loin – tant sa programmation y est à la fois insolite, originale mais aussi de très belle qualité par la venue d’artistes dont la renommée n’est plus à démontrer, n’est-ce pas Jean-Louis MURAT ?!

Porteur du festival « Catalpa » - autre référence à la gloriole des musiques actuelles et internationales qui a le vent en poupe depuis son lancement -, le Silex qui aime aussi surprendre accueille régulièrement des évènementiels plus conventionnels avec les milieux entrepreneuriaux. Il ne pouvait qu’élargir sa palette légitime d’activités.

L’établissement dirigé par Sylvain BRIAND travaille en étroite osmose avec le monde du théâtre local – une synergie efficiente qui se traduit par des spectacles organisés avec les équipes de Pierre KECHKEGUIAN - ; il se devait d’ouvrir encore plus grandes ses portes à l’art pictural et à sa fourmilière artistique icaunaise des plus disparates.

Un travail dont la coordination repose sur les épaules de Louise ANTOINE, une jeune fille enthousiaste, toute acquise à la diversification des projets kaléidoscopiques portés par le Silex, qui en dirige, en parallèle de ses multiples activités, la fanfare !

Louise fut donc le point de rencontre pour Catherine RYMARSKI : on connaît la suite avec la pose de ces douze tableaux, odes à la féminité et à son émancipation logique, ayant pris place dans l’espace consacré à leur accueil.

 

 

Des œuvres à la limite de l’ésotérisme et de la kabbale…

 

On l’a sait très engagée, féministe mais pas fanatique pour autant, Catherine RYMARSKI a choisi d’illustrer ce combat – celui de la parité, de l’égalité, de la liberté retrouvée, de l’abolition du machisme – avec cette série de cadres de belle facture et ultra colorés où elle y a couché avec sa technique bien particulière les portraits de Diana SPENCER – et oui, la fameuse Lady Di ! – ou celui de Frida KAHLO, l’artiste mexicaine à la notoriété universelle qui dénonça et combattit la société patriarcale régissant ce monde dès…1928 !

Une technique en version transition écologique, d’ailleurs ! La peintre utilise de vieux draps mais aussi des bouts de tissus glanés çà et là pour constituer ce qui deviendra sa toile. Puis, adoratrice de coloris chatoyants, elle donne de la constance à l’ensemble de l’œuvre à grands coups de pinceaux, voire de bombes, superposant le tout, le faisant couler de haut en bas, dans un grand élan de générosité artistique.

Entre « psychédélisme » - on imagine aisément certaines de ces toiles pouvant illustrer les couvertures d’albums de groupes britanniques ou américains jouant sous acide dans les années 67/69 ! – et « pop art », époque Andy WARHOL avec des personnages nappés de couleurs, « MARSKA » nous invite à une scrupuleuse contemplation de pièces chargées d’inscriptions parfois à la limite de l’ésotérisme et de la kabbale, des textes à lire attentivement pour leurs portées significatives ; d’où un temps de présence qui ne nécessite aucune contrainte temporelle une fois installé dans ce petit couloir rougeoyant faisant office de véritable galerie. L’essentiel pour le visiteur est de ne pas en perdre une miette en route et de bien emmagasiner dans ses neurones la réalité tangible de ces messages sublimant la femme.

Bref, on ne sort pas de ce voyage culturel totalement indemne et sans en être un peu ébranlé. En douze tableaux, version « apôtres » face aux portraits de ces représentantes marquantes de la gent féminine, Catherine RYMARSKI, « papesse » d’un ordre nouveau – celui de l’émancipation, des libertés et des droits aux femmes – nous livre en amazone le « saint des saints » des messages picturaux : « il est temps que les choses changent et que cesse définitivement le patriarcat »…

 

 

En savoir plus :

 

« Nadia, Frida, Diana, Joanna, et toutes les autres… ».

Une exposition de Catherine RYMARKSI (« MARSKA ») accueillie au Silex à Auxerre.

Tous les jours jusqu’au 05 avril 2023.

    

Thierry BRET

 


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Rançon du succès oblige, la romancière, journaliste et animatrice des réseaux sociaux – son blog automobile « Charlotte au volant » y attire toujours autant d’aficionados férus de critiques décapantes - se prépare à faire ses valises afin d’assurer la promotion et les séances de dédicaces qui vont de pair, après la publication de son dernier opus. Troisième volet d’une saga épique, mettant sous le feu des projecteurs une curieuse héroïne un brin décalé – toute ressemblance avec l’autrice serait-elle donc fortuite ?! -, « Le Journal d’une pétasse confinée » sort de son isolement pour mieux se faire connaître à travers l’Hexagone !

 

AUXERRE: La mayonnaise fonctionne toujours. Sa texture est tout aussi savoureuse en bouche qu’à l’identique de ses précédents opus, comme peuvent l’être les historiettes de l’héroïne principale de ce roman peu ordinaire à mettre entre toutes les mains si votre moral ne vire pas nécessairement vers le beau fixe ! Et même si notre « Pétasse » semble totalement blasée, perplexe et anéantie après deux ans de crises sanitaires à répétition et autant de périodes de confinement au fil des pages de ses nouvelles aventures, il n’en reste toujours que le meilleur à prendre : soit la quintessence de bons mots et d’attitudes désopilantes qui l’a font réagir face à des situations existentielles des plus cocasses.

Publié voici quelques semaines, le nouveau volet de cette trilogie à la manière plus drolatique et décalée que le triptyque marseillais de Marcel PAGNOL rencontre déjà le succès auprès d’un lectorat (pas seulement féminin d’ailleurs), devenu fidèle et accro aux écrits pittoresques de la romancière icaunaise. Oui, peut-on dire en filigrane dans son œuvre, que l’on peut rire de tout, même d’un contexte engendrant la déprime, l’anxiété à outrance, l’angoisse et la névrose. Bref, bienvenue dans le monde aseptisé dans lequel l’humanité a vécu durant plus de deux saisons avec la COVID pour seule compagnie ! Une épreuve difficile à surmonter pour une « Pétasse » qui se respecte !

 

Une tournée de dédicaces qui passe par Cannes et Valence…

 

Après quelques séries de dédicaces, plutôt fructueuses ceci dit au niveau des ventes de l’ouvrage, accordées dans le microcosme auxerrois, Anne-Charlotte LAUGIER en baroudeuse et aventurière qu’elle est de temps à autre lorsqu’elle se décide à tester derrière le volant la nouvelle production motorisée d’un constructeur automobile à l’autre bout de la France, en est quitte pour assurer désormais la promotion de son bouquin, commercialisé sur toutes les bonnes plateformes de vente en ligne.

Un périple qui va l’emmener du côté de la Saône-et-Loire, non loin de Mâcon, la cité chère à LAMARTINE, à Crèche-sur-Saône le 11 mars, dans l’Aube voisine, à Troyes pour deux dates les 25 mars et 08 avril – la ville où les vitraux sont rois ! -, avant de pousser le voyage un peu plus loin du côté de la Côte d’Azur à Cannes, puis à Valence, à Tours, etc. Des pérégrinations livresques à la rencontre de son public conçues en partenariat avec le groupe CULTURA qui lui offre un corner à chaque étape de ce Tour de France, devant s’étendre au fil des semaines.

Jamais à court de projets – elle incarne également le personnage emblématique de son œuvre épistolaire sur la scène théâtrale seule devant le public -, Anne-Charlotte LAUGIER poursuivra-t-elle sur sa lancée en publiant de nouvelles péripéties de son héroïne dans les mois qui viennent en s’inspirant de l’actualité intense du moment (« Le Journal d’une Pétasse face à la réforme des retraites », « Le Journal d’une Pétasse confrontée à l’inflation galopante »…) ? Quoi qu’il en soit : les sujets où elle peut immerger son affriolant personnage ne manquent pas et pour le reste, la romancière possède les arguments et le talent pour les narrer…

 

 

En savoir plus :

« Le Journal d’une Pétasse confinée » est paru aux éditions RAMSAY.

 

Thierry BRET

 


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