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Frustrés par l’entrée en vigueur des mesures de confinement, les amateurs de ventes adjudicataires ne peuvent plus fréquenter leurs lieux de prédilection. Les hôtels des ventes sont désormais portes closes depuis la mi-mars. Mais, cela ne les empêchera pas de surfer sur la toile à la recherche de bonnes affaires. A l’instar de celles qu’ils pourraient réaliser avec la vente mobilière d’Auxerre Enchères ce lundi 27 avril…

AUXERRE : Des tableaux anciens, une collection de bijoux, des objets d’art, du mobilier classique et contemporain, des toiles modernes…lundi 27 avril, Me Frédéric LEFRANC renoue avec les bonnes vieilles habitudes de la vente par adjudication en proposant un rendez-vous qui ne devrait pas déplaire aux aficionados de la spécialité.

Même si cette animation n’aura ni le goût ni la saveur d’une véritable vente réalisée dans les règles de l’art de manière physique, ces retrouvailles avec l’univers spécifique des enchères devrait attirer son lot de partisans.

Car, évidemment, compte tenu des mesures sanitaires liées au coronavirus, l’opération animée par le commissaire-priseur auxerrois se déroulera sans public.

 

 

Une vente possible uniquement par la plateforme dédiée…

 

La vente s’effectuera exclusivement en direct via la plateforme Interenchères. Concrètement, les ordres d’achat ne se feront pas par téléphone mais ils devront parvenir à l’étude avant le lundi 27 avril à 11 heures.

De même, précise Me LEFRANC, « la vente sera proposée sans exposition préalable des lots. Les photos de chacune des pièces étant diffusées sur le site et la plateforme Interenchères… ».

Quant à l’enlèvement des lots, il aura lieu à la fin du confinement et uniquement sur rendez-vous, et ce quel que soit le mode d’enlèvement choisi.

Et Frédéric LEFRANC d’ajouter que « le gardiennage restera gratuit jusqu’à l’enlèvement des lots… ».

Le numérique permet donc d’organiser des enchères ce qui ne peut que satisfaire le commissaire-priseur d’Auxerre. L’étude demeurant fermée au public jusqu’à la levée des mesures de confinement.

Précisions : les estimations gratuites des biens se poursuivent par mail sur la référence suivante, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 


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Dans ces moments difficiles à vivre et fort complexes pour nos existences, un peu de fantaisie légère et de sourires grâce à cette tribune qui ne se prête pas au sérieux pour évoquer la pire crise sanitaire que nous observons depuis ces cent dernières années. Même le regretté Michel AUDIARD n’y avait pas pensé !

TRIBUNE: On m’avait dit que « la vie est un long fleuve tranquille » et que « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil ». On aurait dû me dire « bienvenue à Zombieland » et bonjour « épidémie mélodie ». Malheureusement, « c’est arrivé près de chez nous ». Nous entrons dans « la quatrième dimension ». Notre vie est conditionnée dorénavant par deux signaux d’alarme : « Alerte » et « Virus ».

Nos braves infirmières, pour « le salaire de la peur » et « pour une poignée de dollars » font face à tout avec un « breaveheart » mais « les héros sont fatigués ». A « 37°2 le matin », celui qui passe à « 100° below zéro » est bon pour un « vol au-dessus d’un nid de coucou ».

 C’est un « jeu de massacre » et « l’histoire sans fin ». Nous vivons désormais sur la « Planète interdite ». Mais quand est-ce-que « l’Empire contre-attaque » le virus.

« Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? ». « Mais où est donc passée la 7ème compagnie ? ». Les discours nous distillent « vérités et mensonges », « les cadavres ne portent pas de costards ».

« Les sorciers de la guerre » nous jouent « Apocalypse Now » en alternance avec « Mission impossible ». Certains malades sont plus proches d’ « Eléphant man » que de « Gatsby le magnifique ». Monsieur « le Président, arrête de ramer, t’attaque la falaise, arrête ou ma mère va tirer ». Nous aussi, on veut « le masque de Zorro », sinon on est « chocolat ». Arrête de jouer « l’emmerdeur » joue plutôt le « magicien d’Oz » !

« Touche pas au grisbi ! ». « Le loup de Wall Street » fait régner la « peur sur la  ville ». Avec son « itinéraire d’un enfant gâté », le « Président » signe « le pacte des loups » en fredonnant  « moi y’en a vouloir des sous »… « La ruée vers l’or » et « la chasse aux millions », ce n’est pas pour demain. Attention toutefois « le cave se rebiffe » car « il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » !

« Les rescapés », « les vieux de la vieille »  en ont marre de « la soupe aux choux », « fait gaffe à la gaffe », « papy fait de la résistance » ! Dans nos banlieues agitées les contrôleurs « flics ou voyous » courent après ceux qui prennent « la poudre d’escampette »  la jouant « attrape-moi si tu peux ». La règle du jeu, un mètre de distance fait disparaître le « pickpocket »… « La bourse et la vie » obnubile les dirigeants.

Dans les rues désertes, c’est parfois « sauve qui peut » et « la course à l’échalote ». Bon sang, « qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ! ». On a envie de dire à ceux qui nous dirigent : « prends ta Rolls et va pointer ». « Le jour le plus long » c’est le jour de sa mort.

Demain on risque de « manger les pissenlits par la racine ». « La guerre est déclarée », « la vérité si je mens », « les cavaliers de l’apocalypse » sont de retour ! « Le dénonciateur » et « le corbeau » sont repartis comme en 40… « L’armée des ombres » veille et crée la « psychose ». « Le jour se lève boulevard des illusions », il ne faut pas s’en faire, « nous irons tous au paradis ».

« Un printemps à Paris », désert, « le cercle des poètes disparus » nous prédit pourtant « un papillon sur l’épaule », espérant qu’ « un été meurtrier » n’aura pas lieu et que « le plus dur est derrière toi »…

« La fureur du dragon » s’éteindra doucement faisant place à « la délivrance ». Jouer « l’idiot » dans « le dîner de cons », c’est « l’expérience interdite ».  « Marche à l’ombre »  et « viens chez moi j’habite chez une copine… ».

« Les visiteurs », même avec le « Mask » sont toujours interdits. « Les diaboliques » sur « la planète terreur » annoncent « la fin des temps ». 

Nous, on n’a « rien à déclarer », et « mourir peut attendre ». J’ai rêvé de mettre ma tenue de soirée pour « jour de fête » et danser « la valse de Paris » ou « le dernier tango à Paris ».

Je voudrais remplacer le « buffet froid » par « la grande bouffe », vivre comme « Alexandre le bienheureux » et ne plus avoir « la mort aux trousses ». J’ai hâte que le « voyage au bout de l’enfer » soit terminé, de prendre « le dernier métro » pour « la mélodie du bonheur ».

« Et la tendresse bordel ! ». « Mon nom est personne ».

France C.

 

 


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Diffusé en mai 2019 lors de la cérémonie des « Molières », le téléfilm du réalisateur Jacques MALATERRE consacré à l’illustre Jean-Baptiste POQUELIN, « Brûlez Molière », avait subjugué l’assistance. Par le jeu épuré, authentique et construit de ses acteurs. Mais aussi par cette théâtralité sans artifices qui nimbait ce scénario consacré à l’auteur du « Tartuffe ». Son « making of », le documentaire qui dévoile les coulisses du tournage, se découvre depuis peu sur la toile. Il est l’œuvre d’un jeune bourguignon de 20 ans qui fait ses gammes d’apprenti cinéaste aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune…

BEAUNE : Et si Molière nous permettait de sortir quelque peu de ce climat anxiogène propre à cette crise sanitaire sans nom qui s’évertue à perdurer ! Un conseil pour apprécier une bonne bouffée d’air pur culturel : visionner le documentaire conçu par une jeune pousse prometteuse du septième art, originaire de Saône-et-Loire. Il a consacré un moyen métrage à l’œuvre télévisuelle produite par le réalisateur Jacques MALATERRE.

« Brûlez Molière », téléfilm programmé le 13 mai 2019 par France 2, avait remporté à l’époque un succès d’estime par la qualité magistrale de sa reconstitution et le jeu sans fioritures de ses acteurs.

Son auteur, metteur en scène et cinéaste avignonnais, avait apporté un soin tout particulier au respect historique et chronologique des faits évoqués par le scénario : une plongée très réaliste sans tabou autour de la création de l’une des pièces maîtresses du dramaturge, le « Tartuffe ».

Créée en mai 1664, l’œuvre fut immédiatement interdite par Louis XIV qui invoqua alors des raisons religieuses. Satire de la bourgeoisie rétrograde de l’époque, encore trop engoncée dans la pratique de valeurs traditionnalistes de la religion, Molière chercha surtout à faire rire la cour en se moquant de ceux qui se servaient de la peur de la mort pour jouer de leur crédulité.

On connaît la suite : pour ne pas passer sous les fourches caudines du Roi Soleil et éviter la censure, il dût réécrire le rôle de son personnage principal afin de l’aseptiser et l’adapter aux bonnes convenances de l’époque…

 

 

Un tournage essentiellement réalisé en Bourgogne…

 

Les premiers tours de manivelle du long métrage produit par « Bonne Pioche » et France Télévisions se donnent en Bourgogne. Une région choisie par Jacques MALATERRE pour la richesse de son patrimoine, en mars 2018.

Après avoir conçu les premiers plans aux studios de Bry-sur-Marne et à Saint-Germain-en-Laye, l’équipe met cap au sud, pas très loin de la capitale.

Les châteaux de Tanlay, d’Ancy-le-Franc, de Bussy-Rabutin, de Nuits-Saint-Georges accueillent successivement interprètes et techniciens. Des scènes seront également réalisées à Noyers-sur-Serein et à l’Abbaye de Fontenay.

Dans le sillage du réalisateur qui a travaillé par le passé avec Richard ANCONINA (« La loi de Christophe »), Patrick SEBASTIEN (plusieurs de ses pièces réalisées en téléfilm dont « Une chance sur six »), se tient un jeune homme épris par les subtilités de l’art cinématographique, Pierre-Andréa BRET.

Son objectif est simple : assurer la captation de la moindre scène, de l’infime détail, de la plus petite des anecdotes liée à la conception de l’œuvre. 

« Il s’agissait de ma première expérience dans un long métrage, précise ce résident de Saône-et-Loire, âgé de 20 ans, qui suit depuis trois ans les cours aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune. Réaliser le « making of » de ce téléfilm a été d’une grande richesse pour moi… ».

Durant un mois de tournage, ce curieux de nature retranscrit pas à pas le quotidien professionnel de celles et ceux qui travaillent avec passion à la réalisation de ce film. Costumiers, décorateurs, accessoiristes, cadreurs, comédiens, réalisateur…rien ne lui échappe.

 

 

Une kyrielle de projets dans la tête…

 

Le comble : lui qui veut tout savoir de cette entreprise peu singulière obtient même un rôle de figurant dans la création artistique de Jacques MALATERRE ! On le voit furtivement apparaître avant la scène de la représentation finale du « Tartuffe », affublé d’un habit de brigadier et frappant de son bâton les douze coups annonciateurs de l’entrée en piste de la troupe.

« Cela m’a permis de comprendre ce que vivent les acteurs en terme de pression avant qu’ils ne jouent leur scène, explique-t-il, quand il y a deux caméras braquées sur vous et que toute l’équipe technique vous observe, ce n’est pas si simple ! ».

A la fin du tournage, Pierre-Andréa BRET avait dans sa besace plus de quarante heures de rushs.

Commença ensuite un long et fastidieux travail de montage et de post synchronisation que le néophyte mena à bien pour aboutir à son projet définitif.

Terminé, le document, intitulé « Les coulisses du Grand Tartuffe ou la découverte de Jacques MOLIERE » fut présenté lors du mois du documentaire dans la bibliothèque Gaspard MONGE à Beaune. Le documentaire se visionne sur la toile depuis peu.

 

 

 

 

Par la suite, le néo-réalisateur a travaillé d’autres œuvres dans le cadre de sa formation. Notamment des « making of » et un reportage consacré à l’association chalonnaise, « Un Avion, un Enfant, un Rêve », structure présidée par Benoît LEDUC et parrainée notamment par Olivier DASSAULT.

Le film qui en découlera présentait les actions offertes à des enfants malades ou handicapés. Ceux-ci effectuèrent des baptêmes de l’air pendant une journée de solidarité. Le film traduit leurs émotions…

A l’heure où s’écrivent ces lignes, ce féru des salles obscures prépare un court métrage de fiction tourné en réalité virtuelle sur le thème des araignées. Il n’en dira pas davantage sur ce projet, confidentialité oblige.  Ce sera son court métrage de fin d’étude aux Ateliers du Cinéma. Avant sous doute une exploitation en salles et dans les festivals ?

En savoir plus :

Lien du making of :

https://youtu.be/dUMDE5kZBSM

 


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Arrangées par le chef d’orchestre Patrick VASORI qui collabore avec l’artiste de l’Yonne depuis plus de trente ans, les chansons de l’auteur de « La Montagne » ou de « Sacré Félicien » se savourent toujours avec autant de sensibilité et beaucoup de délectation. Le récital dominical de ce jour, programmé sur CVO (Closerie Vidéo Ouverte) à 17 heures, permettra de réentendre ou de découvrir les œuvres du chanteur disparu le 13 mars 2010…

ETAIS-LA-SAUVIN : Nous transporter hors du temps et de l’espace. Telle est la vocation première de Gérard-André, responsable du théâtre champêtre de « La Closerie » et auteur-compositeur-interprète.

En ce jour dominical, à partir de 17 heures, dans les conditions du direct comme il en a pris l’habitude désormais, le guitariste chanteur donnera une version intimiste mais très qualitative d’un spectacle hommage rendu à Jean FERRAT, parti sous d’autres cieux depuis une décennie.

Une vingtaine de morceaux composeront ce tour de chant réalisé depuis le théâtre de La Closerie et retransmis par le biais du numérique.

De « Potemkine » à « Comprendre », de « Je vous aime » à « Ma France », de la « Femme honnête » à « Maria », de « Nuit et Brouillard » à « Berceuse », c’est la vie quotidienne de la société française du vingtième siècle qui est dépeinte avec subtilité. Mais, aussi par la narration de personnages, d’artistes et d’événements qui ont marqué ce vingtième siècle.

Quand Jean FERRAT dénonce les maux de notre pauvre monde, le texte est puissant et n’a rien perdu de sa superbe. Quand il célèbre l’amour et magnifie la femme, c’est de la poésie à l’état pur qui est distillée avec ce goût d’éternité en bouche.

Somme toute, les férus de l’artiste retrouveront aussi les poèmes de Louis ARAGON, mis en musique par Jean FERRAT. Ils intègrent tout naturellement cette création originale.

Précisons que cette nouvelle version verra Gérard-André chanter des airs moins connus du répertoire de ce troubadour hors système qui vivait en Ardèche. Dont le morceau « Y aurait-il ? », un texte signé du regretté Pierre LOUKI qui travailla avec Georges BRASSENS et « Le Châtaignier », du poète conteur et parolier Guy THOMAS, décédé le 19 janvier 2020.

Le 12 avril, au même horaire (17 heures), Gérard-André enchantera les amateurs de chansons à texte avec un concert consacré exclusivement à l’ami Georges, dans « Mon BRASSENS à vous ». Réservez votre place dans votre salon et devant votre ordinateur !

Un concert à retrouver sur :

https://www.facebook.com/gerardandre.gerardandre et sur http ://www.lacloserie-spectacles.fr/.

 


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L’ancienne styliste qui exerça autrefois ses talents auprès des grandes maisons de couture parisiennes et de quelques icônes du Septième art possède plus d’un tour dans son sac ! Celles et ceux qui la côtoient de près le savent très bien. Jamais à court d’imagination, la propriétaire du fameux « Donjon » à Cravant, a créé deux spécimens de masques de protection à base de chanvre. Avis aux structures artisanales et industrielles qui souhaiteraient les fabriquer en série suffisante pour répondre aux besoins actuels…

CRAVANT: A plus de quatre-vingts ans mais toujours en pleine forme et pourvue d’un enthousiasme à faire pâmer même les plus fougueux d’entre nous, l’ex-créatrice de mode Colette BECHET veut contrer l’émergence galopante du coronavirus de la plus belle des manières : en faisant cogiter son imaginaire débridé pour se munir de l’un des précieux auxiliaires à sa propagation, un masque de protection.

A base de chanvre, matière naturelle et facilement recyclable, la couturière a conçu deux modèles de ces accessoires indispensables qui ont fait cruellement défaut dans l’Hexagone dès le début de la crise sanitaire.

Se fournissant auprès de l’une des structures départementales spécialisées dans le domaine, la société GEOCHANVRE à Lézinnes dirigée par Frédéric ROURE, celle qui garde encore une parfaite dextérité avec des aiguilles dans les mains et un brin d’ingéniosité, a conçu ces modèles de masque protecteur en l’espace de quelques jours.

« Le port de ces masques est très agréable, confie-t-elle après les avoir testés, on peut respirer avec davantage d’aisance que les masques habituels et la fine pellicule de riz qui recouvre le tissu évite la rugosité du chanvre au contact de la peau… ».

 

 

Son objectif est désormais simple : initier le maximum de contacts auprès de structures artisanales et industrielles de la région qui souhaiteraient concevoir ces prototypes afin de les mettre sur le marché. Et de répondre ainsi aux besoins urgents des EHPAD et autres entités sanitaires qui en sont fort dépourvus.

Dans un passé pas si lointain que cela, Colette BECHET a réalisé toute une gamme de sacs, de chapeaux et autres objets hétéroclites à base de chanvre, une matière qu’elle désire mettre à l’honneur.

Précisons que plusieurs contacts sont déjà en cours avec des artisans de l’Yonne, conquis par l’excellente idée de l’octogénaire. Le masque de protection en chanvre made in Yonne sera-t-il l’une des solutions à adopter ? Aux professionnels de l’artisanat et de l’industrie d’en décider !

 

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

 

 

 


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