Parmi une certaine frange de la population de l’Hexagone, cela semble être encore de l’hébreu. Peut-être même de l’araméen, pour les plus réfractaires des potentiels utilisateurs qui n’y entravent que couic au fonctionnement d’un ordinateur, d’un clavier ou d’une souris.
Pourtant, que l’on vive à la campagne comme à la ville, que l’on soit jeune comme plus âgé, instruit ou peu diplômé, le numérique a progressivement fait son lit dans notre existence. Sans passer, aujourd’hui, serait plus qu’illusoire tant les bienfaits de l’informatique se sont avérés probants dans bien des domaines du quotidien.
Nonobstant, chez certains de nos compatriotes (les seniors), la maîtrise du numérique est encore inconcevable. Une vraie problématique en soi, dans la vie de tous les jours quand on sait que bon nombre d’opérations administratives et financières utilisent abondamment ce canal de communication afin d’y véhiculer des informations élémentaires, mais aussi indispensables.
Ne pas connaître les rudiments de fonctionnement d’un ordinateur, les principes de base de son utilisation s’appelle « l’illectronisme ». Comme il y a l’illettrisme, cette particularité concerne à notre époque près de 15 % des Français. C’est à la fois très peu en pourcentage mais encore beaucoup trop en nombre d’individus qui se privent ainsi d’une ressource informative prédominante dans la société actuelle.
Rendre le numérique accessible à tous !
Pour y faire face, il existe des initiatives. Toutes les plus méritoires les unes que les autres afin de faire tomber les préjugés autour de cette technologie, et en favoriser ainsi ses usages. L’une d’entre elles a pour instigateur la MAIF !
Le sixième assureur automobile de France et le premier assureur du secteur associatif s’est engouffré dans cette mission quasi régalienne de première nécessité : rendre le numérique accessible au plus grand nombre.
Sur le papier, cela pourrait surprendre, après tout. Mais, à y regarder de plus près, et chiffres à l’appui, on s’aperçoit très vite à qui l’on a à faire avec ce réseau assurantiel, couvrant l’ensemble des besoins de plus de 4 millions de sociétaires en France. Si cet acteur entrepreneurial intervient dans les domaines des assurances de biens, de prévoyance, de la santé, de l’assistance, de l’épargne ou du crédit, on ne supposait nullement que la MAIF pouvait endosser l’habit de pédagogue hors pair et de conseil dans le secteur du numérique !
Ici, dans le cas présent, ce poids lourd de l’économie nationale – le chiffre d’affaires annuel du groupe assurantiel s’élevait à près de 4,5 milliards d’euros en 2022 – n’a pas hésité à s’investir pleinement sur le sujet en décidant, selon les références de sa propre charte déontologique, de porter une attention toute particulière à l’autre afin de le placer au cœur de ses engagements. En terme clair, il suffit d’initier le plus grand nombre de Français à la chose numérique, via un concept plutôt bien construit dans les faits, le « Numérique Ethique Tour » !
Des sollicitations qui émanent des collectivités rurales
Ingénieux, le dispositif novateur se veut itinérant et possède cette faculté adaptative de pouvoir se rendre partout où l’on fait appel à lui. La demande émanant le plus souvent des collectivités locales, principalement rurales qui sont confrontées chaque jour aux manques de moyens administratifs afin de répondre aux besoins réels de la population. Les sortir de leur isolement est aussi une réponse appropriée à leurs besoins.
Ainsi, et de manière gratuite, ce « Numérique Ethique Tour » se pose ici ou là, au gré des sollicitations des élus de France pour que les publics puissent se cultiver sur les connaissances basiques et fondamentales de la technologie, ayant fait le plus de progrès au cours de ces vingt dernières années.
Une plongée immersive et didactique au cœur des principes de base du numérique, ses outils et ses innombrables utilisations.
Mais, ce n’est pas tout dans cette démarche que l’on se doit de découvrir par ses multiples portes d’accès. Si le fondement repose sur l’acculturation à la pratique la plus aboutie de l’usage de l’informatique, la MAIF et son ingénierie se sont mis dans l’idée, avec ce concept, de faire de la prévention sur les risques encourus par ce monde enclin à bon nombre de dérives et de dérapages. Plus ou moins contrôlés !
La surexposition aux écrans : attention danger !
Cible privilégiée de la démarche : la jeunesse ! Et plus spécifiquement, les scolaires, très exposés aux malveillances de la pratique informatique.
Des ateliers participatifs, assurés par des spécialistes de la question, offrent un espace pédagogique intéressant pour casser les codes existants autour de l’informatique, en prodiguant les bons conseils se rapportant à l’éthique et aux dangers pour les jeunes utilisateurs.
Le programme éducatif de la structure assurantielle mériterait, s’il n’existait pas encore, d’être inventé. Non seulement, il est une vitrine non exhaustive de la découverte de l’ensemble des services et des dispositifs innovants, donnant l’accès aux connaissances mais en outre, il encourage les solidarités, aide à agir en faveur de l’environnement et surtout à savoir en les évitant quels sont les nombreux pièges dans lesquels l’internaute ne doit pas tomber !
Et quand on parle de pièges et de risques pour ces jeunes populations, vient à l’esprit, immanquablement, la problématique du cyber harcèlement. Un fléau dans la société moderne, totalement inféodée à l’utilisation de ces appareils ; une hantise pour les cellules familiales qui ne savent pas comment les contrecarrer.
Face aux dangers de la surexposition aux écrans, ce programme qui a fait étape la semaine dernière trois jours durant pour la première fois en Bourgogne Franche-Comté – cocorico, cela se déroulait à Toucy, dans l’Yonne, à l’initiative de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre -, interpelle par son interactivité avec son public et les messages forts qui y sont distillés.
Utile et plus que nécessaire quand on sait que les enfants de deux ans sont 84 % à regarder la télévision au moins une fois par semaine et que la moyenne passée devant les écrans pour ceux âgés de trois à dix-sept ans s’élève à trois heures par jour en France, tout écran confondu !
Vite, il y a donc urgence à reprendre les choses en main et alerter les familles sur ce phénomène d’exposition croissante qui gagne les petits (mais aussi les plus grands et les adultes) ainsi que ses dangers d’accoutumance aux écrans dans notre monde.
Thierry BRET
Sans chauvinisme aucun, force est de reconnaître, que bien souvent, désormais, nos entrées de ville sont d'une rare mocheté (en la matière, Sens et Auxerre ne font hélas point exception !), les coulisses de notre pays sont aussi jolies qu'accueillantes. Dans le Rhône, la route départementale entre Villefranche-sur-Saône et Tarare nous permet entre autres, d'admirer les pierres dorées en terre du Beaujolais. Tournant la tête à gauche, mais aussi à droite, tout y est beau ! Quel plaisir !
LEGNY (Rhône) : Soudain, avec un brin de malignité survient l'heure du déjeuner. Parfois, l'estomac sait le rappeler aussi. Mais en la matière, les choses deviennent parfois quelque peu ardues. Elle était bien jolie cette auberge du vignoble, hélas fermée à tout jamais dans ce petit bourg, tandis que dans le village suivant « Le Relais Beaujolais » est en fermeture hebdomadaire. Mince alors...
Le « 500 », pour 500 bornes depuis Paris ?
C'est alors, que proche du énième rond-point, on aperçoit nombre de fourgonnettes stationnées. On a l'impression que maçons, plaquistes et autres peintres s'y sont donné rendez-vous ! Il y a du monde au restaurant-bar, « Le 500 » (peut-être à « 500 bornes » depuis la capitale !) tenu par Cédric et Franck PROST, deux frangins sûrement !
Une petite table est disponible, en ce jour estival ensoleillé - si, si ! - alors installons-nous, tandis que les bécanes, elles aussi, se reposent. Les serveuses s'activent avec brio, en apportant des assiettes copieuses, signature de la maison. La formule déjeuner est à 18 euros, avec des lasagnes ce midi-là ! La carte fait la part belle à la viande, onglet de bœuf à 23 euros ou foie de veau à 25 euros. Le tout, région oblige, est accompagné d'un petit pot (46 cl) de beaujolais, vin agréable s’il en est.
Une réputation qui n’est plus à faire localement
Avouons sans ambages, que ce n'est pas d'une grande finesse - ce n'est pas l'endroit ! – mais, c'est bon ! L'onglet est impeccablement saignant, tout comme le foie de veau rosé. Un brin de persil sur la viande n'eut pas dérangé ! Mention bien pour la salade verte, assaisonnée à point. Sitôt débarrassée, la table est de nouveau occupée par des convives. La réputation locale de l'endroit n'est sûrement plus à faire.
En dessert, le chef pâtissier, c'est Franck ! Sa spécialité est le « pétillant framboise ». C’est un biscuit financier avec une compotée de framboises et de crème pistache. Cela tient au corps mais c’est bien ! A l'intérieur de l'établissement, le comptoir, lui non plus, ne désemplit pas.
Et adossé au « 500 », la gare de Bois-d'Oingt, avec la ligne Lyon-Paray-le- Monial, permet aussi d'y venir en train. Rendons grâce à ces valeureuses petites adresses, qui année après année, tendent à disparaître, hélas. Merci au « 500 » et aux autres, aussi !
En savoir plus :
Les - : il y a un peu d'attente, mais bon, il y a du monde !
Les + : l'ambiance est typique dans ces nobles cantines de travailleurs !
Contact :
Le 500
Parking de la Gare
69620 LEGNY
Tel : 04. 72. 38. 07. 24.
Gauthier PAJONA
Ils prennent tout deux du plaisir à être immortalisés sur le cliché. L’œil vif et toujours pétillant de l’un, la réelle complicité de l’autre ! Des amis de plus de soixante-ans ! Suffisamment rare pour être mentionné ! Durant toutes ces décennies qui nous séparent de leur première rencontre, datant de 1963 sur un complexe sportif à vocation footballistique, à aujourd’hui, ils ont nourri de véritables liens affectifs. Logique, alors, que l’emblématique figure de l’AJ Auxerre soit le témoin d’honneur de la cessation de toutes activités du docteur Serge TCHERAKIAN au sein de la vénérable association, « TAB’AGIR » !
AUXERRE : Leur amitié n’a pas pris une ride. Inexorable, face au temps qui passe. Alors, à chaque occasion où ils se rencontrent, les retrouvailles n’en sont que plus savoureuses. Presqu’un clin d’œil succulent à déguster avec délectation, lors de ces moments agréables que l’existence peut nous réserver !
Deux poids lourds de la vie associative auxerroise, ensemble. Que dis-je, deux monuments ! Les retrouver cote à cote le temps d’une cérémonie évènementielle n’aura été que pur bonheur pour celles et ceux qui auront eu la chance d’y participer. C’était il y a quelques jours, dans cet antre de la convivialité et de la qualité de la réception que représente cette belle maison qui se nomme « Le Normandie ». Un établissement familial à la tenue parfaite…
Une complicité au service des actions altruistes
Le cadre idoine, donc, pour cet instant de félicité que n’oublieront jamais les composantes de cette association, « TAB’AGIR », à commencer par sa directrice, Françoise AMELOT. Mais, de cela, nous reparlerons !
Là, dans l’immédiat, c’est ce duo de « magiciens » (chacun à leur manière, l’un au service de la santé de nos concitoyens, l’autre pour nous enchanter à partir d’un ballon rond) qui nous importe !
Guy ROUX et Serge TCHERAKIAN ! Serge TCHERAKIAN et Guy ROUX ! L’un qui ne va pas sans l’autre, sur l’échelle de l’altruisme, de la solidarité, de l’entraide et de l’humanisme. Combien de manifestations caritatives ont-ils organisé ensemble pour venir en aide aux malades du cancer ou pour rappeler que le tabac n’est pas vertueux pour l’humain ?
Toujours alerte et prolixe dans le fil de ses pensées, Guy ROUX narrera quelques anecdotes croustillantes dont il aime livrer la teneur en société.
« Ils nous arrivent de nous retrouver pour faire des facéties en essayant de gagner un peu d’argent pour une noble cause, se souvient l’homme au célèbre bonnet bleu – il ne le portait pas ce jour-là ! -, on a vendu mes vélos et on a fait une grosse réussite en termes de gains comme si on était des professionnels de la vente aux enchères ! ».
La chasse à la cigarette parmi les joueurs…
Puis, avec un brin de pudeur, l’ex-coach de l’AJJ Auxerre avouera avoir fumé. Mais, il rectifiera très vite ses propos : « en fait, j’ai fumé deux cigarettes dans ma vie, rassura-t-il, le jour de mes 14 ans avec les Américains dans les camps militaires. Cela ne m’a pas plu et cela m’a guéri pour la vie ! ».
Pourtant, dès les débuts de sa glorieuse carrière d’entraîneur dans cet univers du football qu’il chérit tant, Guy ROUX est alors confronté entre 1961 et 1963 à la prolifération du tabac parmi les sportifs. « Tous les joueurs fumaient ! ». Malgré la morale que le coach pouvait apporter à ses protégés.
« Il était interdit de fumer dans les lieux de vie où les joueurs se retrouvaient ensemble… ».
Mais, des regrets ont refait surface à l’amorce de cet échange que l’invité d’honneur a relaté devant un public à l’écoute studieuse. Des remords pour une catégorie de joueurs que Guy ROUX avouera avoir lui-même un peu négligé dans ce contrôle strict au tabagisme sportif : les gardiens de but.
« Parmi les cinq grands gardiens de but de classe internationale qui ont transité par l’AJA, j’en ai perdu deux à cause du tabac, souligne d’une voix triste Guy ROUX, Bruno MARTINI, décédé d’une crise cardiaque et Marian SZEJA (champion olympique pour la Pologne en 1972) qui fumait beaucoup en arrivant de son pays… ».
La fierté d’avoir mené des campagnes de sensibilisation communes
Une erreur que regrette encore Guy ROUX, avec profonde humilité. Un Guy ROUX qui se sera beaucoup investi aux côtés du docteur Serge TCHERAKIAN alors président de la Ligue départementale contre le Cancer.
« Je suis fier d’avoir aidé le docteur à partager un peu de ses campagnes de sensibilisation, conclut l’éternel coach de l’AJA, cela va m’aider quand je me présenterai en haut avec un petit bagage ! ».
Une ultime note d’esprit que ne manqua pas de relever l’assistance en riant à gorge déployée ! Y compris le complice de toujours, un docteur Serge TCHERAKIAN, ému sans doute jusqu’aux larmes…
Thierry BRET
A quelques jours du second tour des législatives, quelques 80 personnes se sont réunies devant la mairie d’Auxerre en début de soirée jeudi, pour dire non à l’extrême droite et à son candidat dans la première circonscription, le député sortant Daniel GRENON, visé depuis la veille pour des propos à connotation "raciste"…
AUXERRE : C’est peu de dire que les propos tenus la veille par le député sortant de la première circonscription ont fait le tour des médias nationaux. Une publicité dont le département se serait bien passée, pour Pascale MARLIN, du PCF Yonne : « nous sommes de retour à l’époque Emile LOUIS, lorsque l’Yonne faisait la une des médias ! Une belle image de notre territoire que celle donnée par celui qui veut apporter des projets permettant à notre circonscription d’émerger… ».
Un candidat, selon la militante, qui n’a plus sa place à l’Assemblée nationale : « ce serait une honte pour les Icaunais s’il y retournait, une tache indélébile sur l’histoire de notre département ».
Répondant à l’appel à se mobiliser devant chaque mairie de la circonscription ce jeudi soir, environ 80 personnes étaient au rendez-vous fixé à 20 heures devant l’hôtel de ville auxerrois. Militants ou simples sympathisants, avec le même objectif : que la candidate du Nouveau Front Populaire, Florence LOURY, sorte victorieuse des urnes dimanche soir. Attention, prévient ce sympathisant écologiste, évoquant le député GRENON : « ils l’ont débranché au niveau du parti, mais les bulletins dimanche seront bien estampillés RN… ».
Certains sont venus de Joigny ou d’Avallon, à l’image de ce jeune qui pour le coup, aurait bien aimé habiter ailleurs : « au moins, vous avez la chance de pouvoir voter pour qui vous voulez ! ».
Plus assez de temps pour le porte-à-porte !
Derniers tractages, derniers « boitages », avant la fin de la campagne officielle. Une priorité : le marché de l’Arquebuse, vendredi matin. D’autres communes périphériques sont au programme, comme Monéteau ou Appoigny. Le temps presse : « boitage pour tout le monde, plus assez de temps pour du porte-à-porte ! ».
Les rôles et les secteurs se répartissent au fil des groupes « WhatsApp » et des réseaux sociaux : « pour tous ceux qui y ont accès, partagez ! Likez ! Commentez ! Il faut vraiment que nous ayons la plus grande lisibilité et surtout, que les gens sachent qui est Daniel GRENON… ».
Certains en ont même fait leur spécialité, avec cinq minutes « d’agitation digitale » chaque matin ! Ultimes consignes avant la photo souvenir sur les marches de la mairie, façon mariage : « pensez à adresser un mail aux maires de droite de la circonscription, leur silence est assourdissant ! ».
Clic-clac, c’est dans la boîte ! Juste le temps d’une dernière réplique : « même Jordan BARDELLA a pris position contre Daniel GRENON ! ».
Reste à savoir ce qu’en diront les 40,4 % d’électeurs lui ayant déjà apporté leurs suffrages dimanche dernier…
Dominique BERNERD
Le Grand Orient de France a lancé un appel le 18 juin à Paris et demandé à ses loges en province de relayer ses positions dans ce moment crucial pour l'avenir de la République que constituent les élections législatives de 2024. L’initiative des loges de l’Yonne d’intervenir dans cette campagne électorale est donc exceptionnelle mais elle est à la hauteur des menaces encourues et perçues par les francs-maçons du département…
COMMUNIQUE : La République est au pied du mur de l'anti-République. Par un habile marketing, un vocabulaire et des postures policées afin de se rendre plus acceptable, par le recours aux mensonges, l’extrême droite est en passe dans l'Yonne de conquérir les trois sièges de député. Pourtant, il ne faut pas s’y tromper : l'extrême droite, le RN aujourd'hui, n'a pas changé !
Les Francs-maçons du Grand Orient de France, dans leur grande diversité d’opinion, sont indéfectiblement rassemblés par les valeurs qu’ils défendent depuis des décennies : respect de la liberté de conscience, de la liberté d'expression, de la liberté de penser, mais aussi la justice sociale, le respect des autres - de tous les autres - et la démocratie.
Or toutes ces valeurs sont insidieusement menacées par ce parti politique dont l'objectif est de saper les fondements des Institutions républicaines qui les portent - publiques et privées – et l’Etat de droit qui les protège garantissant ainsi la paix civile dans notre pays.
Les présidents des loges icaunaises du GODF appellent les citoyens à faire barrage, sans concession le 07 juillet, aux candidat(e)s dans l’Yonne issu(e)s de cette idéologie, mortifère pour ces valeurs.
Bien au-delà de la compétition électorale, il s'agit de se mobiliser pour sauver l'idéal républicain du populisme xénophobe et de ses promesses d'un grand bond en arrière. Sauver les Lumières contre les anti-lumière ! Les francs-maçons, républicains et démocrates, de l’Yonne, ne faibliront pas dans cette tâche !
Les Présidents des quatre loges icaunaises du Grand Orient de France
Auxerre, Vézelay, Sens et Bassou.