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Le 22 mars n’est pas une journée ordinaire à vivre. Loin s’en faut. Si les jeunes filles prénommées Léa sont fêtées par leur famille et leurs amoureux, c’est également un peu partout dans le monde le moment où l’on respecte la Journée internationale contre le racisme. Une plaie béante et insupportable dans notre société dite moderne et civilisée, même en ce premier quart de XXIème siècle. A Auxerre, une initiative portée par vingt-deux organisations invite les Icaunais à rejeter la peur de l’autre…

 

AUXERRE : Ils seront peut-être 10 000, voire 20 000 personnes à battre le pavé dans la capitale de l’Hexagone, demain après-midi, répondant ainsi favorablement à l’appel des nombreuses organisations syndicales, associatives, humanistes, politiques pour prendre part à la Journée internationale contre le racisme. Il y sera aussi question de refuser le fascisme dans notre société…

Dans l’Yonne, un collectif regroupant vingt-deux organisations proposera la même chose ce samedi à partir de 15H30 place de l’Arquebuse à Auxerre. Naturellement, il y aura d’autres rendez-vous accueillis dans la plupart des grandes villes de notre département.

Nom de code de ce regroupement pour crier sa haine contre ce fléau crépusculaire qui reprend du poil de la bête depuis plusieurs mois dans l’Hexagone : « Uni.e.s contre le racisme ».

 

 

Dans la capitale de l’Yonne, au départ de la Place de l’Arquebuse, celles et ceux qui veulent exprimer une envie impérieuse de solidarité et d’humanisme envers son prochain, quel que soit sa couleur de peau, se retrouveront aux alentours de 15 heures. Avant que ne s’ébranle ce cortège en direction du rond-point de Paris, puis du palais de justice, édifice fort en symboles…

Un cortège qui poursuivra son lent cheminement en empruntant la rue de Paris et la rue d’Egleny, revenant ainsi à la place du départ, celle de l’Arquebuse où tout se terminera en musique.

Membre du collectif d’organisation de la manifestation auxerroise, Pascale MARLIN, l’une des figures locales du Parti Communiste Français (PCF), le rappelle : « A l’heure où le racisme gangrène toute la société, y compris dans les plus hautes sphères de la République et où les faiseurs de haine envahissent média et réseaux sociaux, le collectif 89 contre l’extrême droite et les organisations auxerroises espèrent que celles et ceux qui croient encore en l’humanité se rassemblent lors de cette manifestation… ».

 

Thierry BRET


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Enfin ! C'est le mot communément retenu, après tant d'années de maintien artificiel au niveau de l'excellence culinaire que cette maison ne méritait plus depuis bien longtemps. Il était  temps, et le Michelin ne s'honora pas, en l'ayant  maintenu sous perfusion pneumatique depuis de trop nombreuses années…

 

AUXERRE : Peut-être même, allez savoir, la double étoile, c'est même fort bien payé pour celui que Paul BOCUSE surnommait « le steward », en raison d'une saison étudiante chez Air France, sur des Boeing 707 intercontinentaux dans les années 60 !

Homme de réseaux,  le chef Georges BLANC - plus tenant du faire savoir que du savoir-faire culinaire ! - se voyait sûrement continuer ainsi de longues années,  bernant honteusement une clientèle, venue à Vonnas (Ain), rechercher - sans la trouver toutefois - l'excellence culinaire que l'on est en droit d'attendre d'une maison triplement étoilée...

L'été dernier dans « Les Duels estivaux » du « Figaro », la maison BLANC se retrouva terrassée par la maison CARRETTE, sise à Tournus (Saône-et-Loire), une étoile solidement accrochée à sa façade avec le sympathique chef Jean-Michel CARETTE et sa cuisine aussi personnalisée que goûteuse (une seconde étoile y serait d'ailleurs des plus méritées...).

Un souvenir personnel me revient en mémoire, tandis que je collaborais avec le talentueux journaliste du « Figaro », l'ami François SIMON au croque-notes hebdomadaire redouté alors ! Nous sommes en mars  2008 et décidons de passer une journée dans le village Blanc à Vonnas. J'avais dormi à l'hôtel Genève, je m'en souviens. Le midi, nous avions fort bien déjeuné à l'ancienne auberge, ouverte par la famille BLANC, à la fin du XIXe siècle. Je me rappelle notamment des cuisses de grenouilles, servies en deux fois, et de ce fait impeccablement chaudes...

 

 

Puis le soir, sous un autre nom d'emprunt – société FERNEX de mémoire !  -, direction la table triplement étoilée de Georges BLANC. Ce n'était pas ma première table triplement étoilée, mais je fus consterné en arrivant à table, guidé par du personnel pédant, de constater qu'à l'instar d'un restaurant « noces et banquets », le pain était déjà dressé dans les assiettes spéciales devant l’accueillir. C'est de mauvais augure nous nous étions dit alors. La suite de ce médiocre repas fut à l'unisson. Je ne pus terminer mon plat principal un duo de ris de veau, l'un braisé l'autre meunière dont je me réjouissais pourtant, tant il était anormalement salé, et de ce fait immangeable…

Ne pas terminer son assiette n'est pas vraiment le style de votre serviteur....Ah ! Oui ! Je me souviens aussi de ce sommelier tentant vainement, de nous vendre les flacons les plus chers. Pitoyable expérience dont aujourd'hui encore, je garde un souvenir interrogateur : c'est cela une table triplement étoilée au guide Michelin ? L'article de François SIMON « le blanc manger » ne fut pas piqué des hannetons, mais reflétait aussi son incompréhension, face à cette distinction tellement imméritée...

En conclusion, rendons toutefois hommage à ses ancêtres, sa grand-mère Elisa que Curnonsky, prince des gastronomes baptisera en toute simplicité « la meilleure cuisinière du monde » pour ses plats délicieux (grenouilles, civet bressan, poulet à la crème de Bresse, crêpes vonassiennes…), des plats qui lui valurent deux étoiles au Michelin 1932. Ses parents aussi, Jean et Paulette la cuisinière. Lorsqu'avec son épouse Jacqueline, le chef BLANC reprit la maison familiale en 1965, la seconde étoile arriva en 1968 et la troisième en 1981. Mais voilà longtemps que pareille remise à niveau était nécessaire. C'est enfin chose faite…

 

Gauthier PAJONA

 

 


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« Les élus de la majorité de gauche ont fait le choix de l’insulte et de l’outrance… ». Ils n’étaient vraiment pas contents, les représentants du groupe Rassemblement National, au beau milieu de l’examen du budget primitif de l’organisme institutionnel ce jeudi dans l’hémicycle de l’Hôtel de la Région dans la capitale de Bourgogne ! Après de vives tensions verbales les ayant opposé en début de séance aux élus du Parti Socialiste, Jérôme DURAIN et Nicolas SORET, ils ont décidé de claquer la porte. Se réservant le droit d’un dépôt de plainte pour la tenue de propos qualifiés de diffamatoires…

 

DIJON (Côte d’Or) : On appelle cela un clash. Un profond désaccord, voire une rupture brutale, si vous préférez ! L’ambiance était donc très électrique aujourd’hui dans l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, réuni en session plénière lors de l’examen du budget primitif 2025. En quelques escarmouches orales et banderilles oratoires bien ciblées, la tension est vite montée d’un cran provoquant l’ire des représentants du groupe Rassemblement National et de son chef de file, le député de l’Yonne, Julien ODOUL. C’est simple : les élus du parti mariniste n’ont pas attendu la fin des travaux pour prendre leur clique et leur claque, avant de quitter tout de go l’immense salle de l’hôtel de la région.

Premier élément tangible de cette crise verbale qui allait prendre de l’ampleur au fil des minutes : la prise de parole du président du groupe « Notre Région par Cœur », le socialiste Jérôme DURAIN. Lors de son intervention, il a affirmé que « les élus du RN instrumentalisaient les juifs contre les musulmans et contre l’islam… ». « L’unique obsession des représentants du Rassemblement National », selon lui.

La seconde salve arriva un peu plus tard alors que les débats budgétaires étaient à peine commencés. Vice-président en charge de l’Economie et des Finances, le maire de Joigny, Nicolas SORET (PS), prit le relais en évoquant le refus du RN de vouloir financer l’art contemporain, ce financement correspondant à une charge de deux millions d’euros par an pour la collectivité régionale.

Un refus de la part des élus du parti souverainiste que le troisième vice-président explicita en faisant référence à l’histoire et à une exposition à Paris sur le « procès de l’art moderne par le nazisme ». Il n’en fallait pas plus pour mettre le feu aux poudres dans l’hémicycle avec des élus du RN survoltés.

 

 

« Ne plus se laisser maltraiter par la gauche… »

 

Réaction de Julien ODOUL : « Face à ces propos gravissimes, inacceptables et intolérables, devant la multiplication des insultes et des coupures d’interventions, séance après séance, nous avons décidé de suspendre immédiatement notre participation à cette assemblée plénière infamante… ».

Le parlementaire de l’Yonne déplora le climat délétère nourri par le groupe socialiste, majoritaire à la Région, d’où est issue la présidente de l’institution, Marie-Guite DUFAY.

« Cette situation ne permet plus un débat serein et démocratique. Pour nos électeurs et tous ceux qui croient en nos idées, nous ne laisserons jamais la gauche les maltraiter !, devait lâcher un Julien ODOUL excédé par le contexte. 

Puis de rajouter : « La gauche est incapable de répondre à nos propositions et à nos amendements sur le budget 2025. Son choix est de sacrifier les politiques de jeunesse tout en continuant d’abonder massivement les milieux de la culture, la politique internationale et la formation des migrants… ».

Les élus du PS s’étant abstenus de présenter des excuses après ces échanges pour le moins houleux, on connaît la suite : les représentants du Rassemblement National ne se firent pas prier pour quitter en bloc l’hémicycle séance tenante. Se réservant le droit de déposer une plainte à la suite de ces déclarations qu’ils qualifient de « diffamatoires », y compris celles qui devaient suivre leur départ de l’assemblée régionale…Une ambiance cordiale donc pour l’analyse de ce budget primitif !

 

Thierry BRET

 


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Une véritable ruche, la salle René Binet ! Le public du Sénonais a bel et bien répondu présent durant deux jours à l’occasion de cette seconde « Rencontre de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation 2025 ». Une étape capitale pour celles et ceux qui se projettent dans le futur, avec un job à la clé si possible, ou à défaut une piste sérieuse devant les mener vers un cycle pédagogique à convertir en métier pérenne. Une initiative qui émane de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais, du PEIPS et de France Travail…

 

SENS : Il fallait profiter de l’aubaine, car la manifestation est unique pour cette année ! Dommage, pourrait-on dire de façon lapidaire, mais la logistique déployée par les organisateurs est impressionnante et il n’est pas si facile de mobiliser autant d’entreprises avec leurs offres d’emploi à pourvoir et de spécialistes de la formation, tout secteur d’activité confondu, sur deux journées de rendez-vous. On doit cette manifestation très attendue au volontarisme de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais, du PEIPS (un judicieux assemblage de représentants de la Mission Locale et du PLIE Sénonais) et de France Travail. Un concept élaboré  autour de la coordination et de l’efficience, au vu du rendu constaté salle René Binet.

Si la journée du mercredi 20 mars était consacrée uniquement à la partie formation et orientation, celle de ce jeudi, en revanche, permettait aux très nombreux visiteurs de passer de la partie quasi théorique à la pratique. Ils avaient face à eux pléthore de dirigeants d’entreprise et responsables de direction de ressources humaines pouvant leur accorder un peu de temps et une écoute attentive, sur l’un des stands occupés par leur société.

 

 

Une très belle fréquentation à l’issue de ces deux journées

 

L’évènement était important pour les jeunes gens désireux de connaître tous les rouages les menant à la vie active, mais aussi aux demandeurs d’emploi du bassin Sénonais, en quête du précieux Graal. On notait tout de même la présence de plus d’une centaine de partenaires, ces derniers devant offrir plus de cinq cents opportunités professionnelles, se traduisant par des postes à pourvoir de suite et des formations. Une pêche miraculeuse ou presque !

L’objectif de l’opération était simple : faciliter la rencontre entre les structures et les candidats prêts à l’emploi, les salariés en reconversion professionnelle, les travailleurs en situation de handicap, mais aussi les étudiants, les lycéens, etc.

Présidente du PEIPS, la conseillère départementale et élue de Sens, Clarisse QUENTIN était présente ce jeudi en milieu de matinée pour « inaugurer » de manière très symbolique cette seconde édition d’un évènement qui sera réitéré dès la saison prochaine au vu de son succès.

Elle était accompagnée du directeur général du Pôle Economie et Insertion professionnelle du Sénonais PEIPS, Emmanuel CROUZET.

« Dans un seul endroit, on a pu fédérer les énergies et les partenaires de l’emploi sur deux journées pour apporter des solutions pertinentes, précise-t-il, on a ainsi pu multiplier les opportunités… ».

In fine, ce sont 70 entreprises du Sénonais dont quelques belles références du secteur industriel qui ont pris part à cette deuxième animation. Le nombre de visiteurs ayant dépassé la barre des 1 500 personnes sur les deux jours.

« L’idée, ajoute Emmanuel CROUZET, est aussi de suivre ces personnes dans le temps afin de connaître les transformations exactes à l’emploi… ».

 

 

Une attractivité, certes, économique mais aussi résidentielle…

 

Quant à Clarisse QUENTIN, elle a salué la présence des 70 entreprises : « ce n’est pas une vitrine pour elles, si elles sont là, c’est parce qu’elles ont de réels besoins en matière de recrutement… ».

Des face-à-face judicieux que ces échanges personnalisés concoctés entre recruteurs et recrutés, accueillis sur place, évitant aux demandeurs d’emploi de pousser les portes.

Disposant d’un sérieux tissu industriel pourvoyeur d’emplois, le Sénonais fait toujours figure de poumon économique dans le département de l’Yonne. Il ne pouvait donc pas se couper de cette manifestation, bien au contraire.

« La zone des Vauguillettes est en cela représentative de cette dynamique industrielle, explique l’élue de l’Yonne, bon nombre d’entreprises sur site sont porteuses d’emplois et de croissance. La zone accueille depuis peu un projet logistique avec 50 000 mètres carrés en cours de construction… ».

Une telle initiative, ces « Rencontres de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation », illustre parfaitement les valeurs portées par la nouvelle Agence Yonne Attractivité (AYA) qui vient de voir le jour, la semaine dernière, sous l’impulsion du Conseil départemental et de huit EPCI partenaires, dont celle du Grand Sénonais.

Explications de Clarisse QUENTIN : « L’attractivité, elle est certes économique mais elle est aussi résidentielle. Il est important de vendre la destination icaunaise à l’extérieur de notre territoire pour permettre aux entreprises locales de pourvoir à leurs besoins de recrutements en attirant de nouveaux habitants par chez nous. C’est cela le rôle de cette Agence de l’Attractivité départementale… ».

Un message limpide adressé aux investisseurs et entrepreneurs franciliens, entre autres, qui souhaiteraient délocaliser leur production tout en venant s’installer des deux côtés des rives de l’Yonne. Sachant que le Sénonais dispose grâce à la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette) de quelques belles parcelles de terrain encore disponibles. Une aubaine pour celles et ceux des entrepreneurs qui désirent s’y installer !

 

Thierry BRET

 

 


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Rayonner. Bien au-delà des frontières de notre département. C’est l’objectif du nouvel outil qui vient d’être lancé il y a quelques jours à l’initiative du Conseil départemental de l’Yonne, au nom de la sacro-sainte « attractivité ». Un mot qui brûle les lèvres de tous les responsables des milieux institutionnels et politiques de notre territoire. Le préfet Pascal JAN le prononça au premier jour de son arrivée dans l’Yonne en avril 2022 ! Beaucoup lui ont emboîté le pas depuis. Avec la création de cette agence spéciale, l’Yonne se dote d’une structure visant à promouvoir le terroir septentrional de la Bourgogne auprès de nouveaux habitants et de nouvelles entreprises…

 

AUXERRE : On connaissait jusque-là l’agence « Yonne Tourisme ». Il faudra désormais s’habituer au niveau de la sémantique à l’appellation, « Yonne Attractivité » ! Même si la présidence de ce nouvel outil promotionnel reste identique, avec l’implication de la conseillère départementale en charge du Tourisme, Isabelle FROMENT-MEURICE.

Il y a quelques jours, la fine fleur des représentants de la vie institutionnelle et politique de notre territoire se retrouvait lors d’une séance inaugurale dans l’un des salons du parc des expositions afin de porter sur les fonts baptismaux de la création ladite agence. « Yonne Attractivité », un patronyme qui en dit long sur ses ambitions quant à sa volonté de rayonnement…

Les objectifs sont multiples. D’une part, populariser en la faisant connaître l’Yonne bien au-delà de ses frontières, vers le plus grand nombre des Français mais aussi des potentiels investisseurs et entrepreneurs qui seraient tentés par une installation sur l’un des départements les plus étendus de l’Hexagone en matière de longueur, du nord au sud.

 

Mieux appréhender tous les atouts de l’Yonne

 

D’autre part, valoriser ce cadre de vie où le charme environnemental de nos zones rurales n’a rien à envier avec la dimension humaine de ses petites agglomérations qui en composent le tissu. D’Avallon à Sens, de Joigny à Auxerre, de Tonnerre à Migennes ou à Saint-Florentin. Bref, assurer le service après-vente autour d’un territoire qui possède beaucoup plus d’atouts qu’on ne peut l’imaginer, à quelques cent cinquante kilomètres au sud de Paris et à proximité de l’Ile-de-France…

Il y a peu, lors de l’assemblée générale extraordinaire de feu l’agence Yonne Tourisme, sa présidente, Isabelle FROMENT-MEURICE avait brossé le portrait-robot de ce que serait cette nouvelle configuration devant assurer ces nouvelles missions, quasi régaliennes pour optimiser la pérennité de notre territoire. L’Yonne ? Un département dont la popularité ne se limite pas à la seule AJA ou au chablis, mais qui présente d’avantageux atouts pour ces françaises et français désireux de s’éloigner de la grande métropole qu’est la capitale de notre pays, un phénomène que l’on avait déjà constaté lors de la crise sanitaire de la période COVID et de ses différents confinements.

A l’heure des changements de paradigme dans l’univers professionnel avec la confirmation du télétravail dans les habitudes de nos compatriotes, à l’heure de la recherche de la sécurité et du retour à l’environnement, l’Yonne devient une cible naturelle et à privilégier pour ces milliers de Franciliens souhaitant se remettre en phase avec Dame nature.

Parmi les atouts déployés par le territoire du nord de la Bourgogne Franche-Comté : le prix du foncier, plutôt abordable, un cadre naturel de toute beauté – allez faire un tour dans la campagne de Puisaye, du côté de Vézelay ou sur les hauteurs de Chablis et de Joigny, vous m’en donnerez des nouvelles ! -, une réalité économique qui n’a pas à rougir en matière de résultats.

 

 

Une politique de mutualisation avec le CD 89 et les EPCI

 

La première pierre de l’organisme posée, à quoi doit-on s’attendre avec la fonctionnalité de cet outil ? Primo, comme devait le rappeler l’élue de Puisaye, Yonne Attractivité doit devenir une véritable marque de territoire, devant accompagner les talents quels qu’ils soient, c’est-à-dire les entreprises et les professionnels dans leur installation et leur développement sur notre secteur géographique. Secundo, les axes de travail de la nouvelle agence sont simples : dynamiser l’attractivité résidentielle et professionnelle, concevoir des actions de marketing territorial et de lobbying au niveau hexagonal, proposer en les fournissant des études prospectivistes permettant d’adapter de manière optimale les stratégies de développement. Une véritable feuille de route gagnant/gagnant pour les territoires de l’Yonne, avec une gouvernance partagée et surtout une approche collaborative qui aura permis d’ancrer huit communautés d’agglomération et de communes dans le sillage de l’initiative du Département. Une bénédiction urbi et orbi qui ne peut être que profitable à l’intérêt général…

Côté structurel, l’Agence Yonne Attractivité (AYA) va s’appuyer sur les fondamentaux de l’agence Yonne Tourisme et sur une politique de mutualisation de la communication plus cohérente avec le Conseil départemental.

Comme l’aura stipulé Isabelle FROMENT-MEURICE, nouvelle capitaine de ce vaisseau amiral : « Au total, l’Agence regroupe 23 personnes, mais à effectifs constants puisqu’ils reprennent notamment ceux de Yonne Tourisme. Et grâce aux synergies réalisées, son budget de 2,5 millions représentera une économie de 15 % ».

Pour être tout à fait complet, précisons que la gouvernance de la nouvelle entité sera également partagée et son capital ouvert aux EPCI partenaires pour faciliter la coopération dans la mise en œuvre d’actions de promotion du territoire. Un comité consultatif composé de professionnels du tourisme et d’acteurs économiques, notamment issus du club « Yonne 24 » initié pour les Jeux Olympiques de Paris et cher au regretté président GENDRAUD, permettra enfin d’y relayer des propositions venues de toutes les filières locales. Une impulsion novatrice et collective pour placer l’Yonne au centre du jeu. Et lui permettre de partir à la conquête de l’Hexagone…

 

En savoir plus :

Les EPCI partenaires sont :


Communauté d'Agglomération de l’Auxerrois, Communauté d'Agglomération du Grand Sénonais, Communauté de communes de Chablis, Villages et Terroirs Communauté de communes de Serein-et-Armance, Communauté de communes du Serein, Communauté de communes d’Avallon-Morvan-Vézelay, Communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne, Communauté de communes du Jovinien

 

Thierry BRET

 


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