Plus ambitieux, mieux construit et gagnant en maturité, le projet de développement de la jeune start-up auxerroise, METEO 89, se peaufine minutieusement dans la tête de son pygmalion, l’entrepreneur-étudiant Raphaël ROTH. A 21 ans, et après quelques jours d’un salvateur repos amplement mérité du côté de la Vendée, le jeune homme nous revient frais émoulu pour entamer cette nouvelle période d’activité en finalisant un business-plan très structuré. Ce document devrait lui permettre d’obtenir de substantielles possibilités d’aides et de soutiens financiers favorables à l’optimisation de son concept. Achevée fin mai, cette phase analytique conçue avec le précieux concours de la Junior entreprise de l’IFAG Auxerre, dévoilera les perspectives évolutives de la SASU. Des informations utiles devant être présentées ensuite aux partenaires économiques et institutionnels de Bourgogne Franche-Comté…
AUXERRE : Objectif : concevoir une levée de fonds indispensable à la pérennisation du concept auprès des milieux agricoles/viticoles, ceux du bâtiment et des travaux publics, voire les collectivités. Moyen idoine pour y parvenir : le montage d’un business-plan solide et pertinent servant à structurer le projet avant de le dévoiler à d’éventuels partenaires et investisseurs.
Une étude de marché conçue avec l’aide des étudiants de l’IFAG Auxerre…
Désormais seul pilote à bord de ce projet entrepreneurial de grande envergure et si insolite que représente METEO 89, le jeune Raphaël ROTH a profité de l’air marin sur les côtes vendéennes durant quelques jours pour souffler un peu, certes, après de nombreux mois de labeur mais aussi pour rendre mature ce business-plan capital pour son avenir.
« Je souhaitai un apport de compétences extérieures et un regard critique sur la constitution de ce dossier, confie-t-il, afin de ne pas passer à côté de certaines choses pouvant s’avérer fondamentales. Le choix de bénéficier de la plus-value conférée par l’intervention des étudiants de l’IFAG Auxerre, via le prisme de leur Junior entreprise, est alors devenu évident à mes yeux… ».
Conscient de la qualité du travail fourni, Raphaël ROTH a opté en faveur d’un travail collaboratif avec des représentants de la fameuse génération « Z » car il se sentait très proche de leurs valeurs. « Je suis moi-même étudiant en géographique et climatologie », lâche-t-il tout sourire.
D’ailleurs, ce rapprochement vécu en parfaite osmose ne se limitera pas à la conception du business-plan. Dès la saison prochaine, le mentor de METEO 89 s’attèlera les services de deux jeunes étudiants en alternance dans le cadre du développement économique de son outil. S’inscrivant ainsi dans une logique citoyenne de renvoi d’ascenseur naturel en créant le terreau d’accueil nécessaire à l’insertion professionnelle des futurs diplômés de l’école de management icaunaise.
Quant à l’étude alimentée après moult mois de réflexions par le travail du monde estudiantin, elle sera terminée d’ici la fin du mois de mai.
Couvrir la totalité de l’Hexagone en implantant des centres météorologiques…
Débutera, dans un second temps, la circulation de ces analyses agrémentées de données statistiques sur la concurrence existante ou les divers avantages sur les packages marketing proposés par METEO 89 auprès des milieux institutionnels et économiques de la région. Muni de son bâton de pèlerin, Raphaël ROTH ira à la rencontre des nombreux contacts professionnels interpellés par la pertinence de ce support météorologique indépendant, ayant décidé de dépasser les simples frontières de la prévision en travaillant les segments des utilisateurs professionnels issus de l’agriculture et de la viticulture, du secteur BTP, du tourisme et des collectivités territoriales.
Envisageant l’ouverture du capital de la société même s’il en demeurera l’actionnaire majoritaire, le jeune homme voudrait obtenir gain de cause auprès des incontournables soutiens aux entreprises que sont BPI France, la Région, et d’autres organismes de la même teneur.
De gros investissements seront indispensables à réaliser tant au niveau technologique ou R&D qu’au plan humain (prévisionnel d’une vingtaine de recrutements commerciaux et techniciens) pour le dirigeant.
« Le but est d’implanter des centres météorologiques dans chaque département français y compris ceux de l’outremer, précise Raphaël ROTH, d’ici trois ans, METEO 89 (entre-temps pourvu d’une nouvelle appellation sémantique), contrôlera un axe septentrional au-dessus d’une ligne reliant Nantes à Lyon. Avant de couvrir grâce à un maillage technique très opérationnel la totalité du pays aux alentours de 2023/2024… ».
Pour se faire, une première enveloppe estimée à 120 000 euros serait obligatoire à intégrer dans la besace de l’entreprise pour qu’elle puisse mener à bien les différentes strates évolutives de ce concept qui nécessitera l’acquisition de licences spécifiques, notamment dans l’usage des radars de météo…Des investissements incompressibles, on s’en doute…
Une récente intervention tripartite, proposée à Auxerre par le Conseil départemental de l’Yonne, et ouverte aux représentants de la Région et aux présidents des EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale), s’est achevée sur un constat évident, partagé par l’ensemble des participants. En matière d’optimisation de la santé et du déploiement du numérique sur notre territoire, une indispensable coordination des opérations menées par les différents acteurs institutionnels dont la Région Bourgogne Franche-Comté s’avère aujourd’hui nécessaire dans l’intérêt général.
AUXERRE : Sujets prioritaires inhérents au domaine de compétence du Conseil départemental, la santé via l’amélioration des offres de soins et le renforcement du numérique sur notre contrée ont fait l’objet d’une concertation passionnante lors de cette réunion, qui aura permis aux responsables des EPCI de l’Yonne de pouvoir s’entretenir avec le président de l’exécutif territorial, Patrick GENDRAUD.
Régulièrement, ces échanges distillés entre les deux organes institutionnels du département nourrissent bon nombre de réflexions constructives, orientées vers un intérêt commun : celui de faire progresser le territoire icaunais.
Ainsi, et de concert, les présidents du Département, Patrick GENDRAUD, et Mahfoud AOMAR, au nom des EPCI, devaient à l’issue de cette rencontre tenir une conférence de presse, afin d’analyser les premiers éléments décisionnaires pris au terme de cette séance de travail explicative à laquelle prenaient part les membres d’une petite délégation du Conseil régional.
Le Département et les EPCI sur la même ligne…
En préambule de cette phase analytique, Patrick GENDRAUD insista sur le besoin stratégique de créer des passerelles significatives avec la Région. « Cela nous permet de glaner de l’information et de posséder une vision claire et actualisée sur les dossiers en cours menés sur chaque territoire… ».
Adepte du vieil adage bien connu où il s’avère que « l’union fait la force », l’élu du Conseil départemental s’est félicité de ces échanges fructueux, favorisant l’efficience dans la gestion des dossiers.
Ceux-ci étaient de taille en guise de fil rouge de cette rencontre : la santé et le numérique, deux thèmes qui suscitent parfois moult commentaires de l’opinion publique et des médias.
D’une même voix, les deux interlocuteurs ont fait part de leurs ressentis sur le rejet catégorique du PRS, le fameux « Programme régional de santé », préconisé par l’Agence régionale de Santé. Une feuille de route balayée vers la négative par le vote quasi unanime des conseillers départementaux en avril ; et soutenu dans une optique similaire de ce mécontentement par l’ensemble des maires et élus de l’Yonne.
« Nous souhaitons maintenir un véritable équilibre des besoins sur le département, devait préciser Patrick GENDRAUD, en coordonnant ces différentes mesures dans le cadre d’un vrai maillage territorial afin d’éviter les zones désertiques… ».
Saluant le travail effectué en étroite osmose avec le docteur CHARDON, le président de l’exécutif icaunais rappela que depuis 2003, vingt-cinq dossiers de création ou d’extension de Maisons de santé pluri-professionnelles (MSP) avaient été conduits et financés par le Conseil départemental. A cela, il est nécessaire de rajouter des cabinets médicaux, des maisons médicales, des centres de santé mais aussi des structures de soins primaires. Le tout grâce à une enveloppe de 2,7 millions d’euros.
L’Yonne, département précurseur dans la recherche de jeunes médecins…
Autre statistique intéressante : l’Yonne a bénéficié de neuf nouvelles installations de généralistes afin de lutter efficacement contre les nuisances imputables à la désertification médicale. D’ailleurs, une dizaine de contrats établis avec de jeunes médecins pourraient se transformer de manière positive d’ici peu.
« Toutefois, commenta le président des EPCI, Mahfoud AOMAR, pour régler de manière efficace les problématiques observées aujourd’hui dans le domaine de la santé, il n’existe pas d’autres solutions que de légiférer. C’est au niveau de la chambre de l’Assemblée nationale que les décisions doivent être prises… ».
Et Patrick GENDRAUD de renchérir et d’abonder dans le sens de son voisin : « il faut un vrai courage politique dans cette histoire. Il ne faut pas que des mots. On a demandé au gouvernement de prendre des mesures législatives pour imposer à des jeunes médecins de s’installer dans des zones de carence… ».
L’Yonne fait figure de département précurseur dans la méthodologie de « recrutement » des jeunes praticiens. Des bourses destinées au cycle d’étude des internes ont été versées. Idem à l’installation avec la signature d’une convention de présence les engageant sur notre territoire pour une durée minimale de cinq ans. Quant aux déplacements sur les salons professionnels qu’il s’agisse de ceux organisés à Paris ou à Valence, afin de faire du prosélytisme territorial auprès des médecins, ils se sont multipliés pour les représentants du Conseil.
Parfois, les jeunes praticiens s’en amusent et procèdent à la pratique du marchandage mercantile, à la façon de « mercenaires » qui se vendent aux plus offrants. Des attitudes peu civiques et amorales que déplorent les deux élus de l’Yonne. Car, pendant ce temps-là, les zones rurales de la Bourgogne septentrionale manquent cruellement de représentants ayant choisi de prêter le serment d’Hippocrate…
Reste, en substance, l’éternel problème de l’attractivité économique du territoire, surtout dans les zones rurales, où il sera obligatoire de trouver des solutions appréciables en termes d’emploi pour répondre aux besoins d’un conjoint mais aussi d’une quête culturelle et éducative.
La gestion du volet numérique suppose l’emploi de moyens complémentaires…
Soumis aux diverses et récurrentes contraintes budgétaires mais aussi face aux difficultés d’approvisionnement de la fibre, le volet numérique doit lui aussi supposer le développement de moyens complémentaires afin d’accélérer sa progression territoriale.
Mais, concède le président GENDRAUD, « on sait aussi qu’il y a un certain nombre d’endroits de notre cadre géographique où le numérique n’arrivera pas tout de suite… ». Même si le credo des structures institutionnelles est d’être là pour apporter de vrais services publics aux habitants.
L’idée de constituer un guichet unique avec les élus du département mais aussi ceux de la Région et les représentants des EPCI est dans l’air du temps. Chacun pouvant alors bénéficier d’une vision précise de la situation réelle de ce dossier sans qu’il n’y ait d’interférences et de superpositions.
Concrètement, Patrick GENDRAUD et Mahfoud AOMAR proposent que dans un délai de deux mois, chaque territoire soit en mesure d’obtenir des informations précises sur l’état des lieux de ces différentes étapes conduisant à l’extension des possibilités numériques dans l’Yonne. Une cartographie d’une exactitude affinée permettra de répertorier l’ensemble des pylônes déjà posés par la Région. D’où un gain de temps considérable pour que les communes puissent, ensuite, intervenir dans leur schéma d’équipement de ce besoin nécessaire à la population mais aussi aux forces vives de l’économie.
A ce jour, onze pylônes ont été déployés par la Bourgogne Franche-Comté sur notre territoire ; huit autres infrastructures seront à construire prochainement. Ces appareillages facilitant la pose d’antenne 4G pour arroser un rayon d’action d’une vingtaine de kilomètres à la ronde.
L’union sacrée qui se profile désormais entre la Région, le Département et les EPCI (ex-communautés de communes) devrait être bénéfique pour les Icaunais à brève échéance dans la gestion positive de ces sujets assez délicats. Personne ne s’en plaindra, naturellement…
Une fois n’est pas coutume, la localité de VENOY, située aux portes d’Auxerre, a été le théâtre d’un événement sportif exceptionnel et d’envergure internationale en accueillant les 240 équipages de la 27ème édition annuelle de ce rallye automobile incomparable. Nombreux furent les férus de véhicules anciens devant se précipiter, munis de leurs appareils photographiques et caméras, dans les rues de la localité afin d’immortaliser le départ de la spéciale. Cette boucle de plusieurs kilomètres était à parcourir chronométrée autour de la commune, et permit d’apprécier les aptitudes techniques de ces virtuoses du volant qui effectuaient la première liaison entre le Grand Palais de Paris et Beaune.
VENOY : Rétrospective du fameux Tour de France Automobile, aujourd’hui disparu, l’épreuve sponsorisée par l’enseigne OPTIC 2000 rassemble des voitures anciennes ayant eu la particularité d’avoir pris part à des épreuves sportives mythiques disputées entre 1951 et 1973.
En cinq étapes, sur un axe directionnel les menant de Paris à Nice en faisant une halte à Besançon, Megève, Avignon et Aix en Provence, les champions du chronométrage et de la conduite de précision, sur route mais aussi sur circuits, se sont distingués devant plus de cent mille spectateurs. L’Yonne, via la localité de Venoy, était à l’honneur pour cette édition 2018 en accueillant une spéciale de très bon aloi. Ce fut une excellente aubaine pour apprécier les qualités techniques de ces aficionados de moteurs vrombissants et de rutilantes mécaniques d’apercevoir d’anciens pilotes professionnels mais aussi des hommes d’affaires, des artistes ou simplement des collectionneurs.
Par le passé, le rallye a eu le privilège d’accueillir les plus grands noms du pilotage automobile européen (Henri PESCAROLO, Jean-Pierre BELTOISE…) mais aussi des personnalités de la pop music à l’instar du batteur de PINK FLOYD, Nick MASON ou du chanteur du groupe DURAN DURAN, Simon LE BON.
Présence intéressante des clubs automobiles régionaux…
Côté compétition, le classement principal, celui des épreuves chronométrées, a été emporté par le tandem de pilote/copilote helvétique Raphaël FAVARO et Yves BADAN ; ces derniers s’imposant de manière définitive devant deux équipages tricolores à Nice.
Localement, le club de voitures anciennes WOOD’COXERRE devait contribuer à sa manière au succès de cet événement en exposant sur la place de la mairie deux voitures anciennes de marque Volkswagen : un Combi Baywindow datant de 1971 et une Cox 1 200 modèle 1973. La délégation régionale de Bourgogne du MG Club de France se joignait également à cet événement sportif, en dévoilant un véhicule MG B, estampillé de 1965.
Cette année, les marques italiennes disparues (AUTOBIANCHI, DE TOMASO, OSCA…) bénéficiaient de toutes les attentions sur le parcours. Instant magique de pouvoir apprécier de belles cylindrées à l’immuable succès populaire.
Un spécialiste de l’optique en guise de partenaire principal de la manifestation…
Sponsor essentiel de cette animation sportive depuis 2009 après le rachat par l’enseigne de la société LISSAC optique, le réseau leader de l’optique en France profite de cette opportunité événementielle pour sensibiliser le grand public à l’importance de préserver sa vue et son audition pour conduire en toute sécurité. Avec la complicité des audioprothésistes de l’enseigne AUDIO 2000, les opticiens du réseau conçoivent, gratuitement, des tests visuels et auditifs dans l’espace village prévention présent sur l’ensemble des villes étapes. Des animations ludiques afin d’apprendre et de comprendre le mécanisme de la vision et de l’audition constituent un autre temps fort de ces événements en marge de l’épreuve automobile.
Cette année, la vingt-septième édition de l’épreuve était marquée par le sceau de l’insolite et de l’innovation technologique avec la présentation officielle de la monture intelligente « PRUDENSEE » (Cf : voir l’article par ailleurs), aidant à prévenir l’endormissement au volant.
En neuf ans de présence partenariale, OPTIC 2000 et AUDIO 2000 ont assuré 10 500 tests visuels et 12 150 tests auditifs auprès des suiveurs de cette épreuve. Une manière pragmatique de joindre l’utile à l’agréable dans le domaine du préventif et de la santé…
AUXERRE : YONNE TOURISME avait présenté leurs candidatures début avril auprès d’ATOUT FRANCE. Depuis quelques jours, la structure touristique départementale, qui porte le label national « Vignobles & Découvertes » pour l’Yonne est heureuse d’accueillir trois nouvelles offres au sein du réseau.
Il s’agit de l’agence « Escapade Gourmande », spécialisée en séjours à vélo, la Maison du Vélo à Auxerre et la manifestation « Fleurs de Vigne », qui rejoignent la destination labellisée « Vignoble de l’Auxerrois ».
Le réseau « Vignobles & Découvertes » icaunais compte désormais 49 prestations pour le vignoble de Chablis et soixante pour le vignoble de l’Auxerrois. Toutes les bonnes adresses de l’œnotourisme dans l’Yonne sont à retrouver sur www.vignobles-yonne.com
Le Groupement Icaunais de la sous-traitance aéronautique (GISAéro) a tenu une assemblée générale constitutive en présence de ses membres fondateurs à Auxerre. Fonctionnant jusque-là sous couvert d’un groupement sans personnalité juridique, la structure est devenue au soir du 24 avril une association de type loi 1901 à part entière. Un statut avantageux qui lui permettra désormais de pouvoir être le porteur de certains projets au nom de ses adhérents, notamment en matière de promotion et de communication. Claude VAUCOULOUX, directeur général de la Maison de l’Entreprise, en assumera la présidence…
AUXERRE : S’octroyer de nouveaux moyens qui vont très vite permettre aux membres fondateurs de l’entité de faire progresser un certain nombre de projets, c’était l’objectif prioritaire de cette assemblée générale constitutive du Groupement icaunais de la sous-traitance aéronautique.
Invité par le directeur général de la Maison de l’Entreprise Pôle Formation 58/89, Claude VAUCOULOUX, les représentants de cette structure qui avait été portée sur les fonts baptismaux en octobre dernier ont pu se réunir avant de procéder à ces modifications indispensables à la bonne fonctionnalité de leur outil de travail.
En adoptant le statut associatif traditionnel, le groupement qui fédère une dizaine d’entreprises du nord de la Bourgogne pourra développer ses besoins en matière de compétences mais aussi le très important projet de création du Centre Icaunais de traitement et d’amélioration de surface (CITAS).
Une création initiale en date du 11 octobre 2017…
Le projet GISAéro avait vu le jour à l’automne afin de créer une identité locale à la filière de l’aéronautique, parallèlement porteuse d’emplois, et représentée localement par des enseignes de poids (FIGEAC AERO, ZODIAC, SEVA, ANTHALYS ou ROSLER…). La Maison de l’Entreprise avait accueilli cette rencontre initiale : elle deviendra dorénavant le siège social officiel de la nouvelle structure associative.
Dans la foulée de cette assemblée générale, au cours de laquelle ont été adoptés les statuts de l’association, un bureau a été élu. La présidence incombera à Claude VAUCOULOUX, directeur général de la Maison de l’Entreprise. Celui-ci a été désigné pour assurer la gouvernance de cette jeune structure professionnelle. Il sera secondé par Sylvère MOREAU, vice-président (MPH), Patrice PARISOT, secrétaire (FIGEAC AERO), Philippe CATEL, trésorier (ZODIAC), Jean-Pierre SANGLIER, secrétaire-adjoint (KEP Technologies) et Jean-Jacques ANDREU, trésorier-adjoint (ROSLER).
Le premier chantier de la toute nouvelle entité sera la création de son site multimédia afin de communiquer sur sa stratégie…