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Personne n’est dupe. Le plan de relance annoncé par Jean CASTEX le jeudi 03 septembre a été concocté par notre président de la République et son ministre de l’Economie. Un style amphigourique pour accoucher de mesures issues tout droit d’une politique de l’offre en occultant la demande, qu’elle vienne de l’intérieur du pays ou de l’extérieur. 160 000 emplois sont créés à la clef ? Face à la destruction du million d’emplois prévus sur 2020, c’est trop peu. En outre, si cela ne marche pas, les statistiques publiques intégreront les embauches de  l’année, prenant ainsi en compte les remplacements des départs en retraite !

TRIBUNE : Le plan de cent millions a été présenté. Mais, séance tenante, il faut déjà retirer les 20 millions de cautions données. Restent 80 millions à injecter réellement dans l’économie ! De la relance en trompe l’œil pour continuer la politique de l’ère Macron. Ce programme baptisé « France Relance » est plus proche des superlatifs et de la dialectique électorale que de l’efficacité démontrée !

Tous les secteurs de l’économie sont concernés et personne ne sera oublié, ni les artistes les plus riches, hormis peut-être les classes sociales les plus pauvres ! L’activité économique de la France est toujours à un niveau inférieur à celui d’avant la crise. La méfiance de l’avenir et le pessimisme national sont si prégnants que les Français poursuivent leurs engagements vers de l’épargne de précaution (85 milliards d’euros à ce jour). Le moral des ménages conditionne la consommation : aucune politique de la demande n’est prévue dans ce plan.

Par exemple, aucune embauche n’est prévue chez les enseignants, malgré les besoins ! Le soutien aux personnes précaires, 0,8 % de ce plan, intègre d’abord l’augmentation de la prime de la rentrée scolaire, le ticket restaurant universitaire à un euro, un peu d’argent pour le logement d’urgence et…point final !

Aucun soutien particulier ne concerne une population dont on connaît la forte propension à consommer vers des besoins élémentaires non satisfaits. On peut déduire que pour l’Etat, l’aide se concentre vers les entreprises. Ce choix a aggravé la récession en 1929 !

 

Seulement 30 milliards d’euros débloqués en 2021…

 

Si nous faisons un inventaire à la Prévert, nous obtenons 70 cibles concernées par la distribution du plan. L’écologie pèse pour 30 % sur le budget pour une efficacité encore à démontrer : la rentabilité des projets n’a jamais été au rendez-vous (l’hydrogène, la décarbonisation industrielle…). On soutient surtout les industries polluantes. Avec en prime un important cadeau fiscal qui leur est consacré avec la baisse massive des impôts pour la production, soit 20 milliards d’euro sur deux ans !

Le Premier ministre promet que les cent milliards seront remboursés en 2025 grâce aux bénéfices des entreprises et à la croissance du PIB. Des promesses électorales qui n’engagent que ceux qui les écoutent !

Le plan intègre des annonces déjà orchestrées depuis plusieurs mois (rénovation énergétique, l’organisation ferroviaire…). De plus, trente milliards, seulement, seront débloqués en 2021 !

Ce plan de relance, empreint de néolibéralisme à la française sans grande ambition novatrice et spectaculaire, risque de générer de la frustration et de la déception pour tous. Notamment pour les secteurs agricoles, de la santé, sans oublier la police et la justice pour l’insécurité.

Le plus grand frustré de cette histoire sera-t-il le nouveau Commissaire au plan, François BAYROU ! Le plan : il est écrit. La monnaie : il n’y en a plus ! Alors encore une structure vieille de plus de 70 ans, constituée de fonctionnaires et qui va encore coûter cher ! N’oublions pas l’histoire. Le commissariat au plan fut créé par Philippe PETAIN dans les années 40 et reprit par le Général de GAULLE en 1946 pour planifier et gérer le plan Marshall. A l’époque le commissariat était constitué de 20 % de fonctionnaires et de 80 % de contractuels. Question : avec François BAYROU, ce sont 100 % de fonctionnaires qui vont œuvrer ?! A méditer… 

 

Un plan qui va appesantir la dette…

 

Enfin, il est bon de préciser que c’est encore un plan de relance qui va peser lourd sur la dette. Entre 2 400 et 2 500 milliards d’euros pour plus 120 % du PIB. Personne ne s’en soucie. Les taux d’emprunts sont tellement bas, voire voisins de 0 % et même négatifs. Quant au patrimoine national « vendable » (hors la « Joconde », le Château de Versailles et les châteaux de la Loire…), il est supérieur à 2 500 milliards. Les investisseurs sur les marchés restent confiants. Mais quel est l’intérêt de renoncer au crédit lorsque les taux sont aussi bas ?

Bref, c’est encore une épée de Damoclès au-dessus des têtes : la remontée des taux sur les marchés de capitaux !

Dans ce plan, tous les sujets tabous ont été évités avec soin : l'augmentation des salaires, les embauches dans le secteur public. Le plan de relance de Jean CASTEX "néglige la demande de justice sociale" dénonce l'économiste Thomas PIKETTY pour qui il aurait fallu augmenter les salaires. Alors, est-ce encore une fois un plan au goût d'inachevé ?

Jean-Paul ALLOU

 


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Le coach auxerrois Jean-Marc FURLAN souhaitait depuis longtemps du renfort pour consolider sa ligne défensive. Un secteur de jeu souvent mis à mal la saison dernière. Ses vœux ont enfin été exaucés. Le joueur prodige se nomme JUBAL Rocha Mendes Junior. C’est un pur produit des écoles de football brésiliennes, initié aux techniques de discipline au FC Santos…

AUXERRE : Libre de tout contrat depuis la saison dernière où il était titulaire au sein du club portugais Vitoria Setubal, cet athlète de 27 ans a rejoint l’équipe bourguignonne pour une durée de trois saisons, dont une en option. Sur le terrain, le puissant défenseur arborera un maillot blanc et bleu flanqué du numéro quatre.

Sa venue à l’Abbé Deschamps, si elle n’a rien de providentielle puisque le joueur était sous étroite surveillance depuis un moment par le staff auxerrois, permettra de répondre aux exigences de ce poste de défenseur central.

Plusieurs clubs de Ligue 2 s’étaient positionnés en effet sur ce joueur doté d’un excellent jeu de tête et d’une bonne qualité de relance.

Pour Cédric DAURY, directeur sportif de l’AJA, « ce dossier a été validé collectivement et tous sont très satisfaits de la concrétisation de cette arrivée dans l’Yonne ».

La première apparition où se fit remarquer JUBAL en France fut au Tournoi international de Toulon en 2013. Compétition qu’il remportera brillamment sous les couleurs des « auriverde » cette année-là.  

Le joueur a disputé une quinzaine de matchs en première division brésilienne avant de s’exporter vers le Portugal en 2016. Ce transfert en Lusitanie lui permettra de côtoyer différents clubs dont celui de Boavista. Soit une centaine de rencontres durant quatre saisons dans la Liga Nos, la division élite du Portugal…

 


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Le groupe de grande distribution icaunais recherche de nouveaux collaborateurs en cette période de reprise des activités. Deux sites sont concernés par ce renfort d’effectif : l’entrepôt sec d’Avallon et celui localisé à Magny qui stocke les produits frais. Avis aux postulants : ils peuvent d’ores et déjà candidater pour tenter d’obtenir le Graal…et intégrer la « Tribu » !

AVALLON : C’est une invitation en bonne et due forme faite à celles et ceux qui, âgés de plus de 18 ans, sont en quête d’un emploi. SCHIEVER ouvre les portes menant à la fonction de préparateurs de commandes en ce mois de septembre. Avec à la clé, trente postes qui sont affectés sur deux sites de l’Yonne.

Le groupe d’envergure internationale n’a pas d’exigence particulière dans ce recrutement. C’est ce que confirme Sonia ROUTIER, responsable du service Développement Humain de l’entreprise.

Outre la nécessaire motivation (mais cela est de la pure logique lorsque l’on fait acte de candidature), la structure est prête à accueillir toute personne désireuse d’apprendre ce métier, celui de la préparation de commandes. Un métier indispensable aux bons rouages de la distribution de produits vers les consommateurs.

 

Banque Populaire

 

« Ces derniers mois, les Français ont pu constater à travers les médias combien certains métiers sont essentiels au quotidien… ».

Une fonction qui constitue l’un des maillons importants de la chaîne d’approvisionnement. SCHIEVER assurera la formation appropriée afin d’accompagner chaque nouvelle recrue dans sa prise de poste en leur permettant également de s’immiscer dans les coulisses des magasins où tous les gestes de cette organisation seront décortiqués.

Alors, pourquoi ne pas tenter cette expérience professionnelle enrichissante en optant pour un CDD dans une entité forte de 7 100 collaborateurs ?

 

En savoir plus :

 

Toute personne âgée de plus de 18 ans peut déposer sa candidature à l’adresse suivante, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Lettre de motivation et CV exigés.

 

 


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C’est incontestablement l’évènement phare de la rentrée dans le domaine de l’économie, de la transition écologique et…de l’automobile. Très loin d’un simple salon où il serait de bon ton de signer un bon de commande à l’issu d’un essai de véhicule électrique, le concept porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO se veut novateur, didactique et informatif pour mieux appréhender les réels enjeux de la mobilité électrique. Telle qu’elle se présente devant nous…

INTERVIEW : Pourquoi un tel évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO ? On est loin des préoccupations purement industrielles de ces structures ?

Au contraire ! Nous sommes au cœur d’un sujet industriel qui trouve nécessairement des implications au niveau des entreprises du territoire icaunais. La question de la mobilité électrique et plus généralement de la mutation des usages du transport qui s’appuient aujourd’hui presqu’exclusivement sur les énergies « carbone », au profit de moyens décarbonés, notamment l’électrique, constitue aujourd’hui un sujet majeur pour l’industrie française. En ce sens d’ailleurs, les annonces du Premier Ministre Jean CASTEX relatives au plan de relance insistent largement sur la nécessité de décarboner l’industrie française et en font une condition quasi sine qua non pour l’attribution des aides aux entreprises.

 

Avez-vous rencontré des difficultés pour organiser ce premier rendez-vous consacré à ce sujet dans l’Yonne ?

 

Il faut se souvenir que cette manifestation était initialement programmée le 02 avril dernier en point d’orgue de la « Semaine de l’industrie ». Nous avons été contraints de la déprogrammer compte tenu de la situation sanitaire liée à la COVID-19 et nous nous sommes interrogés quant à la pertinence de sa reprogrammation le 10 septembre prochain. Très vite, s’est imposée à nous la nécessité de nous placer dans une dynamique positive et volontariste, en maintenant cette journée qui constituera sans aucun doute le point fondateur de notre positionnement sur ce sujet.

D’ailleurs et d’une manière unanime, l’ensemble des partenaires et parties prenantes réunis autour du projet ont souhaité le maintien de cette journée et n’ont à aucun moment émis la moindre réserve quant à sa pertinence. Nous oublierons donc bien vite les obstacles que nous aurons eu à franchir et nous ne retiendrons que cette volonté unanime d’action !

 

La mobilité électrique impacte réellement les stratégies managériales des entreprises ?

 

La mobilité, quels que soit ses modes, est une nécessité à la fois pour la population, dans des usages privés, comme pour l’entreprise pour des usages professionnels, lesquels d’ailleurs sont souvent de natures très diverses. La mobilité électrique doit donc être considérée avant tout comme un moyen et non comme une fin en soi. Elle ne doit pas modifier les usages mais intégrer l’exigence de décarbonation qui devra être associée aux déplacements. Ce qui compte avant tout pour l’entreprise, c’est donc bien de garantir que la mobilité de ses personnels s’effectuera dans les meilleures conditions. A ce titre, les employeurs se posent encore bien des questions quant aux solutions en général, et à l’électrique en particulier. C’est en ce sens que le sujet touche bien la dimension managériale.

 

Assiste-t-on à une réelle prise de conscience sur les évolutions de notre comportement ou est-ce encore un phénomène modal teinté d’utopie ?

 

C’est tout à fait l’objet de cette manifestation et nous attendons au cours de cette journée, un maximum d’éclairages de la part des experts qui participeront aux différentes tables rondes. La question leur est d’ores-et-déjà posée dans la base line de notre communication : « La mobilité électrique : du rêve à la réalité ? Tournant majeur ou effet de mode ? ».

 

 

Le plateau que vous réunissez est de premier choix en y mêlant les acteurs de l’automobile, l’Agence régionale économique, les spécialistes de l’énergie…L’objectif de ce rendez-vous était-il de posséder une vision la plus globale et transversale possible sur cet item ?

 

Nous tenons tout d’abord à saluer l’engagement de ces nombreuses personnalités et leur venue à Auxerre pour cette journée du 10 septembre. Cela montre à quel point le sujet est important et mobilisateur ! Il suscite l’intérêt d’un grand nombre d’acteurs qui gravitent à différents niveaux autour de ce sujet : les universitaires, les industriels, les pouvoirs publics au travers des différentes agences économiques…

Un tel plateau répondra forcément à notre souhait d’aller au fond du sujet grâce à l’éclairage que tous ces experts pourront nous apporter.

 

 

Michel FORISSIER sera le parrain, un peu fil Rouge, de cette manifestation. Un mot sur sa venue ?

 

C’est un grand honneur pour nous que d’accueillir Michel FORISSIER à Auxerre. Par ses fonctions d’envergure internationale, il est un acteur et un témoin majeur du développement de la filière électrique pour l’automobile. Sa compétence, cultivée tout au long d’une carrière entièrement dédiée à l’automobile ; sa connaissance très fine de la problématique de la transition énergétique associée aux mobilités, laquelle se nourrit d’ailleurs de la grande capacité de benchmark que lui offre sa position internationale, lui confèrent une légitimité indiscutable pour être le grand témoin de cette journée.

 

Le gouvernement accroît les initiatives en versant des primes pour inciter à la transition écologique dans nos moyens de locomotion. Pourtant, l’Etat ne sera pas représenté à votre animation. Serait-ce un paradoxe ?

 

Vous avez raison : l’Etat est un acteur majeur de la réussite de cette transition vers l’électrique. Il va sans dire que sans les aides qu’il verse pour l’achat d’un véhicule dit « propre », il serait extrêmement difficile, notamment aux Français les plus modestes, d’acquérir un tel véhicule. La question de l’achat d’un véhicule électrique se situe en toute fin de la chaîne de valeur et elle est bien évidemment très importante. Notre journée quant à elle, interroge plus, finalement, sur la philosophie générale de la mobilité. Bien entendu, il n’y a pas de notre part, la moindre volonté d’exclure l’Etat. D’ailleurs, le préfet de l’Yonne a été invité et j’espère qu’il lui sera possible de participer au moins à une partie de la journée, tout en étant bien conscient du nombre extraordinaire de sujets et problèmes qu’il doit traiter en ce moment. Et puis comme je le disais précédemment, les Agences de développement économique seront présentes.

Comment les organismes que vous représentez peuvent-ils inciter le tissu entrepreneurial de ce territoire à vivre mieux cette transition écologique ?

 

 

La transition écologique ne va assurément pas représenter, une option pour les entreprises. C’est une exigence qui va s’imposer à nous et l’entreprise doit constituer l’un des rouages essentiels de sa mise en œuvre. De par notre mission auprès des employeurs, nous sommes un acteur majeur de leur accompagnement, bien ancré au cœur de notre territoire. L’information, le conseil, l’incitation et l’accompagnement de nos adhérents, notamment sur un tel sujet qui se situe au carrefour des problématiques économiques, sociales et sociétales, va naturellement de soi. Tout au long de l’année, nous organisons, à l’instar de la journée du 10 septembre, des moments où les chefs d’entreprise sont en capacité de s’inscrire dans des actions conduisant leur entreprise vers ces domaines stratégiques. Et puis bien-sûr, notre souci permanent de nous inscrire dans une dynamique de marketing territorial trouve ici naturellement tout son sens.

 

En matière d’exemplarité, est-ce que les cadres de l’UIMM, MEDEF et GISAERO de l’Yonne roulent électrique ?

 

Si tant est qu’il échoit à la Maison de l’Entreprise une obligation d’exemplarité en la matière ! Pour autant et très sincèrement, ce n’est pas le cas aujourd’hui et notre flotte de véhicules de service reste aujourd’hui entièrement traditionnelle. La question, lors de son renouvellement, se posera, et à l’évidence, il nous faudra arbitrer, compte tenu à la fois de nos besoins, mais aussi et surtout des capacités offertes par les matériels, quelle sera la meilleure formule à mettre en œuvre pour répondre à nos usages de mobilité. Je compte d’ailleurs beaucoup sur tout ce qui se dira le 10 septembre pour éclairer ma prise de décision future en la matière.

 

Ce rendez-vous pourrait-il s’inscrire dans le marbre et devenir un incontournable annuellement ?

 

Notre volonté, par le maintien la semaine prochaine de cet événement dont l’audience est nationale, et ce malgré la situation sanitaire, est bien d’en faire l’événement économique de rentrée pour notre territoire.

Il s’inscrit dans notre volonté de déployer en permanence le marketing territorial au service de l’Yonne dont je parlais précédemment. C’est bien sûr l’occasion de mettre les entreprises icaunaises en avant, mais aussi le département. Le succès de l’édition 2020 conditionnera peu ou prou l’organisation d’une nouvelle manifestation à la rentrée 2021. Mais d’ores et déjà, de nombreux sujets sont susceptibles d’alimenter une prochaine édition. Et puis vous le savez, ce ne sont ni la volonté, ni l’imagination qui nous manquent !

 

 

 

Vous faites des émules, puisque le 16 septembre prochain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat organise sa propre vitrine sur une thématique similaire. Un groupe de presse régional envisage d’en faire autant au printemps…N’y a-t-il pas un risque d’en faire trop sur le sujet et de brouiller les messages en cas d’éclosion de ces évènementiels bien ciblés ?

 

La multiplication des initiatives autour du sujet de la mobilité électrique constitue assurément une preuve supplémentaire, si besoin est, de la pertinence de l’organisation de notre évènement. Il ne m’appartient pas de commenter le bien-fondé ou non, de ce qui est mis en œuvre par les uns et les autres. Mais encore une fois, la manifestation organisée à la Maison de l’Entreprise le 10 septembre prochain ne constitue pas une sorte de « salon de l’automobile électrique » au cours duquel il ne s’agirait que de remplir des bons de commande à l’issue des essais des véhicules des différentes marques. Notre volonté est d’aller au fond du sujet, pour que chacun au terme des débats ait enrichi sa capacité à juger si la mobilité électrique constitue bien le tournant majeur dont beaucoup se font les promoteurs, ou bien s’il ne s’agira finalement que d’un effet de mode qui retombera aussi vite qu’un soufflé sorti un peu trop tôt du four.

 

Enfin, en votre qualité de délégué général, quelles sont vos attentes en termes de bilan de ce rendez-vous ?

 

Au-delà de la qualité des débats et des échanges (dont je ne doute pas) qui auront lieu au cours de cette journée, je souhaite que chacune et chacun qui aura participé à l’événement se dise en repartant qu’il n’a vraiment pas perdu son temps et qu’il aura enrichi sa connaissance sur le sujet. Il me semble que c’est le bon moment pour trouver les réponses aux questions que toutes et tous nous nous posons.

Compte tenu du nombre important d’inscrits (exclusivement décideurs économiques et chefs d’entreprise) au moment où l’on se parle, nos objectifs quantitatifs sont d’ores et déjà atteints et je ne doute pas un seul instant que nos objectifs qualitatifs le seront eux aussi !

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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Il faut sauver les chèvres et chevrettes du soldat Claire GENET ! Un sinistre a ravagé la nuit dernière un hangar agricole à Escolives : il contenait en partie leur pitance. Une nourriture saine, du foin de premier choix et de la luzerne bio dont sont si friandes les soixante-six protégées de la ferme ULTERIA. Ce projet novateur, sorti de terre il y a quelques mois, est soutenu par les réseaux économiques. Au commande : une jeune fille ambitieuse qui aujourd’hui appelle à l’aide…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Tout est parti en fumée en l’espace de quelques minutes. Il ne reste rien ! Un monceau de végétaux calciné. Un incendie à l’origine plus que douteuse, sans doute criminelle précise-t-on déjà dans le landerneau, ayant détruit le fruit de récoltes précieuses. Ce sinistre a de très lourdes conséquences pour la jeune chef d’entreprise, Claire GENET.

La trentenaire a été impactée en première ligne par ce feu si troublant. Logique, une grande partie du foin et de la luzerne bio qui y était entreposée servait de nourriture de choix pour son cheptel.

Des chèvres et chevrettes élevées avec amour dans sa ferme opérationnelle depuis un semestre qui a été érigée entre Saint-Bris-le-Vineux et Champs-sur-Yonne. Il suffit de goûter ses succulents fromages pour s’en rendre compte. L’ingénieure Claire GENET n’a pas manqué sa reconversion depuis qu’elle s’est lancée dans cette aventure un peu folle lui procurant néanmoins tant de satisfaction.

 

 

Une bouteille jetée à la mer…

 

Au lendemain de ce fait divers, circonscrit dans la nuit par les sapeurs-pompiers du SDIS 89, la jeune femme auréolée du titre symbolique de lauréat du réseau Entreprendre Bourgogne a fait les comptes. Au niveau du stock de ces précieuses matières nourricières devant alimenter son petit troupeau de chèvres et de chevrettes. L’inquiétude l’a guette, dorénavant.

Surtout que les réserves alimentaires dont elle dispose encore dans sa ferme n’excèdent pas une quinzaine de jours de battement. Or, soixante-dix tonnes de foin de luzerne bio seront très vite nécessaires pour nourrir ses chèvres. A cela, il faudra ajouter du foin de pré aux origines bio pour sustenter ses chevrettes.

Bref, un vrai casse-tête chinois pour la fermière qui ne sait plus à quel saint se vouer pour résoudre du mieux possible cette équation comportant de nombreuses inconnues. Car, la sécheresse persistante de cet été n’arrange rien à la situation. D’autant qu’il lui faut trouver très vite des moyens de rebondir à moindre coût côté frais de transport.

Perplexe, Claire GENET tire depuis ce matin les sonnettes d’alarme. Notamment auprès de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne avec laquelle elle fera un point complet de sa situation.

On sait les agriculteurs solidaires entre eux face à l’adversité. Plus que jamais, les chèvres et chevrettes de Claire GENET ont besoin de leur soutien massif et vertueux.

Pour que puissent s’alimenter convenablement celles qui nous offrent leur lait à la source de merveilleux fromages…

 

 


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