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La corporation souffre de la crise sanitaire. Comme tout le monde, me direz-vous ! A ceci près que la précarité, voire la misère, guette nombre d’entre eux. En plus, ils sont privés de travail pour un temps  indéterminé. Le plan de relance a prévu deux milliards d’euros pour la culture. Mais, peut-on parler de relance pour un secteur aussi vaste que flou dans ces contours. Au-delà des artistes, les emplois induits par la culture sont vitaux pour le pays : transports, logements, restauration, hôtellerie, tourisme…Un large pan de l’économie en déshérence.

TRIBUNE : Le secteur culturel représente plus de 600 000 emplois ! Rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, on recense 1 532 employeurs faisant appel à au moins un intermittent, dont 310 en Côte d’Or et 190 dans l’Yonne, pour un total de plus de 6 millions d’euros. Toujours sur notre territoire, c’est aussi 18 421 contrats de travail dont 5 234 en Côte d’Or et 1 600 dans l’Yonne. Des sources statistiques qui datent quelque peu puisque élaborées en 2011.

De plus en plus, les contrats d’interventions artistiques concernent des compagnies ou des associations : un contrat représente plusieurs artistes. Des machinistes, caméramans et autres preneurs de sons, sont aussi concernés par le statut d’intermittent. 

Le problème de notre emblématique ministre de la Culture, Roselyne BACHELOT, c’est qu’elle n’a aucun pouvoir sur les deux milliards d’euros alloués à son ministère. C’est-à-dire le montant réel, l’échelonnement de l’aide…Bercy maîtrise seul ce budget qui demeure discrétionnaire…

Prévoir l’avenir ! Un spectacle vivant, une pièce de théâtre… ça se prépare, ça se monte,…il faut répéter, organiser…Il est difficile de décider d’un spectacle à partir de janvier ou de mars qui peut à tout moment être annulé. Comment, dans ces conditions, lancer des milliers de billets à la vente ?

Les intermittents du spectacle coûtent un milliard en assurance chômage. Toutefois, il existe des restrictions aux droits : si l’intermittent ne rassemble pas 507 heures de travail, il ne touche rien, ou presque. Le régime social du personnel intermittent fut créé pour les artistes du cinéma en 1936 !

Précisons également qu’un intermittent technicien gagne en moyenne 2 590 euros et 2 020 euros pour un artiste. C’est le problème des moyennes : il prend en compte des cachets démesurés. La majorité des artistes aimerait gagner ne serait-ce que la moitié de ce cachet !

 

Une artiste, régionale de l’étape, Nathalie GUERAUD, livre son sentiment

 

Nathalie GUERAUD est une vraie saltimbanque, une véritable artiste, fan de poésie et de Christian BOBIN. Comédienne, c’est sa vocation, c’est donc joyeusement qu’elle se  jette dans le théâtre, sur la scène, aux côtés de  Molière

Avec beaucoup de passion, elle va très vite conjuguer sur les planches, la comédie et le chant. En 1993, elle obtient le Grand Prix de la SACEM. Toujours curieuse de la vie comme de son art, Nathalie s’aventure avec bonheur dans le théâtre contemporain, le « seule-en-scène », le travail de clown, la mise en scène, avec quelques incursions dans le cinéma.

Elle choisit de travailler en territoire rural, en particulier sur la transmission de la poésie et de la lecture à voix haute. Direction l’Auxois, en Côte d’Or. Depuis 2005, elle organise le « Printemps des Poètes en Auxois », avec la Cie L’Enchantement de la Mandarine. Au programme : ateliers, lectures, brigades d’intervention poétique, spectacles...

Pour marquer, les dix ans de cette manifestation, elle concocte un livre, intitulé « Le Ca-sert-d’os du caméléon », riche en témoignages d’acteurs du territoire
et récemment, "Eclat(s)", son premier texte poétique, publié aux éditions L’Atelier des Noyers.

 

 

Quelles sont les difficultés rencontrées par les intermittents depuis le mois de janvier ?

 

Jusqu’au jour du confinement général, à partir du mois de mars, tous les spectacles ont été annulés. Nous nous sommes posé beaucoup de questions : pourquoi des élections maintenues et de petits spectacles annulés ? « Le Printemps des Poètes » de Semur fut logiquement supprimé ! Plus de six mois de préparation (trouver les partenaires, les acteurs du projet,…) : tout un concept de longue haleine réduit à néant… Aujourd’hui, tout est en stand-by.

Certaines communes s’engagent malgré tout. Certaines ont pu reporter des spectacles plutôt que de les annuler simplement. Cet été, au débotté,  quelques spectacles ont pu avoir lieu, en extérieur, mais avec une épée de Damoclès sur la tête : la préfecture peut tout annuler la veille… Aujourd’hui je prends le risque du « Printemps des poètes ». Il faut être créatif, inventif sur la façon dont cette manifestation, à caractère national, peut se dérouler localement. Il faut trouver des formes nouvelles de spectacle et axer l’essentiel sur la rue.

 

 

Le confinement n’a pas été le même pour tout le monde. Que dire du Puy-du-Fou, du festival d’Avignon ?

 

Aujourd’hui, l’ « économique » prévaut toujours sur l’humanisme ! Le Puy-du-Fou représente pour les artistes un non-sens, voire une incompréhension totale. Je n’entre pas dans des considérations politico-partisanes mais comme tous mes collègues, dans une approche de logique et de cohérence.  A titre d’exemple, à l’Opéra de Paris, on a tenté de régler des interventions d’intermittents sur la base de figurations alors qu’il s’agissait de rôles !

Aujourd’hui, l’unique logique d’une manifestation, c’est la rentabilité immédiate. Pour le festival d’Avignon, de nombreuses possibilités pouvaient être offerte avec la partie « In » du festival. Oui Avignon pouvait, sous certaines conditions, être maintenu !

 

 

Que pensez-vous des deux milliards d’aide à la culture ?

Je n’y connais rien ! Nous nous demandons simplement : d’où vient tout cet argent ? Comment on va le rembourser ? Depuis des lustres, on nous rebat les oreilles qu’il n’y a pas d’argent ! Et d’un seul coup, de la monnaie comme s’il y en pleuvait, nous tombe dessus ! Mais, il faudra bien rembourser un jour ! Quid de toutes ces inégalités liées à la crise ? Je ne pense pas uniquement aux artistes, mais à tous les pauvres et les déshérités laissés sur le bord de la route !

Existe-t-il une solidarité active entre les artistes ?

Le système est solidaire par essence. On ne peut pas inventer le travail. Toutefois, il arrive que l’on propose un artiste sur une intervention possible, par solidarité. La solidarité est ponctuelle, individuelle, personnelle et jamais nous refusons un bol de soupe à un ami.

Que se passe-t-il en Bourgogne ?

De nombreuses communes, ont, cet été, offert des spectacles gratuits en extérieur. Attention : spectacles gratuits ne veut pas dire non rémunérés pour les artistes ! Les engagements signés et annulés sont le plus souvent reportés. Certains engagements ont pu être honorés grâce à des enregistrements. J’ai pu ainsi effectuer quelques interventions à caractère culturel, préenregistrées et diffusées à la demande. La Bourgogne, c’est surtout une dynamique culturelle prégnante. Certaines villes sont dans cette dynamique, et dans ce cadre, c’est toute la ville qui est portée par cela ! Dijon est une ville fer de lance : cet été on pouvait sortir presque tous les jours ! Semur-en-Auxois a organisé des spectacles presque toutes les semaines : une ville à la hauteur de ces choix culturels. A Bussy-le-Grand, le musée Gorsline a organisé des animations en extérieur afin de garder le contact avec le public. On pourrait citer de nombreux spectacles « vivants » qui ont su maintenir ce lien indispensable entre le public et les artistes.

Aujourd’hui, que souhaitez-vous ?

Je construits des projets artistiques sans savoir s’ils aboutiront. Ce n’est pas grave, quand il y a de la vie, il y a aussi de la prise de risque ! Plus globalement, je souhaite à tous et à chacun de garder de l’énergie de plus en plus, encore et toujours, de préserver les échanges humains : le partage nourrit chacun. La culture permet de réfléchir autrement et c’est une forme de découverte de soi… « Ecrire, c’est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l’ouvrir » disait Christian BOBIN.

 

 

Propos recueillis par Jean-Paul ALLOU  

 


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Connexion vélo, smartphone, scooter, borne de charge de véhicules…le rendez-vous décliné par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) ce jeudi 01er octobre, troisième du nom, permettra de faire toute la lumière sur ce fameux mobilier urbain multifonction qui devrait révolutionner les moyens de locomotion de demain…

VENOY: Vingt-sept exposants ont répondu par l’affirmative à cette nouvelle édition du Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation, devant se dérouler ce jeudi 01er octobre sur le parvis de la salle des fêtes des JOINCHERES.

Pour son troisième évènementiel consécutif, le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) proposera un sérieux coup de projecteur sur l’un de ses thèmes de prédilection : le mobilier urbain multifonction.

Dans l’air du temps, les bornes de charge électrique et leurs dérivatifs numériques se connectant aux cycles, scooters et autres smartphones feront l’objet de multiples démonstrations et présentations par les fabricants de ces concepts technologiques novateurs.

 

 

 

Il y a peu, le SDEY a participé au colloque de la mobilité énergétique aux côtés du MEDEF et de l’UIMM. L’organisme invite dès demain les élus et ses partenaires à découvrir lors de cette manifestation l’ensemble de ces nouveautés.

Il y sera aussi question de luminaires solaires autonomes, de gestion de l’éclairage public, de vidéo protection, etc. A ce jour, plus de deux cents visiteurs ont déjà confirmé leur présence.

 

 

En savoir plus :

Salon de l'Eclairage Public et de l'Innovation

Jeudi 01er octobre 

De 14h à 19h salle des fêtes des JOINCHERES à VENOY

 


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Il était attendu depuis fort longtemps par les épicuriens. Désormais, l’opus trône en tête de gondole dans toutes les librairies dignes de cette appellation. Et ce, depuis le 23 septembre, date de sa publication officielle. C’est dans un lieu chargé d’histoire, l’Abbaye de Cîteaux, qu’a été dévoilée il y a quelques jours la première mouture de ce condensé de bonnes adresses et de plans sympas. Un ouvrage, certes, à destination des amateurs de nectars et de grands crus. Mais, aussi pour celles et ceux qui privilégient l’oenotourisme parmi leurs priorités ludiques et culturelles…

SAINT-NICOLAS-LES-CITEAUX (Côte d’Or) : Après les vignobles du sud de la France et ceux, mythiques, de la Gironde, le Routard pose enfin ses valises en Bourgogne et dans le prolongement vers le Jura limitrophe pour y consacrer le troisième coup de cœur scriptural de sa nouvelle collection, faisant référence aux nobles produits de la viticulture.

Une agréable opportunité pour passer au crible et dans ses moindres détails ce qui se fait de mieux dans l’une des filières économiques prégnantes de ce territoire : le vin.

En 224 pages, et pour la modique somme de 14 euros, « Le Routard Oenotourisme en Bourgogne/Jura » offre l’excellente occasion à son lectorat de s’immerger dans l’un des terroirs les plus connus et reconnus au monde. Grâce à des adresses soigneusement sélectionnées sur le terrain, le plus souvent labellisées « Vignobles & Découvertes ».

Le projet est né d’un fructueux partenariat concocté avec le soutien de plusieurs acteurs prépondérants de ce tourisme vert qui ne cesse de croître d’année en année.

Soit Bourgogne Franche-Comté Tourisme et les agences de développement touristique issus des cinq départements concernés par ce guide pédagogique : la Côte d’Or, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, et l’Yonne.

 

 

Découvrir la diversité de ces vignobles reconnus dans le monde

 

Labellisés au patrimoine de l’UNESCO avec ses « Climats de Bourgogne », notre contrée possède des noms de prestige qui font miroiter les yeux parfois embués de plaisir des oenophiles, à l’instar de Chambertin, Romanée-Conti, Clos de Vougeot, Côte de Nuits, etc.

Mais, ces belles références ne doivent pas faire oublier la diversité de ces vignobles qui s’étirent du nord au sud et d’est en ouest. Depuis l’an 1098, et l’édification de l’Abbaye de Cîteaux d’où est partie cette soif inextinguible autour du vin grâce au labeur passionné des moines, la Bourgogne de la viticulture brille de mille feux aux quatre coins du globe.

On aura donc apprécié le symbole fort de ce lancement, dans les murs séculaires de la salle de l’Oratoire, en présence de l’économe des lieux, Frère Benoît et de l’édile de la commune. Mais, aussi de Loïc NIEPCERON, président de BFC Tourisme et des responsables des agences touristiques départementales.

A travers ses dix vignobles labellisés « Vignobles & Découvertes », l’ouvrage nous invite à la compréhension millimétrée et complexe de cette mosaïque de terroirs aux arômes et saveurs incomparables. Mettant en valeur le travail des vignerons, la visite de leurs caves, mais aussi de balades dans leurs vignes et de visites patrimoniales et culturelles alentour…

La présentation des cépages et les clés offertes pour mieux s’imprégner des appellations font de ce guide millésimé 2020 un grand cru à mettre entre toutes les mains.

Au nom de cet art de vivre à la française où on l’aime se retrouver autour d’un verre pour en déguster le contenu, humer son parfum, en apprécier ses couleurs, avant de l’avaler doucement avec précaution et le comparer en guise de partage avec un autre de ces nectars dont les vignerons ont le secret…

 

 

En savoir plus :

Le Guide du Routard Oenotourisme en Bourgogne et Jura

Editions Hachette

224 pages,

14 euros

Paru depuis le 23 septembre 2020

 


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Les 112 EPCI de Bourgogne Franche-Comté sont concernés par la signature de cette convention qui se veut une initiative unique en France sous cette configuration méthodique. Celle du Grand-Sénonais a choisi d’apposer son paraphe sur ce pacte destiné à soutenir et à accompagner les acteurs économiques issus des très petites entreprises. Soit 60 % du tissu professionnel de notre territoire…

SENS : A l’amorce de cet automne, les structures institutionnelles se préparaient à vivre avec impatience le rebond économique, tant attendu. La logique, en somme, après de longues périodes de doutes, inhérentes à deux mois de confinement total. Toutefois, c’était mal connaître les soubresauts pernicieux de cette épidémie pour le moins insolite et imprévisible qui ne cesse de jouer au yo-yo avec les humains.

L’Hexagone vit de nouveau avec les affres de l’urgence. Son gouvernement tente de parer au plus pressé pour soutenir et accompagner les professionnels issus des très petites entreprises (TPE).

Exaspérés par le contexte, ces derniers éprouvent le plus grand mal à retrouver un second souffle, salvateur et vital. Tant au niveau de leur trésorerie que pour leur carnet de commandes qui s’amenuise comme peau de chagrin dans certaines filières.  

 

Des aides financières pertinentes et efficaces…

 

Aussi, fort de ce postulat, la Région Bourgogne Franche-Comté multiplie depuis plusieurs semaines la signature de conventions de partenariat avec les EPCI.

A l’instar de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais, soixante-douzième entité communautaire sur les cent-douze répertoriées dans notre contrée, à apposer sa précieuse griffe au bas des documents officiels.

De quoi se compose exactement ce pacte unique entre la Région et ces intercommunalités qui possèdent tout comme la référence exécutive régionale les compétences économiques ? D’aides financières qui se veulent pertinentes, accessibles, simples et efficaces !

 

Banque Populaire

 

Aussi, accueillie par la présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais et édile de Sens, Marie-Louise FORT, dans la salle du conseil de l’hôtel de ville, la présidente de la Région, au lendemain d’une conférence des régions vécue à Matignon avec le Premier ministre, eut tout le loisir d’expliciter face à un parterre représentatif de décideurs économiques dans les moindres détails les mesures de ce dispositif novateur.

Des aides en direction des artisans et commerçants, de celles et ceux qui forment l’ossature prégnante de cette économie dite de proximité qui souffre aujourd’hui en silence. Loin des projecteurs des médias. Pourtant, insistera lourdement l’élue régionale, « ces TPE représentent 60 % des entreprises de notre territoire ».

Une richesse professionnelle que l’on ne peut exclure des plans de relance qui s’esquissent à répétition depuis plusieurs semaines…

 

 

Deux outils sur lesquels les TPE peuvent s’appuyer…

 

Marie-Guite DUFAY n’est donc pas venue les mains vides à la rencontre des EPCI signataires de ce pacte conçu sous le sceau de la confiance. Qualifié d’unique en France sous cette configuration par l’élu régional en charge de l’économie, Jean-Claude LAGRANGE, ce dispositif décline deux possibilités d’intervention dont peuvent bénéficier les entrepreneurs dans le besoin : un fonds d’avance remboursable sur sept ans destiné au renforcement de la trésorerie et surtout les aides consenties d’ordinaire par la Région (Fonds régional des Territoires) qui peuvent être gérées directement par les EPCI elles-mêmes dans le cadre de la loi grâce à une délégation spécifique.

Une approche innovante pour se montrer plus réactif et plus agile que d’habitude puisque les EPCI, en contact direct avec le terrain, sont à même de mieux identifier et cerner les attentes des entreprises exerçant sur leur zone géographique.

Ce qui aurait été impensable il y a un an encore du fait du millefeuille administratif de la sphère institutionnelle a donc volé en éclat pour faire éclore un partenariat unique qui s’appuie sur son opérationnalité.  

« La crise nous a précipités dans les bras l’un et de l’autre, commente avec un zeste d’humour la présidente de la Région, et c’est tant mieux ! Il nous faut jouer collectif et groupé entre le pouvoir régional et les 112 EPCI qui à terme seront tous signataires de ce pacte constructif… ».

 

Prôner la carte de l’investissement, nerf de la guerre pour les entreprises…

 

Cela suffira-t-il pour autant pour que la machine économique retrouve le chemin de la prospérité ?

Marie-Guite DUFAY a sa petite idée sur la question : « Il faut inventer de nouvelles façons de s’adresser aux consommateurs et ne pas hésiter à abattre la carte de l’investissement en moyens numériques, en équipements, en méthodes de communication, pour y parvenir… ».

La force de frappe de ces conventions réside aussi, au-delà des moyens financiers mis en œuvre par la Région (six euros par habitant dont quatre abondent les aides directes du fonds régional et deux intègrent le fonds d’avance remboursable), dans les partenariats avec la Banque des Territoires ou les chambres consulaires.

Chambres de Métiers et de l’Artisanat, de Commerce et d’Industrie et d’Agriculture sont partie prenantes dans cet applicatif qui devrait très vite porter ses fruits, selon Jean-Claude LAGRANGE.

Précisons, que dans l’Yonne, INITIACTIVE 89 assurera la coordination de ce dispositif.

Dès le 04 juillet, la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais avait opté favorablement pour ce projet via un scrutin qui validait l’abondement de deux euros par habitant pour alimenter le dispositif. Mettant ainsi en orbite le premier étage de cette fusée qui devrait faire mouche en atteignant sa cible : les responsables des très petites entreprises…

 

 

 


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Référence mondiale dans l’art du dressage animalier, le dirigeant de la société « FAUNA et Films » était de passage à la Pyramide du Loup pour y animer une conférence. Avec plus de trois mille films et spots publicitaires à son actif, le personnage a tourné avec les plus grands, aux côtés de Jean-Paul RAPPENEAU « Le Hussard sur le Toit » ou de Ridley SCOTT, pour « Gladiator » où il a dû discipliner plus de 8 000 corneilles, pies et autres étourneaux dans une scène dantesque de ce blockbuster…   

 

INTERVIEW : Quelle est votre spécialisation ? 

Mon entreprise « FAUNA et Films » est spécialisée dans le dressage d’animaux pour des films, séries de télévision ou clips vidéo. Elle est également active dans la protection des espèces rares en favorisant la reproduction afin de relâcher dans les espaces naturels ces animaux. Comme des singes en Afrique ou des oiseaux dans le ciel des Balkans, par exemple. Nous sommes établis vers Fontainebleau.

Combien d’animaux composent votre ferme en plus des sept loups présents à ces journées spéciales de Toucy ?

C’est plus de 350 animaux de toutes espèces que nous accueillons : des oiseaux, panthères, cerfs, écureuils, singes mais aussi des chiens, chats, poules…. Avec les soigneurs dont Yzold, on les élève tout petit pour la plupart afin de les familiariser avec l’homme.

Quels sont vos projets en cours ?

On vient de finir une série pour NETFLIX : elle sortira prochainement. Cette semaine, je pars sur un tournage avec Jean-Pierre GENEY. Je suis également sur le projet de Quentin DUBIEUX. Ces projets étaient prévus avec le confinement et les tournages ont été décalés.

Avez-vous été touché par la crise sanitaire ?

Plutôt oui ! Je termine actuellement tous les projets signés avant la crise sanitaire. Mais, il n’y a rien de nouveau qui se profile à l’horizon ; et ça, c’est une première depuis que je suis dans ce métier. Les cinémas fermés mais surtout les conditions sanitaires imposées freinent la reprise des tournages ou de nouveau projet. Il ne faudrait pas que cela dure trop longtemps sinon cela va vite devenir compliqué, pour pouvoir continuer de s’occuper des animaux entre autres.

Propos recueillis par Maryline GANDON

 

En savoir plus :

En savoir plus sur Fauna et films https://www.fauna-films.com/ 

 


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