Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Multipliant depuis plusieurs années récompenses et intérêt des médias, l’entreprise familiale auxerroise est en quête de partenaires pour se développer afin de viser un marché plus large. Inventeurs d’un moteur transformant directement l’énergie solaire en énergie mécanique, Gilles COTY et son épouse, Isabelle GALLET-COTY, codirigent la start-up depuis cinq ans, s’appliquant à en maintenir ses valeurs, mêlant l’éthique à l’innovation.

 

AUXERRE : Il y avait comme un parfum d’Afrique ce lundi après-midi, du côté de la rue des Mignottes à Auxerre, où est installé le show-room de SAUREA. Sous un soleil de plomb, une pompe à eau semblait respirer, au rythme du moteur assisté par des panneaux solaires, tandis qu’un peu plus loin, un brumisateur offrait ses gouttelettes salvatrices au visiteur…

Le continent africain fait d’ailleurs partie du cœur de cible de l’entreprise, notamment au travers d’ONG comme « Electricité Sans Frontières » au Burkina Faso. La motorisation d’un système de pompage manuel déjà en place ne nécessite pas de maintenance, rendant d’autant plus facile son utilisation. Pas d’électronique embarquée ni besoin de batteries, diminuant d’autant les risques de panne et augmentant ainsi la durée de vie de l’installation.

Un simple moteur de 130 watts mécaniques remplace le travail quotidien dévolu comme trop souvent en pays émergent, à des femmes ou des enfants. Un système de pompage comme celui présenté, permet dans les villages les plus reculés, d’aller chercher de l’eau à 8 mètres de profondeur, voire jusqu’à 20 mètres, via un système de rallonges avec un débit de l’ordre de 14 litres par minute.

Une réponse appropriée aux besoins des cultures vivrières et des habitants qui ont, bien avant nous, pris conscience du caractère sacré du précieux liquide et de la nécessité absolue à ne pas le gaspiller. A l’image de ce lycée burkinabé, explique Gilles COTY, où grâce au système de motorisation installé, le volume d’eau pompé chaque jour suffit aux besoins des 60 élèves pour les douches et la cuisine, leur assurant un peu de maraîchage et même la possibilité de revendre l’excédent d’eau disponible !

 

 

La montée en puissance grâce à la levée de fonds…

 

Aujourd’hui, l’entreprise auxerroise part à la conquête de nouveaux marchés en lançant une levée de fonds auprès d’investisseurs privés. Le champ des possibles est ouvert. Les domaines d’application sont nombreux, sur tous les continents : de l’agriculture (brumisation et aération des stabules, séchage des foins, approvisionnement en eau), à l’aquaculture pour l’oxygénation des bassins d’élevage, en passant par les collectivités (aération des bâtiments, brumisation urbaine, irrigation des espaces verts…).

Avec pour seul plafond, la puissance des moteurs, aujourd’hui limitée à 250 Watts mécaniques. Le premier moteur solaire autonome existant au monde, peut aussi intéresser le mix énergétique national, à l’image du système installé pour l’irrigation d’un jardin communautaire à Auxerre, ou l’aménagement d’une maison autonome. L’un des objectifs visés par la levée de fonds est de monter en puissance pour augmenter le nombre de moteurs fabriqués, de manière à en abaisser le coût final, notamment à destination des pays en voie de développement.

A ce jour, une vingtaine de kits ont déjà été installés. Le début du chemin, explique dans un sourire Isabelle GALLET-COTY : « mais pour continuer la route, il nous faut des financements, il nous faut nous développer et il nous faut des commandes ! ».

Et faire d’une histoire familiale, initiée par son beau-père Alain COTY, une saga dont on entendra longtemps, très longtemps, parler…

 

Dominique BERNERD

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le regard s’embuerait presque d’un zeste de nostalgie à la simple évocation de sa grand-mère. Maîtresse femme que celle-ci ! Si affectueuse avec le « petit », elle fut pourtant l’une des toutes premières représentantes de la gent féminine à exercer en qualité d’élue dans ce territoire rural si exacerbé : la commune de Maligny. Plane ensuite l’ombre bienveillante de la maman du président de l’exécutif départemental. Elle fut au service de Jacques CHIRAC durant trente-cinq ans. Alors, oui, c’est sûr, avec de telles racines, Patrick GENDRAUD ne pouvait échapper à la bosse de la politique qui le rattrapera quelques années plus tard…

 

AUXERRE : Ce toujours fringuant « jeune homme » aux 69 printemps qu’est le président du Département de l’Yonne remet le couvert. Tel un sou neuf, il se sent d’attaque comme au premier jour de sa carrière politique pour affronter la double échéance électorale prévue les 20 et 27 juin. Sur son canton de Chablis, ce natif de Paris est peut-être encore plus icaunais que certains de ses administrés qui y sont pourtant nés !   

Pourvu d’une capacité en droit, ne négligeant aucun concours administratifs pouvant le faire progresser parmi la hiérarchie (celle du ministère des Finances où il fait ses gammes en apprenant chacune des partitions observées dans différents services), le jeune Patrick ne rêve que d’une seule chose lors de ses pérégrinations parisiennes : revenir le plus tôt possible dans l’Yonne. La terre ancestrale où il a vécu les plus belles années de son existence, du haut de son insouciante adolescence, lui manque.

Quitte-t-on un jour ou l’autre sur la base du volontariat un poste de fonctionnaire, de surcroît au sein d’un ministère, pour endosser l’habit parfois très étriqué d’un entrepreneur ? Ce serait de la pure folie, pour la plupart de celles et ceux qui connaissent le bonheur de la sécurité dans l’emploi ! Un peu chien fou dans l’âme mais possédant de belles envies émancipatrices pour écrire sa destinée, Patrick GENDRAUD n’est pas de ce pain-là ! Il avance…

Agé de 27 ans, se fiant au hasard d’une belle rencontre et un peu à sa bonne étoile qui brille au-dessus de sa tête, il se soustrait de la vie francilienne. Sans crier gare en bifurquant radicalement de chemin de vie. Féru de grosses cylindrées, d’automobile et de mécanique, le futur président du Conseil départemental se projette avec réalisme vers son nouveau métier : le monitorat d’auto-école ! Reçu au concours avec brio, il reprend une affaire à Chablis. La suite est facile à deviner. Se prenant au jeu, l’oiseau fait son nid. Ce sera d’abord à Saint-Florentin où en 1983 il conforte son statut de chef d’entreprise en ajoutant une deuxième boutique à son escarcelle. Quelques mois plus tard, l’entité s’étoffe en essaimant sur la localité de Monéteau. Un schéma tactique familial qui sied parfaitement à son épouse, Marie-Hélène, qui encourage son mari dans ses choix stratégiques.

 

Fidèle à ses convictions sans faire la girouette au gré des partis…

 

Altruiste, ayant un sens aigu de la relation publique, l’entrepreneur GENDRAUD va progressivement s’impliquer davantage dans la vie sociétale. A Courgis, lieu de sa résidence, où il brigue le poste de maire. Il y accède en 1992. Pour ne lâcher cette fonction que quelques années plus tard, c’est-à-dire en 2001. Entre-temps, il est vrai, ce chiraquien pur jus a reçu les suffrages nécessaires pour rejoindre en qualité de conseiller général l’hôtel du Département à Auxerre où il siège. A l’évocation du RPR et de l’UMP, les yeux de Patrick GENDRAUD s’illuminent un peu. En mémoire du natif de Corrèze dont il conservera un souvenir ému à plus d’un titre. Mais aussi par conviction personnelle.

« Je suis resté fidèle à mes idées, souligne-t-il, aujourd’hui, la plupart des personnalités politiques se sentent obligées de se raccrocher à un parti qui a le vent en poupe. Cela discrédite totalement l’action politique… ».

Pratiquer le yo-yo idéologique et faire la girouette pour s’attirer la sympathie des électeurs, il n’en est pas question pour celui qui fut maire de Chablis dès 2001. Durant seize ans, il profite de l’universalisme de cette localité peu ordinaire pour renforcer le rayonnement du poumon viticole de ce département.

 

 

En 2000, il y développe en tant que précurseur l’une des premières communautés de communes. En mission représentative, il n’hésite pas en qualité de premier ambassadeur de ce nom ronflant de la viticulture à la française de mouiller la chemise aux quatre coins du globe : Vietnam, Pérou, Etats-Unis, Japon. Le nom de Chablis brille de mille feux et le doit à cet élu hors norme.

Au Département, l’élu de la droite républicaine enchaîne les mandats comme d’autres les missions. Aux côtés de Jean-Marie ROLLAND, il préside la cinquième commission. Avec l’aval de son prédécesseur au perchoir, André VILLIERS, il devient premier vice-président de l’institution. Une voie royale pour l’accession à la présidence en 2017 tandis qu’André VILLIERS met le cap vers le Palais Bourbon, tout acquis à la députation.

 

 

Un perfectionniste qui travaille avec humilité et concertation…

 

Ce n’est un secret de Polichinelle pour personne : le 01er juillet 2021, Patrick GENDRAUD, en cas de victoire aux deux phases préliminaires de l’élection, sera candidat à sa propre succession. A la présidence où cet élu de proximité n’en a pas encore fini d’être à l’écoute et au contact de ses concitoyens. En servant leurs intérêts.

Ses détracteurs lui reprocheront volontiers son caractère trop consensuel, trop souple et arrondi pour essayer, via la conciliation, de trouver des solutions idoines aux problématiques de l’instant.

Ses aficionados lui tresseront des lauriers pour l’obtention d’un bilan dont il n’a pas à rougir et sa maîtrise pédagogique de l’exécutif. Mais, tous, lui reconnaîtront cette envie de bien faire, en perfectionniste qu’il est, et ce désir de travailler selon le sacro-saint principe de la consultation participative. Chacun peut s’exprimer, il écoute, avant d’entendre…ce qui est rare.

Se disant stressé (cela ne se voit guère de prime abord), aux portes de la timidité, Patrick GENDRAUD conserve en lui ce sens de la curiosité qu’il applique à ce territoire, fruit de sa passion.

Que ce soit à Bandol où il excelle à la pétanque lors de furtives escapades estivales pour s’y ressourcer ou au sein de ce cocon familial pérenne dans lequel il aime se réfugier, le président de l’exécutif départemental n’est ni plus ni moins qu’un « homme ordinaire ». A l’image de celles et de ceux qui vivent dans sa ville, son canton, son territoire de cœur, son département…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il n’est pas avare en superlatifs, le secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE ! Surtout lorsqu’il apporte sa caution morale à la candidature du ticket concourant sur le canton de Vincelles, le binôme composé de Najiba HADJALLI et d’Yves VECTEN. « C’est une équipe de choc ! », écrit même le membre du gouvernement sur le dépliant faisant office de profession de foi du duo, supplée par Armelle TAMBOUR et Dominique MORISSET. Un soutien de poids pour cette liste auquel il faut ajouter celui de l’inusable Jean-Pierre SOISSON…

 

AUXERRE : Sa silhouette est reconnaissable parmi toutes lorsqu’il évolue au beau milieu des quarante-deux élus officiant au sein de l’hémicycle départemental. Débonnaire, généreux, à l’écoute de la moindre information remontant de son terroir de prédilection, Yves VECTEN est candidat à sa propre succession lors de ces échéances départementales.

Ce qui n’est pas une surprise en soi tant ce personnage public (il est également édile d’ESCAMPS) exerce un rapport relationnel empreint d’empathie avec ses concitoyens.

D’ailleurs, au détour d’une conversation, il le précise lui-même : « Je me présente parce que j’aime les gens et mon territoire… ».

Un secteur géographique bercé de ruralité et de modernisme, où il souhaite conférer dynamisme, vitalité, expérience au nom du bien-être individuel et collectif de ses habitants.

A 65 ans, Yves VECTEN repart à la conquête de cette nouvelle mandature de six ans, sans afficher une quelconque étiquette politique préconçue. Même s’il est classifié sous le vocable peu explicite de « divers gauche » et qu’il fut jadis un opposant à la majorité départementale, ce personnage charismatique qui défend bec et ongles son indépendance d’esprit peut aussi se montrer un « fin diplomate » avec ceux qui détiennent le pouvoir de l’hémicycle.

C’est d’ailleurs ce qu’il a fait lors de ce dernier mandat en votant quelque fois le budget proposé par Patrick GENDRAUD et ses équipes.

Mais, fidèle à ses racines de terrien bien ancré dans le paysage, en fier exploitant agricole qu’il est, Yves VECTEN exècre qu’on lui impose des idées stéréotypées et toutes faites. Il est un gardien de l’indépendance à la stature imposante qui veille à rester libre en toute circonstance.

 

 

Une spécialiste de la protection sociale en pôle-position…

 

A ses côtés, le premier élu d’ESCAMPS est accompagné d’une jeune femme, Najiba HADJALLI. Agée de 38 ans, cette gestionnaire au sein d’un organisme de la protection sociale a posé ses jalons dans la sphère publique en étant élue au sein du conseil municipal de sa localité, Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe.

Elle y joue le rôle d’adjointe inféodée aux problématiques sociales vécues par ses administrés. D’ailleurs, son implication est tangible avec sa présence depuis le début au concept de mutuelle groupée applicable sur une partie de notre territoire.

Quant aux suppléants, ils sont issus de ce sérail municipal et communautaire de proximité. Opticienne et adjointe à Vincelles, Armelle TAMBOUR est à 48 ans une figure reconnue localement.

Son coreligionnaire, Dominique MORISSET, agriculteur de profession, occupe à 60 ans un poste éminemment stratégique de vice-président au sein de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.

Parmi les grandes orientations qui constituent leur programme, les quatre candidats veulent mettre en exergue les atouts dont est attribué ce canton, à savoir le tourisme vert, la culture, la qualité de vie. Sans omettre les dossiers d’actualité autour de la préservation de l’éducation et du collège de Saint-Sauveur-en-Puisaye, l’attractivité agricole, le maintien des services de secours, l’aménagement du territoire ou encore le volet sociétal qui englobe la santé, l’insertion et la solidarité.

Ce n’est pas pour rien que deux poids lourds de la vie politique départementale, Jean-Baptiste LEMOYNE et Jean-Pierre SOISSON ont donné quitus, en soutenant ouvertement, cette liste qui promet la vitalité de ce canton.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le secteur de l’agriculture, malmené durant la longue période de crise sanitaire, ne sera pas omis du plan de relance soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. Une enveloppe de soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, devrait être attribuée très prochainement pour soutenir les professionnels de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour l’un des secteurs économiques en proie à de sérieuses difficultés. L’univers de l’agriculture devrait bénéficier d’ici peu d’une conséquente enveloppe budgétaire, évaluée à soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, le Fonds européen agricole pour le développement rural.

La nouvelle a été confirmée par l’envoi aux rédactions d’un communiqué de presse, à l’estampille du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 15 juin.

Suite à l’accord du Parlement et du Conseil européen, obtenu en novembre dernier, les professionnels de la filière agricole, à la peine au plan économique entre les effets de la crise sanitaire et la situation climatique délicate, devraient profiter de ces subsides européens d’ici peu. La date de l’attribution de cette aide n’a toutefois pas été précisée dans le document destiné aux relations avec la presse.

L’objectif de cette manne financière sera de soutenir la compétitivité de la filière agricole régionale mais aussi l’adaptation des exploitations, l’encouragement à la diversification ainsi que l’aide aux industries agro-alimentaires.

Le secteur forestier est également concerné par cette attribution. Quant aux programmes de développement rural FEADER Bourgogne et Franche-Comté 2014/2020, ils sont à l’heure actuelle en phase de modification à la Commission européenne…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A l’invitation de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne, les candidats aux régionales ont été conviés à une rencontre explicative, se rapportant à l’un des volets essentiels de leurs programmes : l’économie. Quoi de plus naturel en somme que d’exposer les axes prioritaires de cet item face aux chefs d’entreprise, premiers concernés par lesdites mesures ! Sauf que sur les sept listes invitées à cet exercice oratoire, quatre s’étaient faites porter pâles ! Inquiétant quand toutes évoquent  l’attractivité du territoire !

 

AUXERRE : Un succès, cette rencontre informelle entre les représentants du conseil d’administration de la CPME de l’Yonne et les acteurs du monde politique, prétendants conquérir les sièges de l’hémicycle régional ?

Oui à plusieurs titres ! D’une part, pour l’originalité de la démarche, déclinée au plan de l’Hexagone, par toutes les délégations départementales de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises qui souhaitaient faire plus ample connaissance avec la liste pléthorique de candidats à ces échéances en découvrant le fondement de leurs programmes économiques.

D’autre part, pour évaluer avec exactitude et à sa juste valeur ce que représente réellement le poids de l’économie et de ses perspectives au-delà d’une simple profession de foi adressée dans chaque foyer sous pli postal.

Au vu de l’avalanche de déclinaisons négatives à cette requête, au demeurant parfaitement bien fondée pour tout électeur qui se respecte, on pourrait y ajouter un troisième aspect. Fondamental !

Découvrir la réelle appétence accordée par certains candidats à cette dimension économique et entrepreneuriale qui reste, et de très loin, le socle même de notre société et de son fonctionnement à bien des égards.

Que serait en effet la culture, l’aménagement du territoire, la vie sociétale et sociale, le développement du numérique et des technologies, la notion de l’enseignement, de l’orientation et de la formation, le tourisme et les arts de vivre, sans cette valeur intrinsèque de l’économie et de son corollaire primordial, l’emploi !

 

 

Trois réponses positives sur les sept listes en présence : pas sérieux s’abstenir !

 

Visiblement, et nonobstant ce qui est imprimé sur une rudimentaire feuille de papier A4, certaines de ces candidatures visant à accéder au pouvoir exécutif régional au soir du 27 juin (l’organe institutionnel possède seul la compétence économique territoriale avec les EPCI sur les départements) ont dû oublier de leur pensum de campagne qu’ils devaient aller obligatoirement à la rencontre de ces entrepreneuses et entrepreneurs qui justifient à eux seuls leurs engagements !

Comment peut-on expliquer alors que sur les sept listes concourant à cette échéance électorale capitale pour les six prochaines années de la mandature régionale, quatre se soient abstenues de répondre aux représentants de la CPME de l’Yonne ? Est-ce ainsi qu’ils traitent les acteurs de l’économie, ceux qui portent à bout de bras tous les rouages financiers de la société ? Et nourrissent et font vivre leurs futurs administrés ?

Même si l’exercice ne comportait pas d’apparences officielles, il s’agissait d’un échange basique entre les membres du conseil d’administration de la CPME affûtés de questions et les porte-voix desdits programmes politiques.

 

 

 

A ce petit jeu-là, on ne peut que saluer au nom de leur honnêteté intellectuelle et de leurs devoirs politiques les représentants des listes soucieuses de tâter le pouls d’une caste en proie à de sérieuses difficultés du fait de la crise sanitaire. C’est-à-dire les ambassadeurs icaunais de Marie-Guite DUFAY, de Denis THURIOT et de Gilles PLATRET !

Quid des autres engagés s’étant abstenus de toute présence ? Ils n’ont pas daigné répondre à l’invitation lancée par la CPME, tout simplement ! Un manque de civisme et de politesse…

Une pilule, sans doute amère à avaler pour les électeurs de la filière professionnelle qui auront pu disserter à loisir avec celles et ceux de leurs intervenants ayant exposé leur vision économique à six ans. Avec en mémoire, le vieil adage qui précise que les absents ont toujours tort !

 

 

En savoir plus :

Les débatteurs de cette rencontre avec la CPME

Nicolas SORET pour la liste de Marie-Guite DUFAY,

Muriel VERGES-CAULLET et Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pour la liste de Denis THURIOT,

Jean-Marie SERMIER, Nadia CHOUBARD et Dorothée MOREAU pour la liste de Gilles PLATRET.

 

NB : Après la publication de l'article, les représentants d'Europe Ecologie Les Verts se sont manifestés à notre rédaction, faisant savoir qu'ils n'avaient pas été invités par la CPME pour prendre part à cette réunion consacrée à l'économie. Une thématique qui les passionne puisque leur tête de liste aux régionales, Stéphanie MODDE, avait pris part le 26 mai dernier à un débat organisé à Dijon par le MEDEF de Côte d'Or. Rendons à César ce qui leur appartient ! 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil