Accompagner les exploitants agricoles et les salariés en situation de fragilité constitue l’un des axiomes essentiels que la Mutualité Sociale Agricole régionale développe dans le cadre d’un plan d’action sanitaire et sociale jusqu’en 2020. L’objectif visé étant simple : repérer et traiter les situations les plus délicates parmi une population qui souffre au plan économique. S’appuyant sur un moyen-métrage « Oser ! La MSA à vos côtés », dont il a assuré la production avec l’appui technique de la CARSAT, l’organisme poursuit à l’heure actuelle un cycle de rencontres départementales avec ses nombreux partenaires afin d’expliquer le bien-fondé de cette démarche sociale et solidaire. La Saône et Loire accueille cette animation ce jour ; le tour de l’Yonne viendra ensuite à la date du 21 novembre…
DIJON (21) : Avoir le sentiment que l’on n’y arrivera pas tout seul. Se sentir dépassé par les évènements, notamment ceux ayant attrait à la gestion. Accumulé les retards des dossiers administratifs ou encore ne plus savoir faire face aux difficultés de trésorerie qui conduisent indubitablement à demander de délais de paiement ou à ouvrir un crédit…Ce sont autant de signes d’alerte qu’il sera nécessaire désormais de prendre compte afin d’analyser la situation professionnelle d’un exploitant agricole.
Les crises répétitives ont bouleversé l’environnement de cette filière en souffrance depuis 2008. Alertes sanitaires et climatiques (en cela l’épisode vécu en 2016 aura eu des répercussions catastrophiques pour beaucoup dans notre région), effondrement du marché : de manière récurrente et menaçant l’équilibre, voire la viabilité des entreprises, les aléas agricoles se succèdent laissant de plus en plus de professionnels sur la touche et en plein désarroi.
Or, pour la Mutualité Sociale agricole, dont la mission est de protéger l’ensemble de cette corporation, il est nécessaire de prioriser les interventions d’accompagnement en faveur des agriculteurs et de leurs salariés qui vivraient des situations d’extrême fragilité.
Un film à base de vrais témoignages comme fil d’Ariane…
Travaillant en partenariat avec de nombreux acteurs institutionnels, la MSA Bourgogne a réalisé un film afin de faire connaître les dispositifs d’aide qu’elle propose. « Oser ! La MSA à vos côtés » compile le témoignage de cinq exploitants ou salariés agricoles, confrontés aux dures réalités existentielles. D’une durée de trente minutes, cet opus est diffusé en guise de préambule lors des quatre débats introductifs à ces difficultés auxquelles font face avec plus ou moins de réussite les agriculteurs les plus fragiles.
Face à cette crise profonde, le Conseil d’administration de la caisse régionale a voté un plan d’actions qui s’articule autour de trois axes : accompagner les exploitants agricoles en difficultés socio-économiques ; favoriser le maintien dans l’emploi des salariés confrontés à des problématiques de santé et prévenir les risques psycho-sociaux des actifs agricoles.
Pour ce faire, et déployer ses actions au plus près du terrain, la MSA s’appuie sur la présence de 24 travailleurs sociaux sectorisés, répartis équitablement sur l’ensemble du territoire bourguignon. Leurs missions se composent de détection en amont des exploitants en difficulté, de propositions concrètes en vue d’assurer un accompagnement social adapté et de contribuer à la prévention du mal-être en milieu rural.
De nombreux partenaires aux côtés de la MSA…
Pour traiter les risques psycho-sociaux, la MSA Bourgogne s’est même dotée d’une cellule de prévention. Pluridisciplinaire, elle est constituée d’un médecin du travail, d’un conseiller en prévention des risques professionnels, d’un travailleur social et d’un psychologue. Ce dernier formalisera le plan d’accompagnement après une analyse partagée de la situation entre professionnels. Mais, la MA peut aussi bénéficier du total soutien de ses 1 400 délégués élus. Ils sont missionnés pour détecter les situations complexes dans un exercice de veille régulière et peuvent en conséquence saisir à tout moment le service de l’action sanitaire et sociale de la MSA.
Dans un souci d’optimisation des repérages des personnes vulnérables, la MSA Bourgogne s’entoure de son réseau de partenaires. Celui-ci rassemble les chambres d’agriculture, les syndicats professionnels, les Conseils départementaux mais aussi les Directions départementales des territoires (DDT), voire les experts-comptables, les banques et les coopératives.
Des mesures financières pour accompagner ces démarches…
Quant aux aides opérationnelles, elles constituent le socle d’intervention de l’organisme et de ses équipes de travailleurs sociaux. Lutte contre l’épuisement professionnel avec un dispositif de répit où l’agriculteur peut se faire remplacer pendant quelques jours afin de s’oxygéner ; création vertueuse du « Pass’Agri » (un référent pédagogique pour passer le cap des crises agricoles) ; développement du concept « Agri’Ecoute », créé depuis octobre 2014 et accessible à tout moment ou encore élaboration d’un réseau de bénévoles qui peuvent encadrer l’exploitant intègrent ces outils fondamentaux dont la MSA Bourgogne assure la promotion au quotidien.
A travers l’intensification d’actions collectives telles que la présence de groupes de parole initiés à l’échelon local, il existe d’autres moyens fonctionnels pour endiguer le mal-être latent vécu par de nombreux professionnels. D’ailleurs, l’accès des agriculteurs aux prestations sociales sera facilité dans le cadre du projet de Loi de Finances pour 2017. Un geste financier fort de la part de l’Etat qui se traduira aussi par un assouplissement des règles d’attribution concernant la prime d’activité ou le revenu de solidarité active (RSA). Ces mesures sont entrées en vigueur depuis quelques mois…
Parce qu’il est indispensable de développer l’interactivité avec son environnement extérieur, la société de l’Yonne, pilotée par l’ingénieux entrepreneur auxerrois Antoine GODARD, spécialiste dans l’étude, la conception, la réalisation et l’installation d’espaces aquatiques, propose une nouvelle variante de tables sensorielles au design plus épuré et d’une grande simplicité d’utilisation, lancée depuis peu sur le marché. Fonctionnalité de l’ensemble : attiser l’éveil des personnes autistes ou celles atteintes d’un handicap…
AUXERRE : Société entrepreneuriale de l’Yonne, membre d’un réseau déjà implanté à l’origine au Canada, ESPACE d’EAU développe une nouvelle gamme de produits à destination des établissements publics et privés accueillant des personnes âgées, ou en situation de handicap moteur et cérébral.
Concept unique en France, issu de l’un de ses axes d’activité importants, la table sensorielle aquatique se destine plus spécifiquement aux personnes à mobilité réduite, voire aux autistes, ayant besoin de se mouvoir et de se repérer dans un environnement spécifique. Grâce au travail approfondi réalisé autour de certains sens comme le toucher, l’ouïe ou la vue.
Une version de la nouvelle table installée en Bretagne…
La troisième génération de ces tables qui interpellent de plus en plus les professionnels de santé et des milieux sanitaires offre une grande simplicité d’usage pour ses destinataires. Le but étant de posséder davantage d’interactivité à son contact et d’optimiser de fait le sens de l’éveil des patients.
Plusieurs spécialistes et équipementiers en mobilier sanitaire, à l’instar du groupe MANUTAN Collectivités (anciennement CAMIF Collectivités), se disent intéressés par la démarche créative de l’entrepreneur nord-bourguignon. Le dernier spécimen de la famille a été réalisé en partenariat avec NOKINOMO, un cabinet d'architecte spécialisé dans des projets très spécifiques. Il vient par ailleurs d’être installé dans un centre adapté à l’accueil d’autistes dans le Morbihan à Lorient.
D’autres établissements devraient suivre le même chemin tant les retours d’expérience accréditent déjà le côté avantageux pour ses utilisateurs.
Créée en avril 2010, la SARL d’Auxerre possède bien d’autres atouts dans son jeu, en modelant et en assemblant de la manière la plus réussie le verre silicate, le verre acrylique, l’inox, l’eau et la lumière.
Des chantiers à l’audace absolue pour ce touche-à-tout de génie…
Proposant un travail exclusivement sur mesure à un panel de partenaires à 98 % professionnels, ESPACE d’EAU compte parmi ses références grands comptes des géants de la grande distribution tels que le groupe CARREFOUR mais aussi des établissements bancaires (HSBC), des cabinets d’avocats à Paris et même la famille princière d’Arabie Saoudite !
Seul aux commandes de son outil de production, et ne comptabilisant plus le nombre d’heures effectuées de façon hebdomadaire (plus d’une centaine !), Antoine GODARD conçoit, fabrique et installe des murs d’eau ou des murs de bulles ayant comme finalité d’embellir un site à vocation professionnelle. Un important cabinet d’avocats de la capitale a investi une coquette somme d'argent à la conception d’un mur végétal, assorti à la présence d’un petit ruisseau, encastré dans sa salle de signature. Plus près de nous, au printemps, ESPACE d’EAU a équipé un bâtiment administratif pour HSBC d’un énorme mur d’eau placé au-dessus d’un parking sous-terrain, avenue Kléber à Paris. Coût du projet : 80 000 euros !
Les exemples de la sorte se multiplient avec une appétence particulière du jeune homme pour les chantiers les plus audacieux, et de plus en plus éloignés de sa base arrière : Andorre (conception en 2018 d’un agencement d’un casino), Espagne, Maroc, Belgique (avec en projet l’installation d’un système aquatique dans un nouvel hôtel 4 étoiles), Suisse où les dossiers abondent…notamment celui où il interviendra dans une clinique privée.
Une expérience à peine croyable en Arabie Saoudite !
Mais, la destination la plus originale avec laquelle Antoine GODARD a dû composée lors de fréquents séjours à l’étranger, c’est l’Arabie Saoudite. Choisi par une filière internationale du groupe de BTP OGER,l’entrepreneur d’Auxerre a réalisé sur place un aménagement de très grande importance pour l’un des membres de la famille royale.
Occupant une position privilégiée sur ce marché de niche où ne se concurrencent que cinq sociétés en France, le dirigeant de la SARL de l’Yonne profite de l’éclectisme de ses contrats pour laisser libre cours à une imagination fertile, côté créativité.
Parmi les milieux professionnels où son entreprise est le plus souvent sollicitée : le secteur médical, le tissu de l’agro-alimentaire, l’automobile, l’hôtellerie et la restauration, mais aussi les spas, les salons de coiffure (le groupe YSEAL dont le siège est implanté dans l’Yonne), des cabinets d’esthétisme, l’artisanat. Des agences de communication s’octroient aussi ses services inestimables afin d’habiller de grands salons internationaux : le SIRAH, le Mondial de l'Automobile, le Salon aéronautique du Bourget, le Mondial de la piscine et le fameux " Maison et Objet "…
AUXERRE : Originaire des Bouches du Rhône dont il possède encore une pointe d’accent chantant, ce jeune homme de 25 ans vient de rejoindre la Chambre d’agriculture de l’Yonne à Auxerre en qualité de conseiller et animateur du nouveau groupe dédié à l’agriculture de conservation et des semis directs. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur en spécialisation de production végétale et agrobiologie, obtenu brillamment à l’ESA d’Angers, Louis GABAUD s’est déjà distingué en assurant l’animation d’une réunion importante à LIGNY LE CHATEL sur le développement des couverts végétaux et la fertilisation des sols. Un prélude à une dizaine d’autres rencontres qui l’attendent cette saison sur son nouveau territoire de prédilection…
Le siège de l’entreprise artisanale à la renommée internationale sera le théâtre d’une cérémonie protocolaire très particulière, et sans doute emplie d’émotion, le 24 novembre prochain. Issu d’une famille de bouchers et d’éleveurs sur plusieurs générations, l’artisan de Sens, Jean DENAUX, recevra les insignes de Chevalier de l’Ordre national du Mérite des mains de la vice-présidente départementale de la célèbre institution, Odile LEPAPE, devant un aréopage de personnalités des milieux institutionnels et économiques de Bourgogne Franche-Comté. Un juste retour sur investissement pour ce professionnel d’un autre sérail, humble et respectueux des valeurs humaines, qui fournit aujourd’hui les plus belles tables gastronomiques de la planète grâce à ses viandes de sélection si extraordinaires au palais et affinées avec tant de succulence gustative…
SENS : Auréolé d’un « Coq d’Or », référence de belle facture dans le milieu des métiers de bouche en 2016, le chef d’entreprise de Sens bénéficiera de nouveaux honneurs ce vendredi 24 novembre en recevant une nouvelle distinction, amplement méritée pour sa quête perpétuelle de l’excellence professionnelle dans son métier de prédilection : la boucherie et l’affinage de viandes de grande qualité.
Entouré de sa famille, de ses proches et de ses nombreux amis, Jean DENAUX dont la réputation professionnelle est reconnue dans le monde entier auprès des chefs et grandes toques qui régalent les épicuriens de la planète de viandes labellisées à la française, intègrera un nouveau pallier de sa méritoire carrière : en devenant de facto Chevalier de l’Ordre national du Mérite. Une récompense honorifique qui traduit les vertus de l’excellence professionnelle en France.
Plébiscité par un ouvrage de référence sur les meilleurs bouchers de France…
Il était légitime que l’entrepreneur de l’Yonne choisisse le cœur habituel des opérations de sa réussite, c’est-à-dire les locaux de son entreprise artisanale zone des Vauguillettes à Sens, pour recevoir ce titre d’exception.
Connaissant toutes les subtilités de la viande sous ses aspects qualitatifs, ses origines ou ses finesses si délicates au palais, Jean DENAUX est intarissable sur la culture de la viande en France.
En début d’année, les journalistes Franck RIBIERE et Vérane FREDIANI lui avaient consacré d’élogieuses pages dans leur magnifique ouvrage à la gloire de ce monde si caractéristique des artisans bouchers incontournables de l’Hexagone. Paru aux éditions de La Martinière, l’opus, « Steak in France », est devenu depuis une véritable bible pour les amateurs de produits carnés avertis à la recherche de la viande d’exception à la sublime qualité en bouche…
Mais, l’humilité de Jean DENAUX et son sens profond de la relation à l’autre favoriseront aussi les remerciements que l’heureux bénéficiaire de la précieuse distinction destinera à son épouse et à ses filles, fidèles d’entre les fidèles aux côtés du responsable de ce projet entrepreneurial incroyable, et à l’ensemble de ses collaborateurs (une vingtaine de personnes) qui ont contribué au succès de cette entreprise peu ordinaire dans le paysage bourguignon.
Des spécialistes en salaison et affinage de fromages pour construire son unité de production…
Moderne et pourtant attentif au respect des traditions de l’élevage et de l’affinage des produits, Jean DENAUX vit avec le souci de préserver un environnement malmené en réduisant la consommation énergétique grâce à un concept de bâtiment annexé à l’esprit du développement durable.
Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.
Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.
Rien d’étonnant qu’une quarantaine de pays de par le monde dont ceux de l’Asie du Sud-Est raffolent tant des vertus gustatives et qualitatives savoureuses de cette viande qui confine à l’excellence...
Pour l’heure, et encore en l’état de prototype prêt à inonder le marché planétaire, le devenir de la caisse enregistreuse a été dévoilé par les responsables du leader international dans la conception et la fabrication d’équipements dédiés aux espaces commerciaux. Le concept « BUTTERFLY », révolutionnaire et ergonomique à plus d’un titre, permettra à une opératrice d’assurer la gestion de trois clients de manière simultanée grâce à l’apport de la digitalisation et d’une bonne dose d’ingénierie…
MONETEAU : Fluidifier les files d’attente en responsabilisant de plus en plus le consommateur lors de son passage crucial aux caisses enregistreuses d’une grande surface n’est pas aussi simple à gérer pour le responsable d’un établissement commercial. Pourtant, le processus explicatif présenté par Régis CAO, directeur du marketing du groupe HMY France et de son chef de produits, Mathieu DAUVISSAT, devrait satisfaire à terme les attentes de ces dirigeants d’entreprises de la GMS qui redoutent toujours les heures de pointe, fatidiques au moral des troupes évoluant derrière les caisses.
Une nouvelle machine aux performances déjà éprouvées
Muni de scanner, de systèmes de caméras et d’appareils photographiques intégrés, « BUTTERFLY » ne représente pas l’archétype habituel de la caisse enregistreuse d’autrefois, voire de maintenant. Plusieurs clients peuvent y déposer en symbiose parfaite le contenu de leurs caddies sur un tapis roulant que le consommateur déclenchera lui-même. Les deux tapis se faisant face.
La caisse du futur ne supprime pas la présence de l’opératrice qui peut enregistrer en simultanée les courses qui défilent sous un imposant scanner collectant les précieuses données si utiles pour la salariée : les prix des articles.
Une fois, le premier client évalué grâce à la scrupuleuse vérification de l’appareil numérique, le second peut alors enclencher de manière tactile à partir d’un écran positionné sur l’appareil la piste qui acheminera ses produits sous le scan. Tandis que le troisième client alimentera à son tour la piste laissée vacante par la première personne, qui elle, sera en phase de règlement auprès de l’opératrice.
Pendant que se répète ce processus intelligent, et rapide, celle-ci pourra contrôler les systèmes digitaux de surveillance embarqués à bord de la machine lui permettant de détecter la moindre infraction, notamment le vol des articles, phénomène récurrent en sortie de caisse.
Pourvue d’un design impeccable, la caisse enregistreuse nouvelle génération est aujourd’hui placée dans les starting-blocks, prêtes à être commercialisée sur le marché. Mais, pas n’importe lequel dans un premier temps…
Prioriser la commercialisation vers le marché national
« Nous souhaitons vraiment que ce concept « BUTTERFLY » se démocratise en priorité en France, auprès du réseau des grandes surfaces, avant de le vendre à l’international, explique Régis CAO, en évoquant la future stratégie marketing lié au produit ; plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est (Corée du Sud, Japon…) mais également ceux de l’Amérique du Sud tels que le Brésil et l’Argentine veulent déjà miser sur ce produit et de manière très réactive. Idem de la part de la Turquie ! Or, nous attendons que les professionnels de la grande distribution française se manifestent et affichent leur plus vif intérêt vis-à-vis de notre nouvelle création… ». Ce qui ne saurait tarder puisque mi-novembre, plusieurs d’entre eux auront la faculté de découvrir sur le site de l’Yonne le dernier né de la gamme…
Malgré son appellation anglicisante, « BUTTERFLY » est bien le fruit d’une conception française. Quant à l’investissement consenti pour l’acquisition de ce type d’appareil, il n’est pas négligeable et se situerait dans une fourchette de prix oscillant entre 40 000 et 60 000 euros. La présence des atouts numériques et digitaux faisant l’attrait ultra moderne et sécurisant du produit explique en partie ce coût.
Présent depuis plus de cinquante ans aux côtés des entreprises qu’il accompagne, principalement celles du secteur alimentaire (Carrefour, Auchan…) mais aussi ADIDAS ou VODAFONE, HMY France n’a pas fini de surprendre les observateurs sur sa capacité à innover et à investir pour préserver sa place de numéro un européen sur ce segment très concurrentiel de l’agencement de magasins.
Ce gros faiseur à l’échelle mondiale réalise 500 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel via l’implantation d’une dizaine de sites industriels répartis sur tous les continents sauf l’Afrique. Il emploie plus de 4 000 collaborateurs dont 700 évoluent sur l’un des trois sites de l’Hexagone, celui de Monéteau…