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Le nouveau bijou des soirées ludiques sénonaises, L’EMERAUDE LOUNGE, a pour vocation à se dupliquer…
octobre 22, 2019Inattendu dans sa forme, le concept prend depuis son ouverture, survenue le 03 août, ses marques progressives dans l’univers des loisirs proposés sur le Sénonais. Ciblant en première intention la jeunesse. Mais, la stratégie des deux associés, les frères LEGRAS, repose sur l’atteinte d’autres objectifs bien plus affirmés en soi. En premier lieu, il s’agit de toucher le monde de l’entreprise en privatisant l’espace ludique de 580 m2. La seconde priorité s’articule autour de la personnalisation de l’offre. Celle-ci s’oriente sur des évènements familiaux et festifs de type anniversaire ou défis sportifs…
SENS : Quelques curieux tentent vainement d’apercevoir derrière la vitrine ce que recèle le vaste espace ludique ayant ouvert ses portes au beau milieu de la période estivale.
Même si l’une des devantures rappelle de par son décor insolite la proximité de la fête anglo-saxonne d’Halloween dans le calendrier, personne ne peut s’imaginer réellement ce que propose L’EMERAUDE LOUNGE sans avoir pénétré à l’intérieur du magasin !
Ici, dans ce nouveau point d’ancrage commercial consacré à l’art de vivre et à la détente, les surprises autour du jeu sont de taille. Le résultat de cet agencement est vécu comme un aboutissement pour les deux membres de la fratrie : Ludwig et Grégory.
En effet, il aura fallu trois longues années de patience et d’abnégation pour y parvenir ; le temps nécessaire de trouver le local adéquat dans la sous-préfecture de l’Yonne qui réponde aux exigences du cahier des charges initial.
Autrefois, on vendait des chaussures au linéaire dans ce vaste édifice situé sur l’un des points névralgiques, à l’entrée sud de la ville. Aujourd’hui, et après moins d’un semestre de travaux de réhabilitation, c’est le rire et l’amusement que l’on vante à satiété à sa clientèle.
Coût de l’investissement pour remettre le bâti en état de fonctionnalité : 90 000 euros hors taxes. Un budget lourd à réunir pour ces deux jeunes garçons de moins de trente ans qui auront su convaincre avec persévérance l’un des conseillers stratégiques de l’agence de développement INITIACTIVE 89, Julien LACOMBE. Ce dernier n’a pas tergiversé devant le côté insolite du dossier : un prêt d’honneur a pu être souscrit très vite avec l’aval bancaire à l’issue.
Dès lors, les deux frangins durent se creuser un tantinet les méninges pour baptiser de la raison sociale qui leur semblait la plus judicieuse ce nouveau pôle d’intérêt dans le monde du loisir.
Les adeptes d’énigmes et de mystères seront déçus d’apprendre que derrière le nom de cette enseigne, « L’EMERAUDE LOUNGE », il n’existe pas de secret ! Sauf celui qui aura provoqué un déclic auprès des deux dirigeants de l’entreprise : la résonance dans l’association de ces deux mots.
Développer le concept sous la forme d’une franchise à moyenne échéance…
En quoi cet univers est-il si particulier et si différent ? Très simple, il accueille une somme de disciplines ludiques que nulle part ailleurs on ne peut pratiquer dans l’Yonne. Certes, la présence de baby-foot, de billards ou de jeux de fléchettes n’a rien de sensationnel, de prime abord.
Là où les choses diffèrent, c’est de voir in situ des pistes de curling (sans la glace) au nombre de deux et celles de cet étrange billard aux dimensions inconcevables qui se pratique avec les pieds : le snookball.
La découverte de ces deux disciplines permet aux amateurs de cocktails de se détendre au-delà d’un verre et de profiter en toute quiétude de ces instants de farniente entre amis. Voire entre collègues. Bref : l’unicité du cadre et son modèle d’attractivité pourraient devenir très vite un lieu à fréquenter à l’avenir dans le sérail sénonais.
L’orientation stratégique donnée au projet est de le faire évoluer très vite sur le territoire. De manière régionale mais aussi nationale via le principe de la franchise. Ludwig LEGRAS et son cadet, Grégory, voient loin. Un développement potentiel vers la Seine-et-Marne, le Loiret, l’Aube. Mais aussi, adapté à l’ensemble de l’Hexagone…
Ils sont suivis de près par les spécialistes de la question entrepreneuriale (banque, experts-comptables…). Les projections présentent déjà quelques garanties de réussite avec un prévisionnel de 300 000 euros de chiffre d’affaires au terme de la troisième année d’exploitation.
Les responsables de la SAS ont par ailleurs procédé à leur première embauche, en la personne d’une serveuse sous contrat à plein temps. Demain, il sera aussi question de façonner une scène qui recevra des groupes musicaux, pour l’essentiel d’inspiration locale.
Les deux frères vivent leur projet comme un rêve éveillé. Loin de leurs cursus initiaux concrétisés par des diplômes dans la maçonnerie et l’aménagement paysager. A 25 et 21 ans, ils ne le regrettent nullement car ils ont osé passer de l’autre côté du miroir : celui de l’entrepreneuriat !
Un article réalisé en partenariat avec la Ville de Sens et la Communauté du Grand-Sénonais.
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Plus de 400 techniciens spécialisés dans l’art et l’exercice de la mécanique de haute précision sont activement recherchés par la marque allemande pour grossir ses effectifs au niveau national. Pour y parvenir, le constructeur de Munich a développé depuis dix-huit mois un astucieux concept, baptisé « Sourcing Techniciens ». En y intégrant divers leviers d’actions. En tout premier lieu, via son réseau de concessionnaires, la prédominance d’un ancrage utile qui s’est renforcée auprès des lycées professionnels et des CFA.
PARIS : Créé il y a un an et demi, le dispositif « Sourcing Techniciens » commence enfin à porter ses fruits au sein du groupe BMW/MINI France. Afin d’enrayer le phénomène de récurrence observé depuis plusieurs années en matière de recrutement, le constructeur d’Outre-Rhin n’a pas hésité à faire preuve de pragmatisme pour résoudre une problématique gênante qui pénalisait son réseau de distributeurs.
De nombreuses actions font florès à travers l’Hexagone pour accroître les relations pérennes avec des lycées professionnels et des centres de formation liés au développement de l’apprentissage.
Une étude diligentée par la société automobile a permis d’aboutir à un constat plutôt surprenant, qui explique la frilosité des jeunes générations à tenter l’aventure professionnelle dans le groupe.
Une grande majorité des apprenants français bénéficient de formation technique sur des véhicules de marques nationales. Or, beaucoup d’entre eux hésitent à découvrir ce qui se cache sous le capot d’un X 3 ou d’une Série 7, faute de connaissances.
De là à dire que les produits conçus par BMW et MINI effraient nos jeunes gens, on en serait pas loin si l’on écoute les représentants du pôle BMW France Formation, de passage la semaine dernière à Auxerre à l’occasion de la remise de deux véhicules par le groupe PANEL aux deux établissements pédagogiques de l’Yonne retenus pour profiter de ce double don !
L’Yonne, un département bien pourvu en dotation…
Mais, au-delà de ce curieux constat, il s’avère que cette crainte de l’inconnu s’observe également sur d’autres marques, issues du même terreau international.
Pour remédier à cela, et permettre aux futurs techniciens et mécaniciens diplômés de l’Hexagone de se sentir davantage à l’aise avec des modèles présentant des technologies avancées à leur bord, BMW France va offrir vingt-cinq véhicules de leur choix, à l’état neuf, dans le cadre de ce programme novateur.
Si l’initiative semble judicieuse, un seul bémol est à constater : il n’y aura que vingt-cinq automobiles offertes à autant d’établissements en France. Il en faudrait naturellement beaucoup plus. Mais, les dirigeants de BMW France réfléchissent déjà à poursuivre la démarche.
Néanmoins, cocorico, l’Yonne est plutôt bien pourvue avec le lycée Louis Davier de Joigny et le CIFA à Auxerre, deux récipiendaires de cet acte altruiste et généreux. Leurs responsables ont reçu la semaine dernière leur précieuse dotation et en feront bon usage dans leurs ateliers respectifs.
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Le double effet salvateur de SKF : l’industriel s’engage en faveur de la sécurité routière et des pompiers volontaires
octobre 20, 2019La société industrielle de l’Avallonnais s’est illustrée de bien belle manière lors de la commémoration de son soixantième anniversaire. Notamment sur un double aspect, celui de l’éco-citoyenneté et du pur altruisme. Accueillant la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE en ses murs, son directeur, Frédéric BOUILLY, a tenu à célébrer cette visite en validant un acte d’engagement fort en faveur du renforcement de la sécurité routière au sein de l’entreprise tout en encourageant ses collaborateurs à répondre aux besoins du SDIS, en quête de sapeurs-pompiers volontaires…
AVALLON : La visite officielle de la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE, sur le site de l’industriel suédois en fin de semaine dernière se sera soldée par un geste empli de symboles pour la direction du groupe SKF Slewing Bearings.
Le directeur de l’entité icaunaise, Frédéric BOUILLY, a pris position au nom de l’enseigne qu’il représente localement en faveur du plan « Sept engagements pour une route sûre ». Un concept, porté par les services de la Sécurité routière, qui émanent de la préfecture de l’Yonne.
La signature protocolaire de ce document traduit ainsi la volonté de l’entrepreneur de veiller à la pratique d’une bienveillance déontologique en cas de mobilité de ses collaborateurs lors de leurs déplacements sur les routes.
Comme devait le préciser Cécile RACKETTE cosignataire de cette charte éthique au nom de l’Etat, « les entreprises ont un rôle extrêmement important à jouer en matière de sécurité routière car la majorité des accidents mortels du travail correspondent à des drames survenus sur la route, notamment entre le domicile d’un collaborateur et son lieu de travail… ».
Rappelant les principes élémentaires de sécurité que chacun se doit de respecter au quotidien, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois insista sur le rôle de l’employeur qui fait figure d’inéluctable prescripteur dans les comportements civiques de tous les jours.
En outre, l’utilité de cette convention ne se résume pas à une simple annonce médiatique, qui marquerait les esprits. En interne, la direction de SKF alimentera de conseils et d’informatiques pratiques les différents services en vue de les éduquer sur une optimisation des bonnes manières vécues derrière le volant.
Encourager le développement du volontariat des sapeurs-pompiers…
Un autre bonheur ne venant jamais seul, SKF a profité de cet instant cérémonial auquel participaient le député de la circonscription André VILLIERS, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Sonia PATOURET et le maire d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, pour formaliser la mise à disposition de sapeurs-pompiers volontaires auprès du SDIS de l’Yonne, le Service départemental d’incendie et de secours.
Pour l’heure, la convention signée avec les autorités de secours ne concernent qu’un seul et unique collaborateur travaillant chez l’industriel scandinave. Mais, il est certain qu’un effet gigogne va survenir à la suite de cette annonce et susciter des vocations supplémentaires.
Précisons que les directions de Pneu LAURENT et de la Carrière d’Asnières-sous-Bois ont accepté il y a peu de prendre les mêmes dispositions à l’égard de leurs collaborateurs pour accroître les effectifs du SDIS dans la partie méridionale de notre territoire.
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Le public plébiscite SAUREA : leur moteur solaire reçoit un coup de cœur aux Prix Start-up EDF PULSE 2019…
octobre 19, 2019Un chèque de 50 000 euros dans la besace. Et surtout une campagne de communication à la clé, prise en charge à 100 % par le groupe EDF afin de vanter les mérites de la start-up auxerroise dans son cœur de cible : le domaine du bien-être connecté, du travail 4.0 et des territoires durables. Voilà l’excellente nouvelle qui est tombée au soir du 16 octobre à Paris pour Isabelle GALLET-COTY, lorsque cette dernière, présidente de l’entité, s’est vue offrir l’une des distinctions de la 6ème édition des Prix EDF PULSE 2019 devant le numéro un de l’énergéticien mondial. Elle n’est pas belle la vie ?
PARIS : On le savait déjà depuis quelques semaines, l’entreprise de l’Yonne avait obtenu un premier sésame : le droit de participer à la sélection officielle de ce challenge national annuel. Rejoignant ainsi la douzaine de finalistes qui pouvaient prétendre remporter l’édition 2019 dans la catégorie « Territoires durables » d’un défi porté par EDF.
Plus de 330 candidatures avaient été enregistrées de par l’Hexagone pour concourir dans l’une des trois épreuves existantes. Objectif avoué de l’initiative soutenue par l’acteur majeur de la transition énergétique : la mise en lumière des start-up françaises, voire européennes, qui favorisent à grand renfort d’innovations le développement de nouveaux usages électriques.
Il aura fallu quelques semaines d’évaluation pour que des comités d’expert de l’innovation internes et externes au groupe EDF examinent un par un et avec beaucoup de minutie les dossiers des douze start-up retenues pour disputer la phase finale.
Informée de sa sélection, l’équipe de SAUREA croisa les doigts pour recevoir le maximum de suffrages de la part du grand public, sollicité par les réseaux sociaux, et devant se prononcer sur la pertinence de ce projet.
En cas de vote positif, le jeu en valait vraiment la chandelle puisque chacun des lauréats se voyait gratifier d’une campagne de communication réalisée dans les règles de l’art par des professionnels. Une dotation financière alléchante apportait du beurre dans les épinards. En l’occurrence 50 000 euros pour le coup de cœur (comparable à un sérieux coup de pouce) impulsé par le public !
Une cérémonie présidée par le numéro un du groupe EDF…
Le 16 octobre, entourée des siens et de son époux, Gilles, qui est aussi l’une des têtes pensantes de la structure entrepreneuriale en sa qualité de directeur technique, Isabelle GALLET-COTY, PDG de la structure icaunaise, gravissait les marches menant à l’immense scène pour y recevoir son prix. Sous les applaudissements nourris de l’état-major du groupe EDF et de son président-directeur général, Jean-Bernard LEVY.
Particulièrement adapté aux sites isolés et aux climats sévères, le moteur imaginé par le père de Gilles, Alain, et multi-breveté depuis présente des caractéristiques ultra résistantes à son utilisation.
L’appareil a eu aussi son moment de gloire lors des récentes Rencontres industrielles régionales de Bourgogne Franche-Comté (RIDY) lors de la visite à Auxerre de la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY. Suscitant un vif intérêt de l’élue régionale dont on connaît l’appétence pour tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.
Quant au défi relevé par SAUREA, il est de fiabiliser les installations solaires motorisées dans les zones à fort ensoleillement grâce à ce moteur auto-commuté qui convertit directement l’énergie solaire en énergie mécanique.
Dans l’absolu, l’énergie développée est équivalente à celle d’une femme qui actionne une pompe manuelle. Le moteur assure une pérennité d’usage dans les pays défavorisés, en site isolé car sans maintenance pendant une durée de vingt ans. Fiable et durable, ce processus peu coûteux (environ 3 000 euros) présente, on l’aura compris, un impact environnemental faible.
Depuis le mois de juin, SAUREA commercialise ce produit, qualifié de révolutionnaire auprès d’ONG et de fondations qui développement des zones de captage des eaux au cœur de l’Afrique. Toutefois, d’autres emplois sont d’ores et déjà envisagés à partir de ce concept technologique très poussé : les systèmes de ventilation, d’arrosage, d’humidification,…
Bénéficiant des largesses financières d’investisseurs (une coquette enveloppe de 300 000 euros obtenue en 2018), SAUREA devrait procéder à une nouvelle levée de capitaux dès la saison prochaine. Toujours pour accroître ses perspectives de développement.
L’apport de ces cinquante mille euros supplémentaires est loin d’être négligeable. A l’instar de la campagne promotionnelle qui découle de ce Prix 2019. Quant à l’appui du groupe EDF, très intéressé par la démarche technologique dans laquelle s’est précipitée la start-up auxerroise, il est bien réel.
Surfant sur la vague du succès depuis trois ans, date de sa création, on devrait entendre parler de SAUREA à brève échéance…
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L’occasion était trop belle pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, de célébrer le mariage gustatif entre la fameuse boisson extraite de ses vignes et l’un des fruits préférés des consommateurs de l’Hexagone. Le parterre d’invités (plus de 80 convives) ayant investi son domaine viticole aura pu profiter à bon escient de ce coup de projecteur judicieux décliné avec le concours d’une jeune structure agricole, EARL BETHERY, productrice de fraises 100 % locales…
CHABLIS : Effervescence sympathique au Domaine de VAUROUX pour l’un des rendez-vous incontournables de la saison qui est perpétré chaque année à pareille époque. La dégustation du bourru, vieille tradition locale, s’inscrit parmi les animations conviviales célébrées par la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne.
Logique quand on sait que le président du syndicat patronal n’est autre que le responsable de ce domaine viticole, Olivier TRICON qui ceci dit est toujours en quête d’un successeur comme il se plaît à le formuler !
Plus de quatre-vingt personnes, adhérentes de la CPME mais également personnalités de la sphère politique (la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA, le député André VILLIERS…) participèrent à ces retrouvailles festives où il fut question de découvrir les productions du cru. Dans une ambiance conviviale.
La Fraise d’Enfer, vedette de la soirée…
Olivier TRICON rappela en quelques mots pour les profanes ce que représente aujourd’hui la confédération départementale au niveau de ses mandats électifs. Avant d’accueillir à ses côtés, le jeune céréalier Antoine BETHERY, qui dans un souci de diversification de ses activités produit depuis peu au sein de sa ferme à Aigremont des fraises made in Yonne aux variétés multiples et savoureuses sous la marque, « La Fraise d’enfer ». Une appellation aux accents insolites, convenons-en !
Chantre de la production locale et des circuits courts de la distribution, le président de la CPME invita ensuite ses hôtes à déguster le contenu de succulentes barquettes de fruits qui circulaient parmi l’assistance.
Il proposa aussi à ses invités quelques crus de sa production dont il a le secret de fabrication, notamment un chablis Premier cru Montmains et un chablis Montée de Tonnerre des plus agréables en bouche…
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