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Une dizaine de membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne n’a pas hésité à braver la chaleur matinale, déjà excessive d’une énième journée caniculaire pour se réunir dans l’un des salons de l’Hôtel Le Normandie à Auxerre. Objectif pour ces entrepreneurs rafraîchis par une appréciable climatisation : analyser les conséquences d’une faute inexcusable ou intentionnelle mettant leur responsabilité professionnelle en jeu…

AUXERRE : Thématique de cette demi-journée de travail qui se voulait studieuse : la faute inexcusable ou intentionnelle. Celle qui peut induire la responsabilité professionnelle de l’employeur en cas de procédure juridique.

Programmée dans le cadre des sessions de formation et d’information sur la prévention des risques professionnels, cette séance instructive bénéficiait du concours financier de la branche AT-MP de la Caisse nationale d’Assurance maladie des travailleurs salariés.

Accueillis par la secrétaire générale de l’antenne icaunaise de la CPME, Emmanuelle MIREDIN, les participants de ce module, une fois dégustés leurs croissants, se plongèrent dans le cours magistral assuré par Me Valérie GUICHARD. L’avocate du cabinet BARTHEMELY de Paris eut tôt fait de leur fournir de précieux renseignements sur les caractéristiques de ces fautes et leurs conséquences.

De manière à mieux s’en prémunir dans le cadre d’une démarche de prévention aux risques professionnels. Gratuit, ce cycle pédagogique prenait en compte les précisions fournies par la jurisprudence la plus récente.

Rappelons que la responsabilité de l’employeur peut être recherchée dans le cadre de ces fautes. Ce qui a pour conséquence directe d’engendrer une indemnisation complémentaire de la victime à la charge de l’employeur. Indépendamment des conséquences pénales requises et qui peuvent survenir sur la base des délits non intentionnels.

Le 26 septembre, un nouvel atelier sera proposé aux adhérents de la CPME sur la prévention du harcèlement au travail. D’ici là, la trêve estivale s’appréciera à sa juste valeur !


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Le délégué interministériel en charge du développement de l’apprentissage n’en est toujours pas revenu ! En s’immergeant dans la pénombre feutrée de l’espace virtuel du CIFA de l’Yonne, le fameux concept « Clic Store » que pléthore d’établissements de l’Hexagone nous envient, Patrick TOULMET a pu apprécier à sa juste valeur les bienfaits d’un enseignement conforté par la présence de la technologie numérique. Une approche pédagogique qui va bien au-delà de la réalité virtuelle et qui offre aux jeunes élèves une bonne dose de repères ô combien pratiques afin de mieux s’immiscer dans la réalité quotidienne de l’univers commercial et de la vente…

AUXERRE : Depuis qu’il a endossé la parure de délégué interministériel en charge du développement de l’apprentissage en septembre dernier, l’ambassadeur de l’accessibilité auprès de la RATP et de la SNCF n’en finit pas de sillonner la France. Il est en quête d’univers pédagogiques performants. 

Sa visite, programmée de longue date au centre de formation d’Auxerre, le CIFA, devrait lui laisser une trace indélébile dans la mémoire. Et pour longtemps !

Qu’elle ne fut pas sa surprise, en effet, de pouvoir tester séance tenante les vertus spécifiques de l’espace virtuel et futuriste opérationnel dans l’établissement icaunais. Le fameux « Clic Store ».

Ce concept de magasin technologique au bien-fondé éducatif n’est autre que la résultante de l’imaginaire exacerbé du directeur de cette vénérable maison dédiée à l’apprentissage : Marcel FONTBONNE.

Pourtant, l’ancien prothésiste dentaire qu’était dans sa vie antérieure Patrick TOULMET, connaît les subtilités techniques. Celles qui peuvent être usitées dans l’enseignement ou dans l’exercice d’un métier. Mais, là, accueilli dans cet espace d’exception où était projetée sur les murs une vision élyséenne saisissante, il ne pouvait manquer de se montrer stupéfait par tant de prouesses modernistes et fonctionnelles. Au service des jeunes apprenants et de leurs enseignants qui ont acquis depuis le lancement de ce support la maîtrise du lieu.

Une démonstration des plus convaincantes…

Aux côtés d’un aéropage de personnalités institutionnelles et politiques (les deux sénatrices de l’Yonne,  Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT, la députée Michèle CROUZET ou le préfet Patrice LATRON), le délégué interministériel a pu observer attentivement un jeu de rôle démonstratif interprété par trois jeunes apprentis.

L’image de l’Elysée s’estompa sur les murs, laissant la place à un univers visuel plus conforme à l’endroit. L’intérieur d’une boutique qui commercialise des chaussures. Une petite scénette fut alors rondement improvisée entre le corps enseignant et certains des élèves, illustrant ainsi les subtiles opportunités offertes par ce magasin virtuel du XXIème siècle.

Conquis, l’ancien président de la Chambre de Métiers de Seine-Saint-Denis, lui-même président d’un CFA qui accueille une vingtaine de métiers, ne peut cacher son enthousiasme devant un tel résultat.

« Votre maison est très belle, voire exceptionnelle, lâcha-t-il tout de go, il faudrait que les Parisiens qui éprouvent des difficultés à faire bouger les choses découvrent votre établissement : cela pourrait leur donner des leçons ! ».

Du petit lait pour le président du site, Michel TONNELLIER et son directeur, Marcel FONTBONNE, qui eux non plus ne sont pas prêts d’oublier cette version interministérielle d’un « retour vers le futur » réussi, version éveillée !


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« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures  hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...

TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte. 
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.

La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».

Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.

Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?

Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !

L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».

Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…

L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.

Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !

Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…

Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.

Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !

La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.

Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.

La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.

Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !

Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…

Emmanuel RACINE

 


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Et s’il n’y avait pas que les seuls étudiants à pouvoir bénéficier de la manne intellectuelle et pédagogique induite par le programme ERASMUS à travers l’Europe ? Rare dans ses déplacements en Bourgogne du Nord, la ministre du Travail Muriel PENICAUD qui devait ponctuer la campagne électorale des européennes à Sens, où un parterre éclectique de représentants de la liste RENAISSANCE l’y attendait, a suggéré l’idée avec force et conviction. Traduisant à sa manière l’une des mesures de la sphère européenne qui demeure très populaire auprès de nos jeunes concitoyens…

SENS : L’Europe et ses applications concrètes au quotidien, il est de bon ton d’en rappeler au travers d’exemples palpables les usages positifs pour mieux appréhender les avantages dont peuvent bénéficier nos concitoyens.

Car, comme devait l’affirmer il y a quelques jours la ministre du Travail, Muriel PENICAUD, présente dans la ville la plus septentrionale de l’Yonne à la veille de la clôture de la campagne électorale des européennes, « trop de Français pensent toujours à tort que le Parlement européen ne sert à rien ! ».

Tirer l’Europe sociale et économique vers le haut passe nécessairement par une explication de texte, pertinente, régulière et illustrée de faits tangibles dans l’absolu. Une quinzaine de minutes auront donc permis à la représentante du gouvernement d’étayer ses dires en faisant montre de pédagogie et d’initiative.

Invitée à clore la campagne électorale des échéances européennes aux côtés de nombreuses personnalités du sérail icaunais, Muriel PENICAUD s’est longuement attardée sur les vertus de cette Europe qui, une fois le verdict des urnes rendues au soir du dimanche 26 mai, aura suscité une once d’intérêt inattendue parmi les électeurs de l’Hexagone.

Une réalisation européenne qui parle aux Français : ERASMUS…

Prenant la parole après un long exercice oratoire, fait de plusieurs composantes issues ou proches de la liste de la majorité présidentielle, Muriel PENICAUD est devenue l’ambassadrice insistante du programme éducatif ERASMUS, un pur produit à l’estampille européenne.

« C’est l’une des rares réalisations européennes qui parle beaucoup aux oreilles de nos compatriotes, lâcha-t-elle avec dynamisme, il est vrai que la déclinaison de ce concept représente une belle leçon de citoyenneté internationale. Des centaines de milliers de jeunes étudiants se sentent profondément européens car ils sont très attachés aux valeurs intrinsèques de ce programme. C’est une juste illustration de ce qu’est l’Europe au service de l’autre, avec cet enrichissement humain et cette altérité, qui en fait l’un des ferments constructifs en devenir… ».

Généraliser le programme ERASMUS au monde de l’apprentissage et à l’ensemble de ses représentants s’imbrique parmi les volontés de la ministre du Travail.

« La bataille de l’apprentissage est importante pour nos jeunes générations, et nous devons la gagner. Le programme ERASMUS peut nous aider à y parvenir… ».

Puis, Muriel PENICAUD qui devait plaisanter sur le nombre de bébés européens nés de fiançailles et d’épousailles d’étudiants ERASMUS sur le Vieux Continent, annonça une statistique optimiste sur le potentiel humain engagé autour de ce concept : de trois à cinq millions de jeunes apprenants pourraient à terme en être le terreau intellectuel. Qui a dit que l’Europe ne mobilisait pas les foules !

 


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Le cycle de formation dispensé au cours des dix-huit prochains mois comprendra exactement cinquante-quatre jours de séances pédagogiques. Une période suffisante pour appréhender du mieux possible les cinq modules, enseignés par le formateur. Issus de la filière du bâtiment, huit néophytes dans l’entrepreneuriat auront tout le loisir d’y prendre part. Pour gagner en indépendance et en liberté d’entreprendre, un credo que revendique avec conviction le président de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, soutien inconditionnel de ce projet…

AUXERRE : Pour obtenir le meilleur des stagiaires qui suivent un cycle de formation, il faut en premier lieu un spécialiste de l’art et de la maîtrise de l’enseignement. Un professionnel qui soit suffisamment pédagogue et à l’écoute pour susciter envie et intérêt auprès de son auditoire. Les responsables de la CAPEB de l’Yonne, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment, se sont donc adressés à l’une de ces structures enclines à répondre à ces objectifs : Construire Demain.

La SAS originaire du Tarn possède un sérieux pédigrée en la matière. Plus de trois décennies d’accompagnement qui ont été assurées auprès des gestionnaires du bâtiment ainsi que leurs conjoints (ces derniers jouant toujours un rôle primordial au sein de la structure), sans omettre leurs salariés. Bref, des experts qui n’hésitent pas à parcourir de la distance pour offrir leurs services et compétences aux artisans de ce secteur d’activité.

Dans le cas présent, la société formatrice de Saint-Lieux-les-Lavaur a pris les choses à son compte dès l’entame de ce nouveau cycle décliné dans l’Yonne. Le REAB, soit le cursus de Responsable de l’entreprise artisanale du bâtiment comme son acronyme ne pouvait le laisser supposer, se configure sous la forme d’un stage d’une durée de dix-huit mois.

De solides atouts dans les mains des entrepreneurs de la filière…

Formation diplômante et sanctionnée par un examen de niveau III (Bac + 2), la session offre une vision éclectique et complémentaire des domaines de compétences qu’un dirigeant de société se doit de posséder. Cinq modules vont être disséqués avec minutie. Pour en extraire la quintessence organique du savoir qui ne pourra être que bénéfique à ses pratiquants.

Ainsi, la gestion économique et financière, la gestion des ressources humaines, le pilotage de chantier, la stratégie d’entreprise et la découverte des pratiques du commerce et des relations extérieures offriront autant d’atouts essentiels à la connaissance de ces entrepreneurs béotiens, n’ayant pas plus de trois années d’exercice à leur bilan.

Outre le fait de se connaître soi-même et de disposer d’une fenêtre intéressante pour découvrir les autres, cette séance didactique (la seconde depuis le début de la session) représente un excellent exercice de compréhension pour gagner en expérience. Comme devait l’évoquer dès l’introduction de ce cours le président de la CAPEB Yonne, Jean-Pierre RICHARD, « ce stage est nécessaire pour gagner en indépendance et liberté d’entreprendre… ».

Une fois achevé, les huit stagiaires seront pourvus de nombreux atouts pour parfaire la gestion courante de leur entreprise, optimiser la rentabilité et la situation financière de celle-ci, maîtriser les techniques et les règlements d’un chantier, perfectionner leur capacité de manager. Ceci devant aboutir au développement d’une stratégie de communication et de négociation efficiente.

Bref, de la belle ouvrage comme on aime à le préciser dans le milieu du bâtiment. Une initiative qui s’avère pertinente et à mettre au compte de la CAPEB, avant que ne débute la prochaine session…

 

 


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