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RSA : l’Etat et le Département en mode raccord pour mieux accompagner les bénéficiaires vers le retour à l’emploi
mars 13, 2023Menée sur les secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois depuis le début de l’année, l’expérimentation s’est mise en place dans notre territoire avec le concours de Pôle Emploi et le suivi de l’Etat. Permettre aux bénéficiaires du RSA de retrouver le chemin qui conduit à la vie active n’est pas un vœu pieu pour le préfet de Région Franck ROBINE et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD à l’unisson sur le sujet…
AUXERRE : Il ne pouvait pas conclure la conférence de presse qu’il accordait aux médias de l’Yonne, lundi en début d’après-midi, sans faire une allusion au dispositif orchestré dans une vingtaine de départements – dix-neuf avec exactitude dont celui de la Bourgogne septentrionale – relatif aux bénéficiaires du RSA, acronyme se rapportant au « Revenu de Solidarité Active ».
Un item primordial pour le préfet de Région Franck ROBINE. Tant les tensions actuelles sur le marché du travail sont importantes et pénalisent de manière inéluctable les entreprises dans leur besoin à recruter.
Saluant l’initiative du Département de l’Yonne – notre contrée a été choisie par la gouvernance étatique pour expérimenter un nouveau dispositif de retour à l’emploi dans le cadre de la démarche « France Travail » qui vise les bénéficiaires du RSA -, le préfet de Bourgogne Franche-Comté, en visite ce lundi 13 mars dans la capitale de l’Yonne, félicita le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, d’avoir bien voulu accepter l’expérience.
Près de 2 100 bénéficiaires du RSA sur les secteurs d’Avallon et de Tonnerre…
Pour faire simple, l’idée de la nouvelle organisation « France Travail » dont le gouvernement est le porte-étendard dans le domaine de l’emploi, est d’aider les bénéficiaires du RSA à retourner le plus vite possible vers une activité professionnelle.
Un monde du travail qui échappe parfois, sur une très longue période – une étude nationale démontre que cette absence de vie active peut allègrement aller jusqu’à sept années –, à ces personnes qui perçoivent le Revenu de Solidarité Active.
Dans l’Yonne et sous la houlette de la conseillère départementale Sonia PATOURET, très investie sur ce dossier – on se souvient de l’initiative « Brique à Brique » menée par ses soins avec détermination auprès de la filière du bâtiment avec le concours de la FFB, la CAPEB, la FRTP et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en 2021 -, ce sont près de 2 100 bénéficiaires du RSA (2 070 avec précision) des secteurs géographiques de l’Avallonnais et du Tonnerrois qui se sont donc lancés dans cette nouvelle aventure depuis janvier.
Des personnes qui profitent d’un accompagnement spécifique et adapté à leurs besoins afin de favoriser ce retour immersif dans l’emploi.
« Grâce à cet engagement du Département de l’Yonne, devait-il souligner, ce sont des femmes et des hommes qui vont retrouver du travail. Cette initiative est extrêmement importante dans la vie de ces personnes… ».
Le Département a le devoir moral de remettre les gens au travail…
Vu par le prisme départemental, le RSA représente une enveloppe de 60 millions d’euros à la charge de l’institution icaunaise. Un chiffre que ne manqua pas de rappeler Patrick GENDRAUD, complétant ainsi les propos liminaires de Franck ROBINE. Une somme versée aux 8 200 destinataires de ce revenu minimal. Un nombre de bénéficiaires qui s’érode légèrement depuis plusieurs années.
Exprimant sa fierté de voir que le département dont il assume la présidence avait été choisi par le dispositif « France Travail » pour cette phase test, élément précurseur sans aucun doute avant le maillage hexagonal qui se fera par la suite, l’ancien maire de Chablis rappela que bon nombre d’offres d’emploi fleurissaient çà et là.
Il cita, à titre d’exemples, le monde viticole et ses trois cents postes non qualifiés à pourvoir de suite ; les neuf cents opportunités qui ont été identifiées sur le domaine de la restauration et de l’hôtellerie ; etc.
Des arguments faisant dire au patron de l’exécutif que « l’organisme qu’il représentait avait un devoir moral de remettre les gens sur le chemin du travail… ».
Selon lui, les premiers frémissements se faisaient désormais ressentir dans ces deux secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois, avec l’implication accrue de Pôle Emploi.
« Je pense que nous sommes sur la bonne voie avec cette démarche initiée par « France Travail », devait-il préciser en guise de conclusion.
Une conclusion devant satisfaire un Franck ROBINE pédagogue sur le sujet, mettant un terme à ce deuxième rendez-vous relationnel avec la presse départementale.
Thierry BRET
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MAF Palefrenier Soigneur : les filles du CFA La Brosse au grand galop vers le succès avec trois médailles d’or !
mars 13, 2023Trois demoiselles du centre de formation agricole du CFA La Brosse ont obtenu le Graal en disputant vendredi dernier les épreuves de la sélection départementale du concours de l’un des « Meilleurs apprentis de France », catégorie « palefrenier-soigneur ». Des filles cousues d’or qui poursuivront l’aventure en prenant part à l’épreuve régionale les 30 et 31 mars…
VILLEFARGEAU : Elles se nomment Clara BONIN, Suzanne CONSTANT et Leïa QUAAK. Des férues de la chose équestre. Des passionnées qui ont converti leur amour indéfectible pour le plus noble des compagnons de l’homme - le cheval – en activité professionnelle. Du moins, une fois qu’elles seront sorties de leur période d’apprentissage, sanctionné comme il se doit par un diplôme obtenu au CFA La Brosse.
Un centre de formation éducatif que l’on ne présente plus – celles et ceux qui ne le connaissent pas encore auront tout le loisir de le découvrir lors de ses journées portes ouvertes dont celle de ce samedi 18 mars – concourant pour la première fois de son existence dans l’une des plus belles épreuves mettant en exergue le travail et le savoir-faire des jeunes apprenants : le concours de l’un des meilleurs apprentis de France. Précisément dans cette catégorie reine de la découverte pédagogique des métiers équestres : le palefrenier-soigneur. Une session départementale à laquelle prenait part une petite dizaine de candidates – neuf exactement – issues du centre auxerrois.
Un copieux programme à aborder durant l’épreuve…
L’épreuve fut accueillie chez l’un des partenaires du CFA La Brosse, en l’occurrence le centre équestre de Villefargeau, situé à quelques kilomètres d’Auxerre. Un cadre champêtre très agréable, disposant des infrastructures idéales pour y réaliser son concours dans d’excellentes conditions, et de surcroît de magnifiques chevaux qui se prêtaient avec grande docilité aux soins des jeunes prétendants au titre. Ajoutons que « Cheval Pro » avait mis à disposition des candidats le matériel et les équipements adéquats.
Parmi les épreuves de la journée – les puristes de la chose équine apprécieront le copieux programme -, citons la mise au paddock, l’entretien d’un box, l’identification et les soins à prodiguer à l’animal, le toilettage, la présentation du cheval lors d’une visite vétérinaire, etc. Pour parfaire le tout, un QCM (questionnaire à choix multiples) fut aussi proposé aux courageuses jeunes femmes afin de les tester sur leurs connaissances générales et animalières.
Sur neuf candidates, six reviennent avec une médaille…
Président délégué au MOF de Bourgogne, l’incontournable spécialiste des concours favorisant la valorisation des apprentis, Marc LABARDE – il était affublé de sa célèbre écharpe rouge ! – assistait à la remise des prix après s’être longuement immergé dans le monde du cheval ; lui qui a jadis obtenu le titre suprême de « Meilleur Ouvrier de France » (MOF) dans une spécialité méconnue du grand public : « conseil en solution énergétique et économie d’énergie » ! Une discipline aux antipodes de la cause équestre qui depuis le volontarisme politique de la gouvernance de promouvoir la transition énergétique et les conséquences néfastes des crises liées à la surconsommation des énergies auprès des ménages pourrait bien faire des émules à l’avenir…
Le bilan de la manifestation devait satisfaire la directrice du CFA La Brosse, Hélène DECULTOT-TREMBLAY. Sur les neuf candidates en lice pour cette édition 2023, six d’entre elles obtenaient une médaille dont l’or pour les trois jeunes filles déjà citées à l’ouverture de cet article.
Dans une quinzaine de jours, l’objectif de ces trois lauréates, lors de l’épreuve régionale, sera d’aller encore plus loin vers les sommets en visant la qualification pour la finale hexagonale…Impossible n’est pas Icaunais pour ces amies avérées des chevaux !
En savoir plus :
Les récipiendaires des médailles d’argent sont :
Molie BOLLEA, Ornella GRILLOT et Camille LUBOUE.
Les récipiendaires des médailles d'or sont :
Clara BONIN, Suzanne CONSTANT et Leïa QUAAK.
Thierry BRET
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Il ravale ses sanglots. En toute pudeur et avec beaucoup d’émotion face à un parterre d’amis et de connaissances, venu l’écouter présenter sa nouvelle stratégie. A l’évocation de Jacqueline et de Michel – ses chers parents, aujourd’hui disparus qui avaient poursuivi naguère l’œuvre entrepreneuriale de cette saga gourmande réussie initiée par la grand-mère, Marie -, Jean-Michel LORAIN, l’un des derniers géants de la gastronomie régionale, a eu les larmes aux yeux. Logique. Juste avant de saluer le travail de celui qui doit lui succéder en portant haut le flambeau familial, son neveu Alexandre BONDOUX, le fils de sa sœur, Catherine…
JOIGNY : Etrange impression que celle-ci. La cure de jouvence dont vient de bénéficier l’une des maisons des arts culinaires les plus prestigieuses de la Bourgogne Franche-Comté – voire au-delà, bien sûr ! – avec la rénovation complète de ses deux salles de restaurant et ses cuisines aura bercé dans un parfum de douce nostalgie, un peu triste par moment, l’ensemble des suiveurs de cette excellente cérémonie inaugurale. Excellente pour la qualité d’accueil de ses hôtes, de son service toujours impeccable à peine le pied posé à l’intérieur de cet établissement à consommer sans modération, par la succulence de ses canapés et en-cas qui furent servis lors des agapes conviviales.
Un « petit jeune » qui débute, le successeur quatrième génération de la famille…
Evidemment, il y avait la joie de ces retrouvailles après tant de semaines de fermeture, consacrées au relooking de la maison. Dun sol au plafond, ameublement et équipements compris ! Nous y reviendrons par ailleurs dans un autre article afin de vous montrer les facettes multiples de ce pur joyau, extrait de son écrin et vaisseau amiral de la gastronomie de l’Yonne.
Mais, au-delà des sourires de circonstance et du plaisir simple d’assister à pareille réception – on pénètre toujours à l’intérieur de « La Côte Saint-Jacques » avec ce brin d’excitation qui cheville le corps ! -, il flottera des effluves de souvenirs émus et nostalgiques à la résonance automnale au cours de cette découverte, en totale immersion jusqu’aux tréfonds des cuisines où s’affairent les brigades.
« Voilà, dira un Jean-Michel LORAIN, surélevé sur quelques marches d’escaliers, aux côtés de son épouse, Karine, quasiment au terme de son discours afin de mieux visualiser le public, je vous présente un « petit jeune » qui débute – se tournant affectueusement vers Alexandre BONDOUX, son neveu, celui-ci va hériter de l’aura de ce lieu magique pour les papilles – on a bien entamé la transmission de l’entreprise depuis novembre 2021. Il a pour l’heure les rênes de la cuisine, créant les plats et dirigeant les équipes avec l’aide de mon second, Claude LEBLANC… ».
« Il va avoir du mal à se débarrasser de moi ! »…
Une information qui n’est pas de dernière actualité, il est vrai. Car, le chef de Joigny n’avait-il pas fait part de ses intentions stratégiques concernant son évolution de carrière au terme de l’année 2021 en mettant déjà sous le feu des projecteurs son neveu ?
Un pur représentant de la dynastie LORAIN qui au préalable possède quelques belles expériences culinaires à son actif à travers le monde, ayant exercé son savoir-faire derrière les fourneaux en Asie (la Thaïlande où Jean-Michel prit soin de se positionner avec l’ouverture d’un établissement à Bangkok) ou encore en Océanie avec des points de chute ayant pour appellation, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande, archipel plus verdoyant et bucolique que le pays continent royaume des kangourous.
Poursuivant sur sa lancée, le double étoilé Michelin a voulu rassurer également l’auditoire.
« Quant à moi, je ne suis pas sorti complètement de la maison… ». Puis, avec un zeste d’humour qui engendrera les rires du public, il renchérira avec la phrase suivante : « il va avoir beaucoup de mal à se débarrasser de moi ! »
Mais, à 64 ans, Jean-Michel LORAIN aspire désormais à vivre autre chose que de gérer un navire entrepreneurial de la sorte qui l’accapare dans son quotidien depuis 1986 date à laquelle il se fit remarquer aux fourneaux. D’autant que ce photographe hors pair – ses prises de vues animalières fruit de moult séjours en terre africaine ont suscité l’admiration de nombreux visiteurs lors de sa dernière exposition à Joigny – rêve de grands espaces et surtout de davantage de…tranquillité.
Des sanglots dans la voix : le souvenir ému des chers disparus…
Néanmoins, il s’accorde encore de trois à quatre années devant lui pour assurer la transmission de son entreprise dans les règles de l’art. Notamment sur le complexe volet de l’administratif, cher à la gouvernance hexagonale !
De son côté, Karine, son épouse, continuera à gérer le devenir de la partie hébergement de « La Côte Saint-Jacques », mais aussi de l’aspect réception de la clientèle ainsi que de l’espace loisirs avec son spa et son centre de relaxation.
Vouant les valeurs familiales qui entourent le succès pérenne de cette belle maison – depuis plus de 80 ans ! -, évoquant les rôles primordiaux joués par Marine, sa fille ou Catherine, sa sœur, Jean-Michel LORAIN dut interrompre sa prise de parole à la seule évocation de ses regrettés parents.
« Il y en a quelques-uns qui nous manquent beaucoup aujourd’hui, mes parents et Pascal, le père d’Alexandre… ».
Laissant un blanc s’installé sournoisement dans la pièce lors d’un bref silence – ce grand vide symbolique de l’absence – qui aura plané parmi l’assistance recueillie…
« J’aurai tant aimé qu’ils soient là… ».
Un vœu pieu, façon cri du cœur, que nous livrera avec humilité ce personnage reconnu par ses pairs et par cette France qui succombe aux sirènes de la gastronomie et de ses orfèvres.
Qu’il se rassure, Jean-Michel ! De là-haut, Michel et Jacqueline LORAIN et son ancien maître d’hôtel, figure de proue de ce vaisseau culinaire de renom, Pascal BONDOUX, savent aussi lui dire merci pour tout le travail accompli durant toutes ces années en sa compagnie…
Thierry BRET
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Nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites samedi : l’intersyndicale toujours debout !
mars 10, 2023Et on remet le couvert. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige ! Dans la continuité des précédentes journées d’actions distillées depuis janvier contre la réforme des retraites, l’intersyndicale et ses différentes composantes battront le pavé des rues auxerroises et sénonaises ce samedi 11 mars pour tenter d’infléchir la décision du gouvernement. Une gouvernance qui pour l’heure continue de faire la sourde oreille…
AUXERRE : Ils étaient d’après leurs estimations plus de 14 000 manifestants à protester dans les rues des deux principales villes de l’Yonne, mercredi. Combien seront-ils ce samedi pour exiger une vraie réforme sociétale qui soit synonyme de progrès social ?
Plus que jamais l’intersyndicale de l’Yonne, à l’image de l’UF CGT DIR Centre-Est – celle qui tient le piquet de grève au grand giratoire au nord d’Auxerre sans pour autant bloquer totalement la circulation – en appelle à la mobilisation générale pour revendiquer contre le projet de loi « retraites » voulu par la gouvernance et continuer ainsi la démonstration de force dans la rue.
« Les solutions et les financements existent, précise son communiqué, afin de conserver la retraite par répartition basée sur la solidarité intergénérationnelle… ».
Avec son lot de suggestions adressées à l’Etat en matière de parité au niveau des rémunérations entre les femmes et les hommes, la véritable place à accorder aux seniors dans l’entreprise, la fin des temps partiels imposés, la prise en compte des primes dans le calcul des cotisations, mais aussi la hausse des salaires pour tous, etc. La liste est loin d’être exhaustive.
Interrogation de l’un des syndicalistes de l’UF CGT DIR Centre-Est : « est-ce à dire que la France serait moins riche qu’en 1946 ? ».
Une interrogation qui trouvera peut-être sa réponse parmi les slogans qui seront scandés par les manifestants devant se réunir place de l’Arquebuse à Auxerre à partir de 10h30.
Thierry BRET
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Une initiation à la soudure tout feu tout flamme : de drôles de dames fréquentent le Pôle Formation 58-89 !
mars 06, 2023Cela ne date pas d’hier mais avec les chaudronniers, les soudeurs font figure de denrées rares en matière de recrutements dans les filières de la métallurgie en France. Pourtant, ce métier très technique peut susciter parfois des vocations heureuses et plutôt surprenantes. Comme ces jeunes femmes qui n’ont pas hésité à suivre une initiation à la discipline avec le Pôle Formation 58-89.
NEVERS (Nièvre) : Délégué général des UIMM de l’Yonne et de la Nièvre, et délégué général du MEDEF de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX ne tarit pas d’éloges sur le parcours atypique suivi récemment par trois représentantes de la gent féminine qui se sont investies avec pugnacité et courage en endossant la vêture, très technique, de l’une des professions emblématiques de la métallurgie, la soudure.
Accompagné dans son cheminement pédagogique par le formateur en soudure du Pôle Formation 58-89 à Nevers, Romain CHAUDRON – cela ne s’invente pas !- ce trio de « Drôles de Dames » a pu découvrir les arcanes de ce métier très recherché par le secteur industriel en France. Suivant un cursus méthodique pouvant susciter des vocations à son issue.
La soudure est d’ailleurs très recherchée et appréciée par des personnes en reconversion professionnelle. Le métier se classe parmi le top trois dans ceux proposés à l’heure actuelle par la filière industrielle.
Côté travail, le chômage n’existe pas dans ce secteur d’activité. Les plus véloces pourront faire miroiter leur savoir-faire avec des contrats juteux à la clé au Brésil, au Japon, en Australie ou encore au Moyen-Orient, où le soudeur (la soudeuse, dorénavant) peut se comparer à de l’or noir ! Un filon professionnel à exploiter désormais…
Thierry BRET
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