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Faillites des banques : on s’enrhume à New York, on grelotte à Berne et on tousse à Paris !
mars 27, 2023Depuis le 13 mars, trois banques américaines ont coulé : la « Silicon Valley Bank », la « Silvergate Bank » et la « Signature Bank ». Ces faillites ont suscité l’inquiétude en Europe, notamment en France. Mais les banques de l’Hexagone sont-elles réellement en danger ? La déconfiture de la SVB représente aux Etats-Unis, la plus grande faillite bancaire depuis 2008 ! Après une semaine de dégringolade en bourse, la présidente de la Banque Centrale Européenne (BCE), Christine LAGARDE, a tenté rassurer les investisseurs et épargnants…
TRIBUNE : Il lui aura fallu trouver les mots justes : « Le secteur bancaire de la zone euro est résilient, avec de solides positions en capital et en liquidités, que nous pouvons allouer au système financier de la zone euro si nécessaire ». Ainsi s’est exprimée la patronne de la BCE, Christine LAGARDE, le 17 mars.
L’emballement a débuté le 13 mars en Californie, après la faillite de la banque américaine « SVB », et les images de centaines de clients venus retirer leur argent. La banque s’est trouvée dans l’impossibilité de trouver les liquidités nécessaires…De triste mémoire pour les nostalgiques.
Cette annonce est intervenue quelques jours après la liquidation de "Silvergate Bank", un établissement surtout présent dans les crypto monnaies. Cela a surpris les investisseurs et a ravivé les craintes sur la solidité de l'ensemble du secteur bancaire, notamment avec la rapide montée des taux d'intérêt qui fait baisser la valeur des obligations dans leurs portefeuilles. De quoi déclencher un mouvement de panique sur les marchés, où les quatre plus grandes banques américaines ont perdu 52 milliards de dollars en peu de jours.
Les spécialistes tentent de se rassurer…
En quelques jours, le Crédit suisse et le fond américain « First Republic » ont dévissé à leur tour. Les deux banques, monuments de la finance helvétique, ont des profils très similaires. C'est une fusion emblématique pour le secteur bancaire européen : le géant helvète « UBS » va racheter son grand rival le Crédit suisse, en grande difficulté après s'être effondré en bourse la semaine passée (l’action est en berne !). L’inquiétude a gagné les marchés. Sur l’ensemble de la semaine, BNP (14,11 %), Crédit Agricole (9,23 %) et Société Générale (16,81 %) ont vu leurs actions plonger. Peut-on revivre la crise bancaire de 2008 ? Non, selon les spécialistes.
La faillite de la SVB est emblématique à plus d’un titre. D’abord, il est important de réaffirmer qu’une banque peut faire faillite et ce, quelle que soit sa taille. D’autre part, la SVB, après des investissements financiers désastreux, les clients de la banque ont quasiment tous demandé le retrait de leurs fonds déposés : c’est la base même de la banqueroute.
Une situation bien différente de 2008…
Les experts scrutent désormais un possible effet sur des plus grandes banques, nationales, et donc le fameux effet domino. « Le seul problème, c'est qu'on ne sait pas tout pour l'instant. Je pense qu'il faut être honnête, on ne sait pas quelles sont les ramifications de cette banque avec d'autres banques américaines. Si de grands établissements américains sont concernés, alors là, il y a effectivement un danger », souligne l'économiste Marc TOUATI. Ajoutons tout de même que les deux banques qui ont fait faillite aux Etats-Unis étaient la référence du Bitcoin…
En revanche, les observateurs sont unanimes : la situation est très différente de celle en 2008. Aujourd’hui, le cas de « Silicon Valley Bank » est circonscrit aux États-Unis et au seul secteur des nouvelles technologies. « La bourse réagit parce qu’elle comprend que c’est la fin de la bulle du numérique », explique l’économiste. « Mais il y a quand même une bonne nouvelle : nous ne sommes pas face à « LEHMAN Brothers » qui était la banque d’affaires du monde entier. Quasiment toutes les banques du monde y étaient liées… ajoute-t-il.
Les problèmes rencontrés par la banque « sont très spécifiques » et ne sont pas de nature « à affecter l'ensemble du secteur bancaire, encore moins les grandes banques », abonde Ken LEON, analyste pour le cabinet CFRA.
De fait, depuis la crise financière de 2008/2009 et la faillite de la banque américaine « LEHMAN Brothers », les banques doivent donner des gages renforcés de solidité à leurs régulateurs nationaux et européens. Elles doivent par exemple, justifier d'un niveau minimal de capital plus important destiné à éponger les éventuelles pertes.
Les garanties de l’Etat aux personnes physiques et aux comptes professionnels…
Les autorités américaines ont rapidement annoncé que les clients ne seraient pas lésés. Rappelons au passage que pour les banques françaises, l’Etat apporte des garanties spécifiques aux clients « personnes physiques » : 100 000 euros par personnes et par banque. Même garantie pour les comptes des commerçants, artisans et professions libérales. Pour les sommes exceptionnelles déposées : la vente d’un bien immobilier, la donation, l’héritage… la limite d’indemnisation de 100 000 euros est relevée de 500 000 euros pendant trois mois. Les dommages corporels sont couverts sans limites de montant.
La faillite de SVB pourrait aussi avoir des répercussions sur l'écosystème des startups et des VC (Venture Capital) en France. De nombreuses startups françaises ont des liens étroits avec la « Silicon Valley ». Certaines d'entre elles ont peut-être des comptes chez « SVB ». Celle-ci se targuait d'avoir pour clients « près de la moitié » des entreprises technologiques et des sciences du vivant, financées par des investisseurs américains. La mise en liquidation ordonnée de la banque va leur permettre de récupérer jusqu'à 250 000 dollars par client, soit le maximum garanti par la FDIC. Mais, selon le rapport annuel de « SVB », la partie des dépôts non assurée se montait à environ 96 % du total des 173 milliards de dollars confiés à l'établissement.
Quelles précautions prendre ?
Tout d’abord, pour les plus fortunés, si vous avez plus de 100 000 euros sur un compte bancaire, ouvrez autant de comptes, dans des établissements différents, par fraction de 100 000. Faut-il vendre ses actions ? C'est même, bien généralement la pire chose à faire, puisque vous raterez très probablement le rebond.
Prenons un exemple : vous avez acheté 10 actions au cours de 80 euros – le cours passe à 30 : perte potentielle évaluée à 800 – 300 = 500 euros. Prudent, vous n’avez pas vendu mais acheté 10 titres à 30 (rachat à la baisse). Le rebond permet au titre de remonter à 65. Vous revendez 20 actions à 65 euros, soit 1 300 euros. Gain : achat de 10 titres à 80 et 10 titres à 30, le total déboursé est de 800+300 = 1 100 euros. La vente permet d’encaisser 1 300 euros, donc un bénéfice de 200 euros – à comparer à la perte de 500 euros si vous aviez tout vendu dès la chute des titres…
Lorsque la bourse perd 20, 30 ou 40 %, il est généralement trop tard pour vendre ses titres. Pour mieux anticiper, la meilleure solution est de bien diversifier ses placements et de se montrer patient. La diversification boursière, c’est de répartir les titres sur des secteurs différents en évitant pour l’instant les banques (ne pas vendre et attendre le rebond) et les startups.
En conclusion, aujourd’hui pas de panique mais de la prudence dans l’orientation des placements et diversifier les placements boursiers !
Jean-Paul ALLOU
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Le SNAFOT réunit près de 80 spécialistes européens sur l’AFF’ Tech : un salon pro bien affûté à AUXERREXPO…
mars 27, 2023D’Allemagne, de Belgique, de Suisse, d’Italie mais aussi de Grande-Bretagne : les experts de l’affûtage et de la rectification n’ont pas hésité à venir des quatre coins de l’Europe, ce week-end, afin de prendre part au traditionnel rendez-vous biennal du Syndicat des Affûteurs Français d’Outils Tranchants (SNAFOT). Un évènement industriel de très belle facture, accueillie à Auxerre…
AUXERRE : « Ce fut un très beau salon ! ». Quelques mots suffirent pour le directeur du parc des expositions géré par Centre France Evènements, filiale du groupe de presse régional, Sébastien FUENTES pour résumer ce qui fut un week-end constructif et convivial pour les spécialistes européens de l’affûtage et de la rectification.
Des industriels en provenance de plusieurs pays du Vieux Continent qui se retrouvent à raison d’un rendez-vous organisé tous les deux ans par l’organisme fédérateur dédié à cette filière : le SNAFOT, le Syndicat national des Affûteurs Français d’Outils Tranchants.
Apparu en 1976, voilà près de cinquante ans, cet organisme se veut être rassembleur parmi cette caste spécifique de la vie industrielle, se présentant comme une association professionnelle désireuse de créer des liens et de partager des informations. Une structure qui se plaît à mettre en exergue la promotion de ses métiers, par le biais de ses différents centres de formation mais aussi cet évènement qui a posé ses jalons en terre de l’Yonne, trois jours durant.
Des retrouvailles après quatre ans de disette imputable à la COVID !
Ce salon, baptisé « AFF’ Tech », aura ainsi facilité les échanges entre ses participants tant les industriels que leurs fournisseurs et clients ; d’autant que ces derniers n’avaient pas eu l’occasion de se revoir depuis bientôt…quatre ans ! La COVID ayant eu raison de la précédente édition de 2021, programmée à Reims.
Cette fois-ci, il n’en fut rien. Aucune perturbation en vue durant ces trois journées de travail et de cordialité à AUXERREXPO, devenu le temps d’un week-end, la capitale européenne de ce secteur industriel, peu connu du grand public…
Thierry BRET
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La réussite aux examens est de 92 % : le Pôle Formation 58-89 garantit à 87 % l’employabilité des jeunes à six mois…
mars 24, 2023Solidement implanté dans le paysage icaunais depuis plus d’une trentaine d’années, le Pôle Formation 58-89 de la Maison de l’Entreprise a permis à des milliers de jeunes de découvrir le monde de l’industrie, au travers de formations de tous niveaux. Du CAP au Mastère en passant par le BTS ou la licence. Avec à la clé, un avenir professionnel assuré. Tant les offres d’emploi sont légion aujourd’hui dans ce secteur longtemps décrié et souvent méconnu…
AUXERRE: Pour sa seconde journée « Portes Ouvertes » de l’année, le site auxerrois du Pôle Formation a une nouvelle fois fait le plein de visiteurs, l’occasion pour beaucoup de découvrir toutes les vertus de l’apprentissage en alternance.
C’est en 1990 que fut créé à Auxerre l’Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie (ITII), le premier de ce type à voir le jour dans l’Hexagone, rappelle Olivier LASSAUSSE, directeur général adjoint du Pôle Formation : « il y avait alors une vraie ambition du ministère, à trouver une solution en alternance pour former les futurs ingénieurs qui manquaient vraiment à l’époque… ».
Les années ont passé. Il n’est pas rare désormais de voir les jeunes apprenants accueillis chez un maître d’apprentissage ayant lui-même fait ses classes sur le site. Si le Pôle Formation 58-89 prépare depuis sa création aux métiers d’avenir de l’industrie, l’offre s’est aujourd’hui étoffée, avec des partenaires comme EPSI, l’école d’ingénierie informatique ou l’école de management IFAG.
Plus de 3 000 personnes sont ainsi formées chaque année sur les quatre sites présents en Bourgogne (Auxerre, Nevers, Sens et Joigny), avec à la clé des chiffres impressionnants : 92 % de réussite aux examens pour plus de 87 % de jeunes en emploi à six mois au sortir de leur formation.
Dernier à ouvrir sur le site auxerrois : l’IET (Institut des métiers de l’Environnement et de la Transition Ecologique) forme aux métiers liés à l’environnement, au développement des territoires ainsi qu’au management en développement durable. Un cursus accessible à partir d’un BAC + 3, désormais ponctué depuis l’an dernier par un Mastère.
La pénurie de main d’œuvre fait grimper les salaires…
La grande force de l’enseignement dispensé ici, souligne Olivier LASSAUSSE, étant le système de filière mis en place, à l’exemple du cursus maintenance où la validation d’une Certification Qualifiante Paritaire de la Métallurgie. Cela suffit à ouvrir les portes du Bac pro et d’un BTS, avec la possibilité de poursuivre jusqu’au « Bachelor » de niveau 6 : « une réponse apportée aux jeunes pour les emmener le plus loin possible dans le niveau de formation, le tout en alternance. Quand on sort d’ici avec un BAC + 3, l’on est déjà opérationnel pour rentrer de suite dans la vie professionnelle et le taux d’employabilité s’en ressent… ».
Si les secteurs de l’informatique, du management et de l’ingénierie ont aujourd’hui parmi les formations proposées, le vent en poupe, d’autres peinent à recruter, à l’instar des métiers liés à l’usinage : « le plus souvent, le jeune sortant de 3ème ne sait pas ce qui se cache derrière et en a une image encore négative. A ses yeux, c’est difficile, c’est sale, c’est bruyant ! On se bat contre ça alors que ce sont de véritables niches notamment en aéronautique, où la demande des entreprises est grande… ».
Une pénurie de main d’œuvre qui fait grimper les salaires : « un bon soudeur, un bon chaudronnier, peut très vite atteindre les 3 000 euros par mois ». Autre secteur en tension, celui de la formation continue à l’adresse des salariés ou des demandeurs d’emploi, où l’on peine à monter des groupes de travail : « il y a clairement un avant et un après COVID à ce sujet et l’envie d’aller en formation a fortement chuté. Aujourd’hui, quand on lance une promo pour des CQPM, que ce soit en soudure, en maintenance ou en conduite de ligne, réussir à réunir dix personnes est devenu très compliqué… ».
Responsable de ce département mais aussi de l’insertion auprès d’un public souvent éloigné de l’emploi, Laure MINCHENEAU connait bien le phénomène : « aujourd’hui, il y a toute une frange de gens sous les radars et une autre qui s’imagine ne pas être « en capacité de ». C’est à nous d’aller les chercher, les rassurer, les accompagner et même si l’on a parfois l’impression que la montagne accouche d’une souris, avec un engagement économique colossal au regard du nombre de sorties positives vers l’emploi qui en résulte, chacune a son importance, conduisant la personne à retrouver de la dignité dans le travail et l’autonomie… »
On ne tarit pas d’éloges sur le système de l’alternance en vigueur…
Attendant patiemment dans le hall que son ancien formateur se libère, Lucas est présent ce matin-là pour lui donner quelques nouvelles. Bac Pro Maintenance Equipements Industriels en poche, cet Auxerrois s’est depuis, « exilé » à Dijon, ayant fait le choix de s’orienter vers un BTS Electro Technique.
Lui aussi ne tarit pas d’éloges sur le système d’alternance en vigueur : « je recommande à 100 % ! C’est sans pareil pour découvrir le monde de l’entreprise, ses contraintes, ses avantages, avec la présence rassurante d’un maître d’apprentissage qui est vraiment là pour nous épauler… ».
Sympathique et plein d’allant, cet ancien apprenant du Pôle formation 58-89 confesse un parcours un peu chaotique au sortir de l’adolescence et l’enchaînement de « petits boulots » : « je me suis vite rendu compte de l’instabilité de la chose à long terme et quand un membre de ma famille, passé lui aussi par ici, m’a proposé de le rejoindre et commencer une formation en alternance, j’ai dit oui ». Sans grande conviction au début reconnaît-il et puis un jour, le déclic : « je me suis rendu compte de choses dans le monde de l’industrie dont je n’avais absolument pas idée et le hasard a vite fait place à la passion… ».
Avec un tel bagage, nul doute que lui non plus ne devrait pas avoir trop de mal à se trouver un employeur une fois entré dans la vie active. Un « mariage » réussi, souligne d’un sourire Olivier LASSAUSSE : « c’est le terme que l’on emploie dans notre jargon interne pour évoquer l’association d’un jeune et d’une entreprise et l’on s’efforce à faire le moins de divorces possibles ! »
Dominique BERNERD
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Conférence : la Franc-Maçonnerie se dévoile en pleine lumière autour de ses valeurs et celles de la République
mars 23, 2023Elles sont suffisamment rares ces initiatives, il ne faut donc point les ignorer. D’autant qu’elles répondent à un seul et unique objectif : en finir avec l’image véhiculée par ces structures auprès de l’opinion publique, entre secrets, complots et mystères ! La Franc-maçonnerie s’attèle à faire toute la lumière ou presque sur ce qu’elle représente, à travers ses valeurs et celles de la République française. Ce sera précisément la thématique choisie par le grand maître du Grand Orient de France, Georges SERIGNAC, en conférence exceptionnelle ce 28 mars à Joigny.
JOIGNY : Démystifier et expliquer ce qu’est réellement la Franc-Maçonnerie dans la France d’aujourd’hui ! Voilà en filigrane l’objectif avoué du Grand Orient de France (GODF) qui proposera le 28 mars prochain à la salle Claude Debussy une passionnante conférence animée par le plus haut dignitaire de ses représentants, le grand maître national, Georges SERIGNAC.
En évoquant les valeurs de cet ordre philosophique au service de la République française, le Grand Orient de France (GODF), l’une des obédiences maçonniques en exercice dans le pays – elle a été la première de ces structures prônant les vertus de la fraternité à avoir été créée sous la direction du duc d’Orléans - entend bien remettre les pendules à l’heure de la véracité, éradiquant au passage toutes les rumeurs les plus folles circulant sur la toile, depuis l’assimilation à une secte ou à une religion, voire un réseau de conspirateurs, étroitement liés, aux « Illuminatis » !
« Cette conférence a pour but de montrer ce qu’est vraiment la Franc-Maçonnerie, explique l’un des membres de la loge auxerroise des « Frères Unis », à l’origine de ce rendez-vous oratoire, beaucoup de choses se propagent sur Internet renforçant l’opinion négative de nos initiés… ».
Une plongée maçonnique à travers l’histoire de la France…
Lors de cette soirée, le grand maître du Grand Orient de France montrera le rôle essentiel de la Franc-Maçonnerie aux XIXème et XXIème siècle dans la proposition de lois sociales. En effet, les membres du Grand Orient de France ont abordé de nombreux sujets sociétaux, notamment par ses travaux. Ceux-ci sont à l'origine de grandes avancées sociales et républicaines comme par exemple : la séparation des Eglises et de l'Etat, la liberté d'association, la protection sociale, les mutuelles, les congés payés, le planning familial, le droit à l'avortement, la contraception, le mariage pour tous, la dignité en fin de vie, etc.
Seront également évoqués les œuvres des maçons célèbres à l’instar de Victor SCHOELCHER, Jules FERRY, Léon BOURGEOIS, Henri LAUGIER, Jean ZAY, Henri CAVAILLET,...
Bref, le public pourra découvrir la réalité de cette structure associative et son rôle au service de l’humanité.
En savoir plus :
Conférence publique du Grand Orient de France le mardi 28 mars à 18h30 à la salle Claude Debussy 61, rue Saint Jacques à Joigny sur « Les valeurs de la Franc-Maçonnerie et la République Française ».
Elle sera animée par le Grand Maître du Grand Orient de France, Georges SERIGNAC.
Inscription
https://framadate.org/tYBGyHQRadG8ao4Y
Renseignements et contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Thierry BRET
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Transformation digitale : DSI ACTIVE livre les clés du bonheur pour doper le business des TPE/PME
mars 23, 2023Curieux paradoxe que celui-là ! Alors que la transformation digitale est dans l’ère du temps, que sa formulation sémantique et ses effets induits circulent sur toutes les lèvres parmi les sphères entrepreneuriales autorisées, plus de 60 % des décideurs économiques, ceux issus des TPE/PME, ne l’ont pas encore entamé ! Une étrangeté que souhaite corriger DSI ACTIVE par le biais de ses conférences didactiques…
APPOIGNY : A la question liminaire « Comment réussir sa transformation digitale ? » - elle servait de point de référence à la causerie explicative proposée par Cyril ROUALET, directeur technique en systèmes d’information à temps partagé pour le compte de DSI ACTIVE dans l’Yonne -, nul n’aurait su vraiment répondre parmi l’assistance. Tant le sujet est vaste, éclectique à souhait et surtout très complexe à aborder car il existe une noria de chausse-trappes dans lesquelles les entrepreneurs ne doivent pas tomber s’ils veulent véritablement optimiser leurs résultats.
Certes, ce n’était pas la grande foule, qui était accueillie dans l’un des salons de l’hôtel Mercure, pour suivre cette explication de texte déclinée par l’une des structures spécialisées dans le domaine. Dommage !
Car, les propos entendus sur place permettaient de mieux saisir et comprendre les réels enjeux et besoins, pour un dirigeant de société, de réussir les diverses étapes le menant vers cette transformation digitale indispensable dont on nous rebat les oreilles depuis si longtemps.
Des freins qui perdurent auprès des entrepreneurs…
On savait les artisans et les commerçants encore rétifs, voire frileux, à la digitalisation maximale de leurs activités. Force est de constater que cela n’est pas tout ! Le secteur industriel n’est pas mal non plus sur cette réticence récurrente. En fait, ce sont en très large majorité les responsables de TPE/PME qui éprouvent le plus de difficulté à passer le Rubicon de ce modernisme technologique, au demeurant nécessaire à l’heure actuelle, au vu du contexte sociétal et de la mondialisation.
Craintes face à la complexité technologique, peurs du manque de compétences en interne, réfractaires aux changements et aux nouveautés, les patrons de TPE/PME – ils ont aussi le nez dans le guidon sans avoir de temps à consacrer à ces pirouettes technologiques évolutives ! – freinent des quatre fers, le plus souvent sur ce dossier, même si leurs avis sont positifs sur le sujet.
C’est là qu’interviennent Cyril ROUALET et ses équipes. D’une part, en organisant de ce type de conférences régulières, ouvertes aux entrepreneurs désireux en apprendre davantage sur la méthode menant à cette transformation numérique qu’ils jugent nécessaires et pour y être accompagnés.
L’argument est simple : les entreprises souhaitent sécuriser leur avenir et font du digital un élément à indexer à la rentabilité de leurs affaires.
Un trousseau de cinq clés utiles à l’emploi…
En guise de solutions, le réseau national de la transformation digitale dépose dans la corbeille de la mariée – l’entreprise avec laquelle il fera affaire ! – un trousseau comprenant cinq clés afin de réussir le projet.
Des clés qui se rapportent à la clarification et la quantification des enjeux, à l’évaluation et l’amélioration de la performance, au changement d’organisation de l’entreprise vis-à-vis du digital, à tester et garantir ses nouveaux choix et enfin à adopter les avantages du cloud.
Fort de ces arguments, il n’y a plus qu’à franchir le pas et à passer à l’action ! Il est donc temps de moderniser ses outils…
Thierry BRET
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