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« L’Ethiopie, la ferveur et la foi » : la tolérance et le mysticisme de tout un peuple se découvrent avec bonheur au Centre hospitalier de Tonnerre…
février 10, 2018Dans ce vaste pays constitué de hauts plateaux et situé dans la corne de l’Afrique, les antagonismes opposant d’ordinaire les communautés chrétiennes et musulmanes n’ont pas lieu d’être. Ce berceau de l’humanité abrite de nombreuses croyances qui y vivent en étroite osmose et parfaite harmonie. C’est le sens profond de cette foi partagée et de ce respect inébranlable en l’autre où se confondent altruisme et humilité qu’ont voulu traduire, au gré d’illustrations photographiques de très belle maîtrise et de textes emplis de lyrisme et de poésie vagabonde, les deux artistes Paola VIESI (photographie) et Elisabeth FOCH (rédactionnel) qui estampillent ce travail commun. Accueilli comme un symbole dans l’antre même de ce qui fut hier encore la pharmacie des pèlerins en quête de secours, consolation et espoir au cœur de l’actuel Centre hospitalier de Tonnerre jusqu’au 25 mars, ce voyage initiatique, fait de portraits et d’écrits, s’appréhende dans la grâce et la sérénité au cœur de l’ex-empire du Négus Hailé SELASSIE.
TONNERRE : Accrochés à leurs cimaises, neuf portraits dévisagent les visiteurs qui pénètrent dans ce vaste espace dédié dorénavant aux expositions artistiques et culturelles. Si autrefois, cet endroit faisait fonction de pharmacie hospitalière pour panser les plaies des corps et soigner les blessures de l’âme des pèlerins, il n’en est plus rien aujourd’hui dans sa nouvelle configuration.
Pourtant, les œuvres dévoilées jusqu’à la fin du mois de mars possèdent de réelles réminiscences avec ce site chargé d’histoire. La piété de ces femmes et de ces hommes, venus d’un autre monde, celui de cette Afrique oubliée et méconnue de nos concitoyens, crée ce lien indéfectible entre ces différents univers. Les croyances de l’humanité, si souvent décriées dans notre société contemporaine et causes de multiples entraves belliqueuses de par la planète, trouvent ici un havre de paix pour s’y poser. Sans l’ombre d’un quelconque prosélytisme.
Les portraits de pèlerins chrétiens et musulmans en recherche de sagesse…
Prendre le soin de se plonger attentivement dans le regard de ces neuf personnages qui fixent l’objectif de Paola VIESI, qui a pourtant réalisé ses prises de vues à la dérobé et en toute discrétion, c’est aussi s’ouvrir vers le monde. Et l’inconnu. Celui de ces enfants et de ces femmes enrubannées de leurs pèlerines, de ces hommes à la fleur de l’âge qui recherchent à la lecture des textes sacrés les tréfonds de la vérité.
Moines, prêtres, nonnes, ermites, pèlerins…ces visages graves et concentrés sont en quête de leur Graal intérieur. Qu’ils soient orthodoxes, chrétiens ou musulmans. Une fois l’an, ces chercheurs de la paix intérieure cheminent le long des routes par n’importe quel moyen de locomotion pour se rendre vers deux lieux de culte. A LALIBELA où ils y célébreront « Ledet ». Ou vers le mausolée de Sheikh Hussein afin d’y vivre le « Dhû l’Hijja ».
Paola VIESI et Elisabeth FOCH ont eu la chance de pouvoir s’immerger sur une longue période dans ce pays authentique aux 280 dialectes. De cette expérience unique, les deux artistes en ont tiré un ouvrage publié aux éditions Actes Sud.
« A travers nos écrits et visuels, explique Elisabeth FOCH, ce livre explique le cheminement de ces deux pèlerinages essentiels en terre éthiopienne. Au contact de ces femmes et de ces hommes pieux qui accomplissent ce double rituel selon leurs croyances. Celles-ci leur permettent de survivre dans un environnement complexe, parfois hostile, malmené par les chaos de l’histoire. La rencontre avec les éléments (la terre, les cendres qui possèdent des vertus curatives, les animaux…) procure à ces personnes une foi inéluctable leur donnant accès à une autre dimension par la transe ou par le jeûne ».
Fascinée par l’Afrique, la photographe romaine Paola VIESI a troqué son parcours professionnel vécu dans les ressources humaines pour développer ses qualités artistiques spécialiste des clichés inattendus.
« L’Afrique est à l’origine de l’art contemporain qui a changé le point de vue sur le classicisme, concède-t-elle, depuis 2002, mon objectif est de montrer les valeurs de ce continent, en collaboration avec l’UNESCO… ».
Une terre originelle source de spiritualité…
Cela s’est concrétisé par la découverte d’une trentaine de pays dont l’Ethiopie où elle s’est installée durant une décade. Sa rencontre avec la journaliste Elisabeth FOCH fut déterminante sur la construction de ce projet aujourd’hui abouti.
« Je me suis vraiment immergée dans ce pays en imaginant le contexte de ce que j’avais lu dans la Bible, explique-t-elle, l’Afrique offre réellement la possibilité de comprendre les origines de l’homme. Cela m’a toujours attirée de découvrir ces hauts lieux où la spiritualité surgit de l’élément physique… ».
Zone tampon entre les cultures arabes et chrétiennes, le pays est un trait d’union important au plan religieux. « Je le considère comme l’Himalaya de l’Afrique pour ses aspects spirituels, lâche l’écrivaine. Mon premier séjour fut programmé en 1976. J’y suis retourné depuis à maintes reprises et toujours avec la même envie personnelle… ».
Cette quête initiatique vécue dans ces lointaines contrées aura même redonné un sens à sa propre existence. Comme les pèlerins qui, dotés de leur foi viscérale, vivent leurs quêtes dans le pouvoir de protection et de guérison sur une terre criblée de symboles. Et bénie des dieux ?
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Le Centre d’examens de santé comble les carences vaccinales de la population en élargissant son offre de services…
février 07, 2018Applicable dès le 01er mars, ce nouveau dispositif sanitaire concernera les assurés sociaux de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne qui procèdent de manière régulière à un bilan de santé (anciennement les examens périodiques de santé). Coordonnée en collaboration avec le Centre hospitalier d’Auxerre, cette mission visant à lutter efficacement contre certaines pathologies infectieuses aura pour objectif de contrôler et surtout d’actualiser le carnet de vaccination de ces personnes. Une statistique intéressante a justifié cette stratégie de précaution encouragée par le Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie : avec près de 8 500 bilans de santé réalisés chaque année, il s’est avéré que 1 500 assurés consultants n’étaient pas à jour de leurs vaccinations. A l’instar de près de 60 % des adultes vivant dans notre pays…
AUXERRE : Vingt-quatre mille cas de rougeole ont été décelés en France pour la seule année 2017. Six cents malades ont souffert de coqueluche alors qu’ils auraient pu éviter cette infection si leurs rappels de vaccins avaient été respectés. Ces observations se multiplient de plus en plus dans l’hexagone, plongeant dans l’inquiétude les praticiens de la médecine généraliste qui souhaitent changer les mentalités, et surtout éradiquer les « a priori » contre les vaccins.
Or, grâce à de simples injections, beaucoup de maladies se sont raréfiées sur la planète. Mais, d’autres pathologies subsistent encore. L’efficience des vaccins prend son salut dans la récurrence de ces injections grâce à des rappels proposés à des tranches d’âge précises : la petite enfance, à 25 ans, à 45 ans et à 65 ans.
Mais, une large majorité d’adultes passent le plus souvent à travers les mailles du filet sanitaire par ignorance, par insouciance, voire par oubli. Et pour certains, par une volonté farouche à ne pas s’y soumettre.
Le bilan de santé, étape obligatoire menant à la vaccination
C’est au moment du bilan de santé (un examen pris en charge par la CPAM et proposé dans les locaux du CES) que le patient bénéficie d’un état des lieux exhaustif de sa situation sanitaire à l’aide de différents examens. A Auxerre, ils sont cinq médecins qui déclinent leurs sciences dans cet exercice. Schématiquement, c’est au cours de l’une de ses consultations que le médecin vérifie le carnet de santé afin de pallier aux manques. Diphtérie, rubéole, tétanos, polio, oreillons, coqueluche, rougeole…si le carnet de vaccination recèle des carences, elles seront réparées sur le champ avec l’accord du patient.
« Naturellement, explique le docteur Saïd BROUCHE, médecin-chef du Centre d’examens de Santé d’Auxerre, la vaccination est intégrée au bilan de santé et requiert simplement une inscription de la part du patient. La priorité sera donnée aux personnes vivant en situation précaire… ».
Cependant, le déroulé de ce rattrapage vaccinal ne se limitera pas uniquement aux actions menées dans les services de soins du Centre d’examens de santé. Les unités mobiles interviendront dans les territoires en déficit de généralistes, sur les secteurs d’Avallon, de Sens et de Tonnerre.
Cette nouvelle offre de services sera accessible gracieusement. Même s’il en coûte de 5 à 6 euros pour l’acquisition d’un vaccin à l’unité. Un budget intégralement financé par la CPAM.
Pour l’heure, ni le docteur BROUCHE, ni Etiennette BERROUET, sous-directrice de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, ne savent exactement combien de personnes régulariseront leur carnet de santé dès le premier mars. Une estimation circule néanmoins dans la bouche du médecin-chef du CES qui annonce le chiffre de 700 personnes pouvant constituer le contingent initial de ces futurs vaccinés.
La population en situation difficile intègre les priorités…
Créé en 1969, le Centre d’examens de l’Yonne accueille plus spécifiquement des personnes en précarité dans ses services.
« Notre rôle porte sur le dépistage et la prévention envers les personnes qui ne peuvent accomplir leurs parcours de santé. Lorsque ces patients procèdent au bilan de santé, ils bénéficieront de plusieurs examens de type biologique, des recherches sérologiques, un examen dentaire, de la biométrie, des tests d’acuités visuelles et auditives, etc. ».
Parmi le public ciblé de manière prioritaire, on retrouvera les bénéficiaires du RSA, les chômeurs de longue durée, les jeunes âgés de 16 à 25 ans en insertion, mais aussi les enfants et les personnes âgées en situation sociale délicate.
Cette action préventive à long terme sera mesurée par ailleurs d’ici une décennie pour en connaître les véritables effets sur la santé publique.
Respectueuse de la procédure mise en œuvre depuis le 01er janvier 2016 par la convention nationale, cette campagne vaccinale de rattrapage constitue l’un des éléments moteurs enclenchés cette année par la Caisse primaire d’assurance maladie afin d’optimiser et d’élargir les services de soins à l’ensemble de la population.
Dès l’automne, la généralisation du DMP (dossier médical personnalisé) prendra le relais au plan médiatique avec la ferme intention de suppléer le fameux carnet de santé et sa mouture initiale de 1992 qui n’ont jamais su s’imposer dans le quotidien fonctionnel des Français.
Ce nouvel outil aux contours judicieux résoudra peut-être l’absence chronique de vaccination dès que nos concitoyens entrent dans l’âge adulte…
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Yannick DAVOUSE (IDXPROD) partage les idées nouvelles glanées à Las Vegas avec des entrepreneurs de l’Yonne
février 05, 2018Membre de la délégation des 17 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté qui ont eu le privilège d’être immergés du 09 au 12 janvier au Salon international de l’électronique à Las Vegas (le fameux « Consumer Electronic Show »), le dirigeant de la société IDXPROD à Auxerre a fait montre de valeurs altruistes en conviant la semaine dernière une trentaine d’entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les évolutions technologiques qui se concoctent au niveau planétaire par des start-ups imaginatives. Didactique dans ses propos et incitatif par son geste ouvert à la mobilisation, l’initiative impulsée par le président de la structure « YONNE NUMERIQUE » aura permis à chacun de se faire une idée précise sur les grandes tendances high-tech de demain…
AUXERRE : Manifestation annuelle à la renommée internationale, le C.E.S. de Las Vegas (Etats-Unis) fait figure d’étape incontournable pour les acteurs de la filière électronique. L’édition 2018 n’aura pas dérogé à la règle des rendez-vous antérieurs avec sa grandiloquence coutumière liée à ses infrastructures logistiques et à son avalanche de nouveautés issues des têtes bien pensantes qui rivalisent chaque année d’ingéniosité à travers leurs start-ups.
Robotiques, réalité augmentée, véhicules se conduisant de manière autonome, images numériques, réseaux, jeux, technologies émergentes, audiovisuel…les plus grandes innovations autour de l’intelligence artificielle, des objets connectés ou de l’impression 3D y auront trouvé grâce : elles auront émerveillé les visiteurs se promenant dans les allées qui avec leurs regards de gamin ont eu la sensation de vivre une réalité onirique…A l’exemple de Yannick DAVOUSE, l’entrepreneur Icaunais à la tête de sa société IDXPROD…
Avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté, le dirigeant auxerrois a eu l’opportunité de se rendre en Amérique du Nord en compagnie de seize autres chefs d’entreprise, tous adhérents comme lui du cluster numérique régional, Bourgogne Franche-Comté Numérique. Les décideurs économiques ont pu parcourir les travées de ce maelström technologique indéfinissable où ils auront côtoyé les génies de la technologie du futur, soit 4 000 exposants en provenance de 150 pays pour une affluence de 170 000 personnes.
Une vision approfondie d’un marché de 120 milliards de dollars…
A Auxerre, dans ses bureaux qu’il occupe au sein de la pépinière d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Yannick DAVOUSE a su créer le climat propice pour résumer ce qu’il avait vu sur place. Et évoquer en substance et en l’illustrant de la manière la plus visuelle possible ce que seront les tendances consuméristes issues de ce CES 2018 en matière de technologie.
Commentant la réalité économique de ce marché à fort potentiel, Yannick DAVOUSE ne lâcha qu’un seul chiffre mais de taille : 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires obtenus d’ici quelques années ! Toutefois, certains freins au développement de nouvelles gammes de produits pouvaient ralentir leur croissance.
« Prenons l’exemple de la réalité augmentée, lança-t-il en guise d’explications, au bout d’une vingtaine de minutes, l’utilisateur peut ressentir des sensations nauséeuses et un mal-être qui peuvent induire des vertiges. Pourquoi vit-on cela ? Parce qu’il y a un phénomène incommodant pour l’être humain. Le cerveau ne peut pas tout absorber d’où ces problèmes engendrés au niveau des sensations visuelles. Mais aujourd’hui, les grands leaders de ces marchés injectent beaucoup d’argent pour résoudre cela… ».
Les nouvelles technologies du futur en cinq tendances…
Puis, tour à tour, et en cinq grands chapitres, Yannick DAVOUSE détaillera les axes stratégiques de ces grandes tendances technologiques qui se présentent à nous.
A l’instar de l’AI (intelligence artificielle) qui est désormais abondamment employée dans le monde de l’automobile avec la présence de système de caméras embarquées. Elles facilitent la lecture des panneaux qu’elles identifient avant le passage du véhicule.
A l’instar aussi du « CHATBOT », un robot aux vertus novatrices qui, grâce à un logigramme, accomplit des tâches de plus en plus intelligente telles que l’analyse des informations en utilisant des formules polies, directes, construites.
« Ces appareils pratiquent la reconnaissance d’objet : on prend les colis sous le contrôle d’une caméra et cela va générer des habitudes de courses, à partir de listing et de base de données, tout en s’adaptant aux besoins des consommateurs. En fait, preuve d’une interconnexion importante, les objets vont connaître toutes vos habitudes… ».
Avec le « Voice Contrôle », on s’exprime via une interface à un appareil muni de micros qui répond. La voix devient dominante dans la relation que l’humain entretient avec la machine. C’est la porte ouverte au marché de l’économie du son telle que l’envisage déjà le programme économique régional DEFISON.
Le quatrième item expliqué par Yannick DAVOUSE fera référence à l’IoT, c’est-à-dire « Internet of Thing ».
« Tous les objets sont connectés entre eux, depuis la cafetière jusqu’à la voiture, en pensant par la domotique. Tous ces appareils sont reliés à l’ordinateur et au cloud. « IoT» : c’est une connexion au monde. BIG DATA en est aussi une illustration tangible…Argument différenciant : c’est la sécurité qui est au centre des enjeux pour rassurer les gens ».
Reste le point 5 : le « Smart Building », c’est-à-dire la migration vers les services.
« De plus en plus, on se situe sur des notions de confort et de partage des informations entre nous. Par exemple, dans le domaine de l’automobile, on achète plus le véhicule. On le loue avec de la maintenance et de la tranquillité sans être propriétaire. Dans le bâtiment, on achète des usages du service, de la fonctionnalité et de la capacité… ».
Ne plus être des chefs d’entreprises français complexés…
Aujourd’hui, poursuivit l’entrepreneur Icaunais, « on parle de moins en moins de start-up (vendre de la technologie avec une maîtrise particulière) mais de « smart up » pour vendre du service et de l’intelligence… ».
Ainsi, dans le milieu agricole, les tracteurs se négocient avec des cellules GPS qui pilotent l’engin et en assurent la parfaite mobilité. Pendant ce temps-là, l’agriculteur peut assumer d’autres fonctions dans ses champs.
Rappelant que le territoire de l’Yonne possédait une très belle cote au niveau du numérique, Yannick DAVOUSE a voulu donner de la positivité et de la dynamique en partageant ses connaissances ramenées depuis Las Vegas.
Il incite déjà les entrepreneurs locaux à se rendre au salon ISE d’Amsterdam prévu en 2019 et pourquoi pas de représenter comme lui, les 320 entreprises françaises de la French Tech invitées aux Etats-Unis en janvier prochain.
« Cessons d’être complexés ! Ne nous posons plus de questions alors que les autres pays s’engouffrent sur le marché mondial. Il nous faut changer de mentalité et faire triompher le savoir-faire de nos entreprises, start-ups et PME, qui n’ont absolument rien à envier à celles des autres nations… ».
Le message de Yannick DAVOUSE, on l’imagine, aura été reçu cinq sur cinq.
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RENAULT SODIVA concocte sa première opération de relations publiques loin de ses concessions…
février 03, 2018Partenaire du centre de formation de l’AJ Auxerre, le groupe automobile RENAULT SODIVA, dirigé par Yann MILLIEZ, réunissait sur invitation une cinquantaine de chefs d’entreprise au club Europe ce vendredi lors d’une opération de relations publiques des plus conviviales. C’était une première initiative pour l’entreprise automobile de l’Yonne qui profita de la circonstance pour proposer des séances d’essai de ses berlines toutes motorisations confondues sur un trajet d’une cinquantaine de minutes autour du complexe sportif…
AUXERRE : Echanges cordiaux, visite des infrastructures de l’Abbé Deschamps, prise de rendez-vous professionnels et découverte de nouveaux véhicules, la tonalité de cette manifestation, première du genre pour Laura RAIMOND, la nouvelle chargée de marketing et de communication du groupe RENAULT SODIVA, était donnée en cette pluvieuse matinée ce vendredi 02 févier à Auxerre.
Conviant une cinquantaine d’entrepreneurs Icaunais, issus des milieux industriels, artisanaux et des métiers de service, la société SODIVA favorisa les liens avec sa clientèle de professionnels qui constitue l’une des ossatures non négligeables de son fonds de commerce.
Un petit tour d’essai pour découvrir sept véhicules de la gamme…
Qu’ils s’agissent de chefs d’entreprise à la tête d’une flotte de véhicules utilitaires ou de cadres commerciaux possesseurs de berlines de société, tous se faisaient un malin plaisir à joindre l’utile à l’agréable en répondant favorablement à cette courtoise invitation. Vécue dans l’antre très agréable du fleuron footballistique de la région.
Le programme défini par les organisateurs assurait des permutations judicieuses entre les groupes de visiteurs. Pendant que les uns accompagnaient le directeur commercial de l’AJ Auxerre Romain DAUCHEL à la découverte de l’envers du décor de ce stade populaire, d’autres convives partaient à bord de sept véhicules qui formaient un convoi insolite dans les rues adjacentes au complexe sportif. Chacun devant s’installer à tour de rôle derrière le volant de l’une de ses citadines essence, Diesel et électrique conçues par le constructeur au losange.
Les invités de RENAULT SODIVA eurent ainsi le plaisir de tester les nouvelles variantes de l’Espace, du KOELOS, de la KADJAR, de la SCENIC, de l’ALASKAN (un modèle qui aura frappé les esprits des pilotes d’essai en herbe visiblement) et de la ZOE, concept que l’on ne présente plus.
Sur le parvis, la force de frappe commerciale de RENAULT, sous la houlette de son responsable des ventes Fabrice ROULIN, avait bien fait les choses en exposant plusieurs utilitaires, des véhicules électriques et le modèle spécial aménagé par la société STYLEVAN.
Enfin, les puristes de la nouveauté automobile n’auront pas fait le voyage pour rien avec cerise sur le gâteau, la présentation de la flamboyante et sportive MEGANE RS. Cette dernière qui proposera un moteur de 300 chevaux ( !) ne sera commercialisée en concession qu’à partir du mois de mars. L’objectif de vente sera d’en écouler une cinquantaine sur la saison. Cette voiture racée et très nerveuse possède sa gamme de supporters inconditionnels…
Plus de 1 400 neufs vendus dans les deux concessions en 2017…
Disposant de deux vitrines commerciales, à Avallon et à Auxerre (rappelons que la présence de RENAULT à Joigny est assurée par une autre entité filiale du groupe, la SAJA), SODIVA a réalisé une bonne année 2017, tant sur les marques RENAULT que sur l’enseigne DACIA.
« Le volume de ventes se décompose ainsi, expliqua Fabrice ROULIN, plus de 1 400 véhicules neufs sur les douze derniers mois écoulés. Auxquels, il faut ajouter le marché de l’occasion et ses six cents véhicules… ».
Quant au segment des professionnels, il représente 32,8 % chez SODIVA avec l’attrait de produits qui forcent le respect, notamment dans la catégorie des utilitaires, KANGOO, TRAFFIC et MASTER occupant les pole-position sur le marché national.
La matinée se termina par les mots de bienvenue de Manuel FERREIRA, directeur du groupe SODIVA, qui devait rappeler lors de son intervention les finalités de ce premier rendez-vous conçu avec la complicité du service relation publiques de l’AJ Auxerre.
A ce titre, la clientèle de particuliers pourrait être concernée, elle aussi, dans un avenir proche par cette formule novatrice, ludique et distrayante qui aura in fine permis aux commerciaux de SODIVA de fidéliser un peu plus leurs cibles. Dans la joie et la bonne humeur ce qui est un juste retour sur investissement…
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KIA STONIC arrive dans les concessions françaises pour titiller le marché du crossover
janvier 30, 2018Commercialisé depuis le 02 octobre 2017 à travers l’Hexagone, ce crossover urbain au design expressif inspiré des SUV devrait trouver sa place de manière progressive sur l’un des segments automobiles les plus convoités par les constructeurs à l’heure actuelle. Propulsé par une gamme de moteurs essence et Diesel dont un remarquable 1,0 l T-GDi, le STONIC devient grâce à l’ensemble de ses caractéristiques performantes le véhicule KIA le plus personnalisable sur le marché national.
PARIS : La marque aux sept ans de garantie souhaite prendre une longueur d’avance sur ses concurrents en ce début d’année en se positionnant sur le marché du crossover urbain avec le nouveau STONIC.
Vendue à partir de 16 990 euros, cette automobile équipée de nouvelles technologies d’aide à la conduite devrait doper la croissance du constructeur sud-coréen sur un segment en forte croissance sur le continent européen.
Au-delà d’un design qui renforce sa typicité, KIA offre à ses aficionados l’heureuse opportunité de pouvoir conduire à bord d’un des véhicules les plus intelligents de sa catégorie. Une technologie conçue en fait pour améliorer la conduite, mais aussi la sécurité, le confort et la commodité.
Ce concept motorisé dont l’habitacle allie style, technologies et options de personnalisation, représente le produit de la collaboration étroite entre les studios de design européen et coréen du constructeur.
Conçu dans l’unité de production de SOHARI, site industriel implanté en Corée du Sud, ce nouveau modèle avait été présenté sur les salons internationaux de l’automobile en 2017.
Côté moteurs, KIA équipe ce nouveau véhicule de systèmes ultra légers, aux émissions polluantes réduites et à l’efficience énergétique accrue. Particularisme européen oblige, la maniabilité de la voiture a été développée par les ingénieurs de la marque pour accentuer le plaisir de conduire, avec une direction et une suspension spécifiques.
Précisons que dans le cadre de l’engagement qualité de la marque, le KIA STONIC est assorti de série de la garantie constructeur exclusive sept ans ou 150 000 km et bénéficie de la mise à jour gratuite de la cartographie de la navigation ainsi que de l’accès aux services connectés « TomTom LIVE » eux-aussi gratuits sur une durée similaire…
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