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Distingué par Lune d’Afrique, le maire ivoirien de Bin-Houyé André-Narcisse MEMAN a une passion pour l’Yonne...
novembre 23, 2023C’est beaucoup plus qu’un simple symbole distinctif. Même si le trophée, au coloris vert et bleu, se présente de qualité optimale, côté esthétique. C’est aussi une marque de respect et de fraternité entre les peuples. Ceux d’Afrique et celui de France, où était célébrée cette cérémonie, placée sous la présidence du conseiller départemental de l’Yonne, Magloire SIOPATHIS. Edile d’une localité ivoirienne distante de 700 km d’Abidjan (Bin-Houyé), André Narcisse MEMAN a été distingué par la plus africaine des associations auxerroises, Lune d’Afrique, en faveur de la promotion du vivre ensemble…
AUXERRE : Dans le civil, il possède le titre d’inspecteur vérificateur principal, le maire de la commune de Côte d’Ivoire, André-Narcisse MEMAN. Bref, c’est un féru de chiffres mais aussi de lettres, qui a obtenu en octobre dernier dans son pays les félicitations officielles de la direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique. Une institution de l’Etat.
Bref, cet inspecteur des impôts, maire de la commune de Bin-Houyé, localité aux 60 000 âmes située à la frontière avec le Libéria, aime la terre de l’Yonne et plus particulièrement sa capitale auxerroise.
Présent en Bourgogne septentrionale, il y a déjà quelques semaines pour y recevoir une distinction honorifique – le prix du bien vivre ensemble, tout un programme ! - qui lui a été attribuée par la structure associative, accueillant des membres de la diaspora africaine mais aussi des Français, Lune d’Afrique – on connaît particulièrement bien les activités qui y sont déployées en faveur de l’égalité des droits aux femmes, la promotion du cacao et les manifestations gorgées d’exotisme et de chaleur sur fond d’actualités artistiques et culturelles -, l’élu de Côte d’Ivoire fera une nouvelle halte, vendredi dans la cité de Paul Bert, pour y rencontrer à la fois des représentants de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Relations internationales. Ainsi que son compatriote, le journaliste Dieusmonde TADE, qui y séjourne depuis plusieurs années, ce dernier préside à la destinée de l’antenne hexagonale de cette Lune d’Afrique qui ne cesse de briller.
Une étape au Congrès des maires de France avec une forte délégation
Mais, avant de profiter de la vision champêtre du nord de la Bourgogne, André-Narcisse MEMAN durant ce prochain séjour, l’élu ivoirien aura fait étape au 105ème Congrès de l’association des Maires de France et au Salon des Collectivités, à Paris, en compagnie d’une quarantaine de maires ivoiriens, conduits par le ministre Danho PAULIN et le président de l’UVICOCI (l’Union des Villes et Communes de la Côte d’Ivoire), un organisme ayant pour raison d’être de développer des liens de solidarité et d’entraide entre les agglomérations du pays, sans omettre le développement de relations vers l’international.
Lors de son précédent séjour, André-Narcisse MEMAN avait été accueilli par le conseiller départemental et communautaire de l’Auxerrois, Magloire SIOPATHIS, avec lequel il sera entretenu longuement sur les sujets de l’environnement, du développement économique, de l’éducation et de l’amitié qui doit exister entre les peuples. Un message fort et mobilisateur, relayé également par Dominique DORENT, qui représentait la présidente de la Maison de la Francophonie et des Relations internationales, Marité CATHERIN, déjà investie sur d’autres missions ce jour-là.
Il fut également question d’économie avec sa production phare, le cacao (la Côte d’Ivoire demeure le premier producteur au monde de cette fameuse fève de cacaoyer qui une fois transformée régale les gourmands du monde entier !), mais aussi le café, et l’hévéaculture qui donne naissance, comme chacun le sait, au caoutchouc. Dans les sous-sols, s’il n’y a pas de pétrole (tiens, tiens, c’est comme en France !), certaines zones contiennent de l’or.
Lors de ce nouveau déplacement, et accompagné d’une petite délégation d’élus, André-Narcisse MEMAN fera l’objet d’un suivi médiatique avec la présence de journalistes de la RTI, la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne, qui filmera le moindre de ses faits et gestes officiels aux côtés de ses amis français. Bref, un peu de lumière et de vraie chaleur dans ces relations franco-africaines qui perdurent au nom de la fraternité…
Thierry BRET
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Travailler encore mais pourquoi ? Les intervenants des Entretiens d’Auxerre débattent sur les nouveaux paradigmes
novembre 23, 2023La crise sanitaire est passée par là et nombre d’interrogations se posent aujourd’hui, sur le sens même du travail et de ses différentes dimensions. Phénomène conjoncturel ou réel changement de paradigme, notamment auprès des jeunes générations ? Les « Entretiens d’Auxerre 2023 » ont donné lieu à une table ronde sur le sujet, avec pour invités, deux sociologues de renom, Jean VIARD et Roger SUE…
AUXERRE : Selon une enquête de la fondation Jean-Jaurès, rappelée en préambule de la table ronde par la sociologue Anne MUXEL, 42 % des salariés souhaiteraient aujourd’hui voir leur activité salariale partagée entre bureau et télétravail.
Les changements apparus dans la façon de vivre le travail, après la COVID sont bien réels, notamment auprès de tous ces « démissionnaires silencieux », qui ont fait le choix de changer de vie, en s’affranchissant du travail, privilégiant avant tout la réalisation de leur vie personnelle. Adhésion implicite aux thèses développées par Paul LAFARGUE dans son pamphlet, « Droit à la paresse ». Pour autant, se dirige-t-on vers la fin du travail, alors même, rappelle le sociologue Robert SUE, « que nous vivons dans une société qui se définit par le travail. On a même parlé de « religion » du travail… ». Avec in fine une contradiction entre le fait que nous ne disposons pas aujourd’hui de substitution à ce modèle, « si vous enlevez la question du travail aux politiques, il leur reste quoi ? ». Et le constat d’une évolution ne nous plaçant plus dans une « société du travail ».
Selon le professeur émérite à Paris-Cité, trois éléments ont fait bouger la machine, à commencer par le télétravail, « le travail à distance fait la distance au travail », mais aussi la COVID, « qui a mis sur le devant de la scène non seulement les vraies valeurs mais aussi la promotion de la santé pour le bien commun… ». Avec en filigrane, cette question à la dimension environnementale, « travailler pourquoi faire ? ».
Un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas !
Pour son comparse Jean VIARD, le travail se définit avant tout comme un élément de fierté : « c’est fondamentalement l’appropriation d’un projet de construction avec les autres, une forme d’utilité… ». Avec là encore, cet élément nouveau apparu après la pandémie, « où nombre de gens n’ont pas travaillé et 40 % d’entre eux s’en disaient très heureux… ».
Une révolution accentuée là encore par le désir du télétravail, « 25% des gens en bénéficient, 60 % des gens en rêvent », même s’il y a à faire en la matière : « en France, on considère encore aujourd’hui qu’un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas ! ».
Trouver un travail qui ait du sens
Travailler encore, mais comment et surtout, pourquoi ? Avec, dans une économie jusque-là fondée sur la croissance, un nouvel item, celui de la question écologique et environnementale, susceptible d’interférer sur le sens de la production par le travail.
Selon Roger SUE, « l’on revient à l’interrogation qui fut celle du temps du COVID, celle du bien commun. La croissance sans fin est aberrante et le travail pour le travail est devenu une aberration… ». Avec l’idée que le travail utile socialement, ne passe pas nécessairement par un « moment salarial… Comment intégrer cette société civile dans la production ? ».
Pour le sociologue, les jeunes sont aujourd’hui confrontés à un défi, « que nous entrevoyons, mais qu’eux vont vivre in vivo, notamment pour tout ce qui concerne l’environnement : la recherche d’une voie alternative… ».
Un mode qui ne serait pas forcément salarial et permettrait de pouvoir se projeter dans le bien commun : « cela existe avec le service civique qui est une forme de contribution importante et capitale à la production du bien commun, mais au nom de quoi est-il réservé aux jeunes ! ».
Appelant à inventer un statut du volontariat où chacun pourrait participer tout au long de sa vie, complémentaire d’une activité salariée : « je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas cumuler l’un et l’autre. Les jeunes de plus en plus, mettent l’accent sur le fait qu’ils veulent bien trouver un boulot, mais il faut qu’il ait une utilité sociale, qu’il ait du sens… ».
A quand un véritable statut de l’étudiant en France ?
S’interrogeant également sur le sujet, Anne MUXEL est revenue sur ce nouveau rapport qu’ont aujourd’hui les jeunes générations face au travail, en quête d’impératifs en phase avec leurs valeurs, liés notamment à l’écologie et aux préoccupations environnementales, « qui poussent bon nombre de jeunes même après de grandes études, à refuser au bout d’un moment des postes qui leur demanderaient d’agir de façon contradictoire avec les impératifs éthiques auxquels ils souscrivent… ».
Si l’on voit ainsi émerger de nouveaux repères, attention prévient Jean VIARD, à ne pas creuser un peu plus le fossé pouvant séparer les jeunes ayant décroché très tôt avec l’école, des étudiants qui réussissent le mieux : « que tu ne veuilles pas travailler chez Total, je le comprends très bien, va dans une start-up pour essayer de faire avancer la place écologique des entreprises dans la société ! Quand on met en avant un tel refus, il faut faire attention au discours, face à des gamins qui n’ont pas pu faire d’études et ne se demandent même plus pourquoi ils votent au RN ! ».
Pour le directeur de recherche au CNRS, spécialiste des transformations dans notre société, il serait important de créer un réel statut étudiant pour tous les jeunes de 16 à 26 ans, autorisant des aller/retours entre le travail et les études, « comme en Belgique, où les jeunes peuvent travailler pour 4 000 euros par an sans aucune charge… ».
De conclure, avec cette dernière interrogation : « pourquoi n’a-t-on pas droit à un certain nombre d’années d’études si l’on a arrêté l’école à 14 ans, après s’être aperçu que l’on avait déconné et que l’on souhaite apprendre un job ? ».
Dominique BERNERD
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Le futur de la connectivité frappe à la porte avec la 5G : le Grand Sénonais lui ouvre les bras grâce à ORANGE
novembre 22, 2023La performance est remarquable. Avec des débits annoncés, dix fois plus rapides à terme que la 4G afin de pouvoir mieux répondre aux besoins des utilisateurs. De quoi séduire les représentants de la sphère institutionnelle que sont Paul-Antoine de CARVILLE, l’édile de Sens, et le président de l’Agglomération du Grand Sénonais, Marc BOTIN, séduits par les démonstrations proposées. Aux manettes de cette séance initiatique : ORANGE. Le réseau 5G se déploie avec son concours dans l’Yonne septentrionale et l’opérateur en télécommunications le fait savoir !
SENS : Cela fait plusieurs mois déjà que l’un des principaux opérateurs de télécommunication exerçant sur la planète – le chiffre d’affaires s’élève tout de même à 43,5 milliards d’euros en 2022 pour un effectif de 136 000 collaborateurs dont 74 000 interviennent dans l’Hexagone – prend ses marques progressivement sur le développement de la 5G. Au 01er janvier 2023, ORANGE disposait de plus de 5 600 sites opérationnels, facilitant le déploiement de ce réseau ultra nécessaire à nos communications qui est en passe de remplacer petit à petit la 4G sur le territoire national. Naturellement, l’Yonne est concernée par cette ramification puisque qu’après Auxerre, Sens et son agglomération bénéficient de ce maillage technologique à l’importance considérable pour les usages du numérique. Qu’ils soient d’ordres privatifs ou professionnels.
Autant dire que les séquences démonstratives assurées par les techniciens de l’entreprise aux 291 millions de clients (une paille !) aux élus locaux que sont Paul-Antoine de CARVILLE, maire de Sens, et Marc BOTIN, maire de Dixmont et président du Grand Sénonais, ont eu de quoi leur montrer les prouesses visuelles et techniques de cette 5G dans son optimisation finale, derrière un écran de télévision, une tablette, sur ordinateurs ou via les smartphones. Le futur de la communication toque à la porte et le Sénonais lui tend les bras !
Un vrai confort de navigation sans latence !
Débutée l’an dernier sur le secteur septentrional de l’Yonne, à Sens et autour de la capitale des Sénons, cette mise à niveau de la télécommunication en mode très accéléré (la couverture 5G en 3,5 GHz multiplie les débits à la puissance dix, voire plus !) se présente comme un puissant levier de compétitivité pour les entreprises qui vont en profiter. Comme l’aura fait remarquer Cyprien MATEOS, directeur régional de l’opérateur en Bourgogne Franche-Comté : « La 5G va permettre un véritable confort de navigation, une latence réduite et une vitesse de téléchargement quasi instantanée, même en mobilité… ». On croit rêver et chacun se prend à se pincer en souhaitant que cela arrive le plus vite possible dans son bureau ou à domicile !
A date, hormis la ville phare (Sens) qui accueille déjà cinq boîtes recevant 128 micro-antennes fonctionnelles, d’autres communes disposent du processus technologique performant. On peut citer Paron et Saint-Denis-les-Sens. Et ce n’est pas fini, promet-on du côté d’ORANGE.
De nouvelles opportunités pour les acteurs économiques…
La stratégie de l’opérateur est simple. « Cela va changer la façon dont les utilisateurs vivent la connectivité, explique Cyprien MATEOS, le successeur de Véronique MORLINGHEM, la 5G va modifier l’existence. Grâce à son très haut débit, sa faible latence, de nouveaux services vont ainsi pouvoir se mettre en place comme les télémédecines, la réalité virtuelle, les villes connectées. Offrant de nouvelles opportunités aux entreprises, aux innovateurs, et à la société dans sa globalité. Pour le territoire, les entreprises, l’attractivité touristique, la connectivité avec la 5G représente une occasion incroyable de progrès… ».
Ah, si ce réseau 5G, salvateur à plus d’un titre, pouvait arriver jusqu’au fin fond de nos campagnes !
Thierry BRET
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Frédéric CORNET (Banque Populaire BFC) repart avec le maillot de l’AJ Auxerre : un heureux veinard !
novembre 22, 2023Il n’a pas perdu son temps, ni sa soirée, le chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté ! En participant au énième rendez-vous concocté par le staff directionnel de l’AJ Auxerre – l’une des deux soirées « Cartes de Visite » déclinées chaque année -, le cadre bancaire s’est vu gratifié d’un coup de pouce de la chance et de la main « innocente » du tandem formé par Baptiste MALHERBE et Romain DAUCHEL pour gagner le maillot d’un joueur, mis en jeu au terme de l’animation…
AUXERRE : Il ne s’y attendait pas ! Et pourtant, il était loin de s’imaginer que sa carte de visite placée de manière anodine dans l’urne transparente allait sortir de la main du président de l’AJ Auxerre, Baptiste MALHERBE. Ce dernier aura laissé durer le suspense, quelques instants seulement !
A l’énoncé de son patronyme, Frédéric CORNET s’est avancé, plutôt timidement vers les deux animateurs de la soirée « Cartes de Visite » (le dirigeant du club et le développeur marketing et relationnel Romain DAUCHEL) afin d’y recevoir son lot : un splendide maillot à l’estampille du club de foot, pensionnaire de Ligue 2 et prêt à retourner dans la division supérieure au terme d’une saison alléchante. D’autant qu’après quatorze journées de compétition âpres et relevées, les protégés de Christophe PELISSIER, coach de la formation élite, occupent une brillante troisième place, synonyme de barragiste et plus si affinité avec les victoires !
Chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, Frédéric CORNET aura réalisé le coup double parfait de cette soirée placée sous le signe de la convivialité et le développement du business, avoir donné un maximum de cartes de visite aux nombreux invités de l’animation (quatre-vingts dirigeants et cadres des sociétés partenaires de l’AJA) et empocher le gros lot offert à l’issue du tirage au sort, clou de l’évènement…
Thierry BRET
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Forum de l’Emploi et de l’Insertion à Joigny : des immersions en entreprises afin de mieux pouvoir les intégrer…
novembre 21, 2023Soucieux d’en connaître davantage sur la cinquantaine d’exposants et leurs typicités, ceux qui prenaient part au premier Forum de l’Emploi et de l’Insertion, proposé par le Conseil départemental de l’Yonne et Pôle Emploi dans les salons de l’hôtel de ville de Joigny, le sous-préfet d’arrondissement de Sens a pris soin de discuter avec chacun de ces spécialistes du monde du travail. Tout sourire et à l’écoute, Wassim KAMEL s’est ainsi renseigné sur les ultimes opportunités d’immersions professionnelles déclinées sur son territoire afin d’en approfondir toute la substance.
JOIGNY: Depuis sa nomination remontant au 02 août dernier, le sous-préfet de Sens, Wassim KAMEL, successeur de Rachid KACI parti sous d’autres cieux, n’avait pas eu encore l’opportunité de s’immerger au cœur d’un Forum de l’Emploi et de l’Insertion. C’est donc chose faite, ce mardi à Joigny !
Car, tels les fameux marronniers qui nourrissent d’ordinaire les colonnes de la presse avec la récurrence annuelle de leurs informations, c’est en novembre que se manifeste le plus d’opérations propres à cette thématique au demeurant prépondérante au niveau sociétal : le retour à la vie active des publics fragilisés.
Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées oblige – il en sera d’ailleurs fait mention avec le concours de CAP EMPLOI 89 lors d’une intervention de l’un de ses représentants (David SAUTEREAU) juste avant le terme de la manifestation -, ce forum, le premier d’une série de six rendez-vous déclinés par le Conseil départemental et Pôle Emploi - tombait donc à point nommé pour procéder à une revue de casernement générale des offres et potentialités existantes au niveau de notre territoire.
Pas d’offres d’emploi mais de l’immersion professionnelle à la place
On notait aussi la présence des responsables du club des « Entreprises qui s’engagent » (l’efficace tandem Sandra VERBRUGGEN et Jean-Pierre LANTERNIER), concept porté par la CCI de l’Yonne et adoubé par la préfecture, le tout sur des principes très conventionnels de partenariat utile, qui étaient aussi à la manœuvre en ce jour de découverte pour certains ou de retrouvailles pour d’autres du monde du travail.
Pour cette cinquième édition, une particularité se dégageait parmi les nouveautés. Elle nous a été présentée par Céline STERLE, directrice de Pôle Emploi de Joigny.
« C’est l’immersion professionnelle pour pouvoir mieux découvrir des métiers, des univers d’entreprises, précise-t-elle, on n’est pas sur un forum d’offres d’emploi traditionnel même s’il y en a tout de même quelques-unes à pourvoir. L’idée pour les huit structures entrepreneuriales présentes, c’est de pouvoir accueillir sur une matinée, une journée, voire un peu plus, des demandeurs d’emploi en leur sein afin de les familiariser avec l’environnement de la boîte… ».
Plus de 150 personnes attendaient l’ouverture des portes dès 09 heures
Une démarche jugée judicieuse et plaisante à plus d’un titre pour celles et ceux des participants, tout âge confondu, qui recherchent absolument à raccrocher les wagons du plein emploi, grâce à ce type d’initiative opportune.
Naturellement, les partenaires habituels de ce genre d’évènements se manifestaient par leurs stands, plutôt bien fréquentés (aide au budget, garde d’enfants, santé,…) sans omettre les organismes de formation, délivrant diplômes et cursus.
Les bénéficiaires du RSA, les personnes inscrites à Pôle Emploi ou les travailleurs handicapés figuraient au premier rang de ce public sollicité par cette démarche intéressante, où les échanges directs prévalaient en face à face sur les différents stands, avec remise de cartes de visite à l’appui.
D’autres rendez-vous sont d’ores et déjà programmés dans l’Yonne jusqu’à mi-décembre avec Auxerre, Sens, Toucy, Avallon et Tonnerre. Sachant que chaque bassin possède sa propre spécificité d’une animation à l’autre même si le fil rouge commun demeure l’immersion professionnelle en entreprise.
Signe de l’incontestable attente du public : plus de cent cinquante personnes attendaient devant les portes à l’ouverture du forum (09 heures) ; ce qui ne manque pas de satisfaire Céline STERLE. Quant aux entreprises, elles ont fait elles aussi leur beurre avec une demi-douzaine de stages immersifs programmés avec les potentiels candidats, quelques minutes seulement après le début des hostilités.
Quant au sous-préfet de Sens, il s’est enrichi de la diversité informative et de l’offre proposée par tous les participants qui n’ont qu’un seul mot d’ordre : accompagner du mieux possible les candidats au retour vers l’emploi…
Thierry BRET
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