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La population de la ville de Migennes, durement frappée par l’annonce surprise de la fermeture du site industriel de BENTELER qui condamne 400 emplois à terme est invitée à se mobiliser ce mardi 23 novembre à partir de 13h30. Objectif : protester en faveur de la préservation des emplois dans le secteur de l’automobile. Mais plus globalement dans toutes les autres filières industrielles…

 

MIGENNES: Compte tenu du degré émotionnel que soulève la prise de décision de suspendre toutes activités corporatistes sur le site de BENTELER AUTOMOTIVE, le nombre de participants répondant en faveur de cet appel à la mobilisation devrait être conséquent le 23 novembre aux alentours de 13h30.

C’est en tout cas ce qu’espèrent les syndicats organisateurs de cette manifestation qui partira du complexe industriel rue Raymond Poincaré. Et en premier FO, majoritaire au sein de l’entreprise automobile, qui est à l’initiative de ce rassemblement populaire comme devait le préciser Reynald MILLOT, son délégué général.

Précisons que l’usine de Migennes est bloquée depuis le jeudi 18 novembre à 13 heures. Plus aucun salarié n’assure la production. Les équipes ont décidé de se relayer jour et nuit afin d’exiger le maintien de tous les emplois.

 

 

Quatre cents personnes dont 120 couples sont menacées de perdre leur emploi de manière définitive et de tomber dans la précarité. Sans omettre par effet de ricochet malencontreux les emplois indirects impactés par cette fermeture inattendue.

Pour Reynald MILLOT, il est de la responsabilité des pouvoirs publics de tout mettre en œuvre, en concertation avec les représentants du personnel et leurs organisations syndicales, pour que l’ensemble des emplois soit préservé.

L’Union départementale des syndicats Force Ouvrière de l’Yonne en appelle à tous ses sympathisants et militants pour que la future opération de mardi soit significative de la représentation de leur colère…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Les mamans devront prendre leur disposition pour ne pas se casser le nez devant les portes closes. Peut-être aussi les papas, également ! Un mouvement de grève d’amplitude nationale devrait contrarier quelque peu le bon fonctionnement des accueils périscolaires dans les écoles maternelles et élémentaires de l’Yonne ce vendredi. A l’instar de celles de Joigny qui ne pourront assurer le service…

 

JOIGNY : On s’attend à des suivis record ! Du jamais vu selon les syndicats qui sont fortement mobilisés. Le mouvement de grève des animateurs du périscolaire devrait affecter bon nombre d’établissements scolaires dans l’Yonne ce vendredi. La plupart des écoles maternelles et élémentaires devraient être touchées par ce mouvement aussi bien dans le secteur public que privé.

Parmi les principales revendications de ces professionnels : de meilleures conditions pour exercer leur métier, la revalorisation des salaires, davantage de formations et une reconnaissance améliorée au niveau des statuts. Rappelons que le secteur peine à recruter de nouveaux personnels.

Le préavis est uniquement valable sur la seule journée de ce vendredi 19 novembre et concerne tous les agents titulaires, les non titulaires, les vacataires des collectivités territoriales, les animateurs de loisirs, les agents spécialisés d’écoles maternelles (ASEM), les responsables d’animation loisirs, les AVS périscolaires…

 

 

A Joigny : pas d’accueil assuré ce vendredi…

 

Compte tenu de ce mouvement de grève, la Ville de Joigny s’est fendue d’un communiqué de presse pour signaler que les accueils périscolaires du matin et du soir ne seront pas assurés dans les écoles maternelles et élémentaires. Quant à la restauration scolaire du midi, elle continuera à fonctionner. Mais avec un personnel réduit. Aussi, la municipalité incite les parents qui le peuvent à garder leurs enfants durant le temps de restauration. Le repas, c’est une conséquence, ne leur sera pas facturé.

Pour l’heure, si les appels à la mobilisation ont été largement relayés via les réseaux sociaux, nul ne peut prévoir la portée de cette grève qui traduit l’extrême tension vécue au sein de cette filière professionnelle depuis plusieurs mois.

 

Thierry BRET

 


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Le plaisir de se réunir. De se revoir après une très longue période de turpitudes. De se parler, aussi. Autour de nouveaux projets et perspectives. De celles qui ne peuvent immanquablement qu’interpeller les professionnels de l’un des secteurs les plus affectés par cette crise sanitaire sans précédent. Ce tourisme où il est bon de reconstruire des liens. C’était la finalité de ce Salon spécifique aux groupes. Objectif atteint pour Yonne Tourisme…

 

PREHY: Un seul mot d’ordre : redynamiser la corporation ! Affaibli par vingt mois de crise, le tourisme doit renaître de ses cendres tel un Phénix revigoré à la conquête de nouvelles parts de marché. Ce ne sera pas facile. Les férus de déplacements au long cours peinent à reprendre les automatismes ; par crainte de nouvelles péripéties fâcheuses, inhérentes à ce satané coronavirus.

Pourtant, le sentiment qui se dégage de ce deuxième rendez-vous concocté pour les professionnels de l’Yonne qui proposent l’accueil de groupes, c’est l’envie. Envie de bien faire, envie de s’adapter aux impératifs novateurs nés de cette situation ubuesque, entre confinements à répétition et adoption des gestes barrières. Envie de recevoir des groupes. De seniors, associatifs, de comités d’entreprise, d’amis, aussi, puisque chez les particuliers, c’est un peu la tendance d’aujourd’hui.

En cela, ce deuxième évènement décliné par l’agence de développement Yonne Tourisme a répondu aux attentes des participants. Ces derniers ne boudaient pas leur plaisir de se retrouver là en pareille circonstance dans l’une des salles de réception du Domaine BROCARD. Au beau milieu du vignoble, rien de tel pour se ressourcer et parler projets !

 

 

L’après-COVID a redéfini la notion de groupes…

 

La notion de groupes est à revoir, semble-t-il. Plus petits. Moins denses en termes de quantité, obligations sanitaires à respecter. Peut-être y gagnera-t-on  davantage en qualité ? Des acteurs consuméristes près à dépenser plus lors de ces séjours, dits de « passage ». Une nuitée, pas plus de deux. Une halte nécessaire avant de poursuivre vers la capitale de la Bourgogne, Dijon, ou ailleurs. Et puis, il y a l’émergence de ces groupes dits de « tribus ». Ce sont des amis, des camarades, bref des copains qui partent en goguette à la découverte d’un vignoble, d’un évènement culturel, d’une exposition à admirer sans retenue. Presque la fleur au fusil, surtout quand il y a le bénéfice de la jeunesse !

Les groupes peuvent s’articuler autour de corporatismes, de filières, de métiers. On entre là de plain-pied dans une autre dimension. Non pas la cinquième chère aux adorateurs de science-fiction mais celle plus tangible et rationnelle du monde entrepreneurial. Ce que l’on appelle nommément les voyages d’affaires. Voilà une thématique qui mérite tout l’intérêt des hébergeurs et restaurateurs de l’Yonne.

 

 

Tourisme d’affaires : une piste vers laquelle s’engouffrer dans l’Yonne…

 

Sous le fallacieux prétexte de se retrouver pour développer la cohésion d’entreprise et aiguiser les connaissances entre cadres, ces séjours business s’organisent depuis Paris et l’Ile-de-France. Forcément, l’environnement verdoyant de l’Yonne représente une réponse adéquate à cette quête du retour sur soi, afin de mieux juger les aptitudes et l’acceptabilité au sein d’un groupe. Une approche insolite mais tellement efficace du management moderne !

Activités pédagogiques, itinéraires à parcourir à bicyclette : le tourisme d’affaires connaît un regain d’intérêt non dissimulé sur notre territoire. Certains des acteurs de la filière touristique, à l’instar de la société France Vélo, se sont pleinement engouffrés dans une brèche de niche qui se veut lucrative.

 

 

Changement de rythme pour ce rendez-vous : il deviendra biennal…

 

L’autre innovation de ce salon qui a reçu la visite de près de soixante-dix professionnels concerne sa future cadence. Sa précédente édition avait vu le jour en février 2020. Pile poil, juste avant le début de la COVID ! L’évènement avait bénéficié d’un cadre enchanteur et patrimonial : le château de Tanlay.

Il faudra toutefois patienter jusqu’en 2023 désormais pour assister à son troisième épisode. Car, naturellement, cette carte maîtresse placée dans le calendrier des professionnels sera reconduite mais de manière biennale. Sans doute dans la partie septentrionale de l’Yonne. Avec comme arrière-pensée, l’accueil de professionnels de Seine-et-Marne, de l’Aube, du Loiret.

Un choix correspondant à la ligne stratégique que veut impulser la nouvelle présidente de l’agence de développement Yonne Tourisme, Isabelle FROMENT-MEURICE.

L’élue du Département, elle a en charge en sa qualité de vice-présidente le dossier des affaires culturelles et du tourisme qui vont de pair, considère ce salon comme une excellente vitrine du savoir-faire des professionnels icaunais. Une vitrine à l’équilibre au plan budgétaire. Une note positive non négligeable…

 

Thierry BRET

 


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Voilà une filière économique qui fait la une de l’actualité cette semaine ! Celle des travaux publics, incarnée par sa puissante fédération régionale en Bourgogne Franche-Comté. Son président, l’entrepreneur Vincent MARTIN, a joué les faiseurs de roi à Paris au nom de la FNTP lors du Salon des Maires, honorant l’un des siens. Tout en donnant le coup d’envoi de la semaine spéciale qui présente la corporation autour de ses nombreux métiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le secteur est en pleine effervescence. Le plan de relance est passé par là. Les projets structurels ne manquent pas, noircissant au passage les carnets de commandes des entrepreneurs ravis, après la période de crise sanitaire. Néanmoins, ces derniers peinent à se doter des bonnes compétences côté effectif. Faute de candidats !

L’objectif de la Semaine des Travaux Publics en Bourgogne Franche-Comté est précisément de pouvoir répondre à ces besoins. Comment ? En suscitant des vocations parmi les jeunes (et les moins jeunes) susceptibles de se former afin de grossir les rangs des collaborateurs de la filière.

Des webinaires, des démonstrations ont été assurés au sein des centres de formation, prouvant à qui voulait l’entendre que les TP étaient toujours sur le devant de la scène au niveau des offres d’emploi. Plus de trois cents postes sont à pourvoir en effet à date dans la contrée territoriale qui est la nôtre.

 

 

 

Une promotion que les représentants de la Fédération nationale ont même assuré en haut lieu, à Paris lors du Salon des Maires de France. C’est là, sous les ors de cette respectable institution d’édiles que le président de la FRTP BFC Vincent MARTIN a remis une distinction à l’un de ses pairs, l’entrepreneur Francis PENNEQUIN pour la réalisation de travaux visant à aménager les abords du château de la commune Longvic en Côte d’Or, mise à l’honneur.

Organisatrice des victoires de l'investissement local (jury), la Fédération nationale des Travaux Publics a par l'entremise de son représentant régional en Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, décerné le Prix Coup de Cœur de la soirée à son confrère Francis PENNEQUIN, à la tête de son entreprise éponyme à Marsannay-la-Côte.

 

Thierry BRET

 

 


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Ras-le-bol de cette téléphonie défectueuse qui vous lâche en pleine conversation sans crier gare ! Ras la frange de ces outils numériques censés être ultraperformants, et vous relier avec le reste du monde qui rament et tournent dans le vide sidéral ! Seraient-ce les joies de vivre à la campagne ? Que nenni ! D’autant que même dans les zones urbaines, le phénomène de coupures intempestives ne cesse de s’accélérer au grand dam des utilisateurs depuis plusieurs mois.

 

TRIBUNE : Trop, c’est trop à l’heure de la mondialisation à outrance, de l’attractivité territoriale que l’on nous sert à toutes les sauces, matin, midi et soir !

Entre les zones blanches omniprésentes qui tapissent notre environnement et les incohérences technologiques qui nous privent de tous les usages de la modernité et du lien social, c’est une colère froide et sourde qui envahit les consommateurs que nous sommes, tous !

Parce qu’au final, la facture de toutes ces prestations et services non assurés reste la même ! A acquitter au centime d’euro près à l’instar des heureux bénéficiaires du système qui eux peuvent en jouir à satiété ! Parce que vivant sur des secteurs de couverture technologique privilégiée…

Petits et grands, jeunes ou vieux, professionnels ou retraités, inactifs ou femmes au foyer, valides ou handicapés : la moutarde nous sort par les trous de nez devant ces pannes chroniques à répétition qui jalonnent notre ordinaire au goût d’amertume !

Une feuille tombe d’un arbre, une branche se brise d’un arbuste, trois gouttes de pluie mouillent la route, le vent balaie deux nuages ou le soleil fait grimper un peu à l’excès la température : et voilà les effets gigognes qui en résultent en cascade dans toute leur splendeur.

 

 

Retour vers le Moyen-Age pour les ruraux privés des liens de communication…

 

Avec leur litanie habituelle de noms pour en qualifier les conséquences, faite de coupures, pannes, plus de réseaux, autarcie, solitude, privation, et emmerdes à venir toutes catégories confondues pour gérer la crise !

On nous parle de cohésion sociale et de progrès technologiques ! Foutaise alors que sans téléphone et ordinateur, l’humain de la campagne se retrouve plongé comme au temps suranné du Moyen-Age ! Dépourvu de tout !

Impossible de travailler, de s’instruire, de jouer, de discuter, d’être en relation avec l’autre, de pouvoir, et ceci est nettement plus grave, se soigner ou de joindre son médecin !

Et si pendant ces pannes insupportables, il arrivait à ces habitants de zones dites reculées de faire un malaise. Voire pire de subir les foudres d’une attaque cardiaque parce que trop excédé par la tournure de ces évènements qui font fulminés les esprits et chauffer le sang à blanc. A qui en incomberait la faute ?

A pas de chance, à la goutte de pluie, à l’incompétence, aux retards emmagasinés depuis tant d’années par les gouvernances, quelles qu’elles soient qui n’ont pas su prendre le train en marche du modernisme, à la lenteur administrative dont on se repaît depuis des siècles pour prendre la moindre des décisions ?

 

 

Une fracture numérique toujours présente dans la France de 2021…

 

A quoi bon avoir en sa possession  des smartphones de dernière génération, des routeurs de dernier cri pour amplifier les ondes, des ordinateurs au design de Rolls-Royce, de la 4 G, 5 G, haut débit en veux-tu en voilà, de la fibre optique et tutti quanti pour arriver in fine toujours au même résultat : dans les zones rurales, tout cela ne fonctionne pas !

A six mois des échéances présidentielles, peu de candidats (pour ainsi dire aucun) n’évoque ce fléau crucial qui mine nos jolis territoires de villégiature : la fracture numérique et technologique.

C’est pourtant l’un des enjeux prioritaires de cette France rurale qui ne demande qu’à profiter des mêmes attraits technologiques que les villes et leurs périphéries. Au nom de l’égalité, chère à nos esprits patriotiques.

Une chose est sûre : compte tenu de ces difficultés pour trouver ENFIN les solutions idoines devant s’appliquer très vite à la résolution de ces sempiternels problèmes devant pourrir l’existence des Français de plus en plus nombreux à choisir la campagne plutôt que la ville, force est de constater que la France se divise en deux.

Celle des villes et celle des champs. Comme l’aurait si bien narré en son temps et avec poésie le fabuliste Jean de La FONTAINE.

Mais, maintenant, cela suffit : nous autres, les ruraux, n’avons plus envie de boire de cette eau trouble qui sent le soufre…et attendons avec impatience de lire les programmes des candidats de tout bord qui s’intéressent réellement à ce problème de fond. Pour que les choses changent vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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