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Président du syndicat des Architectes contractants généraux (ACG) et ancien président national du groupement des ARCHITECTEURS, Jean-Pierre BOSQUET dont l’actualité professionnelle avec le cabinet ATRIA s’est enrichie en cette fin d’année de l’inauguration de l’Espace agricole et rural du boulevard Guynemer à Auxerre (complexe ultra moderne et pragmatique qui accueille les sièges de la Chambre départementale de l’agriculture, de la Mutualité Sociale Agricole et de GROUPAMA Paris Val de Loire Yonne) livre son regard acéré sur la nécessaire adoption de la rénovation énergétique par tous, salutaire à la sauvegarde de notre environnement et de notre économie…

TRIBUNE : L’approche de la rénovation énergétique dans les faits ? Il s’agit d’une triple urgence. Climatique, d’abord pour réduire notre empreinte carbone. Mais aussi, une urgence économique pour que le prix des consommations d’énergies devienne acceptable.

Il est temps de réconcilier les Français avec la qualité de vie en société, avec l’idée du vivre ensemble, tant à la ville que dans les territoires ruraux.

Depuis 2007, et le Grenelle de l’Environnement, nous savons que le plus important gisement d’économies d’énergies et de gaz à effet de serre réside dans les immeubles déjà construits.

Des professionnels se sont alors mis en mouvement pour expérimenter les solutions pouvant amener à diviser jusqu’à facteur quatre les consommations et émissions réelles.

Ils ont prouvé que c’était possible. Et d’aller, du même coup, encore plus loin, sans que ces preuves ne déclenchent pour autant l’adhésion de la filière et l’enthousiasme du public.

Tour à tour, les différents acteurs ont été accusés de ne pas suffisamment s’engager, depuis les banquiers jusqu’aux entreprises.

De nouvelles professions ont été inventées tels que les diagnostiqueurs. Les labels et les qualifications ont fleuri pour enclencher un mouvement général, pour l’instant sans succès massif.

« Rénover est un parcours jalonné d’obstacles par méconnaissance… »

C’est alors que les enquêtes ont à nouveau mis à l’évidence que les premières aspirations des habitants, les plus importantes, restaient le confort, le bien-être de la famille et aussi la santé.

Mais aussi que rénover était un parcours jalonné d’obstacles et d’incertitudes majeures : méconnaissance des solutions adaptées à l’immeuble, arbitrages sur les priorités en fonction des coûts et des économies réelles et durables, durée des travaux et impact sur l’usage du logement, absence de garanties.

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Il y a pourtant un moment idéal pour réduire les difficultés liées à l’usage et mobiliser les ressources des deux parties en présence, et les aides publiques. C’est le moment de la vente ou de la cession du bien. Quand le logement change de main. Le moment idoine pour créer de la valeur. Le moment stratégique pour mobiliser la filière autour de l’idée de création du marché de la « meilleure occasion ».

Deux conditions à respecter afin de modifier les lignes…

L’institution par la collectivité nationale d’une obligation réelle de mise à niveau pour les biens mis en vente est la première de ces deux données inéluctables. La seconde repose sur la création du carnet « confort, santé et énergies » qui permet au vendeur et à l’acquéreur de connaître toutes les caractéristiques du bien. De pouvoir en identifier les points faibles et les points forts. Mais, les améliorations indispensables et les meilleures pistes et solutions pour les acquéreurs. Cela fonctionne comme un carnet médical et numérique attaché au bien et qui prenne en compte les usages.

Cette disposition est à l’évidence « gagnant/gagnant ». Le vendeur plaçant son bien sur le marché de la « meilleure occasion » ; l’acquéreur ayant alors la certitude de la qualité de son achat.

Il est possible d’atteindre cet enjeu majeur.

Regardez le monde de la mobilité et l’automobile. Serait-il encore envisageable aujourd’hui de remettre sur le marché en l’état des véhicules des années 1970 en leur appliquant une jolie peinture au prétexte qu’ils roulent encore ?

Il faut casser ce cercle vicieux de la remise en service d’épaves thermiques, inconfortables, malsaines et dangereuses. Nous devons les mettre au rebut ou les recycler.

Ce signal, fort, doit enfoncer toutes les résistances. Il doit déclencher un mouvement pour l’économie des territoires, le développement durable et d’abord pour le confort, la santé des habitants et le bien-être des familles.

La clef de la rénovation « confort, santé et énergies » passe immanquablement par le changement de main…

Jean-Pierre BOSQUET


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Terre d’inspiration auprès du monde agricole comme le stipule son fameux credo, la coopérative YNOVAE est aussi un creuset de transmission des savoirs auprès des jeunes professionnels qui embrassent la carrière. Le développement du club « Atouts Jeunes », concept national déjà adoubé par une cinquantaine de coopératives en France depuis plus d’une décennie, l’atteste. Une douzaine de jeunes gens ont bénéficié sur notre territoire de cet incontestable outil pédagogique. Ce cycle de formation s’est décliné par des visites et immersions au cœur de l’appareil organisationnel de la filière. Il s’est également conclu par un voyage d’études de plusieurs jours dans l’un des pays Baltes exportateurs vers l’Europe, la Lettonie…

AUXERRE : S’ils sont désormais plus de 1 300 jeunes à bénéficier de cet outil pédagogique dans l’Hexagone, l’Yonne a eu l’excellente idée par le biais de la coopérative agricole YNOVAE de rejoindre le mouvement et de soutenir cette initiative. Grâce à cette action, qui intègre un processus national depuis une dizaine d’années, la structure présidée par Laurent PONCET a su renforcer ses engagements auprès de la nouvelle génération de professionnels, ayant choisi la voie de l’installation.

Pérenne, ce lien indispensable avec la relève de la corporation doit être privilégié et renforcé à l’avenir. De l’avis des stagiaires qui ont eu l’opportunité de pouvoir s’exprimer lors de l’assemblée générale de la coopérative, il y a peu, ce concept « Atouts Jeunes » constitue un réel partage d’expériences, très utile pour s’approprier les valeurs intrinsèques de ce milieu professionnel spécifique.

« S’ouvrir au monde de l’agriculture par l’intermédiaire de ce copieux programme étalé sur quatorze mois, nous aura permis d’étoffer notre réseau relationnel, devait confier l’une des participantes à ce groupe, et de mieux en percevoir toutes les subtilités fonctionnelles… ».

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Un parcours professionnalisant dédié à la qualité de leur production…

Plongés au cœur de stages leur permettant d’appréhender le métier dans sa globalité la plus éclectique, les douze néo-professionnels ne vont pas lésiner sur les déplacements et les découvertes de sites pour enrichir leurs connaissances. Opérationnel depuis le mois de novembre 2017, le laboratoire SCIENTECH, infrastructure partagée en exploitation entre les coopératives YNOVAE, 110 Bourgogne et les Moulins DUMEE, à proximité de la zone portuaire de GRON, recevra leur visite.

Là, le groupe de néophytes procédera dans le souci de maîtriser la traçabilité à l’analyse de grains de blé, avant de déguster du pain. Une manière intelligente de joindre l’utile à l’agréable gustatif !

Livrant jusqu’à 10 % de sa production céréalière vers le port de Rouen, ce haut lieu du fret fluvial et maritime via la zone du Havre (plus de 8 millions de tonnes de produits manufacturés à l’année) représente un débouché naturel pour la coopérative YNOVAE. Ses jeunes protégés s’y sont rendus pour en apprécier la qualité opérationnelle de ses installations.

Un autre temps fort de ces déplacements opportuns fut le marché de Rungis. Une fourmilière de 234 hectares de stock de marchandises agro-alimentaires où s’affairent au quotidien plus de douze mille personnes dès l’aurore.

Cap vers la Lettonie, un sérieux concurrent à l’agriculture nationale…

Mais, le voyage d’études conçu pour découvrir les perspectives évolutives de l’un des pays européens, positionnés parmi les plus concurrentiels de l’Hexagone, la Lettonie, demeurera le point d’orgue de cette intense période de réflexion. D’ailleurs, les chiffres égrenés par les stagiaires confortent ce propos. Riga exporte aujourd’hui près de 80 % de sa production agricole vers 43 états dont la France.

Indépendante depuis la chute du bloc soviétique, survenue en 1991, cette terre des pays Baltes de deux millions d’habitants ne vit principalement que pour son développement agraire.

Soutenu par l’Union européenne (le financement de séchoirs et l’acquisition de matériel agricole), le pays dispose de solides ressources naturelles dont 60 % de forêts. Bien que sa gouvernance ne soit guère préoccupée par les enjeux environnementaux, la filière peine, néanmoins, à trouver de la main d’œuvre qualifiée pour garnir ses exploitations.

Durant ces quatre jours de voyage, les douze membres du club « Atouts Jeunes » Icaunais ont pu profiter de leur séjour pour s’intéresser pêle-mêle aux coopératives agricoles et à leur rendement, au développement du biogaz ou à l’émergence des brasseries. Précisons que la Lettonie est en train de prendre ses marques exportatrices vers des régions stratégiques importantes pour l’économie française à l’instar de l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest.

 

 


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Le club service a organisé son traditionnel arbre de Noël à la salle des fêtes des PEULONS à Chablis. La présence d’une professionnelle des loisirs créatifs, Christelle, aura permis d’égayer cette séance conviviale où petits et grands ont pu exercer à satiété leurs talents de petits bricoleurs. Créant au passage de magnifiques décorations festives à mettre au pied du sapin ou sur la table le soir du réveillon…

CHABLIS : Le Père Noël fit son apparition à la joie des plus petits qui, pour certains d’entre eux, ne cachaient pas leurs larmes. De crainte de se retrouver aux côtés de ce personnage bizarre !

Des cadeaux et friandises ont été généreusement distribués par l’Homme en rouge, et ses lutins, d’un jour, les représentants de ce club, au service de ces enfants, choisis par le Secours populaire local.

Une trentaine d’entre eux ont ainsi pu bénéficier de la générosité du club service qui a pour credo de « Servir les enfants du monde ». Qu’ils soient malades, handicapés ou issus de milieux défavorisés.

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Plusieurs partenaires ont apporté leur soutien à ce projet…

L’après-midi récréative devait s’achever par la dégustation d’un copieux et savoureux goûter à base de confiseries offertes par la maison chocolatière ROY d’Auxerre, des boissons sucrées, données par le magasin INERMARCHE de Chablis et d’excellentes brioches et autres viennoiseries, préparées par les apprentis du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage à Auxerre.

Le KIWANIS Chablis Saint-Vincent recense à ce jour une dizaine de membres. Tous ont eu à cœur de se mettre à la disposition des plus démunis pour leur apporter un peu de joie et de bonheur dans leur quotidien. Le club prépare différentes actions solidaires, prévues sur l’année 2019, dont l’une avec le lycée professionnel Vauban au mois de mai…


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Spécialiste de la gestion des risques et efficience industrielle, ingénieur conseil, Denis MOUGEOLLE est également expert en génie climatique et thermique énergie renouvelable. Dans cette tribune, l’auteur s’intéresse à la démarche de l’intelligence économique en entreprise, démarche structurée et légaliste.

TRIBUNE : Prenons l’exemple des difficultés d’un grand groupe français de l’agroalimentaire, liées à une problématique de contamination à la salmonelle. Elles se traduisent inévitablement par des pertes financières, une atteinte à l’image, etc. Pertes assurées ou non. C’est l’effet négatif de l’événement. Cette éventualité, pour la survie de l’entreprise, aurait nécessité en amont une organisation pour éviter le risque, à défaut en réduire les conséquences.  Cependant, pour ses concurrents, l’événement se traduit potentiellement, sans aucun effort commercial supplémentaire, par une croissance du chiffre d’affaires. C’est l’effet positif du risque réalisé.

Toutefois, cette croissance potentielle instantanée n’a rien de magique. Encore faut-il avoir été en veille sur la thématique, avoir anticipé la situation pour être en mesure de faire face, avant les autres compétiteurs, à une augmentation d’activité spontanée à deux chiffres dans des temps très courts.

Et là la démarche d’IE (Intelligence Economique) ne se limite pas à profiter d’une aubaine. Mais bien, à satisfaire ponctuellement cette demande. Peut-être au-delà de ses propres standards, malgré l’urgence, de façon à transformer ce nouveau client d’opportunité en un client récurrent. Il y a dans cet environnement la réactivité, mais aussi l’adaptabilité, l’agilité et la flexibilité de l’organisation qui sont sollicitées. Cela se prépare. Tout comme un pompier ne réfléchit pas aux moyens requis pour intervenir lorsque l’incendie se déclare, ce serait évidemment trop tard.

L’essence de l’IE réside en partie dans ces notions…

Un autre exemple, tout autant d’actualité, et sans entrer trop dans les détails techniques, concerne la réduction, voire l’interdiction, d’utilisation de certains gaz à effet de serre à l’horizon 2020, puis 2030, dans les applications de froid industriel et commercial. Cette démarche est connue sous les appellations internationales de « phase down » et de « phase out ».

Ces obligations, devenues réglementaires, induisent plusieurs effets, dont le changement de nature des risques. Les gaz ayant un impact réduit sur l’évolution du climat (indice GWP en anglais ou PRP en français) sont, pour les installations de faible à moyenne puissance, faiblement, voire facilement inflammables. Ainsi, une bataille normative intense émerge sur la qualification de ceux-ci quant à leur autorisation d’utilisation, et fonction de quantités limites à définir.

De même, l’impact effet de serre présente deux dimensions : une sur les qualités physico-chimiques selon cet indice GWP (en gros 30 % de l’effet), et une sur l’efficacité énergétique dudit gaz traduisant pour un effet frigorifique ou calorifique donné, la consommation énergétique (70 % de la contribution à l’effet de serre du gaz). De façon évidente, selon la maîtrise technique des uns et des autres (constructeurs des équipements et producteurs de ces nouveaux gaz), il est souhaitable d’adopter tel ou tel gaz de substitution plutôt que tel autre. L’enjeu est tel que chaque acteur a intérêt à agir auprès des comités de normalisation pour favoriser une solution plutôt qu’une autre.

Les PME/PMI se plaignent souvent des normes abondantes et contraignantes. Il faut savoir que toute entreprise peut volontairement participer à tel ou tel comité de normalisation, pour éditer une nouvelle norme ou réviser des normes anciennes. Les frais de déplacement et éventuellement de logement peuvent être pris en charge sous conditions. Ce pouvoir d’influence est rarement utilisé par de telles structures (évidemment une considération coût/bénéfice de la démarche peut justifier cette situation). Ceci est le second aspect de cette discipline.

Enfin, traditionnellement, la démarche de présentation de cette discipline est axée sur les pertes que peut subir une entreprise, focalisée sur les risques immatériels émergents ou nouveaux risques « à la mode » pour sensibiliser les chefs d’entreprises sur l’importance de la discipline. Notamment, l’assimilation est quasi permanente entre cyberattaque et Intelligence Economique.

Même si cette considération est essentielle à la survie de l’entreprise, et qu’elle peut présenter un intérêt pédagogique, sous l’hypothèse que contrainte et peur égal pédagogie, cette vision reste clairement réductrice. Cependant il s’agit là de la troisième dimension de l’Intelligence Economique.

Pour résumer, la démarche présente trois volets que sont IE Défensive (éviter les atteintes telles que les cyberattaques), IE Offensive (profiter des opportunités) et IE d’Influence, encore appelée lobbying, comme l’exemple ci avant relatif aux gaz à effet de serre.

La démarche vise donc à maitriser les risques immatériels. Quels sont-ils ? Les principaux risques immatériels que l’on peut citer sont par nature :

  • Image
  • Financier et économique
  • Relation clients, relation fournisseurs et plus largement relations avec les parties prenantes
  • Autorisation administrative (d’exploiter dans le cadre ICPE, relative aux obligations ERP, réglementation alimentaire, etc.).
  • Savoir-faire (organisation, procédés, compétences, etc.)
  • Propriété intellectuelle et industrielle (brevet, R&D, marque, logo, …)
  • Système d’information d’entreprise (progiciel de gestion, applicatifs métiers, …).

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Appréhender la notion de risque…

Mais de quoi parle-t-on quand on évoque le risque ? Il s’agit d’appréhender le risque au sens ISO 31000 « effet positif ou négatif de l’incertitude sur l’atteinte des objectifs ». Le premier exemple cité au début de cet article reflète bien la double approche du risque, qui est une construction intellectuelle (il n’existe pas d’étalon au LNE permettant de mesurer un risque) et affaire de point de vue. Une vision plus populaire de la question du risque est traduite par l’adage : « le malheur des uns fait le bonheur des autres ».

Les objectifs premiers de la discipline sont

  • Sécurité économique
  • Développement stratégique
  • Pouvoir d’influence

Les trois principales définitions successives de l’IE, au gré des événements en France et à travers le monde, sont les suivantes :

  • « Ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques » selon le Rapport MARTRE de 1994, acte fondateur de l’IE en France.
  • « Politique publique d’identification des secteurs et des technologies stratégiques, d’organisation de la convergence des intérêts entre la sphère publique et la sphère privée dont le contenu vise la sécurité économique» selon le Rapport CARAYON  de 2003.
  • « Recherche et interprétation systématique de l’information accessibleà tous afin de décrypter les intentions des acteurs et de connaitre leurs capacités » selon Christian HARBULOT, ancien membre de la Commission MARTRE et fondateur de l’Ecole de Guerre Economique en 1997.

Je compléterais, à titre explicatif, ces définitions par « pratiquer l’Intelligence Economique, c’est percevoir de façon anticipative son environnement pertinent pour évoluer en bonne intelligence fonction des contraintes, menaces et opportunités qui y naissent, se développent et disparaissent ».

La plupart des entreprises pratiquent l’IE, bien que cette pratique ne rende pas nécessairement plus intelligent (le vocable officiel est certainement un frein au développement de la discipline en France, le mot Intelligence ayant des acceptions différentes en français et en anglais).

La démarche IE repose en grande partie sur la captation, l’analyse et le traitement de l’information permettant de décider « vite et bien ». Pour être pertinente et efficiente, elle suppose méthode. L’essentiel de cet aspect réside dans la capacité à transformer de l’information en renseignement utile (via la méthode dite du « cycle de l’information »), à capitaliser le résultat au travers d’une démarche de gestion des connaissances (knowledge management). Ces méthodes relèvent d’une approche d’amélioration continue couplant stratégie, risque et ensemble des veilles susceptibles d’être développées comme pièces de ce puzzle.

Pour conclure, je dirais que la démarche d’IE en entreprise est une démarche structurée et légaliste. Elle nécessite de réfléchir comme un escroc si l’on veut appréhender correctement le volet défensif de celle-ci.

Quelques dates repères (non exhaustif) sur l’IE en France…

  • 1967: WILENSKY développe la théorie selon laquelle le recueil, l’interprétation et la valorisation de l’information est indispensable à la poursuite des buts stratégiques.
  • 1986 : Michael PORTER créé le concept à la source de l’IE intitulé « Competitive Intelligence » qui fait suite à ses théories précédentes de « Competitive Stratégy ».
  • 1992 : Création d’une agence gouvernementale ADIT en charge de l’information économique.
  • 1994 : Suite aux déboires Thomson / Airbus, création d’une commission sur l’Intelligence Economique « Rapport MARTRE ».
  • 1997 : Christian HARBULOT crée « l’Ecole de Guerre Economique ».
  • 2003 : Suite nouveaux événements concernant GEMPLUS, nouvelle mission confiée par le Premier Ministre JP RAFFARIN et rapport CARAYON N°1,
  • 2006: mission confiée par le Premier Ministre D De VILLEPIN et rapport CARAYON N°2.
  • 2010: Définition d’un référentiel de formation à l’IE dans l’enseignement supérieur (sensibilisation en License, formation en Master et école d’Ingénieurs et de Management), suite à l’audition de spécialistes de la question, comme le préfet PAUTRAT.

Denis MOUGEOLLE


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Le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères et à l’Europe a encouragé l’excellente initiative portée par le chef d’entreprise de LOGI YONNE, Didier MERCEY, à l’origine de fructueux contacts ayant permis de parapher des accords de développement touristiques, économiques, culturels et gastronomiques, avec la province vietnamienne du DA NANG. C’est une remarquable ouverture à l’international pour la contrée la plus septentrionale du territoire de l’Yonne…

SENS : Présent à l’ambassade du Vietnam à Paris, le secrétaire d’Etat Icaunais Jean-Baptiste LEMOYNE n’a pas manqué de réagir positivement à l’opportunité de ce rapprochement judicieux, entre la province de ce pays du Sud-Est de l’Asie et le Sénonais, le « berceau économique le plus septentrional » de l’Yonne.

Très impliqué dans le développement des relations franco-vietnamiennes, le ministre bourguignon félicita au terme de la cérémonie protocolaire de la signature de cette convention les acteurs de ces nouveaux échanges bipartites. Il devait par ailleurs s’entretenir avec le vice chairman de la province de DA NANG en aparté.

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Une convention de partenariat en vue de développer le tourisme…

Plusieurs accords ont ainsi été signés par les délégataires de la province de DA NANG et les représentants de l’Yonne. En particulier, sur le volet touristique. Le Comité de l’office du tourisme de Sens et du Sénonais a ainsi ratifié un document lui permettant de développer les échanges touristiques entre la contrée du sud-est asiatique et le bassin septentrional de l’Yonne. Les éléments culturels, patrimoniaux, géographiques et gastronomiques intègrent ce nouveau partenariat.

Le 01er décembre, pour mémoire, une délégation de dignitaires vietnamiens (chefs d’entreprises, institutionnels, élus…) avait été reçue à Sens par l’édile de la ville, Marie-Louise FORT, et le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Alain PEREZ.

Au programme de cette visite : la découverte du marché couvert, la plongée historique au sein de la cathédrale Saint-Etienne, mais aussi la dégustation de vins et recettes de Bourgogne.

Ce séjour avait été soigneusement préparé, en amont, par le dirigeant de LOGI YONNE, Didier MERCEY, qui assure l’exploitation et le développement de la zone portuaire de GRON. Ce dernier vient de créer une nouvelle société franco-vietnamienne, LOGI VIETFRANCE, basée précisément dans la province de DA NANG où il réside actuellement.

Cette nouvelle entité permettra aux acteurs économiques de construire et développer de nouvelles relations bilatérales avec ce pays émergent de l’Asie du Sud-Est.

 

 

 

 


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