Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Soucieux d’en connaître davantage sur la cinquantaine d’exposants et leurs typicités, ceux qui prenaient part au premier Forum de l’Emploi et de l’Insertion, proposé par le Conseil départemental de l’Yonne et Pôle Emploi dans les salons de l’hôtel de ville de Joigny, le sous-préfet d’arrondissement de Sens a pris soin de discuter avec chacun de ces spécialistes du monde du travail. Tout sourire et à l’écoute, Wassim KAMEL s’est ainsi renseigné sur les ultimes opportunités d’immersions professionnelles déclinées sur son territoire afin d’en approfondir toute la substance.  

 

JOIGNY: Depuis sa nomination remontant au 02 août dernier, le sous-préfet de Sens, Wassim KAMEL, successeur de Rachid KACI parti sous d’autres cieux, n’avait pas eu encore l’opportunité de s’immerger au cœur d’un Forum de l’Emploi et de l’Insertion. C’est donc chose faite, ce mardi à Joigny !

Car, tels les fameux marronniers qui nourrissent d’ordinaire les colonnes de la presse avec la récurrence annuelle de leurs informations, c’est en novembre que se manifeste le plus d’opérations propres à cette thématique au demeurant prépondérante au niveau sociétal : le retour à la vie active des publics fragilisés.

Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées oblige – il en sera d’ailleurs fait mention avec le concours de CAP EMPLOI 89 lors d’une intervention de l’un de ses représentants (David SAUTEREAU) juste avant le terme de la manifestation -, ce forum, le premier d’une série de six rendez-vous déclinés par le Conseil départemental et Pôle Emploi - tombait donc à point nommé pour procéder à une revue de casernement générale des offres et potentialités existantes au niveau de notre territoire.

 

Pas d’offres d’emploi mais de l’immersion professionnelle à la place

 

On notait aussi la présence des responsables du club des « Entreprises qui s’engagent » (l’efficace tandem Sandra VERBRUGGEN et Jean-Pierre LANTERNIER), concept porté par la CCI de l’Yonne et adoubé par la préfecture, le tout sur des principes très conventionnels de partenariat utile, qui étaient aussi à la manœuvre en ce jour de découverte pour certains ou de retrouvailles pour d’autres du monde du travail.

Pour cette cinquième édition, une particularité se dégageait parmi les nouveautés. Elle nous a été présentée par Céline STERLE, directrice de Pôle Emploi de Joigny.

« C’est l’immersion professionnelle pour pouvoir mieux découvrir des métiers, des univers d’entreprises, précise-t-elle, on n’est pas sur un forum d’offres d’emploi traditionnel même s’il y en a tout de même quelques-unes à pourvoir. L’idée pour les huit structures entrepreneuriales présentes, c’est de pouvoir accueillir sur une matinée, une journée, voire un peu plus, des demandeurs d’emploi en leur sein afin de les familiariser avec l’environnement de la boîte… ».

 

 

Plus de 150 personnes attendaient l’ouverture des portes dès 09 heures

 

Une démarche jugée judicieuse et plaisante à plus d’un titre pour celles et ceux des participants, tout âge confondu, qui recherchent absolument à raccrocher les wagons du plein emploi, grâce à ce type d’initiative opportune.

Naturellement, les partenaires habituels de ce genre d’évènements se manifestaient par leurs stands, plutôt bien fréquentés (aide au budget, garde d’enfants, santé,…) sans omettre les organismes de formation, délivrant diplômes et cursus.

Les bénéficiaires du RSA, les personnes inscrites à Pôle Emploi ou les travailleurs handicapés figuraient au premier rang de ce public sollicité par cette démarche intéressante, où les échanges directs prévalaient en face à face sur les différents stands, avec remise de cartes de visite à l’appui.

D’autres rendez-vous sont d’ores et déjà programmés dans l’Yonne jusqu’à mi-décembre avec Auxerre, Sens, Toucy, Avallon et Tonnerre. Sachant que chaque bassin possède sa propre spécificité d’une animation à l’autre même si le fil rouge commun demeure l’immersion professionnelle en entreprise.

Signe de l’incontestable attente du public : plus de cent cinquante personnes attendaient devant les portes à l’ouverture du forum (09 heures) ; ce qui ne manque pas de satisfaire Céline STERLE. Quant aux entreprises, elles ont fait elles aussi leur beurre avec une demi-douzaine de stages immersifs programmés avec les potentiels candidats, quelques minutes seulement après le début des hostilités.

Quant au sous-préfet de Sens, il s’est enrichi de la diversité informative et de l’offre proposée par tous les participants qui n’ont qu’un seul mot d’ordre : accompagner du mieux possible les candidats au retour vers l’emploi…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sur le papier, l’endroit fait déjà rêver. L’hôtel du Golf à Deauville. Un somptueux quatre étoiles sur l’échelle du confort, de la qualité, de l’esthétisme et de l’accueil ! Rien que cela et ce, pour une durée de deux jours, mazette ! Une centaine de directeurs des Ressources Humaines – un peu le gratin des plus belles entreprises hexagonales -, une cinquantaine d’experts et de spécialistes, le tout en provenance des quatre coins de l’Hexagone. Voilà en filigrane l’environnement de la 46ème édition du Salon Top DRH dans lequel va plonger la société de Sens, OBIANCE. Partenaire et prestataire de l’évènement…

 

DEAUVILLE (Calvados) : Il n’a qu’un seul objectif en tête, Michaël OUDMEDJKANE : capitaliser sur les deux jours de présence de sa structure et de ses équipes afin de distribuer le maximum de cartes de visite et assurer le plus grand nombre de prises de contact pour faire connaître son entreprise ! Et les prestations qui y sont associées, il va de soi !

Jusqu’au 23 novembre, OBIANCE participe au 46ème Salon national Top DRH dans la célèbre cité normande, immortalisée par Claude LELOUCH en 1966 (« Un homme et une femme ») qui en filma les plus beaux atours.

Mais, dans le cas présent, Michaël OUDMEDJKANE fera fi des références cinématographiques pour se concentrer uniquement sur son cœur de cible, celui avec qui il réalise son business depuis la création de son entreprise, positionnée sur le bien-être des collaborateurs dans une unité de travail. Car pour l’entrepreneur sénonais, le credo est simple : le bien-être en entreprise n’est pas un vain mot et passe par des moments de détente ô combien nécessaires et salvateurs à grand renfort de relaxation et de partage.

En lien direct avec le saint des saints de la vie professionnelle  - les décisionnaires et les dirigeants qui feront une halte à Deauville -, le patron d’OBIANCE déclinera, via un atelier et des démonstrations à l’appui, les manières positives d’optimiser la valeur du travail, dans un monde entrepreneurial de plus en plus complexe, après la crise sanitaire, observée ces dernières années.

 

 

Dire qu’il attend depuis longtemps la tenue de ce rendez-vous annuel biffé de longue date sur son agenda est un doux euphémisme ! D’autant que par le passé, les échanges réalisés dans les salons de ces hôtels feutrés qui accueillent l’évènement national se sont montrés très probants. OBIANCE a pu ainsi nouer des liens avec des enseignes de cosmétiques aussi prestigieuses que CHANEL ou Yves SAINT-LAURENT pour y parler, non pas de mode, mais plutôt de gestion du stress, de bien-être, de détente ! Il compte bien être sur la même dynamique durant ces deux journées à vivre, non loin du Cotentin.

D’ailleurs, l’évocation de la gestion du stress en y apportant des points d’amélioration auprès des collaborateurs n’est plus un sujet tabou, désormais, dans les sociétés. Mieux : ce serait plutôt un argument positif pour les directeurs des Ressources humaines, à la fois dans la conservation de leur personnel, mais aussi un gage sérieux de recrutement pour attirer de nouvelles pépites. On pense en premier lieu aux « milléniums », inféodés à ces nouvelles tendances sociétales qui ne rebutent pas non plus les seniors !

Intervenant aujourd’hui en métropole mais aussi dans les DOM-TOM auprès d’une dizaine de mutuelles, OBIANCE dispose d’une offre éclectique qui ne manquera pas de séduire les DRH présents à Deauville. Ces derniers en découvriront davantage sur les bienfaits de l’hypnose afin de gérer le stress et l’anxiété, la pratique du yoga pour améliorer la flexibilité et l’équilibre, le do-in pour se détendre et se rééquilibrer, le tai-chi et le Qi-gong pour la souplesse et l’énergie, le self-défense pour la sécurité, la méditation pour se connecter avec son subconscient, voire la langue des signes pour accroître ses capacités de communication et de compréhension. Cerise sur le gâteau : les cadres supérieurs pourront aussi bénéficier d’une séance de massage assis, un pur régal pour les cervicales, trapèzes et autres vertèbres !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle se nomme « Jolie Star ». Et la bête, un poney shetland portant fière allure du haut de ses quatre ans, est sympa et docile comme tout. Elle, qui a su prendre la pose lorsque ses généreux acquéreurs lui ont rendu une visite plus que de courtoisie, il y a peu, dans l’espace animalier accueilli au sein de l’IME des Isles à Auxerre. Le Rotary Club local a donc fait des heureux, juste avant Noël. Permettant aux très jeunes pensionnaires de l’institut médico-social, géré par l’EPNAK, de s’adonner aux activités équestres à l’aide de leur nouvelle amie à quatre pattes !

 

AUXERRE: Son patronyme pourrait sortir tout droit de la dernière aventure de « Lucky Luke », le cow-boy qui tire plus vite que son ombre. Traduit-il pour autant des traits innés de son caractère ? En tout cas, la « bestiole » n’est pas farouche pour un sou et se laisse gentiment caresser par toutes celles et tous ceux qui en éprouvent l’envie ! N’est-ce pas mesdames les représentantes de La Poste ?!

Une « Jolie Star » au centre de moult attentions, il est vrai, vedette incontestable de la soirée, à rendre jaloux moutons, lapins et chèvres qui dans leurs enclos respectifs aimeraient bénéficier d’autant signes d’affections et de faveurs de la part des membres du Rotary Club d’Auxerre, venus en petite délégation saluer le fruit de leur générosité.  

Car « Jolie Star » est presque devenue leur poney « adoptif », puisque ce sont les oboles offertes avec souci d’altruisme et de solidarité par les adhérents du club service auxerrois qui ont financé son achat. Et pas n’importe quelle acquisition, il est vrai !

 

 

Posséder un poney beaucoup plus adapté à la monte qu’un cheval…

 

Ce jeune poney, âgé de quatre ans, de race shetland jusqu’au bout de la crinière et des sabots, a été offert à l’IME des Isles où sont accueillis par l’établissement EPNAK de jeunes enfants (entre autres), souffrant de déficiences intellectuelles et de handicaps.

La ferme de l’institut médico-social auxerrois est accueillie dans un édifice de très belle facture, on s’y croirait avec des enclos et des espaces appropriés pour recevoir cette petite ménagerie. Tout cela conduit sous le sceau de la pédagogie et du rapport privilégié à développer avec la présence animalière.

Il y a peu, trois chevaux occupaient encore ces boxes. Deux sont morts. Le survivant, « AZYRIS », s’ennuyait fort, après la perte de ses deux compagnons. En outre, beaucoup plus grand au garrot qu’un simple poney, il ne permettait pas à tous les enfants – les plus petits au demeurant – de pouvoir se hisser dessus. D’où la réflexion de la responsable du centre, Cécile THALEN, de se doter enfin d’un poney, plus adapté à la monte des jeunes enfants.

 

 

 

 

Le mariage réussi de « Jolie Star » et de ses jeunes cavaliers !

 

Après contact, c’est l’écurie auxerroise, adepte de la valorisation équestre, CAVAL JUMP qui sera sur les rangs et apportera la solution idoine, incarnée désormais par « Jolie Star ». Restait son financement.

Le projet éducatif en direction de l’enfance handicapée – l’un des axes prioritaires parmi les nombreuses actions sociales portées par le Rotary – interpella le président de l’un des deux clubs du cru, Vincent VALLE. Les membres du club service lui emboitèrent le pas : in fine, 2 700 euros furent ainsi alloués à la finalisation de cette belle opération, l’achat du poney pour les besoins des petits.

Depuis son installation à l’IME de l’EPNAK, « Jolie Star » vit aux côtés des petits pensionnaires comme un coq en pâte ! Normal, ils l’adorent et elle les aime : bravo au Rotary Club d’Auxerre d’avoir su gérer cet hymen !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Que les amoureux de Dame Nature se rassurent, on en reprend donc pour dix ans, seulement ! Cela aurait pu être pire, en effet, si aucune date butoir n’avait été précisée à l’issue de ce vote au résultat pour le moins curieux, en mode « bal des hypocrites » ! Croisons les doigts pour qu’il y ait désormais de réelles alternatives à l’utilisation de cet herbicide, très controversé dans le landerneau, y compris par les agriculteurs eux-mêmes qui en sont les premières victimes au niveau de leur santé. Un état de fait qui toutefois n’aura pas convaincu les états de l’Union européenne de s’en débarrasser une bonne fois pour toute, comme il était permis d’espérer !

Ainsi, la montagne européenne a donc une nouvelle fois accouché d’une souris. Toute minuscule et chétive soit elle, sans doute déjà en proie à l’empoisonnement qui lui sera fatal ! Entre une série de frappes massives sur la bande de Gaza et quelques missiles supplémentaires expédiés depuis la Russie de manière anodine aux alentours de Kiev, la décision de la Commission européenne est donc passée comme une lettre à La Poste au beau milieu de la semaine, quasiment inaperçue, et sans que cela provoque des cris d’orfraie des foules en délire, battant le pavé sous la pluie dans les rues de nos métropoles.

Pourtant, il y a réellement du souci à se faire. Déjà au niveau de l’environnement, ultra saturé de pesticides en tout genre, idéal pour notre santé et celle de nos amis, les animaux !  Quid d’ailleurs des végétaux qui ne cessent de crever et de dépérir à force de se rassasier de toutes ses molécules chimiques !  

 

 

Déjà en 2018, l’Union européenne avait prolongé de dix ans…

 

Véritable serpent de mer de la sphère agricole depuis bientôt une décennie en Europe, le glyphosate est donc revenu par la petite porte dans l’actualité, ces jours-ci. A la manière discrète d’un chômeur, venu pointer à l’agence de Pôle Emploi locale, histoire de renouveler coûte que coûte le bail de ses indemnités, et disparaître de nouveau dans la nature. Car, c’est vrai : le glyphosate et ses effets tant décriés sur notre métabolisme ne font plus guère la une des médias. A tort, peut-être, car finalement les lobbyistes auront été les plus forts avec ce vote étonnant de l’Europe, survenu à Bruxelles – le paradis des lobbys puisque cinq mille personnes y promeuvent les intérêts de toutes les structures d’influence sur l’espace institutionnel – ce jeudi 16 novembre.

Il y a cinq ans, l’Union européenne avait déjà dû débattre sur la thématique suivante et ô combien kafkaïenne, « faut-il interdire ou non ce produit » sortant des usines du groupe MONSANTO depuis 1974 ?

En 2018, l’Europe avait déjà choisi la manière la plus « noble » pour tenter de résoudre le problème – c’est-à-dire les risques de cancers développés par l’utilisation intensive de cet herbicide foliaire systémique - : en bottant en touche le dossier en prorogeant de dix années supplémentaires son utilisation dans les campagnes du Vieux Continent. La nouvelle session, il y a quarante-huit heures chrono, sur le sujet ressemble à s’y méprendre à la version initiale de ce feuilleton aux multiples épisodes qui exaspère de plus en plus les écologistes – ils sont contre son usage - et les agriculteurs – ils sont pour car selon eux, aucune alternative n’existe à l’heure actuelle dans le catalogue pourtant très éclectique des industriels -.

 

Des études réalisées par des spécialistes aux contours contradictoires

 

Jean COCTEAU écrivait jadis que « la vie était un éternel retour ». Il n’avait pas tort. Comme le prouve cet exemple très actuel qui pollue le monde agricole depuis si longtemps. La décision de proroger de dix années de mieux l’emploi de ce produit potentiellement cancérogène selon certaines études, notamment celle de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), organisme institutionnel qui n’est tout de même pas né de la dernière pluie, a de quoi inquiéter dans les chaumières. Notamment, celles établies dans nos campagnes. Même si d’autres analyses, contradictoires celles-là, démontrent que l’herbicide si controversé n’altère en rien le métabolisme de l’homme ni des animaux.

Alors que le délai d’utilisation en Europe expirait en décembre prochain, à la grande satisfaction des écologistes et de nombreux professionnels pratiquant une agriculture raisonnée, l’annonce de la reconduction de ce produit pour une décennie fait tout de même l’effet d’une bombe dans le sérail. Tant chez les scientifiques qui ne comprennent pas le choix des états membres de l’Union, que des politiques eux-mêmes qui y perdent leur latin !

Du côté de l’EFSA, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, le contexte n’est pas « préoccupant » en cas d’utilisation du glyphosate. Seul « un risque élevé à long terme pour les mammifères » pourrait survenir en matière de toxicité. Sauf que de mémoire, l’humain intègre bien cette famille des mammifères, non ?!

Autre son de cloche, celui de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA). Pour elle, il n’existe pas assez de preuves suffisantes permettant de confirmer que le pesticide si décrié est de nature cancérogène. Sauf qu’à la lecture de leur rapport, il est fait mention de risques de lésions oculaires grave. Du côté de l’OMS, les avis sont plus catégoriques. Le glyphosate est classé comme « cancérogène probable ». Notamment, avec l’apparition de leucémies et de cancers du sang chez l’homme.

 

 

La position alambiquée de la France qui choisit le ni…ni

 

Reste le volet politique de ce choix si décoiffant ! Au terme de ce scrutin, observé par les spécialistes de la chose, il s’avère que sept pays dont l’Allemagne et l’Italie se sont in fine abstenus. La France a suivi cette mouvance.

Avançant ainsi à tâtons et avec extrême prudence, afin de ne pas froisser le monde agricole (des électeurs potentiels !) qui utilise le produit. Même si le ministre en charge de la Transition écologique, Christophe BECHU, aurait préféré, comme il devait le déclarer sur les ondes de France Inter, que « la position hexagonale prenne la forme d’un vote contre ».

Une abstention qui a pour équivalence un vote contre, drôle de raisonnement, tout de même ! N’aurait-il pas été plus judicieux de voter réellement en défaveur de ce prolongement de dix années supplémentaires et de le faire savoir haut et fort autour de soi.

En matière de symbole et de responsabilité, cela aurait eu le mérite d’être clair, au-delà de nos frontières ! Pas comme cette décision du ni pour, ni contre, préjudiciable à toute dynamique et affirmation de soi-même …

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Forcément, cela va ruisseler en mode ultra positif pour l’ensemble des professionnels du secteur ! Et le sourire du président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, en dit long sur les perspectives excellentes à venir ! En investissant 421 millions d’euros pour la modernisation des lignes ferroviaires de notre contrée, SNCF Réseau redonne du baume au cœur à des partenaires indispensables à la réalisation de ces chantiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le Forum de l’Economie et de l’Emploi du ferroviaire a vécu sa troisième édition, ce jeudi, réunissant plus de cent cinquante acteurs intéressés par les projets et perspectives de la SNCF en matière d’aménagement des lignes qui traversent la Bourgogne Franche-Comté. Et en premier, les représentants de la FRTP, c’est-à-dire la Fédération régionale des Travaux Publics !

Logique que le président régional Vincent MARTIN soit aux premières loges de ces échanges nourris et constructifs car SNCF Réseau poursuit le travail entamé depuis 2019 avec son partenaire, à savoir la modernisation des lignes ferroviaires régionales.   

Une modernisation dont l’investissement s’élève à 421 millions d’euros en 2023, avec une moyenne de plus de 350 millions d’euros chaque année pour les trois prochaines années, qui permet de recruter plus d’une centaine de personnes chaque année.

 

 

Rappelons que cet investissement est financé conjointement par l’Etat et la Région ; il profite au plan économique aux entreprises locales qui sont spécialisées dans les travaux ferroviaires mais aussi auprès des nombreux sous-traitants, voire des entreprises d’insertion, qui évoluent dans le domaine de l’emploi.

Logique que le président Vincent MARTIN pose aux côtés du président directeur général de SNCF Réseau, Marc CHABANEL, aux termes de cette journée de rencontres fructueuses pour les travaux publics et les opportunités qui lui sont offertes à l’avenir…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil