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D’une pierre deux coups pour Crescent MARAULT : 48 voix l’installent sans surprise à la présidence de l’Auxerrois
juillet 10, 2020Seul candidat en lice, le nouvel édile d’Auxerre ne risquait pas de perdre la face à l’issue de ce scrutin qui l’a conforté dans le fauteuil de la présidence communautaire. En obtenant 48 des 64 voix pouvant s’exprimer, le porte-étendard des Républicains et du centre droit impulsera la feuille de route stratégique de la nouvelle gouvernance pour un mandat de six ans…
AUXERRE : Le scénario était déjà écrit d’avance. Les amateurs de suspense, celles et ceux qui composaient le public morcelé façon puzzle sur les sièges leur étant réservés en arrière-plan, en furent pour leur frais.
En l’absence de toute autre candidature devant se présenter face à lui, le nouveau maire de la préfecture de l’Yonne Crescent MARAULT ne pouvait pas ne pas obtenir la majorité des suffrages pour s’inscrire comme le successeur légitime de Guy FEREZ.
C’est l’un des principaux enseignements de ce vote inhérent à la séance d’installation du conseil de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois. Un évènement qui s’est déroulé avec l’accueil d’un public restreint dans l’enceinte du parc des expositions ce vendredi 10 juillet au matin.
Dans un silence religieux, digne d’une nef de cathédrale, les 64 électeurs communautaires se déplaçaient en petits groupes successifs pour déposer leur précieux bulletin dans l’urne. Ce cérémonial nécessitera de longues minutes de déambulation et de patience pour les suiveurs avant que ne soit procédée la phase de dépouillement.
Auparavant, Crescent MARAULT prit la parole de façon liminaire, juste pour faire acte de candidature à la présidence de l’organe institutionnel. Puis, le silence régna parmi l’assistance. Aucun candidat de l’opposition ne se déclara face au maire d’Auxerre. Les dés étaient lancés et pouvaient retomber sur le tapis sans réelle fausse note.
Le verdict ne tardera pas à être connu. Avec un total de 48 voix, l’élu de l’Yonne obtint le nombre de suffrages indispensables devant l’installer confortablement dans le fauteuil présidentiel de l’assemblée communautaire. Quinze bulletins blancs et un vote désignant un candidat non déclaré complétèrent ce résultat.
Deux piliers de la sphère politique aux postes de vice-présidents…
Après un bref commentaire du nouvel élu sur le positionnement de la future mandature (nous y reviendrons), Crescent MARAULT prit soin de faire élire ensuite deux de ses vice-présidents.
Ceux qui possèdent le plus de poids au sein de cet organigramme décisionnel : le premier et son dauphin. On connaîtra le nombre total de vice-présidents et leurs délégations au terme du Conseil des maires, prévu le mercredi 26 août à Auxerre. Une orientation stratégique qui avait été entérinée par vingt-huit des vingt-neuf élus présents lors d’une réunion de travail jeudi soir à la demande du nouvel homme fort du bassin auxerrois.
Le conseiller départemental et maire de VENOY aux couleurs des Républicains Christophe BONNEFOND, seul prétendant déclaré au poste de premier vice-président de l’Agglo, récoltera 46 voix favorables.
Additionnant 49 voix, le responsable départemental du MoDem de l’Yonne, Pascal HENRIAT, héritera du portefeuille de second vice-président. Sa préférence ira sans aucun doute pour les finances.
Assiduité : le premier mot fort de cette session…
Avant que ne soit levée définitivement la séance, Crescent MARAULT distilla trois ultimes informations aux élus communautaires.
La première d’entre elles se rapporta à la tenue de la commission générale devant accueillir l’ensemble des délégués le 21 juillet à 19 heures salle des Boutisses. Il y sera question des orientations budgétaires et du budget primitif 2020/2021.
Le 30 juillet, une nouvelle session en plénière du Conseil communautaire se déroulera dès 9 heures à AUXERREXPO avant les retrouvailles pour certains des élus au sein du Conseil des maires le 26 août où sera évoqué le calendrier des instances communautaires.
Un copieux programme au cœur de l’été pour les 64 élus qui devront très vite trouver leur rythme de croisière face à la montagne de dossiers en instance qui se présentent devant eux. D’ailleurs, le mot « assiduité » a été lâché en guise de conclusion par le nouveau président, plutôt à l’aise au terme de cette première entrevue communautaire.
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En quête d’une réélection à la CCPF : J-P SAULNIER-ARRIGHI plaide en faveur de sa vision entrepreneuriale
juillet 09, 2020Et si diriger une collectivité territoriale forte de ses 36 000 âmes réparties dans 57 communes s’apparentait à plus d’un titre à la gestion d’une véritable entreprise ? L’actuel maire de Moulins-sur-Ouanne, conseiller régional et président sortant de l’intercommunalité de Puisaye-Forterre en serait-il pour autant le PDG absolu ? Pas si sûr ! Ce serait plutôt, à ses dires, un dirigeant s’appuyant sur des compétences qui souhaite rebattre les cartes, ne stigmatiser personne et aller de l’avant, avec un discours d’apaisement, au service de ses administrés…
MOULINS-SUR-OUANNE : A 67 ans, tout est possible ! Ce n’est pourtant pas le credo du candidat Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI à sa propre succession. Mais, celui d’un exégète de la chose publique, habitué à évoluer dans la sphère politique depuis pas mal de temps.
Il en connaît ainsi tous les rouages et les subterfuges. A l’instar des chausse-trappes et autres peaux de banane qui se sont déjà dressées sur sa route. Où il lui aura fallu les éviter avec une certaine maîtrise.
Aujourd’hui, à l’avant-veille d’un scrutin qui pourrait paraître capital sur le papier (une réélection au poste de président de l’intercommunalité la plus étendue de l’Yonne), le responsable départemental d’Agir La Droite Constructive mène campagne dans sa « zone de chalandise » en quête de ces indispensables soutiens d’édiles qui pourraient lui apporter in fine les voix nécessaires.
Sans rien préjugé du résultat final (« une élection n’est jamais gagnée d’avance… dixit l’intéressé), le président de la CCPF s’enveloppe d’une certaine sérénité dans sa posture. Même s’il reconnaît que ces trois années de mandature exercées depuis sa prise de fonction en janvier 2017 ressemblaient davantage à une sinécure kafkaïenne à appréhender plutôt que d’être vécues comme un long havre de paix !
Bref, on l’aura compris dans ses propos distillés sans modération lors d’une conférence de presse accordée il y a quarante-huit heures, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI veut convertir ces trois premières années de galère noire en un nouveau challenge plus abouti tant dans le consensus que dans les réalisations.
Faire abstraction des querelles de personnes et privilégier l’intérêt général
Alors, quand il abat ses cartes comme des pions qu’il avancerait sur un échiquier pour expliciter son programme, l’élu de l’Yonne admet bien volontiers que son tempérament vif et clairvoyant lui joue parfois des tours : « peut-être ai-je été un peu trop rapide dans la prise de certaines décisions mais je ne voulais pas perdre de temps… ». Ni les subventions de fonds divers et variés à glaner çà et là auprès d’instances régionales voire européennes dont il était judicieux de bénéficier pour le portage financier de certains dossiers.
A sa décharge, il explique que l’un de ses plus grands regrets aura été une dépense d’énergie constante pour lutter contre une adversité qualifiée de « mauvaise foi ». Il est vrai que ce court mandat de trois ans imputable à la constitution de la nouvelle communauté (il est de six ans en temps normal) aura paru interminable pour l’ancien avocat d’affaires.
Le paysage plutôt mouvementé de ce landerneau kaléidoscopique comprendra dans ce laps de temps : la fusion de trois intercommunalités, l’additif d’une commune nouvelle (Charny-Orée de Puisaye), l’ajout de quatre communes (Charentenay, Coulangeron, Migé et Val-de-Mercy), le retrait de cinq autres, la présence d’un PETR et celle d’un syndicat mixte des déchets…Qui dit mieux ?
Un problème de fonctionnement, pas d’investissements
Se référant à un rapport analytique publié par le cabinet STRATORIAL PUBLIC AVENIR, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI évoque la fiscalité. Un item toujours épineux dans la besace de n’importe quelle collectivité.
« L’effet de la fusion engendrera selon cette étude une augmentation de quatre taxes de 2,5 % par an et ce pendant au moins six années… ».
Prônant les vertus de l’intérêt général, le candidat lance quelques pistes de réflexion concrètes extraites de sa feuille de route. Pour cette prochaine mandature, il désire l’ouverture des commissions aux conseillers municipaux.
« Il existe bon nombre de compétences parmi ces élus alors qu’ils ne sont pas délégués communautaires. Ils doivent s’approprier cet organe et en parler entre eux… ».
Proposer un écrémage dans l’ordre du jour communautaire (des sessions longues parfois de plusieurs heures) s’inscrit parmi les priorités. Les questions de moindre importance se réguleraient dans le cadre d’un bureau délégataire. Quant aux appels d’offres, autre serpent de mer insondable dans la vie des élus, ils seraient traités par un service centralisé ad hoc. La résultante se traduirait par le biais d’une embauche d’un agent supplémentaire.
Tel un entrepreneur déclinant son business plan et sa copy stratégie à son staff directionnel à la barre d’une grosse PME, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pose son regard managérial de l’organe communautaire autour de trois axes : la vision du territoire, l’organisation et les moyens humains, complétés par le volet financier.
Des projets comme s’il en pleuvait…
Les engagements pris lors de la première mandature devraient se poursuivre en cas de réélection du président actuel. Ainsi, le dossier de la piscine intercommunale bâtie à Toucy, projet d’un coût de 6,6 millions d’euros mais subventionné à 52 %.
A ce titre, le maire de Moulins-sur-Ouanne rappelle le bénéfice des 700 000 euros de subsides qu’il a su obtenir auprès du ministère des sports sans trop de difficultés !
La constitution d’une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) est destinée à la mise en exergue de la filière énergie bois. L’aménagement des zones d’activité (Toucy, Charny-Orée de Puisaye, Saint-Fargeau…) est en phase d’étude. L’idée de créer une entité supplémentaire aux abords de l’autoroute à Villefranche est dans l’air.
La refonte des bâtiments du CNIFOP à Saint-Amand-en-Puisaye dans lequel la Région mais aussi le Département de la Nièvre voire l’ADEME pourraient être des contributeurs financiers s’envisage très sérieusement.
Le volet sanitaire n’est pas omis de la discussion par le président-candidat. Bléneau, Courson-les-Carrières ou Toucy sont concernés par l’édification de maisons de santé ou d’extensions de leurs sites existants.
Reste le volet environnemental. C’est une priorité capitale dans la bouche de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. La voie douce (ou voie verte) devant relier Moutiers-en-Puisaye à Briare et son fameux canal figure en pôle-position dans les tuyaux.
De même, il existe une réflexion autour du rail où se grefferait un partenariat entre différentes collectivités territoriales de la Nièvre, du Loiret et de l’Yonne.
Quant à la construction du nouveau siège intercommunal prévu à Saint-Fargeau, rien n’est encore fait. Le président de la CCPF possède différentes options dans son jeu pour trouver l’alternative la plus judicieuse à ce projet qui permettrait de regrouper sur un site unique l’ensemble des salariés de la collectivité, soit une centaine d’agents.
Seul tacle critique à l’endroit de son vice-président Jean-François BOISARD mais néanmoins adversaire pour le perchoir présidentiel de ce samedi 11 juillet à Saint-Fargeau : une petite allusion emplie de sous-entendus et décochée comme une flèche sur l’attitude de son rival qui a tout accepté des projets en cours en les votants de manière positive durant son mandat…
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Le château de TANLAY bénéficie du label SECURISITE : Cécile RACKETTE officialisera le dispositif le 19 juillet
juillet 09, 2020L’un des hauts lieux patrimoniaux et culturels du territoire de l’Yonne, le château de TANLAY, recevra la visite officielle de la sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon le 19 juillet prochain. Son propriétaire, Gérault de SEZE, est depuis peu l’un des nouveaux signataires de la convention de partenariat le liant avec les services de l’Etat dans le cadre du dispositif SECURISITE…
TANLAY : C’est confirmé depuis hier : le propriétaire du château de TANLAY, infrastructure touristique incontournable de notre territoire, se verra remettre l’affichage distinctif de son appartenance au label SECURISITE le dimanche 19 juillet aux alentours de 10h00.
Un dispositif dont il a validé les modalités d’usage lors d’une cérémonie protocolaire lui permettant d’apposer son paraphe au bas de plusieurs pages d’un document à l’estampille préfectorale.
La signature de cette convention s’est déroulée lundi en fin de matinée dans le bureau du représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, en présence de l’édile de Tanlay, Eric DELPRAT, et du lieutenant-colonel du groupement départemental de la gendarmerie, Sébastien MONVOISIN (cf : lire le futur article sur cette opération).
Gérault de SEZE accueillera en cette journée dominicale du 19 juillet la sous-préfète de l’arrondissement de l’Avallonnais, Cécile RACKETTE afin d’officialiser in situ l’obtention dudit label. Cette dernière pilote également la cellule de relance de l'activité touristique et culturelle sur notre département.
Car au-delà du dispositif sécuritaire qui est décliné grâce à cette action d’envergure nationale, SECURISITE représente bel et bien un label qui renforce la tranquillité des visiteurs grâce à une surveillance et coopération accrues mise en place avec les forces de l’ordre.
Parmi les autres sites touristiques de renom à posséder ce label dans l’Yonne : citons le château de GUEDELON, celui d’Ancy-le-Franc, le site de Vézelay ainsi que le château de Saint-Fargeau. Un édifice, cher au regretté Jean d’ORMESSON, dont le propriétaire Michel GUYOT était le second signataire de la cérémonie ayant eu lieu ce lundi à l’hôtel de la préfecture.
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La Chambre des Métiers va sensibiliser à la mobilité électrique : des essais pour convertir les artisans…
juillet 09, 2020Il est encore trop tôt pour en connaître toute la substance programmatique et le déroulé exact. Mais, une chose est d’ores et déjà actée à l’échelle régionale : l’après-midi du mercredi 16 septembre sera consacré à la découverte de la mobilité électrique sur les quatre sites bourguignons de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat. Une opération qui vise à informer, essais à l’appui, les artisans…
AUXERRE : Décidément, la rentrée 2020 se présente sous le signe de la mobilité électrique et la conversion des moyens de transport vers une énergie moins polluante en gaz carbonique.
Un nouvel évènementiel sur ce thème est venu se greffer au calendrier du mois de septembre. Notamment à Auxerre où le 10 de ce même mois, le MEDEF et l’UIMM déclineront déjà toute une série de conférences sur ce sujet ô combien vital pour la sauvegarde de notre planète.
Cette fois-ci, c’est la Chambre régionale des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté qui prend l’initiative d’informer l’une des branches professionnelles consommatrices d’utilitaires et de véhicules réservés au travail : les artisans.
Les quatre départements bourguignons ont choisi une date similaire, le mercredi 16 septembre, pour concevoir leur opération à vocation pédagogique.
Conçue sur les sites des délégations territoriales, l’animation devrait s’articuler autour de séances d’essais de véhicules électriques en lien avec les concessionnaires locaux. Avant qu’elle ne soit ponctuée par une table ronde permettant de recueillir en fin d’après-midi des témoignages pertinents d’utilisateurs desdits véhicules.
Comme l’a confirmé Thierry LEGER, en charge du projet à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, l’objectif de cette manifestation est de sensibiliser le plus grand nombre d’artisans aux réels enjeux de la transition énergétique via la mobilité.
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C’est la croix et la bannière pour les porter : et si un designer s’était penché sur la question des masques !
juillet 08, 2020N’aurait-il pas fallu demander l’avis d’un spécialiste du design, au sens noble du terme, c’est-à-dire celui de la conception et de l’information technique avant de produire ces fameux ustensiles de protection sanitaire parfois fort complexes à assembler ? Et au final, à porter, voire à supporter !
AUXERRE : Dans la catégorie des puristes du design frisant le perfectionnisme absolu, Michel MILLOT est un esthète ! Un maître à penser de réputation internationale que les Chinois nous ont longtemps réclamé pour créer et imaginer une multitude de produits servant les intérêts industriels les plus éclectiques de leurs enseignes populaires.
Alors quand cette référence de la créativité tous azimuts nous a fait part de son désappointement sur la conception de certains masques, qui circulent à l’heure actuelle dans le landerneau, il nous est apparu de bon aloi de relayer la parole et les réflexions un tantinet pertinentes de l’illustre personnage.
Sa cible numéro un : le masque conçu en fibre naturelle. Un produit qui semble aux yeux du génial créateur « fastidieux », voire impossible à monter alors que la notice qui l’accompagne au moment de sa distribution mentionne le temps d’assemblage dudit objet d’une à deux minutes au maximum.
« Ne parlons pas du confort une fois appliqué le masque protecteur sur le visage, c’est peu satisfaisant ! ».
Toujours en quête de pertinence, le designer émérite s’est fendu de sa petite investigation pour tenter de comprendre comment il en était arrivé là. Et sans doute, beaucoup d’autres de nos congénères impuissants à résoudre l’équation.
« Personne à ma connaissance qui en a été pourvue n’a réussi à le monter ni à le porter. C’est à se demander si les commanditaires institutionnels de l’objet l’ont même testé avant de le distribuer aux collectivités et à leurs habitants… ».
Pour Michel, c’est simple : tout repose une fois de plus sur la méconnaissance du métier de designer industriel, le garde-fou incontournable aux mauvaises surprises de la conception et à ses usages.
« Selon moi, ajoute notre expert, c’est clair : le designer a été mis à l’écart à la fois au niveau de la conception du produit ainsi que dans la phase informative qui aurait dû être initiée sur le produit au-delà de précisions liminaires techniques et commerciales. Quel gâchis, c’est regrettable… ».
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