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On ne peut pas dire que le contexte économique soit très exaltant sur notre territoire ! Entre préoccupation et optimisme, il est difficile de se  faire véritablement une opinion de ce que sera le premier trimestre 2024. Une impression générale des plus contrastée pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE. Ce dernier faisait le point lors d’une session informative dans le cadre des rendez-vous proposés par la Banque de France…

 

AUXERRE : Le rendez-vous, même, matinal est toujours très prisé des acteurs de l’économie territoriale. Certes, il n’était guère aisé de trouver une place de stationnement à l’IBIS Style, dont les extérieurs sont en pleine reconfiguration structurelle depuis un moment, travaux importants à l’appui ! Mais, comme le dit si bien le dicton, « quand on aime, on ne compte pas ! ». D’autant que Xavier DUALE, sympathique directeur départemental de la Banque de France 89, avait convié le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, à éclairer de ses lumières (et surtout de ses analyses) la thématique du jour : « Inflation, hausse des taux, ralentissement économique : bilans et quelles perspectives 2024 pour les entreprises en Bourgogne Franche-Comté ».

Un sujet qui aura fait recette auprès de la sphère institutionnelle et économique du cru, invitée par la Banque de France 89  puisque moult personnalités avaient convergé tôt ce jeudi matin afin d’assister à cette étude de cas spécifique, on ne peut plus intéressante sur notre contrée. Au moment où les risques de défaillances et les contractions sur l’économie se font ressentir – inquiétudes de la part de Pascal BAILLY, président du Tribunal de Commerce d’Auxerre -, il était fondamental de tâter le pouls de ce département de l’Yonne que, parfois, on qualifie à tort de laisser pour compte au niveau de ses appétences économiques face aux autres secteurs géographiques de l’Hexagone.

 

Un indicateur de l’optimisme plutôt à la hausse en décembre

 

Les propos du président de la CCI de l’Yonne ont-ils rassuré un auditoire attentif où figuraient entre autres parmi les premiers rangs Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture, Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, Baptiste CLERIN, président de la CPME 89, Christian DUCHET, délégué général de la FFB, Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat et de la CAPEB, Yves HUTIN, directeur département de France Travail, etc. ? Pas si sûr ! Le bilan entre le positif et le négatif s’en trouverait presque mitigé, selon Thierry CADEVILLE, lui-même !

« On a dans l’industrie, dans les services, des entreprises qui fonctionnent très bien et qui n’ont pas d’inquiétude pour l’avenir à court terme, souligne-t-il, a contrario, certains secteurs sont en situation préoccupante : la construction de logements neufs, les sous-traitants automobile, la restauration, le commerce traditionnel,… ».

Bref, dans le genre verre à moitié vide et verre à moitié plein, il est clair que la situation actuelle équivaut au contraste. A noter tout de même, et selon le dernier sondage Opinion Way (CCI France), l’indicateur de l’optimisme était en hausse en décembre dernier de dix points ! Oui, mais ceci n’est qu’un sondage, bien évidemment, obtenu sur un panel bien particulier !

Néanmoins, le responsable de la CCI 89 de poursuivre en argumentant ses propos : « Je retiens aujourd’hui trois témoignages significatifs de la situation actuelle. Ceux du Tribunal de commerce, de l’UMIH (le secteur de l’hôtellerie et de la restauration) et les études de France Travail, ex-Pôle Emploi… ».

 

Des inquiétudes sur le secteur de l’hôtellerie et de la restauration

 

A propos du Tribunal de Commerce dont le président auxerrois Pascal BAILLY était assis aux premières loges, Thierry CADEVILLE  se voudra rassurant.

« Il n’y a pas de tsunami à prévoir au cours du premier trimestre 2024 ! ».

Ouf, il était grand temps de le dire ! Mais, les injonctions de paiement ne cessent d’amplifier, surtout pour des entreprises récentes (post-COVID) avec peu de salariés. D’ailleurs, l’URSSAF délivre tout de même de 30 à 50 injonctions de paiement tous les quinze jours. Quant aux déclarations de cessation de paiement, elles progressent.

« Il est indispensable de saisir le Tribunal de Commerce afin de négocier les délais de paiement avec l’URSSAF, insista Thierry CADEVILLE.

Toutefois, sa préoccupation principale se rapportait à l’une des branches professionnelles ayant le plus souffert des affres de la crise sanitaire : celui de l’hôtellerie/restauration.

« On observe des fermetures de restaurants partout, notamment les plus anciens, confia le patron de la chambre consulaire, il y a un sentiment général de difficulté qui s’explique par la combinaison de quatre facteurs : la hausse des charges (énergie), la baisse de la fréquentation suite à la hausse des prix, les difficultés à trouver des salariés et surtout l’impossibilité de vendre, car il n’y a pas d’acquéreurs en face… ».

Quant aux signaux émis territorialement par France Travail, ils virent un tantinet vers le coloris orange depuis quelques semaines. Le chômage repart à la hausse de façon substantielle alors que les emplois à temps plein dans l’intérim sont un peu chahutés par la conjoncture. Le chômage partiel augmente de 25 %. Tandis que la réduction des offres d’emploi en CDI a retrouvé son niveau de 2021.

 

  

Un taux d’emploi inférieur à la moyenne régionale

 

Puis, en bon pédagogue convaincant, Thierry CADEVILLE proposa un focus analytique sur le département de l’Yonne. Un territoire qui représente 15,5 % du territoire de la région Bourgogne Franche-Comté et recense à date 334 156 habitants, soit 11,9 % de la population régionale. Un département très faiblement peuplé (45 hab./km²), avec une population qui est moins jeune que la moyenne régionale et qui perd ses habitants en raison de soldes naturel et migratoire déficitaires.

Mais, il s’attarda ensuite plus longuement sur le vecteur emploi. Celui qui concernait l’ensemble de l’assistance, réunie là par la Banque de France.

« Le taux d’emploi est inférieur à la moyenne régionale tandis que le taux d'activité est égal à celui de la région, ajouta l’orateur, un vieillissement des actifs est observé entre 2014 et 2020 (31 % de 50 ans ou plus contre 28 % six ans plus tôt). Quant à la population active, elle s’établit à 145 000 habitants dont 14% en dehors du département (surtout région parisienne, mais aussi Aube, Loiret, Côte d’Or, Nièvre…), soit 18 000 personnes et un solde négatif de la moitié … ».

Chiffres intéressants pour les férus de statistiques : les moins de 25 ans ne représentent que 10 % des gens en activité professionnelle dans le département …tandis que le pourcentage des plus de 60 ans est de 5 % alors qu’ils représentent 32% de la population !

Ce qui fera dire à Thierry CADEVILLE : « de façon générale, le taux d’emploi des seniors en France (autour de 56 %) est inférieur à la moyenne européenne et très inférieur à celui de l’Allemagne (72 %) ».

Sans commentaire quant à la politique de l’emploi envers cette frange de la population dans l’Hexagone !

 

Un niveau de formation moins élevé que la région

 

Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie 89 ne pouvait clore son propos sans évoquer l’un des piliers de l’organe institutionnel : la formation.

« Les demandeurs d’emploi du département ont globalement un niveau de formation moins élevé que la moyenne régionale. En effet, 44 % d’entre eux ont un niveau de formation supérieur au Bac contre 49 % en Bourgogne-Franche-Comté, énoncera-t-il, dans l’Yonne, 37% des demandeurs d'emploi possèdent un niveau CAP ou BEP contre 34% dans la région…. ».

Aujourd’hui, l'Yonne compte 12 390 bénéficiaires d'une allocation chômage. L’assurance chômage indemnise 87 % d’entre eux contre 88 % en Bourgogne-Franche-Comté, soit 10 780 personnes. 5 % des allocataires sont pris en charge au titre de la formation, un poids similaire à celui de la région.

Reste la formation supérieure où la situation est la suivante : la Côte d’Or enregistre 35 000 étudiants, le Loiret se situe à 70 000 étudiants, l’Aube accueille 12 000 étudiants, passant en deux décennies de 2 000 à 12 000 jeunes qui suivent un enseignement supérieur. L’Yonne en compte 2 à 3000 pour 335 000 habitants. Il y a encore du chemin à parcourir !

D’ailleurs, Thierry CADEVILLE ne manqua pas d’y faire allusion en guise de conclusion : « Avec les quelques 15 000 entreprises qui seront à reprendre en Région Bourgogne Franche-Comté sur les dix prochaines années, la question du développement de la formation supérieure est la question cruciale qui se pose pour le département… ».

Une question louable qui n’a pas, pour l’heure, de réelle réponse…

 

Thierry BRET

 

 


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Bon, c’est sûr : la nouvelle, annoncée via un communiqué de presse officiel réalisé par la Ville d’Auxerre et Le Silex, organisateur du fameux rendez-vous estival, n’est pas bonne du tout pour la sphère culturelle et ses retombées. Nonobstant ses 52 000 spectateurs, accueillis en trois jours en juin dernier, la manifestation de la scène rock underground et musique du monde ne bénéficiera donc pas de son édition annuelle en 2024. Un rideau définitif qui est tombé pour des raisons économiques et la récurrente proximité des Jeux de Paris, en matière de sécurité…

 

AUXERRE: C’est déjà le clap de fin pour l’édition 2024 du fameux CATALPA Festival ! Un évènementiel mort-né dans l’œuf avant même d’avoir existé. Malgré les records d’affluence obtenus la saison dernière – une jauge de plus de 52 000 spectateurs enregistrés durant les trois jours qu’aura duré cette animation accueillie en juin au Parc de l’Arbre Sec -, les organisateurs ont décidé d’un commun accord – sans doute une décision qui ne fut pas aussi simple à trancher – de faire un break et de positionner l’un des moments forts de la saison estivale auxerroise sur la case stop.

Du moins pour une année avant de reprendre l’exercice, sous une toute autre formule. On imagine déjà la stupéfaction chez les festivaliers qui ne s’attendaient pas à une telle désillusion, celle de ne pas vivre un week-end de juin culturel sympa et musical aux abords de l’Yonne…

 

Une pause salvatrice pour faire retomber le soufflé

 

La Ville d’Auxerre et Le Silex, à l’origine du CATALPA Festival, via son association Service Compris – elle bénéficie d’une délégation de service public lui permettant de gérer cet évènement -, expliquent les raisons de ce report d’une année en toute vérité. Et cette fois-ci, cela n’est pas imputable à une quelconque crise sanitaire !

Manifestation gratuite, ayant déjà vécue douze éditions auparavant, le CATALPA Festival nécessite un budget global de plus de 400 000 euros. La Ville d’Auxerre en est le principal financeur, à travers une subvention de 160 000 euros.

Quant à l’Agglomération de l’Auxerrois, elle injecte une enveloppe de 50 000 euros dans le concept. Des coups de pouce de la part des deux collectivités qui ont singulièrement augmenté en 2023 : 210 000 euros contre 180 000 euros lors de l’édition 2019.

Il ne faut donc pas être un chantre de l’arithmétique pour comprendre que d’année en année les budgets de la manifestation artistique s’envolent, alors qu’il n’y a aucune recette à mettre en face, obtenue de la part du public. Pire : l’édition 2023 se situe même dans le rouge, avec un déficit de 45 000 euros ! Devant cet effet de surchauffe, et par les temps qui courent, il était nécessaire pour le team organisationnel de débrancher les compteurs et laisser reposer le soufflé. Le temps peut-être, salvateur, de trouver un modèle économique moins gourmand et plus compatible à la conjoncture inflationniste du moment ?

Quant aux raisons de cette hausse exponentielle des budgets, elles sont mentionnées par le document, adressé aux médias du département. En premier lieu, il y a les contrats de production des artistes en très forte hausse. Car, eux, ils ne se jouent pas gratuitement et c’est bien légitime !

En sus, notons aussi les frais générés par la hausse de l’énergie – cela se retrouve décidément partout ! -, et les coûts techniques très importants, depuis le redémarrage de l’évènement après la période COVID.

 

Vers l’élaboration d’un nouveau modèle économique

 

Mais, le contexte évènementiel est loin d’être fameux en cette année olympique en France. Certes, les Jeux d’été ne s’organisent qu’une fois par siècle dans l’Hexagone, mais là aussi les perspectives ne sont guère optimistes, côté logistique et surtout sécuritaire. Le gouvernement, très (trop) précautionneux, a interdit l’organisation de concerts de musiques actuelles dans le pays entre le 18 juillet et le 11 août. Logique, il s’agit de mobiliser l’ensemble des forces de l’ordre vers Paris et l’Ile-de-France du fait de l’accueil des Jeux Olympiques et Paralympiques dans la capitale. Au détriment, c’est dommage des manifestations concoctées en province dans le même laps de temps…

D’où un risque de déclassement artistique du CATALPA Festival auxerrois, obligé sans doute de réunir des artistes de moindre notoriété et de voir ses coûts de production augmentés à la vitesse optimale. Conséquence : l’association Service Compris et la Ville d’Auxerre, prudentes, ont décidé de ne pas subir une augmentation inexorable du déficit, remettant de facto le principe de gratuité de la manifestation.

Une gratuité qui est d’ailleurs remise en cause dans bon nombre de manifestations accueillies aujourd’hui en France quand elles l’étaient. Le CATALPA Festival ne déroge donc pas à la règle de cette poussée inflationniste inévitable, se devant de réfléchir à l’élaboration d’un nouveau modèle économique plus pérenne et…excédentaire.

Les organisateurs prévoient un retour de la manifestation culturelle à l’été 2025. Oui, sans doute, mais sous quelle forme ? On ne sait que peu de choses à date. Si ce n’est qu’un travail de concertation devrait rapidement s’engager avec les partenaires institutionnels et privés du CATALPA ainsi que le public (qui et comment ?) pour échafauder la nouvelle construction de cet édifice. Seule chose promise par les organisateurs : la conservation de la gratuité qui fait le sel de ce rendez-vous estival de masse, populaire et festif. Une gratuité, certes, mais pour combien de temps dans un contexte économique qui réclame chaque jour davantage d’argent…

 

Thierry BRET

 

 


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Le programme, sur l’affiche, se voulait plutôt alléchant. Echanges avec des sportifs handicapés, expériences insolites à vivre dans un fauteuil, découvertes des activités paralympiques, quizz afin de réfléchir sur les bienfaits de la cohésion sociale… : les collégiens du Tonnerrois ont eu tout le loisir de pouvoir approfondir leurs connaissances sur un domaine qu’ils ne maîtrisaient pas, ou presque pas en amont, à savoir la vie d’un sportif, atteint d’un handicap…Au bout du compte, l’expérience a été réussie !

 

TONNERRE : Pédagogie, quand tu nous tiens ! Le 16 novembre dernier, le Conseil départemental de l’Yonne avait décliné une opération similaire de sensibilisation auprès des jeunes générations dans un gymnase du Sénonais. Cette fois-ci, rebelote ! C’était au tour du complexe sportif Abel MINARD de Tonnerre d’accueillir la Journée paralympique à destination des collégiens de l’Yonne. Environ 250 potaches dont une vingtaine en provenance des établissements et services médico-sociaux du terroir, prenaient date avec ce rendez-vous.

Pour combler leur manque d’informations vis-à-vis de ce sujet, rien de tel qu’une douzaine d’activités sportives à découvrir et à pratiquer séance tenante dans le gymnase local. Au programme de ces réjouissances qui in fine auront convaincu à peu près tout le monde de leur pertinence, tout en favorisant la cohésion sociale entre personnes valides et invalides, basket fauteuil, tir à l’arc, tennis de table, escalade, goal ball, rugby fauteuil, etc.

 

 

Des collégiens qui au-delà de leur immersion en situation physique purent également s’entretenir avec des sportifs paralympiques internationaux (Sébastien EVANNO et Samir GOUTALI), visiblement heureux d’être là !

Quelques élus, certes peu nombreux, s’étaient déplacés pour assister à cette communion joyeuse entre jeunes valides et handicapés. Parmi eux, Catherine MAUDET, elle, a pu symboliquement émarger sur la feuille des présences ! Ravie de soutenir cette opération.

« C’est formidable de voir ces jeunes gens en situation de handicap ou pas se mélanger et passer du temps ensemble, confia-t-elle, cela fait vraiment chaud au cœur ! ».

 

 

 

Et si les adultes suivaient la même initiative ?!

 

En charge du volet handicap au sein du Conseil départemental, l’élue de l’Yonne a confirmé que ce type d’initiative allait se poursuivre sur le territoire. C’est avec la complicité de tous les partenaires agissant dans le milieu du handicap que cette opération a pu se réaliser dans cet esprit bon enfant qui l’a caractérisé. Rappelons que la Maison départementale des Personnes Handicapées de l’Yonne en assure la coordination avec le service des sports du CD 89, le concours du Comité départemental Olympique et Sportif (CDOS 89), le Comité départemental de Sport Adapté et le Comité départemental handisport de l’Yonne. Signalons que l’agence sportive HANDIAMO est également intervenue sur cette manifestation afin de faire profiter de sa compétence dans le domaine des manifestations de sensibilisation aux sports paralympiques.

Reste à savoir si les adultes ne pourraient pas bénéficier à leur tour – ils en auraient grandement besoin au niveau du civisme et du respect d’autrui ! – de la même initiative. Un remake de l’émission audiovisuelle, « Vie ma vie » en quelque sorte !

« Pourquoi pas ? a répondu Catherine MAUDET, mais avec Yonne Sport Senior, une autre génération de personnes concernées par les atteintes physiques peuvent profiter de cette campagne de sensibilisation annuelle, mise en place avec le concours des collectivités locales… ».

Un Conseil départemental en forme olympique, ces temps-ci ! En effet, l’organe institutionnel multiplie les occasions de promouvoir les Jeux de Paris mais également la pratique des activités physiques dès que l’opportunité lui en est donnée !

 

Thierry BRET

 

 


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Un peu de sémantique ! Si le mot est bien apparu au XIVème siècle – il possède d’ailleurs des origines occitanes muées de ramifications espagnoles et italiennes -, il n’aura jamais été autant d’actualité que depuis quelques saisons dans l’Yonne ! Logique que le fameux concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » s’intéresse à la spécialité. En y adjoignant le terme, moderniste, de soigneur, ce qui le rend nettement plus digeste à la compréhension. Une filière à l’apanage du CFA La Brosse qui alignait l’ensemble des candidatures à la victoire départementale lors de cette édition…

 

VILLEFARGEAU: Serait-ce un métier d’avenir ? En tout cas, la catégorie des palefreniers soigneurs possède une aura certaine dans notre département depuis quelques saisons. Plébiscitée lors de la remise des médailles aux métiers de l’artisanat il y a peu à l’abbaye Saint-Germain d’Auxerre, en présence de plusieurs personnalités, cette profession pour le moins méconnue chez le commun des mortels profanes de la filière des métiers équestres aura été mise une nouvelle fois en exergue quelques jours plus tard lors de la cérémonie des vœux de la Société départementale de la Légion d’Honneur de l’Yonne !

Avec comme ambassadrice convaincue, Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture ! Bref, le milieu des palefreniers soigneurs a donc le vent en poupe à tel point que les organisateurs du fameux concours annuel « Un des Meilleurs Apprentis de France » lui ont fait des yeux de Chimène, créant une épreuve spécifique à la discipline.

Un challenge qui voyait le déroulement de sa seconde édition la semaine dernière au centre équestre de la localité périphérique d’Auxerre, avec le soutien du CFA La Brosse. De la pure logique, en vérité, puisque le centre de formation des métiers agricoles, viticoles et équins, dirigé par Hélène TREMBLAY-DECULTOT, forme et prépare au diplôme (un CAP) de la spécialité en ses murs. Mais pas que !

Le CFA propose aussi un baccalauréat professionnel conduite et gestion de l’entreprise hippique, pour celles et ceux qui se sentent pousser des ailes comme Pégase dans leur carrière ! Afin de maîtriser à la perfection toutes les arcanes de l’hippologie, l’art et la manière de bien appréhender l’univers du cheval.

 

 

Des résultats définitifs dont le verdict sera annoncé le 28 février

 

Une petite dizaine de candidats (des candidates devrait-on dire tant le métier est prisé par les jeunes filles) se présentait sur la grille de départ pour y suivre un QCM (questionnaire à choix multiple) portant sur des connaissances globales, avant des épreuves se rapportant à l’entretien du box et la mise au paddock de l’animal. Un prélude déjà copieux aux épreuves organisées le tantôt avec le toilettage, la présentation en main puis l’identification et les soins à prodiguer aux équidés.

Pour les incultes, voici le temps d’une petite leçon de chose ! Quel est le travail d’un palefrenier ? Hormis de relire les œuvres du grand Alexandre DUMAS qui en fait souvent mention dans ses ouvrages romanesques de cape et d’épée, contentons-nous d’en découvrir une prime définition !

Le rôle du palefrenier est de s’occuper des chevaux, en nettoyant leurs boxes, en les paillant, en graissant leurs pieds, les panser, les natter, faire la tonte de la crinière, prodiguer les premiers soins en règle générale. Et oui, comme l’aurait suggéré Monsieur de Lapalisse, c’est de là que s’est ajouté le terme « soigneur » !

 

 

Deux Meilleurs Ouvriers de France assistaient le jour J à ce concours : Serge GOULAIEFF (une figure des arts de la table et du service en restauration, un tout autre domaine) et l’inoxydable président départemental de ce challenge, très suivi par les jeunes, Marc LABARDE, accompagné de sa célèbre écharpe rouge !

Que l’on ne s’y méprenne pas, selon lui, « c’est bien Christophe BARBIER – éditorialiste et homme de média bien connu – qui lui a piqué l’idée ! ».

Résultat des courses (hippiques et sans jeu de mot !) pour les candidats : le 28 février…car le questionnaire est corrigé au niveau national.

Le 21 mars, les lauréats de l’Yonne auront l’opportunité de se rendre près de Lons-le-Saunier dans le Jura où les sélections régionales de cette catégorie les attendront de pied ferme.

 

Thierry BRET

 

 


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En soi, c’est de la logique pure. Narrer l’histoire de la Gaule en version grandeur nature avec reconstitutions, conférences et expositions à l’appui, au temps où les Romains la convoitaient, en y ajoutant l’élément olympique, né de la Grèce antique, s’imbrique légitimement comme une pièce d’un immense puzzle, devant prendre forme cette saison du côté d’Alise Sainte-Reine. Pour son dixième anniversaire, le site touristique de Côte d’Or (84 000 visiteurs sur la seule année 2023) propose depuis le 10 février une immersion forte dans notre passé. Fascinant et instructif. Un voyage à vivre en famille aux frontières du temps…

 

DIJON (Côte d’Or) : De la pure évidence, en fait ! Le Muséo Parc d’Alésia place sa ligne directrice en matière de rendez-vous émotionnels et de diversités culturelles, cette année, sous le sceau des Jeux Olympiques de Paris ! Ne pas l’envisager eut été une grossière faute de goût ! A l’égard de ce que représente ce formidable évènement sportif universel, aux origines si lointaines et bien avant que la Gaule ne devienne la France !

Alors oui, lors de la conférence de presse, concoctée par les responsables de ce fameux site touristique de Côte d’Or en un lieu si inhabituel et très éloigné de sa base originelle (le gymnase Gilles COMETTI et ses multiples agrès créant une curieuse atmosphère de début d’entraînement au cœur des universités dijonnaises !), que l’invité surprise à cette longue prise de paroles, via différents interlocuteurs, se nomme les Jeux d’été de Paris, s’inscrit dans un cadre ô combien naturel d’échanges et discussions.

L’endroit s’y prête à merveille. Sa vocation initiale d’éduquer, d’informer, de divertir, scolaires et leurs familles, touristes et férus d’histoire, s’en trouve ainsi parfaitement normale. Ainsi, mêler l’histoire de la Gaule à celle des Jeux antiques est une excellente trouvaille. D’ailleurs, Albert UDERZO et René GOSCINNY – les jubilatoires créateurs d’Astérix le Gaulois – se seront permis cette même incursion livresque en revisitant les temps passés, envoyant leur délégation de farouches Gaulois, gavés de potion magique, affronter les meilleurs athlètes du monde hellénistique et de Rome dans de désopilantes aventures, baptisées « Astérix aux Jeux Olympiques ! ».

Alors, pourquoi ne pas réitérer la séquence ludique et pédagogique tout au long de l’année 2024 du côté du Muséo Parc de Côte d’Or ?!

 

 

Même la flamme olympique a prévu de faire une halte !

 

Assis sur plusieurs strates de bancs faisant face à une scène improvisée, les représentants de la presse régionale et spécialisée – le tourisme et la culture possèdent d’innombrables médias la plupart exerçant à Paris ou en Ile-de-France – ne se sont donc pas privés de venir assister à ce show de présentation d’une part du dixième anniversaire du concept muséographique, qui attire au bas mot plus de 12 000 scolaires à l’année et d’autre part de se délecter à l’annonce de l’alléchante programmation concoctée par les équipes de l’heureux directeur général du site, Laurent BOURDEREAU. Car, ce qui est proposé à partir de maintenant – cocorico, le site a ouvert officiellement ses portes depuis le 10 février – jusqu’au mois de novembre, est infiniment enthousiasmant ! Du lourd, du très lourd, nous gratifierait un Fabrice LUCHINI au meilleur de sa verve !

Combats d’athlètes antiques pratiquant la lutte et le pancrace, incitation à la découverte sportive à vivre en famille, animation trampoline pour prendre de la hauteur au-dessus du site, exposition « O Sport, des jeux pour des dieux », parcours de danse, vacances sportives et créatives, promenade parmi l’installation sonore immersive baptisée « Forêt Olymphonique », concerts et conférences, thématiques autour de la Grèce et des Jeux antiques… : rien ne manque à ce copieux menu qui sera ponctué du passage de la flamme olympique (la vraie, cette fois, mais de l’époque des Jeux modernes !), un évènement à vivre le 12 juillet !

 

 

La fierté de François SAUVADET d’être le premier partenaire du site

 

Si les journalistes n’en perdaient pas une miette, grattant des norias de notes sur leurs calepins pendant que d’autres faisaient crépiter les flashes de leurs appareils photographiques immortalisant les orateurs, il en était de même pour les représentants de la classe politique.

Au premier rang duquel François SAUVADET, président du Conseil départemental de la Côte d’Or, saluant l’éclatant coup de projecteur apporté par le passage de la flamme au Muséo Parc d’Alésia. Un président de département fier (et de le rappeler séance tenante devant l’auditoire) d’être le premier partenaire de ce lieu culturel émérite dont le succès au fil de cette décennie n’est plus à démontrer, attirant chaque année davantage de visiteurs, qui n’hésitent pas à parcourir des kilomètres afin de profiter des expositions, conférences et animations interactives et pédagogiques qui enchantent petits et grands.

« Nouvelle saison, nouvel élan ! » titrait l’esthétique dossier de presse du musée. Elle vient de débuter et on a hâte de s’y plonger au gré des évènements !

 

 

En savoir plus :

 

Pour retrouver toutes les informations et la programmation 2024, consulter le site alesia.com

 

Thierry BRET

 

 


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