Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne devrait décider ce mercredi d’agir pour soutenir les acteurs de l’économie locale. Une enveloppe de 3,5 millions d’euros serait alors débloquée pour lancer un programme d’aides au service des communes dans le cadre de la transition énergétique.

AUXERRE: C’est à Migennes dans les locaux que le SDEY occupe avenue Jean Jaurès que se déroulera ce mercredi en début d’après-midi la conférence de presse devant détailler un plan de relance en faveur de l’économie locale proposé par l’organisme icaunais.

Celui-ci d’un possible montant global de 3,5 millions d’euros favoriserait l’accompagnement des collectivités locales à la transition énergétique, le cheval de bataille inexorable du syndicat.

Partant du postulat que l’inertie quasi-totale de la France pendant plusieurs semaines aura privé les collectivités d’une grande partie de leurs recettes de fonctionnement, le SDEY a décidé de prendre le taureau par les cornes en agissant. Avec les outils appropriés.

« Nos interventions concernent les économies d’énergie sur les bâtiments publics, explique le président de l’organisme Jean-Noël LOURY, ces aides auront une répercussion directe sur les finances communales et s’inscriront dans cet accompagnement mis en place au service des communes… ».

Grâce à cette ligne budgétaire qui pourrait être allouée à ce soutien, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne mettrait à disposition des localités qui le désirent du matériel d’hygiène sanitaire, une aide à la mobilité verte qui s’ajoute par effet ricochet au coup de pouce de l’Etat, une incitation à la baisse des consommations énergétiques des communes afin de diminuer leurs dépenses de fonctionnement et une participation à la relance économique du département de l’Yonne par l’intermédiaire des entreprises, créatrices d’emplois, qui sont titulaires des marchés.

Au cours de ce point avec la presse régionale, Jean-Noël LOURY, accompagné du directeur général du SDEY, Eric GENTIS, et de Patrick PICARD, vice-président en charge des travaux, répondront aux interrogations des journalistes sur les modalités opérationnelles de ce plan de grande envergure.

« Cette enveloppe sera représentative des besoins exprimés par les élus de l’Yonne, observe le président, pour qu’ils puissent rendre leurs communes énergétiquement vertueuses et participer concrètement à leur mutation énergétique… ».

Ces aides n’auront d’autres objectifs pour les élus que de pouvoir les encourager à maîtriser au plus juste leurs budgets sur le long terme…

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De nombreux  élus et autres dirigeants annoncent que nous devrons faire beaucoup de sacrifices afin de sortir de la crise économique à venir ! A la façon de Winston CHURCHILL, qui en 1940 durant la débâcle en Europe, avait déclaré : « Je n’ai à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur… ». Un programme de réjouissances que celui offert par Emmanuel MACRON aux Français. Ils devraient donc souffrir…

TRIBUNE : Pour sortir de la crise, il faudra travailler un peu plus. La formule est signée du patron des patrons, Geoffroy ROUX de BEZIEUX. Ce dernier souhaite revoir le temps de travail, celui des jours fériés, voire les congés payés…

Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’Etat à l’Economie, lui a emboîté le pas : elle prévient qu’il faudra travailler davantage pour rattraper la perte d’activité liée à la crise sanitaire.

Ces beaux discours précisent, avec une bonne dose de miel, que l’on ne demande pas de sacrifices mais un joli coup de collier. Et le MEDEF d’enfoncer un peu plus le clou : « ils (il faut entendre les salariés) savent que leur entreprise et leur emploi sont menacés ». Sans commentaire.

On pourrait ajouter, pourquoi pas, à ces suggestions : le travail à partir de dix ans, dix heures de labeur quotidien, six journées de travail par semaine…

Ne souriez pas : j’ai entendu cela dans les bars bien avant leur fermeture temporaire ! Ah oui j’oubliais, il faut interdire le travail aux femmes pour juguler le chômage !

Bref : l’ombre de la dictature plane au-dessus de nos têtes : déjà, des dérogations aux limites du temps de travail ont été adoptées. Par simple ordonnance, le temps de travail hebdomadaire maximum est passé à soixante heures. Ce fameux coup de collier demandé conduit à une chute de 16 % des ressources des huit millions de bénéficiaires du chômage partiel, qu’on se le dise !

 

Les responsables ne sont coupables de rien…

 

Par le passé, les peuples ont toujours dû régler la facture de l’incompétence de leurs élus : manque d’anticipation, mauvaise gestion des crises, attachement viscéral au pouvoir individuel…Sachant que les responsables ne sont coupables de rien !

Voici donc le retour au premier plan des « vieilles lunes» de l’ère Mitterrand : « je suis responsable mais non coupable » (dixit Georgina DUFOIX à propos de l’affaire du « sang contaminé »).

Aujourd’hui, il existe une autre variante : Christine LAGARDE, l’actuelle patronne de la BCE, reconnue coupable dans l’affaire Bernard Tapie  ne fut jamais condamnée selon la trilogie : « responsable, coupable, intouchable » !

Même le locataire de Bercy, Bruno LE MAIRE y va aussi de son couplet : « il faudra faire des efforts pour sortir de la pandémie ».

Selon le Parti Communiste, pour les Français c’est « la double peine » : « la crise sanitaire et en plus, une attaque des droits des salariés ».

De mieux en mieux et du plus croustillant avec Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile-de-France qui a déclaré péremptoire au journaliste Jean-Jacques BOURDIN : « il faut que les Français acceptent de faire des dons : ils devraient céder des RTT, voire diminuer leur salaire » !

Sans vouloir jouer les « Savonarole », il est temps de demander des comptes et des efforts à nos élus ! Des coupes franches dans les budgets de l’Etat seraient par ailleurs les bienvenues.

Les propos de Valérie PECRESSE passent d’autant plus mal, que selon une étude de la revue «  People with money », elle aurait touché, entre avril 2019 et avril 2020 (tout revenu confondu), près de 82 millions d’euros pour un patrimoine personnel estimé à plus de 240 millions ! Quels efforts et dons personnels, voire diminution de salaire, êtes-vous prête à consentir Chère Madame ?

 

 

Même l’Elysée se doit de montrer l’exemple dans la baisse de son budget…

 

D’autres économies peuvent intégrer le domaine des possibles : celui des budgets de fonctionnement des 36 000 mairies (autant que dans toute l’Europe) ; c’est beaucoup trop. D’autant que la création des Communautés de communes a alourdi les coûts. Dans le même sens : il serait bon de restreindre le nombre de parlementaires (570 pour 567 millions de budget) et de sénateurs (340 qui nous coûtent 338 millions). Rappelons que le Sénat a peu de pouvoirs, pour ne pas dire aucun ! Attention, cependant, dès que l’on veut diminuer le nombre de députés, voire de supprimer le Sénat, nos braves édiles brandissent tout de suite les spectres du « poujadisme » et du « boulangisme » !

Le président François HOLLANDE avait promis de passer de vingt-deux à treize régions pour économiser la bagatelle de dix milliards d’euros. Or, la Cour des  Comptes annonce un dérapage de 207 millions d’euros. Résultat : cela nous coûte aujourd’hui plus cher qu’autrefois !

Tout le monde est concerné par les coupes budgétaires, même le président ! L’Elysée reçoit 105 millions de dotation : elles sont en augmentation de 3,7 millions pour 2020 ! Crise oblige…

Dans notre constitution, l’épouse du Président n’a pas de statut officiel. Brigitte MACRON dispose, outre de bureaux à l’Elysée, de six autres lieux de rendez-vous place Vendôme, de quatre collaborateurs dont un chef de cabinet et de sept collaborateurs détachés des équipes du président pour le seul courrier ! En plus, elle dispose d’une coiffeuse-maquilleuse. Combien cela coûte-t-il au global à la France ? On ne le sait pas : une grosse partie des dépenses de l’épouse du Président est intégrée dans le budget total de l’Elysée…

Alors Mesdames et Messieurs, chères et chers élus, si chers à nos portemonnaies, quels efforts individuels et collectifs (sans oublier vos équipes de collaborateurs en tout genre) êtes-vous prêts à consentir réellement ? Quels dons et quelles réductions de salaire êtes-vous prêts à offrir à la nation ? Vos efforts seront présents dans les urnes, à n’en pas douter ! La déliquescence des mœurs et celle des institutions, l’immoralité de certains élus, les gabegies budgétaires à répétition peuvent porter au pouvoir des nationalistes et des fondamentalistes anti-démocraties !

Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Réunie lors d’un nouveau point d’étape hebdomadaire, la cellule de coordination économique prouve son bien-fondé. Et son efficience. Sous l’égide de la préfecture, l’entité n’a de cesse de prendre le pouls du terrain avec un seul mot d’ordre : mettre tout en œuvre pour accompagner les entreprises et les aider à rebondir après trois mois de crise…

AUXERRE : Depuis peu, les indicateurs sanitaires reviennent au vert. Une nouvelle encourageante alors que s’ouvre la seconde étape de l’après-confinement. C’est un moment crucial pour les acteurs de l’économie qui doivent repartir de l’avant et remettre le pied à l’étrier.

Il y a quelques jours, les membres de la cellule de coordination économique ont procédé à leur séance de travail hebdomadaire sous la houlette du préfet de l’Yonne, Henri PREVOST.

La réunion qui regroupait une quinzaine de personnes (tous des acteurs clés des domaines publics et privés de la sphère économique) se voulait pragmatique. Il est nécessaire d’identifier au plus vite celles des entreprises qui éprouvent le plus de difficultés à reprendre leur activité compte tenu de ce contexte si particulier. Le dispositif d’accompagnement des entrepreneurs se veut très fonctionnel. 

Les chiffres divulgués lors de cette séance l’attestent. Dans l’Yonne, 9 652 aides ont été versées au titre du Fonds de solidarité financé par l’Etat et les régions. Cette aide, rappelons-le, peut aller jusqu'à 1 500 euros pour les très petites entreprises (TPE). Mais aussi, les indépendants, les professions libérales et les micro-entrepreneurs. Pour l’Yonne, elle s’élève à 12,9 millions d’euros à ce jour.

Quant aux prêts garantis par l’Etat, soit la mobilisation à hauteur de 315 milliards d’euros au plan national pour garantir des lignes de trésorerie bancaires dont les entreprises pourraient avoir besoin à cause de l’épidémie, ils représentent un montant de 246 millions d’euros de prêts accordés par les établissements bancaires. Plus de deux mille entreprises (2 107 précisément) en ont été les bénéficiaires au niveau de notre territoire.

Du côté du chômage partiel, la cellule en a donné une dernière évaluation : 5 495 demandes déposées pour 5 064 établissements concernés. 45 843 salariés en ont bénéficié dont 26 % dans l’industrie et 43 % dans les services. Cela représente in fine 20 708 905 heures autorisées.

 

 

De multiples actions en faveur des entrepreneurs depuis le début de la crise…

 

Le report des échéances fiscales, c’est-à-dire des délais de paiement pour les impôts sur les sociétés et la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), a concerné 630 entreprises pour les impôts sur les sociétés dans l’Yonne et 175 structures pour la CVAE. Précisons que d’autres échéances sur des acomptes ont été également reportées au bénéfice de trois cents entreprises.

A ce panorama chiffré, il est bon de compléter en précisant que d’autres actions ont été menées en faveur des entrepreneurs dans notre département. Il s’agit notamment des délais de paiement d’échéances sociales (URSSAF), de la médiation du crédit pour le rééchelonnement des crédits bancaires (une action menée en osmose avec la Banque de France), des remises d’impôts directs décidés dans le cadre d’un examen individualisé des demandes, le report de paiement des loyers et des factures d’eau, de gaz et d’électricité, l’appui du médiateur d’entreprises en cas de conflit avec des clients ou fournisseurs, voire le plan de soutien profitable aux entreprises exportatrices.

 

En savoir plus :

 

Participent à cette cellule de coordination économique les structures suivantes :

Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, en lien avec le Département,

La Banque de France,

La Direction départementale des Finances Publiques (DDFIP),

La Direction départementale des Territoires (FFT),

L’Unité départementale de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRRECTE),

Pôle Emploi,

L’URSSAF,

La Chambre de Commerce et d’Industrie,

La Chambre des Métiers et de l’Artisanat,

La Chambre d’Agriculture,

Le MEDEF,

L’Ordre des Experts-Comptables.




Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Parce qu’ils appelaient publiquement à voter en faveur de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie », six adhérents du Parti socialiste de l’Yonne ont été écartés pour six mois de leur formation politique. Le bureau fédéral du PS a choisi de soutenir le maire sortant Guy FEREZ au second tour des municipales. Une décision qui a fait l’objet d’un vote et obtenu l’aval de la direction nationale…

AUXERRE : La sanction est finalement tombée en fin de semaine. Le bureau fédéral du Parti socialiste de l’Yonne a donc opté pour la suspension durant un semestre de six de ses adhérents après que ces derniers se soient ralliés publiquement à la cause de Florence LOURY et de Denis ROYCOURT, leaders de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie ».

Une liste qui occupait la troisième position au soir du premier tour des municipales le 15 mars.

En dépit des décisions démocratiques prises par le parti de gauche (à savoir le soutien accordé au maire sortant pour le second tour à l’issue de votes favorables avec l’aval du Premier secrétaire national Olivier FAURE), les six trublions du PS local avaient appelé à faire élire le duo écologiste au nom de leur formation politique. Une position contraire à la déontologie suivie par le Premier secrétaire fédéral de l’Yonne, Mani CAMBEFORT.

Pire, aux yeux de ce dernier, ces six adhérents ne désavouaient pas le maintien de la liste écologiste au deuxième tour prévue le 28 juin.

Avec le risque, de surcroît, d’inciter à davantage de divisions et de favoriser par ricochet l’élection du candidat Les Républicains/UDI Crescent MARAULT en embuscade après être arrivé en tête (37 %) au premier tour.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Plutôt studieuse que farniente la future période estivale des enfants et adolescents cette année ! Ainsi en a décidé le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse Jean-Michel BLANQUER qui dévoilait ce samedi matin à Paris aux côtés de Julien DENORMANDIE et de Gabriel ATTAL les diverses facettes du programme « Vacances apprenantes » dont les quartiers sensibles seront prioritaires…

PARIS : C’est dans les salons du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, rue de Grenelle, qu’a eu lieu ce samedi matin la présentation du copieux programme dont sera bénéficiaire un million d’enfants et d’adolescents cet été. Un processus validé par le gouvernement pour lutter avec efficience contre le décrochage scolaire qui est lié à la longue période de confinement.  

Le concept baptisé « Vacances apprenantes », de quoi réjouir les frimousses joyeuses des têtes blondes qui n’en demandaient pas tant depuis leur retour en classe (!), bénéficiera d’une enveloppe budgétaire de deux cents millions d’euros.

Le dispositif, gratuit, sera toutefois réservé aux plus modestes des familles. Et en particulier, à celles et ceux de ces enfants qui vivent dans les quartiers dits « sensibles ». Bon nombre de ces gosses n’ont pas emprunté le chemin de l’école depuis le 15 mars dernier, date du début du confinement.

Le ministre de l’Education nationale a ensuite détaillé son plan lors d’une conférence de presse, autour d’une stratégie qui s’articule selon les principes vertueux de vacances épanouissantes et éducatives.

En terme clair, il s’agira pour les participants à ce dispositif de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire s’amuser et profiter des joies inhérentes aux congés d’été sans omettre de remettre la blouse le temps d’une séance pédagogique instruit de manière officielle.

Le gouvernement table sur la pratique des colonies de vacances, des écoles ouvertes et autres centres aérés pour que la jeunesse rattrape les manques intellectuels perdus durant près d’un trimestre. 250 000 départs en colonies seront ainsi financés par l’Etat dont deux cents mille seront réservés aux enfants des familles les plus modestes.

Toutefois, il a été précisé que les « enfants ayant décroché de l’enseignement à distance faute d’équipement numérique » seraient également prioritaires pour suivre ces camps de vacances éducatifs.

Les centres aérés à vocation pédagogique devraient accueillir 300 000 enfants. Le développement de jeux à orientation éducative y serait favorisé dans le cadre de la remobilisation scolaire.

 

 

2 500 écoles, collèges et lycées pourraient ouvrir cet été…

 

Quant à l’ouverture des établissements scolaires cet été, elle n’est pas exclue. Jean-Michel BLANQUER souhaite mobiliser près de 2 500 écoles, collèges et lycées dans les villes et les territoires ruraux.

On sait également que des activités de soutien scolaire, des cours d’éducation physique et des actions culturelles compléteront le dispositif pour 400 000 élèves.

Enfin, pour être tout à fait complet sur ce dossier, il faut savoir que 50 000 jeunes âgés de moins de 17 ans pratiqueront l’école ouverte buissonnière cet été. Soit à la campagne, soit sur le littoral. Histoire de se familiariser avec la nature et la découverte du patrimoine local.

Une aide ponctuelle exceptionnelle de trente millions d’euros sera attribuée par l’Etat aux collectivités territoriales qui désirent financer ce dispositif. Sachant que douze millions d’élèves sont scolarisés en France.

Reste le principal levier à ce plan pour qu’il fonctionne correctement : le nombre suffisant d’enseignants mobilisés sur la base du volontariat.

Idéalement, le gouvernement aimerait s’appuyer sur la présence physique de 25 000 professionnels pour que les 400 000 scolaires qui suivront le programme en école ouverte le fassent dans de bonnes conditions. Soit cinq fois plus qu’actuellement en période scolaire.

Mais, le SNES-FSU, syndicat  national des enseignants du second degré, a déjà fait savoir qu’il n’était pas du tout convaincu par la pertinence de ce programme « vacances apprenantes ». Logique, il a le malheur de tomber en pleine période estivale !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil