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Sonia BACKES en visite sur l’Auxerrois : un temps d’échange instructif avec les acteurs de la vie associative
mai 22, 2023Cadets de la Gendarmerie nationale, Habitat et Humanisme, Jeune Chambre Economique, Maison des Jumelages et de la Francophonie, Club Mob…la secrétaire d’Etat en charge de la Citoyenneté Sonia BACKES n’a eu que l’embarras du choix pour nourrir ses échanges avec les représentants du milieu associatif, visité par ses soins, en cette journée dominicale vécue dans l’Auxerrois…
AUXERRE: Forcément, ce fut un moment privilégié pour les membres de plusieurs associations qui agissent au quotidien sur ce bassin géographique du centre de l’Yonne. Chacun des participants aura pu faire la promotion de son organe associatif, afin de le présenter dans le moindre détail à une représentante du gouvernement, très attentive aux propos entendus.
Chargée de la Citoyenneté auprès du ministre de l’Intérieur, la secrétaire d’Etat, originaire de Nouvelle-Calédonie, Sonia BACKES a pu ainsi discuter à bâton rompu avec plusieurs figures de la vie associative locale, lors de cet atelier discussion, proposé une fois n’est pas coutume un dimanche après-midi ! Comme quoi, même en plein aqueduc de l’Ascension, ça bosse !
Ainsi, elle a pu faire plus ample connaissance avec Marité CATHERIN, présidente de la Maison des Jumelages et de la Francophonie – on peut aussi y ajouter les échanges internationaux ! -, Jacques BLANCHOT qui défendait, bien loin de sa représentation légitime habituelle de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, les couleurs des Cadets de la Gendarmerie nationale en sa qualité de colonel de réserve, du toujours très dynamique Alain BERNIER pour le Club Mob installé sur la commune de Gurgy, chère à son maire Jean-Luc LIVERNEAUX, de Jacques HOJLO qui représentait Emeraude, d’Adrien BAILLY et de Laurent DEVELLE, de « purs produits » de la JCE, la Jeune Chambre Economique, de l'Auxerrois Abdelazziz HAJJI, président de la structure AUXERREVICE des Démunis, etc.
On doit cette rencontre informelle fort enrichissante au président départemental de la formation politique présidentielle, « Renaissance 89 », Victor ALBRECHT et la réussite de ce dialogue constructif à bien des égards. Rendons à César ce qui lui appartient !
Thierry BRET
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L’eau, source d’un scénario catastrophe : « changer de logiciel » est inéluctable pour Florence HABETS (CNRS)
mai 22, 2023Cela fait froid dans le dos. Une succession de renseignements très précieux, énoncés par une spécialiste - et pour cause puisque l’oratrice exerce le métier d’hydro-climatologue au CNRS – qui inonde l’hémicycle du Conseil départemental comme une vague sans fond. Le tableau est quasi apocalyptique pour le bassin méditerranéen et l’Hexagone, en particulier. Si les prévisions du GIEC se confirment à horizon 2050, les trois degrés supplémentaires que nous aurions à subir pourrait engendrer des sécheresses pluriannuelles de près de dix ans…Consternation.
AUXERRE : Il est de ces lundis qui permettent de débuter la semaine sur les chapeaux de roue avec un élan d’optimisme accru à faire trembler les montagnes ! De ceux qui vous donnent des ailes dans le dos à grand coup d’adrénaline sans même le moindre zéphyr pour vous porter vers les sommets et son nirvana ! Bref, avoir la baraka avec soi pour que les choses autour de votre existence bougent enfin, sans y mettre de limites. Pessimistes patentés, s’abstenir !
Or, à l’écoute de l’excellent exposé de l’hydro-climatologue du CNRS et présidente du Comité scientifique du bassin Seine-Normandie, Florence HABETS – l’oratrice intervenait en ouverture des débats de la première grande conférence sur l’eau et son avenir concoctée à l’initiative de la préfecture de l’Yonne ce lundi -, on ne peut que modérer singulièrement nos ardeurs et faire table rase de ces bouffées d’allégresse euphorisantes de début de semaine !
La planète va mal. Très mal, à cause du réchauffement climatique et de ses impacts inéluctables sur ce précieux élément liquide, source de vie : l’eau.
Durant trois quarts d’heure, et dans un souci de transparence et de vulgarisation absolue face à un public d’institutionnels et d’élus au préalablement sélectionnés, la scientifique s’est fendue d’une explication de texte à donner des frissons le long de la colonne vertébrale. Et là, malheureusement, ce n’est pas le contenu d’un scénario issu d’une production américaine qui se dévoilerait images à l’appui sur l’écran blanc du festival de Cannes.
Une accélération des sécheresses pluriannuelles à dix ans !
Si rien ne change – mais n’est-il pas déjà trop tard lorsque l’on se prend en pleine face autant d’éléments négatifs qui confortent l’accélération de ce processus qui semble irréversible -, l’humanité, toute entière, court à sa perte.
L’eau douce, cet ingrédient liquide indispensable à toute existence, s’amenuise au niveau de ses ressources et de ses nappes phréatiques. Mais, cela ne semble pas émouvoir 37 % de nos compatriotes qui ne se sentent absolument pas préoccupés par un tel sujet. En Bourgogne Franche-Comté, c’est encore pire : 50 % de ses habitants ne croient même pas à la théorie du réchauffement climatique selon une enquête qui fut présentée il y a quelques mois à Migennes par VEOLIA.
Pourtant, si l’on s’en réfère aux données statistiques développées par Florence HABETS lors de sa prise de parole dans l’hémicycle archi-comble – 110 personnes – de la Pyramide qui accueille d’ordinaire les travaux du Conseil départemental de l’Yonne, il y a péril en la demeure.
Car si l’eau vient à manquer – un comble alors que les épisodes d’intenses pluies vont se multiplier à l’avenir -, la planète connaîtra d’importantes sécheresses, non plus de quelques semaines ou de quelques mois (encore moins hivernales) mais définies désormais comme pluri-annelles pouvant s’étendre sur près d’une décennie si la hausse des températures excédait les 3 à 4 degrés !
Le fondement même de la prospective lancée par le gouvernement ces jours-ci pour savoir si le pays est prêt à faire face à ces échéances désastreuses pour l’environnement et l’humain d’ici 2100.
Or, 2100, c’est demain ! Sachant que d’ici 2030/2035, l’élévation de la température gagnerait déjà presque deux degrés…
« Le pire n’est jamais sûr » : la formule pour détendre l’atmosphère…
Peut-on imaginer raisonnablement que la France, la Bourgogne et l’ensemble des régions de l’Hexagone subissent des périodes de sécheresse devant durer dix ans, voire plus ! Dans un pays qui compte environ 600 000 plans d’eau dont 80 % sont artificiels pour 4 550 km2 de surface…mais où le poids de l’homme sur la diminution drastique du débit de l’eau est indéniable chaque année, à hauteur de 20 % du fait de ses activités professionnelles, industrielles et agricoles.
Essayant de détendre l’atmosphère quelque peu suffocante après de telles révélations – c’est vrai, il faisait très chaud dans l’hémicycle après une heure de débat ! -, l’excellent Denis CHEISSOUX, esthète en la matière sur les questions environnementales grâce à son émission radiophonique diffusée sur France Inter (« Co2 mon amour ») rappela de manière philosophique que « le pire n’est jamais sûr ! ».
Une formule sémantique qui aura peut-être apporté un peu d’oxygène à celles et à ceux des membres de cet auditoire qui en manquaient manifestement et qui ne pouvaient qu’observer une situation, ne semblant pas s’inverser dans le temps.
Changer de logiciel en soutenant les initiatives : la solution ?
Si 80 % des espèces constituant la biodiversité aquatique ont déjà été rayées du globe du fait de cette hausse du climat et de la raréfaction des zones humides, que restera-t-il de l’humanité si le curseur ne change pas ?
Florence HABETS a tenté d’esquisser une réponse, mettant en avant le sens de d’adaptabilité de l’humain devant de tels enjeux. « Il faut se battre pour préserver l’eau et surtout ne pas la gaspiller, soulignera-t-elle, cela repose sur un tiers de changement comportemental de ses utilisateurs, un tiers d’apport de nouvelles solutions techniques et d’aides pratiques, et un tiers de réglementation à légiférer pour que cesse les abus autour de l’eau ».
Puis, en conclusion, de rajouter : « changer de logiciel en soutenant toutes les initiatives allant dans le bon sens sera sans doute la solution… ».
Plus facile à dire qu’à faire dans le concret, en vérité ! Mais, éviter la fin de la civilisation qui nous guette ne passe-t-il pas par des sacrifices et des efforts collectifs pour y parvenir ?
Moralité : c’était bien un excellent lundi pour se gaver de dynamisme et d’optimisme à revendre face aux enjeux de demain !
Thierry BRET
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C’est une réelle problématique à prendre très au sérieux. D’autant que les nappes phréatiques peinent à se remplir convenablement, malgré les pluies de printemps. Un défi à relever par l’Etat qui en avait dévoilé les contours liminaires dans le cadre de son « Plan eau », en mars dernier. A l’initiative de la préfecture, l’avenir de ce précieux atout aquatique, indispensable à notre existence, va se décortiquer au cours d’une conférence spéciale devant s’étirer sur toute la journée à Auxerre, ce lundi 22 mai…
AUXERRE : L’avenir de l’eau tel que l’a défini l’Etat en mars dernier dans le cadre de son plan spécifique pourrait se résumer en substance en deux mots. Sobriété et qualité. Sobriété, parce que désormais au vu des incidences imputables au réchauffement climatique qui ne cessent de croître de manière journalière, il est nécessaire de maîtriser du mieux possible sa consommation dans tous ses usages. Qu’ils soient domestiques, professionnels ou agricoles.
Qualité, parce que pour en sécuriser son approvisionnement optimal, il est légitime plus que jamais de réduire drastiquement la pollution des milieux aquatiques. Sans omettre, évidemment, l’éradication des fuites qui sont observées sur les réseaux de canalisation…
En ce lundi 22 mai, c’est donc l’élément aquatique qui nous est si cher – dans tous les sens du terme – qui sera au centre des débats à la Pyramide, l’antre du Conseil départemental de l’Yonne. Pour une fois, on fera fi des débats idéologiques et politiques dans l’hémicycle – encore que !- pour se consacrer à une conférence unique en son genre, la première proposée par la préfecture de l’Yonne, sur ce sujet sociétal si préoccupant pour notre descendance : l’avenir de l’eau sur notre territoire.
A la baguette introductive, tel un chef d’orchestre qui en donnera le rythme et le tempo des futures réflexions : le préfet Pascal JAN.
Il existe des raisons d’espérer dans l’Yonne…
Le représentant de l’Etat rappellera lors de son préambule inaugural que « l’Yonne est mise au défi de la gestion durable de l’eau ». Observateur avisé sur son territoire de prédilection, Pascal JAN sait que les tensions sur la ressource en eau sont plus nettement importantes d’une année à l’autre. Dans l’Yonne comme partout en France, par ailleurs. Preuve d’une évolution rapide de ce constat : il a dû se résoudre à placer le département en vigilance sécheresse dès le 10 mars dernier, une date encore plus précoce que précédemment…
Pourtant, et ce sera l’objectif de ce rendez-vous auquel devrait prendre part une multitude d’intervenants, il existe encore des raisons d’espérer. La préfecture insiste sur ce point : « l’eau sera un atout pour l’Yonne de demain, de par sa position géographique puisque le territoire icaunais est situé à l’amont du bassin versant Seine-Normandie et de par sa géologie avec ses sols dans lesquels des nappes de grande capacité se sont formées ».
Un renforcement des structures de gouvernance pour une meilleure maîtrise…
Plutôt rassurant, à première vue ! Mais, ce n’est qu’en adoptant les principes d’une gestion raisonnée de la ressource aquatique que l’Yonne fera face aux conséquences de l’implacable changement climatique.
Dans l’absolu, les politiques publiques de l’eau doivent être construites en associant au-delà des services de l’Etat, les élus de proximité ainsi que les acteurs économiques, agricoles et associatifs. Telle est la volonté du préfet Pascal JAN qui désire la concrétisation de ce renforcement des structures de gouvernance qui soient adaptées aux réalités hydrographiques du territoire.
Lors de ce rendez-vous que l’on suppose studieux et participatif – il bénéficiera de l’expertise alerte du journaliste de France Inter, spécialiste des questions environnementales, Denis CHEISSOUX -, les orateurs successifs à la tribune de la Pyramide oscilleront dans leurs propos entre les constats sur l’urgence de la situation actuelle et surtout la présentation des solutions éprouvées qui peuvent être mises en œuvre afin de sortir de l’ornière.
La conférence sera transmise en direct sur la page Facebook de la préfecture de l’Yonne, sur le référent suivant : https://www.facebook.com/Prefet89
Thierry BRET
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L’exposition est visible jusqu’au 16 juillet : « Paris, capitale de la Gastronomie », courez-y !
mai 20, 2023Programmée tous les jours de la semaine, accueillie à la Conciergerie, l’exposition, présentée par le Centre des monuments nationaux, mérite l’attention. Notamment chez les férus de bonne chère, épicuriens dans l’âme. L’art culinaire est mis à l’honneur à travers les siècles ; logique que Paris qui possède de belles références en la matière s’en fasse l’écho auprès d’un large public…
PARIS : Et depuis nos gares de Bercy ou de Lyon, le bus 87 s'arrête à deux cents mètres de la Conciergerie ! Une exposition aussi intéressante qu'émouvante, et fort bien illustrée. Au détour d'antiques menus de brasseries et autres, on peut y voir mentionner les vins de Joigny ou ceux de Chably.....ainsi orthographié.
La carte gastronomique de la France nous promène un peu partout sur le territoire. Paron y est même évoqué pour ses galettes ! Sens pour ses jambons et févettes ?
Ne loupez pas l'excellente vidéo sur l'œuf mayo, tourné au bar à vins « Le Griffonnier », une emblématique enseigne de la capitale !
Cette exposition peut contribuer à conforter tout un chacun dans la reconnaissance de notre pays et de ses valeurs spécifiques. Il est dommage que l'école publique, par un regrettable dogmatisme, néglige cet aspect depuis des lustres. Un peu comme si aimer son pays était considéré comme une valeur honteuse et totalement surannée…
En savoir plus :
« Paris, capitale de la Gastronomie »
A la Conciergerie jusqu’au 16 juillet 2023
Tous les jours de 09h30 à 18 heures, le samedi jusqu’à 20 heures.
Entrée : 11,50 euros.
Renseignements : conciergerie.monuments-nationaux.fr
Gauthier PAJONA
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Chassé-croisé ministériel dans l’Yonne : Sonia BACKES succède à Stanislas GUERINI pour une visite officielle
mai 20, 2023Pas de trêve de l’Ascension pour les membres du gouvernement ! Deux d’entre eux ont choisi le département de l’Yonne pour effectuer leurs visites officielles en ce long week-end de farniente ; ce qui n’était pas arrivé depuis des lustres de mémoire journalistique ! Après le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques Stanislas GUERINI, vendredi, c’est au tour de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer en charge de la Citoyenneté Sonia BACKES de se rendre à Seignelay, dimanche après-midi…
SEIGNELAY : Décidément, l’Yonne est depuis quarante-huit heures un territoire très convoité par les représentants du gouvernement ! Après la visite du ministre de la Transformation et de la Fonction publiques vendredi, une incursion icaunaise entre Auxerre et Quarré-les-Tombes – Stanislas GUERINI -, voilà que se présente à Seignelay, ce dimanche tantôt, la secrétaire d’Etat en charge de la Citoyenneté, Sonia BACKES !
Un regain d’intérêt pour notre territoire qui n’est peut-être pas le fait du hasard puisqu’il se susurre dans l’antichambre du pouvoir que le Président de la République Emmanuel MACRON ne serait pas contre une visite de courtoisie par chez nous : l’Yonne demeurant l’un des derniers départements de l’Hexagone – ils sont encore six à sept selon les comptes - à ne pas avoir eu le privilège d’un déplacement présidentiel depuis son accession à l’Elysée en 2017 !
Bref, si cet hypothétique voyage du locataire de l’Elysée n’est pas encore inscrit à l’agenda présidentiel de manière effective, il n’empêche que recevoir deux ministres en quarante-huit heures ne manque pas de piquant pour la contrée la plus septentrionale de Bourgogne Franche-Comté, peu habituée à un tel traitement de faveur de la part des hautes sphères étatiques.
Au cours de la journée dominicale, ce 21 mai après-midi, Sonia BACKES a choisi de découvrir la gendarmerie de Seignelay pour y remplir sa mission régalienne afin d’échanger avec les réservistes. Même les « Cadets » de la gendarmerie nationale, suivis de près par l’excellent responsable de la section icaunaise en sa qualité de président, Francis CHOUVILLE, auront droit à leur temps de discussion avec la présidente de l’assemblée de la Province-Sud de la Nouvelle-Calédonie.
Un rendez-vous auquel devrait prendre part le maire de Seignelay, Thierry CORNIOT, qui avait déjà eu l’opportunité, vendredi, de discuter avec Stanislas GUERINI lors d’une rencontre informelle avec les représentants de « Renaissance 89 » à Auxerre.
Thierry BRET
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