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Lauréat du Trophée « ECO-INNOVEZ 2016 », MOBIL WOOD intéresse les institutionnels
septembre 03, 2017Le jury de Bourgogne Franche-Comté avait rendu son verdict positif au printemps, saluant les initiatives originales de cette entreprise de conception de mobilier et d’agencement de magasins en bois massif. Adepte de l’holacratie, MOBIL WOOD interpelle dans son mode de fonctionnement et sensibilise de plus en plus les structures institutionnelles du territoire…
CRAVANT : Quel dénominateur commun existe-t-il entre l’ARDIE, l'ADEME, la BPI, la DIRECCTE et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ? Tous ces organismes ont répondu favorablement en avril dernier à la demande de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne pour visiter le site de l’entreprise MOBIL WOOD lors d’une opération « Brunch ». Il s’agissait d’éclairer les lumières des futurs porteurs de projets innovants dans l’éco-conception.
Il est vrai que la PME de CRAVANT est devenue une référence régionale à bien des égards. Elle, qui vient d’être désignée au titre de bénéficiaire du Trophée « ECO-INNOVEZ 2016 », a choisi d’améliorer la performance écologique en utilisant des matériaux labellisés à l’instar du bois massif exempt de formaldéhyde et lasures en phase aqueuse.
Spécialiste de la fabrication d'agencements de magasins en bois massif à travers la France, MOBIL WOOD occupe à ce jour une position de leader sur le marché de l'équipement des magasins biologiques (réseau BIOCOOP), employant au passage une soixantaine de collaborateurs.
Implantée depuis les années 1960 sur la localité de Cravant, la structure a toujours été fortement engagée dans une démarche de développement durable des biens et des personnes.
L’holacratie : nouvelle forme de management à développer ?
La provenance de ses matières premières le prouve. Ses bois qu’elles utilisent à la conception de meubles originaux proviennent des Landes (le pin). MOBIL WOOD, entreprise vertueuse, pratique aussi le recyclage des déchets et dispose d’une impressionnante armada de labels de référence : PEFC, AFAQ 1000NR, Excell Zone Verte, OSEO Excellence…
Une incontestable plus-value qui atteste son engagement à la création d’un nouveau modèle sociétal au service de l’homme. Depuis plus d’un an, l’entité pilotée par le tandem Alexis NOLLET et Sébastien BECKER repense au rôle et aux liens de leurs collaborateurs avec leur travail grâce à la mise en place d’un outil de démocratie participative qui commence à faire florès en France : l’holacratie.
Ce principe de management apporte en plus d'un environnement préservé et du bien-être au travail, une dimension de développement personnel via l'apprentissage, l'éducation, la formation...Normal que les organes institutionnels soient sensibles à ces nouveaux dispositifs.
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Les propriétaires de vélos à assistance électrique bénéficient d’un coup de pouce de l’Etat…
août 03, 2017On les appelle les VAE, un acronyme pour le terme « vélo à assistance électrique ». L’an passé, plus de 100 000 de ces appareils ont été commercialisés dans le pays selon les statistiques émises par le Club des Villes et des Territoires. Et cette année, ce chiffre devrait exploser à la suite de la publication au Journal Officiel d’un texte confirmant le coup de pouce apporté par l’Etat aux nouveaux acquéreurs de ces cycles qui s’inscrivent dans la transition énergétique.
PARIS : Mais, comme un bonheur ne vient jamais seul, ces aides financières (elles s’élèvent à 200 euros) concerneront également les trottinettes électriques, les gyropodes et les hoverboards. Bref, après les véhicules électriques et les deux-roues motorisés, l’Etat passe sur le grand braquet en faveur de la petite reine.
Sur simple présentation de la facture, les consommateurs pourront obtenir avant le 31 janvier 2018 ce remboursement de 200 euros, sachant que le coût de ces cycles peut s’élever à plusieurs milliers d’euros.
Les bénéficiaires en seront les personnes physiques, les personnes morales (entreprises) et les administrations de l’Etat. Cette mesure soutenue par le ministère de l’Environnement était réclamée depuis longtemps par la Fédération des usagers des transports (FNAUT), la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) et le réseau Action Climat.
Une quarantaine de villes et agglomérations françaises proposent déjà des subventions pour l’achat d’un vélo à assistance électrique dont la capitale avec 33 % du financement de l’achat…
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Un nouveau chapitre s’est ouvert durant la période estivale pour l’unique édifice pentagonal de France, propriété du Conseil départemental de l’Yonne. Deux artistes de talent, la peintre Corinne BRETEL et le photographe Laurent GUENEAU, ont sublimé le site historique de leurs créations originales. A la plus grande satisfaction des nombreux visiteurs de ce château peu ordinaire…
CRUZY LE CHATEL : Au soir du vendredi 21 juillet, l’événement culturel de la saison estivale dans l’Yonne, l’accueil d’une double exposition d’art contemporain dans la fameuse construction pentagonale de MAULNES, avait été salué par un récital de la chanteuse Emna SAADI. Cette dernière interpréta les standards du jazz pour le plus grand ravissement des spectateurs invités à cette inauguration. Ce fut aussi l’occasion de pouvoir admirer les œuvres de deux artistes d’exception : la peintre Corinne BRETEL, originaire de Paris, et du photographe Laurent GUENEAU.
Une fascination pour le monde végétal
Formée aux Beaux-Arts de Beaune, puis de Valence, Corinne BRETEL représentait un peu l’enfant du pays. Même si elle est native de la capitale. Son enfance, elle l’a vécue au beau milieu du vignoble de Chablis. Après un parcours professionnel de belle facture dans les arcanes de la publicité et du cinéma d’animation à Paris, l’artiste opte pour la localité de Saint-Julien du Sault où elle créé son atelier. Présentant une quinzaine de toiles (moyen et grand format) mais aussi de petites gravures inspirées du végétal, Corinne BRETEL évoque avec beaucoup de sensibilité la nature et les méfaits que l’humain peut lui occasionner à répétition. Exposer à MAULNES tombait sous le sceau de l’évidence pour elle : « Il règne en ces lieux le mystère et la poésie, et une promiscuité étrange avec la nature ». Fascinée par le milieu végétal, l’artiste aime établir un rapport avec l’environnement dans lequel elle s’immerge. « Mes peintures questionnent l’esprit des lieux dans lesquels j’expose et l’imaginaire qu’il suscite… ». Le public de l’Yonne connaît son travail. Il a pu le découvrir à maintes reprises dans le cadre des ACI (Artistes contemporains Icaunais) à l’Abbaye de PONTIGNY, à l’Hôtel-Dieu de Tonnerre ou encore au Musée Saint-Germain à Auxerre.
Un artiste à la renommée internationale jusqu’en Russie et en Chine
Originaire de Tonnerre, le photographe Laurent GUENEAU a lui aussi enthousiasmé dans un tout autre registre les visiteurs lors de cette manifestation. Présentées de part et d’autre du chemin qui conduit à l’enceinte du château, ces œuvres n’ont pas manqué d’interpeller le public. Corollaires de l’artiste peintre cité précédemment, elles prolongent ce rapprochement subjectif avec la nature et la place du végétal dans le milieu urbain. Comme à Canton en Chine, où le photographe a élu domicile en résidence en 2005 suivi de trois autres séjours culturels. Les prises de vues dévoilées à MAULNES composaient les éléments d’un corpus baptisé « Question de nature ». Soit l’étude de la relation entre le bâti et le végétal, thème que Laurent GUENEAU poursuivra dans plusieurs autres villes françaises. Considérant le château de MAULNES tel un incroyable écrin facilitant ce travail, le photographe tonnerrois a su instaurer un dialogue entre ses images et le lieu historique. « Cet édifice est plus complexe qu’il n’y paraît au premier regard, devait-il préciser, il apparaît comme une masse qui renvoie aux paysages urbains, planté dans l’immensité du paysage… ». Constatant au passage le très net rapport entre le bâti et la nature. Vivant à Paris, Laurent GUENEAU a notamment exposé au Musée Pouchkine à Moscou. Mais, ses œuvres ont également été plébiscitées aux Rencontres d’Arles, à la Bibliothèque nationale de France à Paris, au Centre Atlantique de la photographie à Brest ou à la scène nationale de Vandœuvre. En 2008, le Guangdong Muséum of Art en Chine devait lui consacrer une exposition monographique. Révélant ainsi tout son talent à l’état pur…
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Parce que l’innovation, le confort, la santé ou les économies d’énergie sont devenus des ingrédients incontournables de la construction et de l’habitat d’aujourd’hui, le cabinet ATRIA ARCHITECTES a organisé une visite de différentes réalisations immobilières bâties dans l’Yonne au bénéfice du groupe des ARCHITECTEURS. Une occasion dynamique de pouvoir échanger entre professionnels…
AUXERRE : Le département de l’Yonne ne connaît pas de retard dans la construction immobilière particulièrement innovante. Depuis plusieurs années, les cabinets d’architectes du territoire tirent leur épingle du jeu en démontrant la qualité de leur savoir-faire aussi bien envers les logements destinés aux particuliers que pour les habitats collectifs, voire les bureaux et complexes professionnels.
L’un de ses acteurs, le cabinet ATRIA ARCHITECTES, localisé à Auxerre, s’est penché depuis quelques années sur les réelles problématiques qui frappent le secteur de la construction. Notamment les phénomènes liés au dérèglement climatique. Même dans ce secteur d’activité, les changements que nous subissons de la part d’aléas climatiques modifient les modes de vie du quotidien, tout en rendant inconfortables les logements et les lieux de travail.
Des spécialistes venus de toute la France
Cependant, pour parer à cette situation inéluctable, les contraintes réglementaires se sont renforcées. Mais, leur efficacité ne pourrait être réellement opérationnelle que dans un horizon de dix à quinze ans, ce qui est considéré comme trop tardif et insuffisant par les spécialistes.
Ce fut l’un des aspects intéressants abordé lors de la journée d’échanges voulu par les trois architectes coordinateurs de l’entité ATRIA ARCHITECTES, Annick WOROBEL, Benoît BAZEROLLES et Jean-Pierre BOSQUET. Membres à part entière du groupement des ARCHITECTEURS (une structure fédérant plus d’une centaine de professionnels dont Jean-Pierre BOSQUET fut le président national au beau milieu des années 2000), les dirigeants du cabinet local devaient conviés une quinzaine de spécialistes de ce groupement venus de toute la France pour s’immerger dans quelques-unes de leurs récentes réalisations.
Les systèmes de renouvellement d’air comme fil d’Ariane
En compagnie de leur partenaire, le bureau d’études spécialisé en confort, santé et énergie économisée, VIA POSITIVE, les architectes auxerrois ont organisé un circuit de visite les conduisant successivement au Foyer d’accueil médicalisé BBC (bâtiment basse consommation) de MONETEAU, à une maison individuelle passive à CHAMPS sur Yonne, au groupe scolaire primaire et maternelle de Sainte Thérèse à Auxerre avant de conclure au siège de l’assureur mutualiste GROUPAMA à Auxerre, où d’importants travaux de rénovation énergétique ont eu lieu.
Le fil rouge technique de cette journée d’immersion dans les édifices conçus par le cabinet de l’Yonne reposait sur les systèmes de renouvellement d’air. Différentes solutions novatrices furent ainsi présentées dans les domaines de l’oxygénation, le traitement de la pollution, les allergies, l’air sain, etc. La récupération d’énergie constitua le second volet de cette rencontre entre professionnels convaincus de la nécessité de changements radicaux dans l’habitat.
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La résorption des zones blanches sur le territoire du nord de la Bourgogne demeure l’une des priorités essentielles du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne. Préjudiciables pour les utilisateurs de téléphonie mobile, ces zones seront progressivement comblées grâce à la construction de pylônes nécessaires à l’optimisation de cette couverture. Conviant élus et représentants institutionnels à CHAMPCEVRAIS, le SDEY présentait la mise en chantier du premier des 26 pylônes qui permettront à terme de couvrir les 31 zones blanches recensées sur le secteur.
CHAMPCEVRAIS : L’origine de cet important projet revient à la commune de Charny-Orée-de-Puisaye, maître d’ouvrage. Elle a été chargée de piloter le projet de couverture des zones blanches pour le compte de l’ensemble des communautés de communes du département. Ainsi, la collectivité a confié la passation de ce marché au SDEY, le syndicat départemental d’énergies de l’Yonne en qualité de maître d’ouvrage délégué sur ce dossier.
Sur l’ensemble du département, trente centres-bourgs et un bourg secondaire ont été identifiés par l’Etat comme répondant aux critères d’un appel à projet tout en étant déclarés zone blanche à ce titre. Parmi ces 31 sites présélectionnés, 27 pylônes seront nécessaires pour couvrir la totalité de ces secteurs. Certains pylônes permettant de couvrir plusieurs zones blanches en même temps.
Un budget global de 650 000 euros
Au total, 26 pylônes seront érigés lors de ces prochains mois car il existe déjà un appareillage à SENNEVOY le Haut. Ce dernier sera équipé et activé par l’opérateur BOUYGUES TELECOM pour être en conformité avec le cahier des charges. Dans les autres cas où il sera judicieux de construire un pylône, la collectivité mettra à la disposition des opérateurs un site d’accueil viabilisé et équipé.
Pour chaque zone blanche, plusieurs sites possibles ont donc été pré-validés par le maître d’ouvrage délégué en collaboration avec les services de l’Etat. Les équipements actifs seront installés et entretenus par les opérateurs leader (soit 17 zones réservées à FREE MOBILE et 9 zones gérées par BOUYGUES TELECOM).
Quant à la mise en service effective de ces pylônes, elle se fera par les opérateurs dans un délai maximal de six mois après la réception des travaux. Côté financement, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne en supportera la charge dans le cadre de ce projet zone blanche, soit un coût de 17 160 euros par site pour les raccordements électriques (un total de 650 000 € de participation in fine).
Des responsabilités partagées sur le dossier
Ces aménagements techniques traduisent l’engagement de l’Etat à travers la loi Macron, votée en août 2015. Celle-ci stipulait que « les opérateurs de téléphonie mobile devaient résorber les zones blanches subsistant en France au 31 décembre 2016 et au plus tard six mois après la mise à disposition effective des infrastructures par les collectivités territoriales ou leurs groupements ».
Dans ce cadre, les collectivités locales, les services de l’Etat et les parlementaires ainsi que le SDEY ont mis en place une méthodologie afin d’engager les travaux de construction des points hauts nécessaires aux opérateurs pour installer leurs systèmes de communication. La mission a été confiée aux EPCI représentés par la commune nouvelle de Charny pour la maîtrise d’ouvrage et au SDEY pour la maîtrise d’ouvrage déléguée.
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