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Le télétravail possède-t-il un réel lendemain ? Après avoir traversé une période exceptionnelle depuis plus de deux mois, à quoi va ressembler le « jour d’après » en matière de travail à distance ? C’est une question que bon nombre d’exégètes de l’emploi se posent désormais dans l’Hexagone. Une enquête agrémentée d’une infographie apporte son lot de réponses précises. Elle émane de TALKSPIRIT, une plateforme collaborative nationale qui facilite la communication et le travail des équipes au quotidien. Explications…

PARIS : Le « home office » va-t-il encore progresser dans les entreprises, les institutions publiques ou encore les milieux associatifs dans les mois à venir ? Face aux chambardements inattendus provoqués par la présence inédite du COVID-19 sur notre territoire, les spécialistes de la RH et les managers se doivent de répondre aux exigences de leurs collaborateurs à l’avenir : oui mais, comment ?

La question, cruciale, en cette période de très lente sortie de crise méritait d’être posée. D’autant que les entrepreneurs ont eu à modifier profondément les règles de l’emploi dans bon nombre de leurs structures. Incitant des milliers de salariés à adopter le travail à distance depuis leur domicile…

Créée il y a une décennie, TALKSPIRIT s’est penchée sur cette pertinente interrogation. Logique pour une plateforme nationale qui équipe aujourd’hui près de 500 clients et plus de 150 000 collaborateurs à l’aide de solutions 100 % made in France dans l’évolution du travail.

L’entité vient de publier les résultats d’une enquête sous la forme d’une infographie analytique qui, par le biais de chiffres-clés, donne un sérieux aperçu des attentes des salariés français à la suite de la mise en place forcée du télétravail dans le pays.

 

90 % de téléchargements d’applications de visioconférence entre 2019 et 2020 !

 

Benoît RENOUL et Hugo BESSAGUET, deux collaborateurs de TALKSPIRIT, sont les auteurs de cette étude qui permet de mieux comprendre les répercussions du travail à distance sur le quotidien professionnel des Français.

Apparu au beau milieu des années 2000, grâce à l’arrivée progressive de l’Internet haut débit dans les foyers, le télétravail n’était jusque-là réservé qu’à une portion congrue de nos concitoyens.

Quelques rares salariés pouvaient en profiter pour des raisons jugées encore « occasionnelles ». Ainsi, selon les chiffres de la DARES (Direction de l’Animation, de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) diffusés en novembre 2019, 7,2 % des salariés français étaient concernés par cette méthodologie professionnelle à la limite de la marginalité.

Les choses ont nettement évolué depuis ! Six mois plus tard, à peine, ils sont désormais plus de 30 % des salariés de l’Hexagone à avoir basculé en télétravail selon les données ODOXA du 20 avril 2020 !

Il suffit d’apprécier le nombre de téléchargements d’applications de visioconférence en France pour s’en rendre compte.

Les trois outils (ZOOM, TEAMS et HANGOUT) ont vu le nombre de leur fréquentation exploser de manière soudaine et massive en un laps de temps record. Plus de 22 fois de téléchargements pour la première référence par rapport à la même période en 2019, 16 fois plus pour la seconde ; le pompon revenant à la troisième application. Elle a dépassé de 23 fois le nombre de téléchargements supplémentaires dans le même intervalle de temps ! Sachant que ces données illustrent la comparaison hebdomadaire entre la seconde semaine de mars 2020 versus celle de 2019…

In fine, on dénombre 62 millions de téléchargements d’applications professionnelles (majoritairement des visioconférences), soit 90 % de plus par rapport à la même période de 2019 !

 

Les employeurs sont-ils favorables à l’essor du télétravail à l’avenir ?

 

Toutefois, il est démontré par une autre analyse, celle en provenance de DESKEO, qu’au début du confinement, 76 % des Français en situation de télétravail forcé regrettaient l’ambiance des bureaux.

Un élément logique qui combinait à la fois le cumul imposé par cette expérience anxiogène imprévisible et le télétravail qui pour une part non négligeable de salariés fut très éprouvant.

En cause : la promiscuité, l’impossibilité de pouvoir s’isoler physiquement et numériquement, le sentiment de solitude, le défaut de matériels et leur manque de performance, etc.

Cependant, après quelques semaines, l’analyse de TALKSPIRIT montre le renversement de tendance. Et l’appréciation manifeste des Français pour cette forme de travail dont ils n’avaient pas encore ni la connaissance ni l’usage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 71 % des personnes qui n’avaient jamais travaillé à domicile avant la crise sanitaire déclarent désormais souhaiter exercer leur métier à distance. Du moins, un jour par semaine. 79 % de ces mêmes salariés sont même prêts à sacrifier leur bureau physique attitré pour effectuer davantage de télétravail à l’avenir !

Nonobstant, une interrogation demeure : les entreprises françaises sont-elles prêtes à faire bouger les codes ?

Si les salariés restent les seuls à avoir fait connaître leur position, il n’empêche que les employeurs sont murés dans leur silence. Question de pure logique : il est encore trop tôt pour eux pour se prononcer après la période économique subie sur les vertus de cette méthode.

Les salariés ont cependant du mal à croire à une « révolution du télétravail » à l’avenir. Certains ont été sondés pour dire ce qu’ils pensent de l’attitude de leur employeur : les résultats sont les suivants. Les employeurs seraient favorables au télétravail à hauteur de 51 %, voire totalement favorables pour 4 % des cas. Mais, 36 % d’entre eux seraient réfractaires, voire totalement contre pour 8 % des cas. Précisons qu’un pour cent de ces sondés ne se prononce pas…

Quant aux freins potentiels au développement du télétravail, ils seraient multiples. La culture du présentéisme à 39 %, l’incompatibilité du télétravail avec le métier exercé à 38 %, le manque de confiance pour 17 % ou le refus sans réelle raison valable pour 26 %.

Le télétravail connaîtra-t-il un « avant » et un « après COVID-19 » en France ? Une chose est sûre, à défaut de réponses concrètes et précises, les dirigeants et les managers des structures publiques ou privées qui agissent dans le domaine économique devront très vite se prononcer…C’est la moindre des choses que de connaître leur avis après ces semaines particulières où le monde du travail a changé totalement de rythme…

 

En savoir plus :

On peut consulter l’ensemble des analyses de cette étude menée par TALKSPIRIT sur la référence suivante :

https://blog.talkspirit.com/apres-covid-quel-lendemain-pour-le-teletravail/


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L’épidémie de coronavirus frappe durement les Etats-Unis, faisant de ce poids lourd de l’économie mondiale le nouvel épicentre de la pandémie planétaire. La liste des décès s’allonge un peu plus chaque jour (une moyenne de deux mille morts au quotidien) faisant de l’Union des cinquante états la nation qui présente le pire bilan sanitaire aujourd’hui. Il n’en fallait pas davantage pour stopper nette la production industrielle. Y compris celle du secteur automobile qui a arrêté toutes ses activités. A l’image du groupe TESLA…

PARIS : Les chiffres les plus récents communiqués par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) ne sont pas bons. Le nombre d’immatriculations s’est effondré de plus de 70 % en l’espace d’un mois, du fait de la propagation du coronavirus. Toutes les enseignes sont ainsi impactées par ce phénomène sanitaire sans précédent de l’ère moderne. Qu’elles soient nationales, comme étrangères.

Mais, aujourd’hui, tous les regards convergent vers les Etats-Unis d’Amérique, devenus la nouvelle zone rouge de la progression de l’épidémie dans le monde. La demande américaine en matière de consommation de véhicules s’est réduite comme peau de chagrin. Contraignant de facto la plupart des constructeurs à réduire la voilure : ils ont été obligés de laisser leurs unités de production à l’arrêt.

C’est le cas de TESLA. Le groupe a mis un terme à ses activités dans ses usines depuis le mois dernier. Notamment celle de San Francisco qui conçoit les fameuses automobiles.

Ce site emploie plus de 10 000 salariés pour une production annuelle  de plus de 415 000 unités. Conséquence directe de cette suspension d’activité : les travailleurs qualifiés de non-essentiels ont été mis en disponibilité avec des réductions de salaire.        

La baisse de la rémunération sera effective au 13 avril. Et ce jusqu’à la fin du second trimestre a fait savoir la direction générale du groupe à l’agence REUTERS (sources).

Elle sera de 10 % pour les ouvriers, de 20 % pour les postes de direction et de 30 % pour les vice-présidents. Des réductions similaires seront applicables dans les filières internationales de la marque.

 

 

Ses bons résultats et des liquidités suffisantes devraient permettre à TESLA de faire face…

 

Ce coup de frein survient au plus mauvais moment pour TESLA. Avec le lancement du modèle Y, le constructeur américain tablait sur une excellente commercialisation au cours de ces prochaines semaines. Toutefois, l’avenir du groupe n’est pas mis en danger.

L’entreprise d’Elon MUSK a réalisé de bons chiffres de livraison au premier trimestre à l’échelle américaine malgré le début de l’épidémie de coronavirus. En outre, le groupe peut faire face à une longue crise, disposant de 6,3 milliards de dollars de liquidités.  

Si tout se déroule pour le mieux au vu du contexte sanitaire, TESLA prévoit un redémarrage des activités le lundi 04 mai. Sauf modification importante.

D’ici là, le géant américain prend son mal en patience en se consolant de sa bonne tenue sur le marché français. Il s’est vendu en effet près de 6 500 exemplaires de son modèle 3 en 2019.

Plaçant ce véhicule sur le podium des meilleures ventes, juste derrière la Renault Zoe qui caracole toujours en tête et de très loin avec ses 19 000 automobiles commercialisées…

 

 


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Terriblement impactés par la crise du COVID 19, les artisans toute activité sectorielle confondue souffrent depuis le début de la période de confinement. Les conseillers de la chambre consulaire régionale restent mobilisés afin de les accompagner du mieux possible durant cette épreuve si particulière pour le moral et complexe dans les affaires…

DIJON : La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté vient de publier les premiers chiffres à l’issu de la mise en place de son dispositif exceptionnel d’accompagnement, imputable à la période de confinement.

Ce sont aujourd’hui plus de cinq mille structures qui bénéficient des services de suivi par les conseillers de la vénérable institution. Depuis la mise en exploitation de la ligne spécifique qui favorise les contacts avec les conseillers consulaires de la région, ce sont 1 700 demandes de rappel qui ont déjà eu lieu.

Mobilisés au quotidien, les personnes qui se rendent opérationnelles en appui des entreprises ont multiplié l’envoi de newsletters aux artisans de la région Bourgogne Franche-Comté.

 

 

Relayées sur Facebook, les informations de la Chambre ont été vues par 160 000 personnes. Quant aux formateurs, ils assurent toujours à distance l’apprentissage de 1 700 stagiaires via les outils multimédia.

Les secteurs impactés au niveau national et par ordre d’importance sont ceux des services à hauteur de 60 %, du bâtiment (17 %), de la production (12 %) et de l’alimentaire (11 %).

La nature de ces impacts se rapporte au ralentissement de l’activité, la baisse de fréquentation de la clientèle, l’annulation des commandes, celle des évènements et l’allongement des délais d’approvisionnement.

 

Pour contacter la Chambre régionale de Bourgogne Franche-Comté :

https://artisanat-bfc.fr/detail-offre/covid-19/contact

Plateforme numérique : artisanat-bfc.fr

 

 

 


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La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, a confirmé la participation immédiate de la collectivité à hauteur de dix millions d’euros à renouveler si nécessaire en cas de prolongation de la crise sanitaire à un fonds de solidarité. La décision fait suite à la visio-conférence que la responsable de l’exécutif régional a eu ce mardi 17 mars avec les autres présidents de région, rassemblés à l’invitation du Premier ministre Edouard PHILIPPE…

DIJON : L’engagement sera soumis au vote des élus. Selon des modalités qui restent encore à définir eu égard à l’évolution du contexte sanitaire.

Mais, une chose est d’ores et déjà sûre : l’institution régionale apportera bel et bien sa pierre à l’édifice constitutif de ce fonds de solidarité national pour soutenir les TPE et les entreprises individuelles en proie à de sérieuses difficultés.

Dès la fin de ce mois de mars, un versement de mille cinq cents euros sera adressé à plus de vingt mille entrepreneurs du territoire qui sont fragilisés par la baisse de leur activité, imputable à la propagation du coronavirus sur l’Hexagone.

Pilotées par les directions départementales des finances publiques, ces subsides concerneront les entreprises qui réalisent moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires et qui emploient moins de dix collaborateurs.

 

 

 

 

Une condition, toutefois, pour y prétendre : seront éligibles uniquement les sociétés qui ont vu leur activité stoppée ou leur chiffre d’affaires réduit de 70 % sur la période de ce mois de mars, par rapport à mars 2019.

Ce fonds de solidarité, évoqué par le président de la République Emmanuel MACRON lors de son intervention audiovisuelle le 16 mars, doit permettre de préserver le tissu économique dans les régions. Composé en Bourgogne Franche-Comté à 80 % de toutes petites entreprises (TPE).

Au niveau national, ce fonds de solidarité sera doté d’un milliard d’euros. Il concerne aussi les microentreprises et les entrepreneurs indépendants.

 

 

      


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L’industrie 4.0, à base de haute technologie, se présente comme l’un des atouts majeurs de la nouvelle ère industrielle qui se présente à nous. Un irréductible passionné de robotique collaborative, et de surcroît jeune entrepreneur de son état, Ned CEKIC relève le défi dans le nord de l’Yonne depuis le 01er janvier. Proposant à l’aide de sa structure l’usage de la cobotique et l’application de ses vertus aux industriels qui ont besoin d’améliorer leur processus de fabrication…

COURTOIS-SUR-YONNE : A 46 ans, Ned CEKIC présente un profil professionnel hautement qualifié. Ingénieur en robotique et en informatique industrielle, le néo-entrepreneur maîtrise son sujet sur le bout des ongles.

Logique, il a bénéficié en amont d’une longue expertise de plus de deux décennies parmi des poids lourds incontestables de l’entrepreneuriat à la française : les groupes ALSTOM et SAINT-GOBAIN !

Aujourd’hui, seul, il endosse la vêture d’un dirigeant de société, une SAS, au format et à la cible parfaitement bien étudiés. Pas étonnant que l’association INITIACTIVE 89 ait flashé sur son projet, minutieusement élaboré, et approuvé par l’intermédiaire de l’un de ses conseillers, Julien LACOMBE.

Associer l’emploi qui n’a rien de futuriste de la robotique à la vision créative des entrepreneurs industriels afin que ces derniers améliorent leur mode opératoire de fabrication ne pouvait passer inaperçu dans le sérail icaunais. Le dossier se distinguait nécessairement des autres, posés sur le coin d’un bureau !

 

 

 

 

INITIACTIVE 89 s’est engouffré tout de go dans la brèche. Mais, la structure associative départementale ayant pour vocation d’accompagner les porteurs de projets via l’obtention de prêts d’honneur n’est pas la seule.

Portée sur les fonts baptismaux au premier janvier dernier, NEED ROBOTICS ambitionne de devenir très vite, et sur un plan hexagonal, une entreprise novatrice et performante. Contributrice de solutions mûrement réfléchies auprès d’industriels qui souhaiteraient éviter que leurs opérateurs ne multiplient les tâches répétitives et pénibles, ou ne portent des charges trop lourdes, synonymes de TMS (les fameux troubles musculaires du squelette).

 

 

De multiples débouchés pour asseoir sa suprématie technologique…

 

Le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) s’intéresse de très près à cet entrepreneur à l’esprit vif qui espère une ramification rapide de son activité dans un rayonnement de deux cents kilomètres autour de sa base arrière et qui le restera : le Sénonais.

Paraphé le 08 janvier dernier, un premier contrat d’ingénierie lie la jeune start-up de l’Yonne au puissant groupe SAINT-GOBAIN WEBER. Ned CEKIC ne pouvait pas mieux démarrer sa nouvelle carrière d’entrepreneur avec autant de sérénité.

Mais, le garçon entrevoit d’autres possibilités collaboratives du même aloi avec le concept de cobotique dont il assure la promotion. Les secteurs de la santé, de la médecine, de la viticulture, de l’industrie mécanique représentent autant de filières potentielles où les débouchés offrent une sérieuse opportunité de s’affirmer.

Sachant que le coût de cellules robotisées est amortissable assez rapidement pour les PME qui opteraient dans l’achat de ces solutions pratiques (entre 80 et 100 000 euros).

 

 

Conceptualisé à partir d’une imprimante 3D, avec l’aide de partenaires (UR, YASK), l’appareil robotisé intègre après quelques mois de fabrication le site industriel de l’acquéreur afin de pallier aux manques, le plus souvent de personnel.

Une demi-douzaine d’emplois pourrait être créée d’ici cinq ans par le président de la SAS. Les profils sont déjà connus : commerciaux, automaticiens, projeteurs dessinateurs techniques, service après-vente…

 

  

Levées de fonds et partenariat utile avec les étudiants…

 

Stratégiquement, NEED ROBOTICS s’appuiera dans le cadre de son développement sur la présence d’un « tech-center » (un local de deux cents mètres carrés sera nécessaire pour accueillir les techniciens) qu’il suffira ensuite de positionner au bon endroit. Sans doute en Côte d’Or, voire en Saône-et-Loire afin de répondre aux exigences sectorielles imputables à la région Bourgogne Franche-Comté.

Quatre agences compléteraient ce maillage tactique en parallèle. Elles seraient implantées dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Aube et l’Yonne, qui conserverait le siège social de la société.

Précisons qu’une première levée de fonds aura permis à l’entrepreneur de bénéficier de précieux subsides (40 000 euros) de la part du réseau Entreprendre Bourgogne et d’INITIACTIVE 89. La BPI et la Région ont également été sollicités.

Désireux aussi de transmettre son savoir aux plus jeunes des générations, Ned CEKIC s’est rapproché de l’IUT licence professionnelle robotique et industrie de Reims avec lequel il a développé une convention de partenariat.

Côté performance, il espère atteindre les deux millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2025. Il ne serait pas surprenant qu’à cette date il dépasse aisément les objectifs fixés…

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…

 

 

 


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