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Les prévisions économiques et budgétaires de l’Etat sont très pessimistes pour notre avenir ! Les recettes moins les dépenses donnent le niveau du déficit. En conséquence, avec un PIB (Produit intérieur brut) en diminution approché entre 2 000 et 2 100 milliards d’euros auquel il faut ajouter des dépenses qui explosent : le niveau d’endettement risque de  dépasser les 120 % du PIB ! Estimée fin 2020, à plus 2 500 milliards d’euros, la dette de la France représente un additif de plus de 2 670 euros par seconde ! Sidérant…

TRIBUNE : La crise sanitaire nous entraîne vers une crise économique, budgétaire et financière très forte. « Les Français vont souffrir », dixit le président MACRON ! Le « nous allons » aurait été sans doute plus seyant dans la formulation et surtout plus respectueux ! Quand les premiers de cordée méprisent les premiers de corvée, le bail de l’Elysée risque d’être de plus en plus précaire !

Trouver plus de recettes et réaliser moins de dépenses ? Simpliste, me direz-vous ? Peut-être, mais allons plus loin.

Plus de recettes représentent plus d’impôts sur les revenus des particuliers, plus d’impôts sur les sociétés : n’y comptons même pas ! Avec un risque d’inflation avérée, la pauvreté et la précarité vont progresser.

Pour les plus riches, l’Etat devra réfléchir à des barèmes plus équitables. Pour les entreprises, on devra s’interroger sur celles qui délocalisent, créent des filiales afin de limiter leurs impôts en France, tout en profitant des aides publiques liées à la chute des activités : cela devient injuste, non équitable et non égalitaire !

Réduire les dépenses suppose distinguer les dépenses conjoncturelles des dépenses structurelles ! Les diminutions des dépenses de l’Etat concernent surtout le fonctionnement des institutions : frais de gestion, transport et déplacement… Ils projettent de la poudre aux yeux.

Les dépenses structurelles sont principalement liées aux salaires.  Pour l’Etat, il faudrait ainsi diminuer le nombre de haut fonctionnaires, réduire les plus gros salaires, revoir le nombre d’élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux…).

 

Partager autrement la valeur ajoutée : pas si simple de changer les mentalités…

 

Pour nos parlementaires, des coupes franches parmi les frais annexes seraient souhaitables ! Haro sur les avantages en tout genre et surtout, le montant nominal des salaires !

En ce qui concerne le salaire des dirigeants des sociétés privées, il serait de bon ton de fixer un écart maximum entre le plus petit salaire de l’entreprise et le plus important, tout avantage confondu.

On entend souvent dire parmi les réactions la formule suivante : « on risque de perdre nos dirigeants, de les voir partir ailleurs avec les plus gros salaires ! ». Soyons rassurés, l’adjoint de direction promu à ce poste acceptera !

Moins d’activité, c’est aussi moins de TVA donc encore moins de ressources. Seule une relance économique, progressive et réaliste donnera l’impulsion nécessaire au rétablissement de l’activité. Il s’agira aussi de juguler le chômage. Cette relance passe par une relocalisation d’une partie de notre production avec des investissements productifs qui génèrent  des emplois, des taxes et des impôts en plus…

On le sait, les Français sont d’une nature solidaire. Mais, de nombreuses mentalités auront du mal à évoluer : gagner plus que « l’autre », prendre des parts de marché au risque de casser des emplois, partager autrement la valeur ajoutée…

 

Changer de paradigme ou poursuivre sur sa lancée ?

 

Des chiffres donnent le vertige. Selon l’Institut de prévisions économiques, « Coe-Rexecode », la suppression de l’ISF en 2018 génère un manque à gagner de 3,2 milliards d’euros.

L’ISF a été remplacé par l’Impôt sur le Patrimoine Immobilier. Il est peu pertinent aujourd’hui si on veut relancer le bâtiment !

En conséquence, les 1 % des ménages les plus riches ont gagné 6 % de pouvoir d’achat ! Avec ou sans ISF, la fuite des capitaux poursuit sa course vers les pays les plus attractifs et les paradis fiscaux !

On estime à plus de 200 milliards d’euros les capitaux sortis de France et 400 000 emplois directs qui ont été détruits.

En outre, la suppression de l’ISF n’a pas amoindri la fuite des capitaux des plus fortunés et des entreprises. Rétablir l’ISF, ce serait gagner quelques milliards et montrer aux plus humbles la volonté de mieux partager le gâteau fiscal ! Le rétablissement de l’ISF fut rappelons-le, l’une des premières revendications des « Gilets jaunes ».

Si on se résume, cette crise économique qui arrive tel un cheval fougueux lancé au galop va faire chuter le PIB de près de 10 %. L’inflation se situera à 6 ou 8 %, quant aux revenus individuels, ils vont diminuer. Le chômage sera durablement en augmentation, engendrant un appauvrissement global de la nation, donc une croissance importante de notre dette. Tout ceci va influencer notre porte-monnaie mais aussi exacerber les tensions sociales du pays !

Selon Gérald DARMANIN, le ministre des comptes publics, ces chiffres devraient être revus à la hausse !

Nous ne nous inscrivons pas dans les « y’a qu’à faut qu’on » mais dans l’expression de la volonté de changer de paradigme Or, nous constatons que nous n’en prenons pas le chemin !

Le mot « crise » en chinois est représenté par deux idéogrammes : ils signifient danger et opportunité. Il y a toujours dans une crise la possibilité de changer, de s'ouvrir à autre chose, d'en comprendre les causes et d'essayer d'en tirer les conséquences.

Elle peut être une prise de conscience qui nous permet de vivre autrement, tant au niveau individuel que collectif selon l’écrivain et sociologue Frédéric LENOIR.

Il serait impérieux de s’en souvenir à bon escient avant de redémarrer !

Jean-Paul ALLOU


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Son chiffre d’affaires s’établissait au terme de l’exercice antérieur à 1,7 million d’euros. Il devrait progresser au terme de 2020. S’il y a bien une entreprise de l’Yonne qui a littéralement émergé malgré le contexte si difficile, c’est bien de celle-ci dont il s’agit. Sollicitée par le ministère de l’Intérieur, l’entreprise icaunaise n’a plus de « mousse » que son nom de baptême. Désormais, son aura lui permet de vaquer à ses occupations professionnelles dans la cour des plus grands…

AILLANT-SUR-THOLON : Le luxe, le médical, l’aéronautique, le militaire, l’industriel. Il faudra dorénavant ajouter une nouvelle corde à cet arc déjà bien garni en potentiels de débouchés : la collectivité !

Depuis plusieurs saisons, l’atelier de cette PME jusque-là préservée de la sphère médiatique s’attelait à réaliser avec le sens du perfectionnisme qui est le sien son métier et le devoir accompli. C’est-à-dire la découpe de pièces de mousse destinées à la fonction emballage. Utile et indispensable à chacun des secteurs d’activités, préalablement cités.

Oui mais voilà : la donne a changé de manière radicale en l’espace de quelques semaines pour la structure. La propagation de l’épidémie de coronavirus a eu tôt fait de chambouler le paysage économique de l’Hexagone, de l’Europe et de la planète entière. Et de brasser l’ensemble des cartes comme dans une immense partie de poker menteur. A ce jeu-là, JPJ MOUSSE s’en est plutôt bien tirée !

 

 

C’était sans compter sur le pouvoir adaptatif et le volontarisme des collaborateurs qui ont suivi comme une seule ombre celle du couple de dirigeants de cette PME très attrayante.

On connaît l’histoire : Presse Evasion l’a déjà narrée dans de précédents articles qui expliquent pourquoi cette PME industrielle a relevé ce grand défi de l’altruisme et de la citoyenneté en fabriquant ces fameuses visières de protection qui s’arrachent à présent dans de nombreux circuits de distribution.

Un pari audacieux qu’ont su porter à bout de bras Marion et Christophe BECHERT !

 

 

 

 

De la PLV pour Coca-Cola aux masques homologués par l’Intérieur…

 

 

Très vite, les commandes vont affluer. Les visières de protection faciale élaborées dans le cadre de la prévention contre le COVID-19 s’écoulent en grande quantité.

JPJ MOUSSE fournit un effort de guerre important dans sa lutte contre l’infection. Le site est sécurisé pour que les équipes puissent travailler dans une parfaite quiétude d’esprit. Rien n’est laissé au hasard.

Maîtrisant l’art de l’anticipation, les dirigeants de la PME disposaient de stocks suffisants pour relever le défi. Près de deux tonnes de matériels (plastique, mousse, accroches…) étaient déjà entreposés dans les rayonnages du site industriel avant que ne débute ce nouveau chantier.

L’unité de production était plus habituée à réaliser des présentoirs de PVL pour Coca-Cola que des objets de protection sanitaire !

Qu’importe : cet exercice de diversification a abouti à une nouvelle spécialisation. Parfaitement réussie !

 

 

Le schéma organisationnel voulu par la direction permettra d’atteindre les objectifs avec une cadence de 25 000 pièces fabriquées au quotidien. L’arrivée d’intérimaires intégrés rapidement au rythme soutenu de l’entreprise fera le reste.

Le lancement d’une deuxième ligne optimisera ces chiffres : de 40 000 à 50 000 visières conçues par jour ! Le travail se réalisant par deux équipes sur deux lignes. Quant aux approvisionnements, ils sont sécurisés pour la conception d’1,2 million de produits, sachant que plus de 300 000 visières avaient déjà été livrées début mai !

A la suite d’une livraison importante pour les magasins AUCHAN, JPJ MOUSSE s’est retrouvée sur le front de l’intérêt médiatique national. France Télévisions a interrogé les équipes de l'enseigne de la grande distribution par le biais de l'une de ses émissions vedettes "Envoyé Spécial" qui ont expliqué la fonctionnalité des produits confectionnés par la PME. Un coup de pouce indirect pour la PME de l’Yonne !

 

 

 

 

 


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Le télétravail possède-t-il un réel lendemain ? Après avoir traversé une période exceptionnelle depuis plus de deux mois, à quoi va ressembler le « jour d’après » en matière de travail à distance ? C’est une question que bon nombre d’exégètes de l’emploi se posent désormais dans l’Hexagone. Une enquête agrémentée d’une infographie apporte son lot de réponses précises. Elle émane de TALKSPIRIT, une plateforme collaborative nationale qui facilite la communication et le travail des équipes au quotidien. Explications…

PARIS : Le « home office » va-t-il encore progresser dans les entreprises, les institutions publiques ou encore les milieux associatifs dans les mois à venir ? Face aux chambardements inattendus provoqués par la présence inédite du COVID-19 sur notre territoire, les spécialistes de la RH et les managers se doivent de répondre aux exigences de leurs collaborateurs à l’avenir : oui mais, comment ?

La question, cruciale, en cette période de très lente sortie de crise méritait d’être posée. D’autant que les entrepreneurs ont eu à modifier profondément les règles de l’emploi dans bon nombre de leurs structures. Incitant des milliers de salariés à adopter le travail à distance depuis leur domicile…

Créée il y a une décennie, TALKSPIRIT s’est penchée sur cette pertinente interrogation. Logique pour une plateforme nationale qui équipe aujourd’hui près de 500 clients et plus de 150 000 collaborateurs à l’aide de solutions 100 % made in France dans l’évolution du travail.

L’entité vient de publier les résultats d’une enquête sous la forme d’une infographie analytique qui, par le biais de chiffres-clés, donne un sérieux aperçu des attentes des salariés français à la suite de la mise en place forcée du télétravail dans le pays.

 

90 % de téléchargements d’applications de visioconférence entre 2019 et 2020 !

 

Benoît RENOUL et Hugo BESSAGUET, deux collaborateurs de TALKSPIRIT, sont les auteurs de cette étude qui permet de mieux comprendre les répercussions du travail à distance sur le quotidien professionnel des Français.

Apparu au beau milieu des années 2000, grâce à l’arrivée progressive de l’Internet haut débit dans les foyers, le télétravail n’était jusque-là réservé qu’à une portion congrue de nos concitoyens.

Quelques rares salariés pouvaient en profiter pour des raisons jugées encore « occasionnelles ». Ainsi, selon les chiffres de la DARES (Direction de l’Animation, de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) diffusés en novembre 2019, 7,2 % des salariés français étaient concernés par cette méthodologie professionnelle à la limite de la marginalité.

Les choses ont nettement évolué depuis ! Six mois plus tard, à peine, ils sont désormais plus de 30 % des salariés de l’Hexagone à avoir basculé en télétravail selon les données ODOXA du 20 avril 2020 !

Il suffit d’apprécier le nombre de téléchargements d’applications de visioconférence en France pour s’en rendre compte.

Les trois outils (ZOOM, TEAMS et HANGOUT) ont vu le nombre de leur fréquentation exploser de manière soudaine et massive en un laps de temps record. Plus de 22 fois de téléchargements pour la première référence par rapport à la même période en 2019, 16 fois plus pour la seconde ; le pompon revenant à la troisième application. Elle a dépassé de 23 fois le nombre de téléchargements supplémentaires dans le même intervalle de temps ! Sachant que ces données illustrent la comparaison hebdomadaire entre la seconde semaine de mars 2020 versus celle de 2019…

In fine, on dénombre 62 millions de téléchargements d’applications professionnelles (majoritairement des visioconférences), soit 90 % de plus par rapport à la même période de 2019 !

 

Les employeurs sont-ils favorables à l’essor du télétravail à l’avenir ?

 

Toutefois, il est démontré par une autre analyse, celle en provenance de DESKEO, qu’au début du confinement, 76 % des Français en situation de télétravail forcé regrettaient l’ambiance des bureaux.

Un élément logique qui combinait à la fois le cumul imposé par cette expérience anxiogène imprévisible et le télétravail qui pour une part non négligeable de salariés fut très éprouvant.

En cause : la promiscuité, l’impossibilité de pouvoir s’isoler physiquement et numériquement, le sentiment de solitude, le défaut de matériels et leur manque de performance, etc.

Cependant, après quelques semaines, l’analyse de TALKSPIRIT montre le renversement de tendance. Et l’appréciation manifeste des Français pour cette forme de travail dont ils n’avaient pas encore ni la connaissance ni l’usage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 71 % des personnes qui n’avaient jamais travaillé à domicile avant la crise sanitaire déclarent désormais souhaiter exercer leur métier à distance. Du moins, un jour par semaine. 79 % de ces mêmes salariés sont même prêts à sacrifier leur bureau physique attitré pour effectuer davantage de télétravail à l’avenir !

Nonobstant, une interrogation demeure : les entreprises françaises sont-elles prêtes à faire bouger les codes ?

Si les salariés restent les seuls à avoir fait connaître leur position, il n’empêche que les employeurs sont murés dans leur silence. Question de pure logique : il est encore trop tôt pour eux pour se prononcer après la période économique subie sur les vertus de cette méthode.

Les salariés ont cependant du mal à croire à une « révolution du télétravail » à l’avenir. Certains ont été sondés pour dire ce qu’ils pensent de l’attitude de leur employeur : les résultats sont les suivants. Les employeurs seraient favorables au télétravail à hauteur de 51 %, voire totalement favorables pour 4 % des cas. Mais, 36 % d’entre eux seraient réfractaires, voire totalement contre pour 8 % des cas. Précisons qu’un pour cent de ces sondés ne se prononce pas…

Quant aux freins potentiels au développement du télétravail, ils seraient multiples. La culture du présentéisme à 39 %, l’incompatibilité du télétravail avec le métier exercé à 38 %, le manque de confiance pour 17 % ou le refus sans réelle raison valable pour 26 %.

Le télétravail connaîtra-t-il un « avant » et un « après COVID-19 » en France ? Une chose est sûre, à défaut de réponses concrètes et précises, les dirigeants et les managers des structures publiques ou privées qui agissent dans le domaine économique devront très vite se prononcer…C’est la moindre des choses que de connaître leur avis après ces semaines particulières où le monde du travail a changé totalement de rythme…

 

En savoir plus :

On peut consulter l’ensemble des analyses de cette étude menée par TALKSPIRIT sur la référence suivante :

https://blog.talkspirit.com/apres-covid-quel-lendemain-pour-le-teletravail/


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L’épidémie de coronavirus frappe durement les Etats-Unis, faisant de ce poids lourd de l’économie mondiale le nouvel épicentre de la pandémie planétaire. La liste des décès s’allonge un peu plus chaque jour (une moyenne de deux mille morts au quotidien) faisant de l’Union des cinquante états la nation qui présente le pire bilan sanitaire aujourd’hui. Il n’en fallait pas davantage pour stopper nette la production industrielle. Y compris celle du secteur automobile qui a arrêté toutes ses activités. A l’image du groupe TESLA…

PARIS : Les chiffres les plus récents communiqués par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) ne sont pas bons. Le nombre d’immatriculations s’est effondré de plus de 70 % en l’espace d’un mois, du fait de la propagation du coronavirus. Toutes les enseignes sont ainsi impactées par ce phénomène sanitaire sans précédent de l’ère moderne. Qu’elles soient nationales, comme étrangères.

Mais, aujourd’hui, tous les regards convergent vers les Etats-Unis d’Amérique, devenus la nouvelle zone rouge de la progression de l’épidémie dans le monde. La demande américaine en matière de consommation de véhicules s’est réduite comme peau de chagrin. Contraignant de facto la plupart des constructeurs à réduire la voilure : ils ont été obligés de laisser leurs unités de production à l’arrêt.

C’est le cas de TESLA. Le groupe a mis un terme à ses activités dans ses usines depuis le mois dernier. Notamment celle de San Francisco qui conçoit les fameuses automobiles.

Ce site emploie plus de 10 000 salariés pour une production annuelle  de plus de 415 000 unités. Conséquence directe de cette suspension d’activité : les travailleurs qualifiés de non-essentiels ont été mis en disponibilité avec des réductions de salaire.        

La baisse de la rémunération sera effective au 13 avril. Et ce jusqu’à la fin du second trimestre a fait savoir la direction générale du groupe à l’agence REUTERS (sources).

Elle sera de 10 % pour les ouvriers, de 20 % pour les postes de direction et de 30 % pour les vice-présidents. Des réductions similaires seront applicables dans les filières internationales de la marque.

 

 

Ses bons résultats et des liquidités suffisantes devraient permettre à TESLA de faire face…

 

Ce coup de frein survient au plus mauvais moment pour TESLA. Avec le lancement du modèle Y, le constructeur américain tablait sur une excellente commercialisation au cours de ces prochaines semaines. Toutefois, l’avenir du groupe n’est pas mis en danger.

L’entreprise d’Elon MUSK a réalisé de bons chiffres de livraison au premier trimestre à l’échelle américaine malgré le début de l’épidémie de coronavirus. En outre, le groupe peut faire face à une longue crise, disposant de 6,3 milliards de dollars de liquidités.  

Si tout se déroule pour le mieux au vu du contexte sanitaire, TESLA prévoit un redémarrage des activités le lundi 04 mai. Sauf modification importante.

D’ici là, le géant américain prend son mal en patience en se consolant de sa bonne tenue sur le marché français. Il s’est vendu en effet près de 6 500 exemplaires de son modèle 3 en 2019.

Plaçant ce véhicule sur le podium des meilleures ventes, juste derrière la Renault Zoe qui caracole toujours en tête et de très loin avec ses 19 000 automobiles commercialisées…

 

 


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Terriblement impactés par la crise du COVID 19, les artisans toute activité sectorielle confondue souffrent depuis le début de la période de confinement. Les conseillers de la chambre consulaire régionale restent mobilisés afin de les accompagner du mieux possible durant cette épreuve si particulière pour le moral et complexe dans les affaires…

DIJON : La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté vient de publier les premiers chiffres à l’issu de la mise en place de son dispositif exceptionnel d’accompagnement, imputable à la période de confinement.

Ce sont aujourd’hui plus de cinq mille structures qui bénéficient des services de suivi par les conseillers de la vénérable institution. Depuis la mise en exploitation de la ligne spécifique qui favorise les contacts avec les conseillers consulaires de la région, ce sont 1 700 demandes de rappel qui ont déjà eu lieu.

Mobilisés au quotidien, les personnes qui se rendent opérationnelles en appui des entreprises ont multiplié l’envoi de newsletters aux artisans de la région Bourgogne Franche-Comté.

 

 

Relayées sur Facebook, les informations de la Chambre ont été vues par 160 000 personnes. Quant aux formateurs, ils assurent toujours à distance l’apprentissage de 1 700 stagiaires via les outils multimédia.

Les secteurs impactés au niveau national et par ordre d’importance sont ceux des services à hauteur de 60 %, du bâtiment (17 %), de la production (12 %) et de l’alimentaire (11 %).

La nature de ces impacts se rapporte au ralentissement de l’activité, la baisse de fréquentation de la clientèle, l’annulation des commandes, celle des évènements et l’allongement des délais d’approvisionnement.

 

Pour contacter la Chambre régionale de Bourgogne Franche-Comté :

https://artisanat-bfc.fr/detail-offre/covid-19/contact

Plateforme numérique : artisanat-bfc.fr

 

 

 


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