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Cent-quarante-cinq communes de notre territoire ont déjà fait confiance au Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) dans le cadre de travaux de rénovation de leur éclairage public. Elles ont en effet choisi les techniques dites des « LED connectées ». Ne dérogeant pas à cette règle qui permet de réduire de moitié la consommation d’énergie, Saint-Georges-sur-Baulche vient de rejoindre cette liste non exhaustive…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : C’est presque Noël avant l’heure pour la localité de Saint-Georges-sur-Baulche et son élue, Christiane LEPEIRE ! L’édile vient en effet de ratifier la convention de partenariat qui la lie désormais avec le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne dans le cadre de la rénovation de l’éclairage public.

Une signature en bonne et due forme qui s’est effectuée dans les règles protocolaires et le respect sanitaire le mercredi 02 décembre.

Madame le maire a apposé son paraphe au bas d’un document qui autorise le début des travaux. Ceux qui se rapportant à la rénovation complète de l’éclairage public et du stade.

 

 

Ainsi, 934 points lumineux et huit projecteurs devront être changés et bénéficiés de ces ampoules LED de grande performance. Un chantier qui s’échelonnera sur l’année 2021. Coût global de la manœuvre : 1,3 million d’euros. Son budget profitera des subsides du SDEY à hauteur de 747 000 euros.

Dans l’Yonne, 337 communes ont confié la gestion de leur éclairage au syndicat départemental d’énergies présidé par Jean-Noël LOURY, l’un des deux signataires de cette nouvelle convention.

Rappelons que la maintenance incombe au SDEY pendant cinq ans sans que les communes aient à débourser le moindre centime. Une incitation à la transition énergétique dont les collectivités doivent impérieusement profiter !  

 


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Free-lance évoluant dans l’univers de l’automobile, Anne-Charlotte LAUGIER, observatrice de la société, aime avant toute chose son indépendance. Ce petit côté « sauvageon » qui lui garantit une vraie liberté d’expression lorsqu’elle évoque avec sa plume très en verve l’univers de la culture et des voyages. Sa passion de l’automobile l’a conduite à éditer son premier ouvrage, publié en juin : le « Journal d’une pétasse au volant ». Transposer sa prose livresque en images intègre désormais ses priorités en 2021…

AUXERRE : « J’ai toujours un bagage dans mon véhicule, prête à partir à l’aventure. Déjà que je me perds tout le temps, malgré le GPS ! Derrière le volant, on se sent vivante ! Il se passe toujours plein de choses. De plus, quand on est une femme, on est souvent montré un peu du doigt. Il y a encore quelques années, les insultes fusaient au volant. Et je me suis dit que les seules personnes qui ont le droit de s’insulter ainsi, c’est nous les femmes !
On prend peut-être tout ça trop frontalement. On ferait mieux d’en rire, ainsi on prendrait notre revanche de cette façon-là ! ».

Auteure d’un premier roman qui s’est déjà écoulé à plus de 5 000 exemplaires, Anne-Charlotte LAUGIER ne pratique pas la langue de bois. Ni son héroïne à qui il arrive des péripéties rocambolesques des plus désopilantes. Avec en filigrane, le fil d’Ariane qui reste cette automobile fruit de tous nos désirs, de nos passions et de nos plaisirs. Un rêve d’homme, en principe !

Osé, le titre de l’opus ! « Le Journal d’une pétasse au volant » pourrait faire hurler de colère toutes les féministes de bon aloi qui se respectent ! Mais, là où l’écrivaine de l’Yonne joue avec subtilité sur l’usage de la sémantique, c’est sur la définition propre qu’elle confère à ce mot « pétasse ».

A la question posée, « C’est quoi pour vous une pétasse telle que vous la décrivez dans cet ouvrage ? », la réponse ne se fait pas attendre. Directe, sans ambages et très surprenante : c’est quelqu’un qui se la pète avec classe !

Alors lorsque cette adepte de belles cylindrées et de circonvolutions grammaticales évoque le caractère de son personnage central, voilà ce que cela donne…

« Elle est indépendante, mais là, c’est une force de caractère avec toutes les embrouilles qui lui arrivent. Elle va être dynamique, prendre sa vie en main, ne pas se laisser faire avec parfois un côté inhumain, méchante, moqueuse…Elle casse pour casser, mais je ne suis pas sûr qu’elle le pense vraiment… 

Mais, d’un autre côté, elle prend sur elle-même. Son attitude « je me la joue, je me la pète » est aussi une parade pour cacher autre chose (de la fragilité ?). Elle me ressemble, mais en mieux ! ».

 

Apprendre aux hommes la façon de conduire : un comble !

 

A la lecture de ses pages, l’automobile sert d’exutoire dans ce livre. Une revanche envers la gent masculine, de toute évidence. Comme le témoigne l’extrait suivant :

« Descends, je vais te le faire ton créneau ! Il ouvre tellement grand la bouche qu’un essaim entier d’abeilles pourrait y trouver refuge et pondre un nid entre ses dents. Il sort sa carcasse encore pleine d’acné de son engin rouillé et me cède sa place. Une marche arrière, un coup de volant à droite, puis à gauche. Le jeune homme en est bluffé quand je lui lance ses clés… ».

D’ordinaire, ne dit-on pas que les dangers sur la route sont imputables aux femmes au volant ?!

 

 

 

Manifestement, non ! L’héroïne imaginée par l’esprit fertile d’Anne-Charlotte LAUGIER se joue des codes et clichés habituels, les renvoyant par-dessus bord, avec force et énergie.

« Si tout ce qui est relaté dans ce livre peut donner des envies et suggestions à mes lectrices, cela serait génial !, affirme-t-elle, mais je n’en oublie pas pour autant les hommes qui lisent ce roman : beaucoup nous soutiennent et ont envie d’être libre parce que je pense qu’il y a aujourd’hui plein de mecs qui sont timorés, voire complexés. Il ne faut pas croire que cela est uniquement réservé aux seules femmes… ».

 

 

 

 

La voiture, fil rouge inéluctable de l’ouvrage…

 

Les aventures de ce personnage déluré auraient pu faire abstraction de l’univers automobile. Oui mais voilà, l’auteure voue une telle passion à ce mode de transport des temps modernes qui lui apparaissait indispensable de le mettre en scène au fil des chapitres.

« La voiture, j’y tiens ! Parce que c’est quand même un bastion très masculin et à la base, ce n’est vraiment pas un truc de fille. D’ailleurs, la plupart des magazines spécialisés ne mettent en lumière que des mecs au volant ! Il est grand temps d’arrêter avec cela. Il n’y pas que des hommes qui achètent leur bagnole ! Nous aussi, on est capable de le faire. Et de sortir du schéma habituel où les femmes n’ont pas le droit de toucher à la voiture de leur mari, et circulent toujours à bord de la petite citadine tandis que monsieur s’autorise d’agréables sensations en pilotant une sportive ! ».

Net et sans bavure à l’adresse des machos qui se reconnaîtront !

Quant aux projets de la journaliste, ils empruntent toujours la voie de l’écriture. Plusieurs romans sont en phase de réalisation dont un qui est destiné aux enfants en abordant une thématique douloureuse, celle du divorce.

Il y est aussi question des avantages substantiels que les gosses peuvent tirer de ces séparations qui mettent un terme définitif à une histoire d’amour.

Au détour de plusieurs textes mis en musique (envisage-t-elle un enregistrement faisant écho à son timbre de voix ?), Anne-Charlotte LAUGIER s’attèle à la rédaction du second épisode faisant vivre son héroïne préférée.

Le retour espéré de cette « Pétasse 2 » se résume déjà à six chapitres qui sont bouclés. Il faudra donc s’armer encore un peu de patience avant de découvrir la suite, même si la romancière écrit tous les jours.  

« J’ai toujours un carnet avec moi depuis que j’ai appris à lire et écrire. Mais, je n’ai pas d’horaire pour travailler. Je ne veux pas de contrainte. J’ai seulement envie de décomplexer l’écriture qui ne doit pas être une prise de tête pour moi. Il faut que ça soit limpide et facile à lire… ».
Transposer le personnage et ses folles pérégrinations en un concept visuel s’inscrit dorénavant parmi  ses priorités. La mise en valeur de la « Pétasse » dans le cadre d’une série diffusée sur la toile qui aborderait des items inspirés du quotidien des femmes figure parmi les éventualités.

2021 ne devrait pas être stérile à l’épanouissement intellectuel de cette « sauvageonne » qui manie la plume et le verbe avec humour et ce sens sarcastique qui a séduit bon nombre de ses lecteurs.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 


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Solidarité et altruisme. Humaniste, aussi, l’intervention de l’assureur mutualiste de Paris-Val-de-Loire pour faire face au contexte sanitaire. Une épidémie qui a frappé de plein fouet des pans entiers de notre économie et touchée au cœur des millions de nos compatriotes. En injectant 25 millions d’euros dans de nombreux rouages, le spécialiste de l’assurance-prévoyance n’a fait qu’appliquer à la lettre sa fameuse maxime : « J’agis là où je vis… ».

AUXERRE : L’ancrage territorial demeure l’une des valeurs maîtresse qui explique la stratégie de l’assureur mutualiste sur sa zone de prédilection : les départements de ce grand bassin géographique constitué par Paris-Val-de-Loire. La crise sanitaire inhérente au coronavirus vient une fois encore de le remémorer à nos esprits.

Très investi auprès de ses sociétaires à la moindre turbulence fâcheuse de la météorologie et aux conditions climatiques en surchauffe d’année en année, GROUPAMA n’a pas failli à sa mission première avec l’omniprésence de ce nouveau fléau pathologique qui s’est abattu sur sa zone d’influence.

Etre à l’écoute et au service de celles et de ceux des particuliers, entreprises et collectivités qui ont noué des contacts professionnels utiles avec cette structure dont l’éthique repose sur les principes fondamentaux du mutualisme. Partage, bienveillance et équité…

Au 15 novembre, le montant global de sa mobilisation s’élevait à 25 millions d’euros. Une enveloppe déjà fort conséquente qui ne devrait pas en rester là, somme toute, car c’est sans compter sur les effets induits de la deuxième phase de confinement qui, à date, est encore loin d’être achevée…

 

Une kyrielle de mesures pour accompagner l’économie…

 

Dans le détail, la contribution du groupe assurantiel s’est tout d’abord effectuée en faveur de l’effort de solidarité nationale voulu par la gouvernance de notre pays. Soit une somme de 7,4 millions d’euros dont 6,3 millions ont été répartis vers le seul secteur sanitaire. Le reliquat d’1,1 million est venu abonder le fonds de soutien mis en place par l’Etat.

Les entreprises, nerf de la guerre inéluctable dans l’essor du groupe au niveau de ses parts de marché, ont bénéficié pour 800 d’entre elles d’une réduction de cotisations équivalente à 1,1 million d’euros.

 

 

Ces mesures de soutien ont été accompagnées d’autres initiatives pertinentes pour un total de 8 millions d’euros aux professionnels. 17 355 sociétaires ont profité de cette manne providentielle. Celle-ci a été attribuée de la manière suivante : 1,2 million d’euros pour le report des cotisations, 1,5 million d’euros de réduction de cotisations à hauteur de 10 %, 1,5 million d’euros pour la réduction de cotisations à hauteur de 50 % au titre de l’année 2020, 758 000 euros de réduction de cotisations à hauteur de 25 % sur l’exercice 2021, 65 000 euros de suppression de franchise en cas d’arrêt de travail pour les professionnels de santé atteints de la COVID-19, 227 000 euros de remise de cotisation automobile à hauteur de vingt euros, 343 000 euros affectés à une enveloppe perte de denrées et 455 000 euros de chèques solidaires commerces.

Signalons pour être tout à fait complet sur le sujet que deux millions ont été destinés à la participation sous forme de prêts au fonds de revitalisation REVI’CENTRE en soutien des TPE et petites entreprises.

 

 

Des dons au bénéfice des personnels soignants et de secours…

 

Filière historique inféodée à la politique de développement économique de l’assureur, le monde agricole via ses 11 230 sociétaires s’est vu octroyé un budget solidaire de 5,4 millions d’euros.

Sa déclinaison en est la suivante : 900 000 euros représentent le report de paiement des cotisations ; 1,9 million d’euros équivaut au remboursement de deux mois de cotisations sur les tracteurs ; 1,9 million d’euros se rapporte à la réduction de cotisations à hauteur de 50 % ; la réduction de cotisations des serres et des centres équestres, très impactés par la crise, s’élève à 400 000 euros.

Quant à l’avance de trésorerie sous forme de prêts accordés aux viticulteurs, elle dépasse la barre des trois cent mille euros (303 000 euros précisément).

Une quarantaine de locataires ont vu l’abandon de leurs loyers pour un équivalent de 142 000 euros.

Tandis que les mesures de soutien aux particuliers (100 400 sociétaires) se sont approchées de trois millions d’euros (2,7 millions avec exactitude) : elles ont permis l’obtention d’une remise de vingt euros sur les cotisations du poste automobile par ménage.

Pour clore ce premier bilan chiffré de la gestion de crise, il ne faut pas omettre les dons effectués au nom du principe vertueux de la solidarité à divers bénéficiaires, en particulier les personnels soignants et de secours mais aussi les syndicats professionnels.

Ainsi, l’obole consentie par l’assureur régional s’élève à 337 000 euros. Une aide financière appréciable qui sera convertie en fait à l’achat de masques, gel hydro-alcoolique, blouses, visières, plateaux repas, matériels informatiques, et même des fleurs…Un clin d’œil agréable et bucolique dans ce monde incertain ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans quarante-huit heures, l’association de gestion et de comptabilité procèdera à sa première assemblée générale post-regroupement. Officialisé le 01er janvier dernier, le mariage entre les entités de Bourgogne et de Franche-Comté (quatre départements au total), voulu dans le cadre d’une stratégie de mutualisation réfléchie, se traduit par des engagements forts au niveau du déploiement opérationnel. Les assemblées de territoire dont celle de l’Yonne qui s’est tenue récemment permettent de cerner les enjeux d’une fusion, profitable à tous…

AUXERRE : Celles de la Côte d’Or et de la Haute-Saône purent se dérouler en présentiel. C’était sans compter sur le rebond de l’épidémie de coronavirus qui aura contraint les dirigeants de la structure régionale de revoir leur copie, en l’adaptant au contexte conjoncturel du moment.

Les assemblées de territoire, prélude à la future assemblée générale prévue le 20 novembre, n’ont donc pas eu le même traitement de faveur au plan logistique et organisationnel d’un secteur géographique à l’autre.

Dans l’Yonne, il aura fallu toute la sagacité et la concentration des suiveurs pour y prendre part derrière un écran d’ordinateur ; ce qui n’est jamais facile. La visioconférence est devenue le lot commun désormais de bon nombre d’entreprises et d’institutions qui poursuivent ainsi leur travail.  

Dans ce registre, l’animation déclinée par CERFRANCE n’aura pas démérité. Loin s’en faut, avec en maîtresse de cérémonie la vice-présidente Aurélie CALMUS qui aura assuré la transition entre les intervenants du jour, qui pour certains, slides à l’appui, déroulèrent leur sabir en étayant leur propos de chiffres clés.

Directeur délégué pour le département de l’Yonne, il revenait à Franck NEZET d’ouvrir le bal. Celui-ci brossa méthodiquement la physionomie de ce territoire où le spécialiste du conseil et de l’expertise comptable (surtout auprès des acteurs du monde agricole) intervient.

 

Un éclectisme à bon escient dans la sphère professionnelle…

 

Grâce à ses huit agences et ses 220 collaborateurs (le groupe en compte plus de trois mille à l’échelle de son implantation régionale sur la Côte d’Or, la Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’Yonne), CERFRANCE gère les problématiques quotidiennes de milliers de clients. Dont 6 700 sont issus des filières agricoles de la grande culture et de l’élevage.

Toutefois, contrairement à une idée reçue, le milieu de l’agriculture ne constitue pas le seul périmètre d’action de la structure. Sa présence auprès des entrepreneurs de l’artisanat et du commerce (environ 1 700 adhérents) n’est pas négligeable ; tout comme l’est le suivi auprès de clients issus des professions libérales, des services ou du BTP. Un rappel tactique judicieux de la part de Franck NEZET qui démontre ainsi l’éclectisme de cet acteur, membre de la filière des métiers des chiffres et du droit.

Mais, l’un des éléments moteurs de cette puissante armada qui possède une vingtaine de vitrines administratives et commerciales sur sa zone de chalandise, reste bien évidemment la gestion des paies. Rien que dans l’Yonne, ce sont aujourd’hui 1 800 entreprises qui ont recours à ses services. Sans omettre par capillarité le suivi des embauches et des fins de contrat.

 

 

Une entité qui pèse 28,2 millions d’euros après la fusion…

 

Objectivement, ce mariage entre les quatre départements bourguignons et franc-comtois aura donné naissance à un groupe qui présente de solides atouts. Il suffit de se plonger dans la lecture de l’organigramme pour mieux en saisir toutes les subtilités.

Sur cette seule zone d’influence, CERFRANCE possède parmi ses troupes 14 experts comptables, 245 comptables et assimilés, 23 juristes, 51 conseillers en entreprise, 28 collaborateurs spécialisés dans les ressources humaines et 22 interlocuteurs qui possèdent la bosse du commerce !

Un effectif bien rôdé à la gestion des entreprises qui a de quoi satisfaire le directeur général Laurent BEURIENNE.

Adepte de la formation continue, le groupe aux 420 salariés est friand d’apprentis  de niveau bac + 2 à bac + 5 (des juristes, des ingénieurs agronomes, des experts) qu’il aura tôt fait ensuite d’incorporer au sein de ses diverses strates professionnelles.

Du côté investissements, signalons l’ouverture récente (le 16 octobre) d’un nouveau point d’ancrage en Côte d’Or, précisément à Pouilly en Auxois. Le numérique prend une place particulière pour accompagner le télétravail, en vigueur avec la seconde période de confinement, et la mobilité. Les agences accueillent toujours leur public sur simple rendez-vous avec une jauge de personnel ramenée à 50 %.

Membre de l’Ordre régional des experts comptables, CERFRANCE BFC a réalisé un premier exercice après fusion évalué à 28,2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une excellente tendance même si une légère érosion du carnet de commandes imputable à la présence de la COVID-19 aura fait chuté de 160 000 euros en l’espace de deux mois ces bons résultats.

Le mot de la fin revint au président Eric COQUILLE. Ce dernier s’attarda longuement sur la fonction de délégué de territoire et leurs différentes missions au sein du conseil d’administration.

Rendez-vous est désormais fixé ce jeudi 20 novembre pour l’assemblée générale ordinaire d’une entité qui rayonne à la fois en terre de Bourgogne et de Franche-Comté. Avec de belles perspectives devant elle…

Thierry BRET

 

 


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Pas si  simple de pouvoir commercialiser dans des conditions optimales sa gamme de véhicules dans un pays où la recrudescence de la pandémie explose au quotidien. Au cours de ces dernières vingt-quatre heures, cent mille nouveaux cas se sont déclarés d’est en ouest de la première puissance mondiale…

Etats-Unis : Une chose est sûre : le constructeur américain essaie tant bien que mal à conserver le cap de la dynamique commerciale dans l’un des nations les plus perturbées par l’épidémie de coronavirus.

Au mois d’octobre, la marque du continent américain a commercialisé plus de 181 000 véhicules (un chiffre qui ne prend pas en compte les poids lourds) grâce à son réseau de concessionnaires.

Deux modèles se sont distingués. L’emblématique Lincoln qui a su tirer son épingle du jeu marketing avec une progression de 2,8 % des ventes à l’instar de Corsair qui a même dépassé 37 % de hausse !

 

 

Toutefois, FORD a vu ses résultats chuter de 6,1 % dans un contexte que l’on imagine très délicat. Son modèle le plus vendu Outre-Atlantique reste néanmoins le pick-up F 150. Sa version relookée devrait boostée les opérations commerciales du constructeur, sans doute à horizon 2021.

L’un des porte-parole du groupe a précisé par voie de presse que le constructeur publierait dorénavant davantage d’informations sur ses performances afin de rassurer les investisseurs. Surtout pendant la période complexe de la pandémie.

 

 


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