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Notre chronique hebdomadaire reprend du service sous la plume aguerrie de notre spécialiste de l’observation millimétrée de l’actualité internationale, nationale et locale, Dominique BERNERD. Entre le carton rouge accordé à l’ambassadeur de Chine en France, les propos incendiaires d’un élu mahorais contre des immigrés clandestins et la « repentance » des élus de la droite en faveur du mariage pour tous : il y en a pour tous les goûts ! Florilège…

Lundi

L’homme a beau être coutumier des diatribes au vitriol, les récents propos de l’ambassadeur de Chine en France ont jeté la consternation dans nombre de chancelleries occidentales. Niant lors d’une interview sur « LCI » la souveraineté des pays issus de l’ex-URSS et s’interrogeant sur l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine, Lu SHAYE s’est vu désavoué dès le lendemain par le Quai d’Orsay. Certains parlementaires appelant même à le déclarer « persona non grata », voire à réclamer son expulsion.

Sans que l’on sache si ses déclarations reflétaient ou non la position de Pékin, qui dans un communiqué paru le jour même, a réagi en assurant « respecter la souveraineté de tous les pays ». Est-ce par nostalgie de la « grande Russie » que le diplomate chinois en poste à Paris depuis bientôt quatre ans s’est exprimé en ces termes ou s’agit-il d’un ballon d’essai de son pays, en vue d’une future annexion de Taïwan, la question reste posée. Invité d’honneur de l’AJA, le 29 janvier dernier à l’occasion du Nouvel An chinois, Lu SHAYE avait donné le coup d’envoi du match opposant les Auxerrois à Montpellier. Pas certain qu’il refoule de sitôt la pelouse de l’Abbé-Deschamps…Carton rouge !

 

 

Mardi

Imagine-t-on Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, appeler à tuer voyous et délinquants coupables d’exactions sur le territoire de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois ? Le simple fait d’écrire ces mots accentuant le trait outrancier de la chose. C’est pourtant ce qu’a déclaré hier soir au journal télévisé de Mayotte, son homologue mahorais, un certain Salime MDERE, à la veille de l’opération « Wuambushu » visant à lutter contre l’immigration clandestine sur l’île. « Et je pèse mes mots » a-t-il cru bon de rajouter. L’on n’ose imaginer ce qu’auraient été ses propos s’il ne l’avait pas fait ! Une véritable incitation au meurtre et à la violence, condamnée par toute la classe politique (à l’exception du RN) qui n’a pas manqué de déclencher la polémique au sujet de l’appartenance de l’intéressé à tel ou tel parti. Présenté dans un premier temps comme adhérent de la majorité présidentielle « Renaissance », catalogué ensuite dans le camp des Républicains, il serait aux dernières nouvelles, inscrit sous l’étiquette divers centre. C’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock, personne n’en veut, mais difficile de s’en débarrasser !

 

 

Mercredi

Surfant sur la colère exprimée par les manifestants hostiles à la réforme des retraites, certaines entreprises n’hésitent plus à s’en inspirer pour faire le buzz et par la même occasion, un peu de publicité. On connaissait déjà le trait d’humour exprimé sur Twitter par l’entreprise CRISTEL fabricant d’ustensiles culinaires haut de gamme, en réponse au discours ironique du locataire de l’Elysée, sur le fait que « les casseroles ne feront pas avancer la France ». Suivie quelques jours plus tard de la nouvelle campagne de publicité d’une célèbre enseigne suédoise d’ameublement et de décoration vantant des casseroles vendues moins de 13 euros, « à ce prix-là, ça peut faire du bruit ». Il faudra compter désormais avec cette campagne d’affichage d’un magasin de literie auxerrois, annonçant « un grand déstockage pour vos retraites jusqu’à 64 % » A quand le pastis 49.3 ?

 

 

 

 

Jeudi

Le 17 mai prochain, cela fera tout juste dix ans que la France devenait le 14ème pays au monde à autoriser le mariage entre personnes du même sexe. L’heure d’un travail rétrospectif pour nombre de personnalités politiques de droite, à l’époque opposants farouches au projet de loi, au premier rang desquels l’actuel ministre de l’Intérieur, Gérald DARMANIN, qui en sa qualité de maire de Tourcoing, se refusait à célébrer tout mariage de couples homosexuels. Eric CIOTTI, Jean-François COPPÉ, Eric WOERTH, Christian ESTROSI, Valérie PECRESSE…, ils étaient nombreux alors à défendre un modèle familial « naturel » et à défiler au son de « Un papa, une maman », au sein de la « Manif pour tous ». Depuis, les rétropédalages sont légion, et les mêmes assurent aujourd’hui avoir changé d’opinion, se calant courageusement pour cela sur l’état de l’opinion dans le pays. La preuve qu’en politique et encore plus qu’ailleurs, il ne faut jamais dire… jamais !

 

 

Vendredi

L’entreprise TotalEnergies va bien ! Le groupe a annoncé avoir réalisé un bénéfice net de 5,1 milliards d’euros au premier trimestre 2023, en hausse de 12 %. Un pactole qui viendra se rajouter aux 36 milliards d’euros engrangés en 2022, à l’issue d’un exercice marqué par des bénéfices en hausse de 91 % par rapport à l’année précédente. De quoi ravir son PDG, Patrick POUYANNÉ qui, en février dernier, annonçait le plafonnement dans les 3 400 stations-services du groupe, du prix des carburants sous la barre des 2 euros. Un engagement qui ne devrait pas trop grever l’entreprise, alors que les prix du sans plomb et du diesel semblent se stabiliser un peu partout autour de 1,89 euro le litre pour le premier et 1,75 euro pour le second.

Samedi

« Le poids des mots, le choc des photos » ! L’Yonne Républicaine semble privilégier désormais les photos taille XL pour illustrer la une du journal. L’édition de ce jour n’échappe pas à la règle, avec un cliché de l’accident survenu la veille au soir à Cézy, ayant entraîné la mort de l’un des conducteurs. Sans que l’on sache très bien ce qu’apporte à l’information ce type de photos, si ce n’est de plonger un peu plus dans la peine et le chagrin, les familles endeuillées.

 

 

Dimanche

Un peu de douceur pour terminer la semaine avec ces mosaïques de couleur qui repeignent de si belle manière notre quotidien. Laissant imaginer des jachères fleuries dans le secret de la campagne icaunaise, alors qu’en fait le cliché a été pris place de l’Arquebuse à Auxerre, en plein centre-ville. Le fruit du travail des équipes municipales dédiées au fleurissement de la ville. Chapeau et merci !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Combien étaient-ils à garnir les travées du Palais des Congrès ? A assister à l’assemblée générale annuelle de l’établissement mutualiste régional, jeudi soir ? Cinq cents personnes ? Six cents ? Davantage, encore ? Un raout où convergèrent les sociétaires des huit départements plus un (ceux de l’Ain du moins en partie), une cérémonie aux enjeux ô combien stratégiques, vu le contexte économique et sociétal actuels. Comme savent seules les organiser les entreprises à la mécanique organisationnelle bien huilée. La Banque Populaire BFC a déroulé sa manifestation, entre convivialité, remises de prix et analyses de ses résultats…Ainsi soit-il !

 

BEAUNE (Côte d’Or) : Un décorum exceptionnel, digne des grands shows à l’américaine avec écrans géants – une triple vision des intervenants lors de leur prise de parole, excusez du peu ! -, une tribune et un plateau conférence visible du plus grand nombre ; une sonorisation à la qualité auditive parfaite, des jeux de lumière faisant ressortir toute la palette chromatique proposée par la régie en charge de l’animation dont ce bleu si intense, la couleur fétiche de l’établissement, qui en a fait sa signature coutumière depuis des lustres, le plus souvent usité en balayant le public pendant la soirée.

Bien sûr, la salle était abondamment garnie : à croire qu’il n’y avait pas d’autres évènementiels à se mettre sous la dent du côté de Beaune ce jeudi soir et que les Ateliers Cinématographiques de Claude LELOUCH, situés à quelques encablures de là, avaient fait une salvatrice relâche dans leur programmation pour cinéphiles avertis pour faire place nette à l’évènement économique de la journée !

Pour peu, on s’attendait presque à voir surgir de la pénombre environnante en lever de rideau de l’auguste animation la silhouette gracile d’un CALOGERO, basse en bandoulière, ou d’un Patrick BRUEL au meilleur de sa forme !

 

Une banque qui a su passer à travers les gouttes des vagues dépressionnaires…

 

Bienvenue dans l’antre de l’assemblée générale de l’un des établissements bancaires qui aura confirmé cette année encore son statut de financeur de tout premier plan de l’économie de Bourgogne et de Franche-Comté – sans omettre le une frange de ce Pays de l’Ain ! – et qui n’aura de cesse durant le long déroulé de la soirée d’afficher ses belles performances financières obtenues en 2022, commentaires et analyses à l’appui.

Une année riche et intense qui aura accentué la prégnance de la banque mutualiste sur sa zone territoriale de prédilection, comme elle l’avait déjà consolidée, les années antérieures…

Et pourtant, c’est à croire que la Banque Populaire qui accumule les succès sait pertinemment comment passer à travers les gouttes des orages. Ils furent nombreux à se succéder en vagues de dépressions infernales au cours de ces derniers mois : crises à multiples rebondissements, conjoncture internationale des plus tendues, conditions climatiques déplorables et perturbatrices pour certaines catégories socio-professionnelles, contexte social impacté par une inflation en totale voie expansionniste et galopante…

Un environnement macro-économique des plus sulfureux, voire anxiogène pour nos compatriotes, sans compter le relèvement historique des taux d’intérêt qui impacte le moindre interstice de l’économie de marché.

 

Une logique de temps long applicable à la stratégie…

 

Situation paradoxale inhérente au facteur chance ou véritable miracle lié à une saine gestion, à un équilibre parfait et à un respect de la feuille de route décisionnelle qui se sera appuyé sur l’engagement de toutes les équipes de ce grand navire amiral qu’est le siège social du groupe et de son immense flottille composée de toutes ses agences commerciales ? Malgré la présence régulière de la mer des Sargasses et son immobilisme lorsque l’économie fonctionnera au strict ralenti, du fait des atermoiements imputables de COVID-19 ou par vent de force 9 avec le retour des crises les plus alarmistes de l’inflation, la Banque Populaire BFC a su essuyer les grains en utilisant sa force de frappe : son expertise et ses expériences au service de d’une clientèle multiple. Un établissement qui a su mettre aussi à profit la prégnance de la technologie, le rajeunissement de ses ressources humaines et la modernité de son approche commerciale pertinente pour maintenir le cap, malgré ce climat délétère et pernicieux.

Jamais, les résultats obtenus en 2022 à force d’implication, de volonté et de sueur de la part du millier de collaborateurs engagés dans la même direction n’auront été aussi flamboyants, battant des records dont ne peuvent que se satisfaire des sociétaires admiratifs.

La recette de ces bons résultats, même si elle n’est pas miraculeuse en soi et ne doit rien à une prière accordée à la grâce de Bernadette SOUBIROUS, sainte patronne de la ville de Nevers, ne repose en fait que sur une humble stratégie, mise en exergue à la perfection : tout ce qu’entreprend en guise d’engagement et d’investissement la structure bancaire régionale repose sur une logique de temps long…A méditer pour toutes celles et ceux qui confondent encore lors de leurs prises de décision vitesse et précipitation !

 

 

Un produit net bancaire qui dépasse la barre des 400 millions d’euros…

 

Il est clair que la continuité, dans sa perfection, du schéma stratégique « S’engager ensemble pour nos clients et notre territoire » - une véritable table des « Dix Commandements », gravés dans le marbre ! – a permis de consolider, cette année encore, le développement de cet acteur majeur de la vie économique régionale qui aura au bas mot financé plus de 4,3 milliards d’euros de projets !

D’ailleurs, à ce jeu-là, ce ne sont pas les 690 000 clients référencés par l’établissement qui s’en plaindront, visiblement !

Quant au nouveau plan tactique, baptisé « Immensément Bleu » - en référence et on y revient à ce fameux coloris cher à la structure ! -, il prévoit en 2024 de travailler avec 720 000 clients ; ce qui de l’avis de Jean-Paul JULIA, « grand ordonnateur » de la soirée, en sa qualité de directeur général, demeure parfaitement d’actualité.

Quant aux chiffres clés résumant cette année 2022, considérée comme historique, ils révèlent la santé insolente de cette structure qui pèse de tout son poids dans le paysage régional.

Les encours de crédits clientèles sont de l’ordre de 18,1 milliards d’euros (soit une hausse de 10 %) – qui a dit que les banques ne prêtaient plus aux consommateurs ?! -, permettant ainsi à la BP BFC d’établir à 419 millions d’euros son produit net bancaire - l’équivalent du chiffre d’affaires – avec là aussi + 6 % de mieux en comparaison avec l’exercice antérieur. Anecdote à noter dans ses neurones : c’est la première fois que le PNB dépasse le montant des 400 millions d’euros dans l’histoire de la vénérable institution…

Avec ses données encourageantes, le résultat net de la banque régionale atteint 95,5 millions d’euros (+ 11 %) ; le coût du risque ressort sur l’exercice à 54 millions d’euros, soit moins 13 %. Enfin, le ratio de solvabilité se situe à 19,05 % - sachant que le minimum requis est de 10,5 % - ce qui traduit dans les faits la bonne santé de l’établissement régional.

 

 

Valoriser les initiatives de celles et ceux qui façonnent la région…

 

Intervenant à la tribune, le président du Conseil d’administration, le Sénonais Michel GRASS, ne manqua pas de commenter ces résultats : « ils sont la démonstration que notre modèle mutualiste représente une force singulière pour comprendre, anticiper et affronter les difficultés… ». Puis de conclure : « c’est parce que la Banque Populaire BFC appartient à ses clients sociétaires que nous mettons toute notre énergie à leur service et au profit du développement de notre territoire et à la qualité de vie au travail de nos collaborateurs… ».

Des propos qu’étayera le directeur général du groupe, Jean-Paul JULIA, « ces résultats démontrent la capacité de nos clients à se développer, à se réinventer parfois, à rebondir aussi et à réussir si souvent ! Notre envie de porter leur réussite reste notre boussole ; nos différents Prix en témoignent : les Prix Initiatives Associations, les Prix de la Dynamique Agricole ou encore les Prix Stars et Métiers. Nous avons franchi une nouvelle étape en 2022 avec le lancement du livre « 9 Talents », pour valoriser les parcours de celles et ceux qui façonnent notre région, qui font son rayonnement et sa fierté ».

De quoi convaincre les sociétaires qui découvrirent d’autres pans de la dense actualité de la banque régionale dont nous vous ferons écho grâce à un autre rendez-vous rédactionnel ces prochains jours…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le programme se veut alléchant. A bien y regarder de plus près, il l’est pour ses heureuses bénéficiaires ! Dont la jeune chef d’entreprise qui monte, qui monte, qui monte….avec ses projets les plus aboutis dans le landerneau icaunais : j’ai nommé, Victoire DUHAMEL. Agée de 22 ans, la native de l’Yonne n’a pas été choisie par hasard pour intégrer le dispositif national, « Femmes Entrepreneuses » initié par ORANGE. Le lancement de sa structure (« Thank You Lab ») et ses crèmes cosmétiques apaisantes y sont pour beaucoup !

 

AUXERRE : On connaissait la saga des DUHAMEL dans le monde de la presse et de la communication hexagonale ; voici une autre version liée à ce célèbre patronyme qui pourrait faire florès – qui sait ! – dans le milieu de la cosmétique, incarné par la jeune et très esthétique, Victoire, à l’avenir ! Une jeune fille à la tête bien pleine et qui sait déjà comment orienter avec efficience sa carrière professionnelle en ayant créé sa propre société (« Thank You Lab ») dans un univers bien spécifique, celui des soins de la peau. Age de la demoiselle : vingt-deux printemps !

Pas étonnant que l’opérateur ORANGE ait su déceler en cette belle pépite sortie de son écrin de réelles potentialités entrepreneuriales, qui devraient se conforter avec le programme « Orange Digital Center » (ODC) dont elle bénéficie à l’heure actuelle et ce pour plusieurs mois encore jusqu’au terme de 2023.

 

Déjà plébiscitée par le réseau Entreprendre Bourgogne !

 

Depuis février, la responsable de « Thank You Lab » a rejoint le cercle très restreint, non pas des poètes disparus, mais de ces femmes entrepreneuses de France – elles ne sont que cent in fine - que souhaite soutenir le spécialiste en télécommunications.

Apparu en 2019, ce dispositif a pour vocation d’apporter des moyens contributifs à l’épanouissement professionnel de ces femmes autour de quatre items : la visibilité, le développement du leadership, la culture du business et les financements, le nerf de la guerre de tout projet digne de ce nom !

Accompagnée par des spécialistes de l’entreprise, Victoire DUHAMEL participe régulièrement à des masters class, des entretiens individualisés, des ateliers qui en font l’étoffe d’une business-woman redoutable en devenir. Une offre construite sur mesure et selon ses besoins. Un sérieux plus pour celle qui a reçu il y a peu en parallèle de cette actualité l’adoubement pour l’ingéniosité de son concept de développement de solutions efficaces contre les eczémas et autres dermatites de REB, le fameux réseau Entreprendre Bourgogne ! Et comme le dit l’adage : une « victoire » n’arrive jamais seule !

 

Thierry BRET

 


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Il fait bon musarder dans le vignoble bourguignon au sud de l'Yonne. La RN6 – oh, pardon la D 606, puisque cette appellation routière traditionnelle de notre pays n’est plus - ce modernisme de mauvais aloi qui considère toute tradition comme néfaste est certainement passé par là, une fois de plus - nous y emmène. Ensuite, la route dite des « Grands Crus » longe les vignes au plus près de Rully et son imposant château dans les côtes chalonnaises, Monthélie qui surplombe Meursault et Fixin la paisible...

NUITS-SAINT-GEORGES : En sortant de Nuits-Saint-Georges, se dresse l'imposante hostellerie « La Gentilhommière ». En 1995, le Michelin y mentionne un jardin avec basse-cour, quelques années plus tard la rivière à truites, au cœur de ce pavillon de chasse du XVIe siècle. Bref, l'endroit en lisière de forêt y est magnifique !

Voici quelques années (2019 ?), j'y avais apprécié une cuisine généreuse au goût du jour. On y percevait la patte d'un chef à l'ancienne, adepte d'une vraie cuisine. C'est donc en toute confiance que voici quelques jours, nous poussons - à tort - la porte de ce bel établissement.   
Nonobstant, la formule déjeuner à 35 euros, la carte est plus chère que bien des étoilés Michelin au déjeuner. Si les bonnes mises en bouche purent provisoirement inciter à l'optimisme, quant à la suite, cette dernière fut plutôt décevante.

 

Les oursins ont eu le mal de mer : pâteux et insipide…

 

En entrée, les polychromes de chou-fleur en texture et son soufflé aux oursins purent sembler une dénomination alléchante. Las, il s'agissait d'une sorte de « gloubi-boulga » et d'un ersatz de soufflé aussi pâteux qu'insipide.

Pourtant, c'est bon l'oursin (souvenir des sublimes brouillades aux langues d'oursins que réalisaient antan le chef Constant dans son « Violon d'Ingres » parisien).

Mais, là, on a comme l'impression d'une cuisine réchauffée de traiteur, lors d'une noce au service interminable...Quant au foie gras (25 euros), mon invité le définit, comme étant trop salé. 

 

 

C’était beaucoup mieux…avant !

 

Ensuite, le  pigeonneau est servi impeccablement rosé comme demandé. Il est accompagné en cette fin avril de panais (légume racine), alors que c'est la saison des carottes primeurs, navets et autres verdoyants petits pois. C’est n'importe quoi ! Du traiteur toujours, mais point d'âme culinaire…
Le fromage est bon - encore heureux ! - et le dessert autour du miel correct.
Mais, le mal est fait, pour un menu autour de 75 euros avec fromage, ce qui est beaucoup trop cher pour cette quelconque pitance.

Ah, la fois d'avant, oui mais ça....c'était avant !

Le service est souriant mais ne peut compenser cette incurie culinaire. 
Au revoir « Chef Coq », nous vous aimions jadis. Quelle injustice d'avoir comme successeur un « chefaillon coquelet », vous méritez mieux que cela !

 

 

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : la cuisine !

Les + : le cadre et la vue demeurent.

 

 

Contact :

Restaurant « Le Chef Coq »,

La Gentilhommière

13, Route de la Serrée

21700 Nuits-Saint-Georges

Tel : 03.80.61.12.06.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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De l’emploi, il y en aurait presque à foison sur le territoire du Florentinois ! Il suffisait non pas de traverser une simple rue mais de se rendre sur la place Dubost à Saint-Florentin, jeudi, pour découvrir ces offres. Du moins, c’est ce que précisaient la douzaine d’entreprises présentes lors de ce premier forum, conjointement mené par la Communauté de communes Serein et Armance et le Pôle Formation 58/89. L’animation se poursuit aujourd’hui…

 

SAINT-FLORENTIN : Exposer les besoins des entreprises du secteur industriel en matière de recrutement. Telle était la vertu cardinale de ce premier forum de l’emploi, qui était accueilli en plein air, jeudi, sur l’une des places centrales de la localité florentinoise.

Une animation concoctée avec le concours de la Communauté de communes Serein et Armance, permettant ainsi de faire rayonner l’évènementiel bien au-delà des limites de la seule ville principale de cette zone géographique.

Occupant une grande partie de l’aire de stationnement, dépouillée de fait de ses automobiles, ce forum se composait d’une quinzaine de stands réservés à certaines belles références industrielles du canton. On peut citer entre autres France GALVA, CONIMAST, AMH, DUC, ALSTOM ou encore DAVEY BICKFORD.

Les représentants des services ressources humaines de ces entreprises n’étaient pas venus sur le site les poches vides. Mais, bel et bien, agrémentés d’offres d’emploi dans leurs besaces, qui étaient prêtes à être pourvues si la demande se faisait ressentir en face.

 

 

L’usine virtuelle 4.0 en vedette pour la plus grande joie des scolaires…

 

On notait aussi la participation de la Mission Locale ou de l’ITII (Institut des techniques d’ingénieur de l’industrie), structure accueillie au sein de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, à Auxerre. Preuve que la formation n’est jamais éloignée du recrutement…

Profitant d’un soleil radieux et de températures quasi estivales – plutôt de bon augure pour une manifestation devant se dérouler à l’extérieur ! -, ce sont les scolaires du cru – collégiens en substance – qui ouvrirent le bal de la découverte de ce show spécial emploi et carrière, à découvrir dans la filière de l’industrie. Un secteur à la pointe de l’actualité – la France doit se doter de nouvelles forces industrielles à moyen terme pour sortir de toute dépendance aux pays asiatiques entre autres -, créant ainsi une nouvelle bulle d’employabilité évidente à brève échéance. Du pain bénit pour les jeunes pousses en quête d’une orientation fiable et d’un métier vraisemblablement assuré !

Forcément, la vedette du jour ne pouvait être aux yeux de ce public juvénile que la flamboyante remorque du poids lourd, maquillée en « Fabrique 4.0 », une unité mobile de formation ludique et éducative consacrée aux métiers de l’industrie technologique !

 

 

 

Un poids lourd et sa précieuse remorque qui n’ont pas fini de bouger !

 

Une manière de marier astucieusement et sans être rébarbatif les métiers industriels d’aujourd’hui (les offres des entreprises présentes) et les métiers de demain. Entre robotisation, jumeaux numériques et usine du futur.

Une connaissance qui fut partagée bien au-delà des scolaires puisque ce forum était également ouvert à la population et aux entreprises elles-mêmes, susceptibles de s’immerger dans le saint des saints de cette information à délivrer – ce fameux poids lourd ! – auprès des personnes en quête de reconversion professionnelle, voire en recherche d’emploi.

L’an passé, le Pôle Formation 58/89, dirigé par Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, avait déjà réalisé une opération similaire sur l’Avallonnais. L’usine virtuelle était également présente en début de semaine dans le Sénonais sur le site industriel de TUBAUTO. Il semblerait que ce camion au contenu un peu spécial n’ait pas fini de se balader sur le territoire de l’Yonne !

 

Thierry BRET

 

 

 


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