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Un chèque de 50 000 euros dans la besace. Et surtout une campagne de communication à la clé, prise en charge à 100 % par le groupe EDF afin de vanter les mérites de la start-up auxerroise dans son cœur de cible : le domaine du bien-être connecté, du travail 4.0 et des territoires durables. Voilà l’excellente nouvelle qui est tombée au soir du 16 octobre à Paris pour Isabelle GALLET-COTY, lorsque cette dernière, présidente de l’entité, s’est vue offrir l’une des distinctions de la 6ème édition des Prix EDF PULSE 2019 devant le numéro un de l’énergéticien mondial. Elle n’est pas belle la vie ?

PARIS : On le savait déjà depuis quelques semaines, l’entreprise de l’Yonne avait obtenu un premier sésame : le droit de participer à la sélection officielle de ce challenge national annuel. Rejoignant ainsi la douzaine de finalistes qui pouvaient prétendre remporter l’édition 2019 dans la catégorie « Territoires durables » d’un défi porté par EDF.

Plus de 330 candidatures avaient été enregistrées de par l’Hexagone pour concourir dans l’une des trois épreuves existantes. Objectif avoué de l’initiative soutenue par l’acteur majeur de la transition énergétique : la mise en lumière des start-up françaises, voire européennes, qui favorisent à grand renfort d’innovations le développement de nouveaux usages électriques.

Il aura fallu quelques semaines d’évaluation pour que des comités d’expert de l’innovation internes et externes au groupe EDF examinent un par un et avec beaucoup de minutie les dossiers des douze start-up retenues pour disputer la phase finale.

Informée de sa sélection, l’équipe de SAUREA croisa les doigts pour recevoir le maximum de suffrages de la part du grand public, sollicité par les réseaux sociaux, et devant se prononcer sur la pertinence de ce projet.

En cas de vote positif, le jeu en valait vraiment la chandelle puisque chacun des lauréats se voyait gratifier d’une campagne de communication réalisée dans les règles de l’art par des professionnels. Une dotation financière alléchante apportait du beurre dans les épinards. En l’occurrence 50 000 euros pour le coup de cœur (comparable à un sérieux coup de pouce) impulsé par le public !

 

 

 

Une cérémonie présidée par le numéro un du groupe EDF…

 

Le 16 octobre, entourée des siens et de son époux, Gilles, qui est aussi l’une des têtes pensantes de la structure entrepreneuriale en sa qualité de directeur technique, Isabelle GALLET-COTY, PDG de la structure icaunaise, gravissait les marches menant à l’immense scène pour y recevoir son prix. Sous les applaudissements nourris de l’état-major du groupe EDF et de son président-directeur général, Jean-Bernard LEVY.

Particulièrement adapté aux sites isolés et aux climats sévères, le moteur imaginé par le père de Gilles, Alain, et multi-breveté depuis présente des caractéristiques ultra résistantes à son utilisation.

L’appareil a eu aussi son moment de gloire lors des récentes Rencontres industrielles régionales de Bourgogne Franche-Comté (RIDY) lors de la visite à Auxerre de la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY. Suscitant un vif intérêt de l’élue régionale dont on connaît l’appétence pour tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Quant au défi relevé par SAUREA, il est de fiabiliser les installations solaires motorisées dans les zones à fort ensoleillement grâce à ce moteur auto-commuté qui convertit directement l’énergie solaire en énergie mécanique.

Dans l’absolu, l’énergie développée est équivalente à celle d’une femme qui actionne une pompe manuelle. Le moteur assure une pérennité d’usage dans les pays défavorisés, en site isolé car sans maintenance pendant une durée de vingt ans. Fiable et durable, ce processus peu coûteux (environ 3 000 euros) présente, on l’aura compris, un impact environnemental faible.

Depuis le mois de juin, SAUREA commercialise ce produit, qualifié de révolutionnaire auprès d’ONG et de fondations qui développement des zones de captage des eaux au cœur de l’Afrique. Toutefois, d’autres emplois sont d’ores et déjà envisagés à partir de ce concept technologique très poussé : les systèmes de ventilation, d’arrosage, d’humidification,…

 

 

Bénéficiant des largesses financières d’investisseurs (une coquette enveloppe de 300 000 euros obtenue en 2018), SAUREA devrait procéder à une nouvelle levée de capitaux dès la saison prochaine. Toujours pour accroître ses perspectives de développement.

L’apport de ces cinquante mille euros supplémentaires est loin d’être négligeable. A l’instar de la campagne promotionnelle qui découle de ce Prix 2019. Quant à l’appui du groupe EDF, très intéressé par la démarche technologique dans laquelle s’est précipitée la start-up auxerroise, il est bien réel.

Surfant sur la vague du succès depuis trois ans, date de sa création, on devrait entendre parler de SAUREA à brève échéance…

 

 

 

 


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L’occasion était trop belle pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, de célébrer le mariage gustatif entre la fameuse boisson extraite de ses vignes et l’un des fruits préférés des consommateurs de l’Hexagone. Le parterre d’invités (plus de 80 convives) ayant investi son domaine viticole aura pu profiter à bon escient de ce coup de projecteur judicieux décliné avec le concours d’une jeune structure agricole, EARL BETHERY, productrice de fraises 100 % locales…

CHABLIS : Effervescence sympathique au Domaine de VAUROUX pour l’un des rendez-vous incontournables de la saison qui est perpétré chaque année à pareille époque. La dégustation du bourru, vieille tradition locale, s’inscrit parmi les animations conviviales célébrées par la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne.

Logique quand on sait que le président du syndicat patronal n’est autre que le responsable de ce domaine viticole, Olivier TRICON qui ceci dit est toujours en quête d’un successeur comme il se plaît à le formuler !

Plus de quatre-vingt personnes, adhérentes de la CPME mais également personnalités de la sphère politique (la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA, le député André VILLIERS…) participèrent à ces retrouvailles festives où il fut question de découvrir les productions du cru. Dans une ambiance conviviale.

 

 

La Fraise d’Enfer, vedette de la soirée…

 

Olivier TRICON rappela en quelques mots pour les profanes ce que représente aujourd’hui la confédération départementale au niveau de ses mandats électifs. Avant d’accueillir à ses côtés, le jeune céréalier Antoine BETHERY, qui dans un souci de diversification de ses activités produit depuis peu au sein de sa ferme à Aigremont des fraises made in Yonne aux variétés multiples et savoureuses sous la marque, « La Fraise d’enfer ». Une appellation aux accents insolites, convenons-en !

Chantre de la production locale et des circuits courts de la distribution, le président de la CPME invita ensuite ses hôtes à déguster le contenu de succulentes barquettes de fruits qui circulaient parmi l’assistance.

Il proposa aussi à ses invités quelques crus de sa production dont il a le secret de fabrication, notamment un chablis Premier cru Montmains et un chablis Montée de Tonnerre des plus agréables en bouche…

 

 

 


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Sans se réclamer ni d’un parti – il a rompu les amarres avec le bateau socialiste en juin – ni d’un quelconque mouvement politique, l’édile de la capitale de l’Yonne, en poste depuis 2001, s’est donc officiellement déclaré candidat à sa propre succession ce vendredi 18 octobre. Juste à la veille des vacances de la Toussaint, enterrant ainsi les vaines illusions de celles et ceux de ses contradicteurs qui ne croyaient pas en la pugnacité et le volontarisme de l’actuel président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. C’est donc sans étiquette, mais avec 60 % de colistiers, néophytes dans la gestion d’une collectivité, que Guy FEREZ entend décrocher un nouvel accessit le 22 mars prochain. Tirant un trait définitif sur un secret de Polichinelle qui n’en était finalement pas un !

AUXERRE : « Je suis candidat à ma succession ». Le propos liminaire aura permis d’ôter d’entrée de jeu le moindre doute qui pouvait encore subsister sur les réelles intentions du maire d’Auxerre. Et sur son désir de repartir en campagne en vue d’une quatrième victoire.

Se mettant en scène, aux côtés de quelques-uns de ses colistiers, une garde rapprochée quasi prétorienne, où figuraient, parité oblige, les élues Isabelle POIFOL-FERREIRA et Elodie ROY (Radical), ainsi que deux jeunes pousses du sérail politique en devenir, Mathieu DEBAIN (LREM, représentant Renaissance - AGIR La Droite constructive et le MoDem) et Mani CAMBEFORT (PS), Guy FEREZ n’aura pas tergiversé très longtemps avant de clarifier la situation au cours de la conférence de presse accordée dans l’antre du Silex.

Celle-ci a le mérite d’être d’une rare limpidité. L’actuel édile de la ville phare de l’Yonne se lance à la conquête d’un nouveau sésame. Un bâton de maréchal électoral qui le prolongerait de six années supplémentaires dans le fauteuil de maire. Une déclaration emplie de solennité aux antipodes d’une réelle surprise, en vérité. N’en déplaise aux férus de suspense et autres adorateurs d’Alfred HITCHCOK !

Même s’il s’était tu sur le sujet depuis le début de l’année, balayant d’un revers de la main toute allusion directe à ce scrutin ô combien capital pour notre ville, Guy FEREZ mûrissait patiemment son projet en prenant soin de vérifier, tel un contrôleur de gestion, la pertinence de son envie. Et de ses capacités à rassembler.

Alors que bon nombre de ses adversaires s’extrayaient avec plus ou moins de bonheur des starting-blocks de cette compétition digne d’une course d’endurance dès le premier trimestre, lui, en renard des surfaces à qui on ne la fait plus, minimisait les choses, se contentant de regarder gesticuler à cor et à cri les prétendants à sa succession.

 

 

La liste et le projet seront dévoilés le 18 janvier prochain…

 

Désormais, avec l’officialisation de sa candidature, Guy FEREZ remet les pendules à l’heure. Avec la précision rigoriste d’un horloger helvétique ! Coupant court à toutes les supputations qui ont pu secouer le microcosme politique local au fil de ces derniers mois.

Le message adressé à la concurrence est, on ne peut plus clair en somme : l’élu de l’Yonne a décidé de siffler la fin de la récréation et de signifier sa présence haut et fort à l’ensemble des prétendants qui devront composer avec.

Se qualifiant d’homme d’ouverture – il a favorisé l’accès à son équipe municipale dès 2008 à des obédiences politiques qui n’étaient pas forcément les siennes -, Guy FEREZ prône plus que jamais le rassemblement et la polyvalence des horizons idéologiques.

Sachant que les négociations sont closes dans l’arbitrage des répartitions des premiers rôles. Bref, le chef d’orchestre tient fermement la baguette. Il entend faire jouer une partition identique à toutes celles et ceux qui vont le rejoindre dans la constitution de ce « philharmonique » municipal, à l’écoute et au service des Auxerrois.

Toutefois, la liste n’aura pas été dévoilée lors de ce rendez-vous avec les médias. Elle ne sera connue qu’en date symbolique du 18 janvier, début de la campagne officielle.

 

 

L’incarnation d’une stratégie profitable à la ville…

 

On sait, que plusieurs personnalités devraient s’exprimer dans les prochains jours pour annoncer leur soutien au candidat-maire. Quant au rajeunissement et l’intégration de nouveaux visages, ils constituent l’originalité de cette équipe qui ira se soumettre aux votes des Auxerrois, au mois de mars 2020. Avec 60 % de nouvelles têtes !

« Ce sera une véritable liste de rassemblement, souligne Guy FEREZ, avec l’expérience qui est la mienne pour la conduire au succès. Aujourd’hui, personne ne conteste ma capacité à défendre bec et ongles mes dossiers et à les travailler. Cette liste portera une réelle vision de ce que seront les projets à appliquer pour améliorer la qualité de vie de nos concitoyens auxerrois… ».

Soucieux de partager avec ses expériences d’élu, Guy FEREZ l’est aussi dans ce besoin de transmettre à de nouvelles générations ces notions viscérales qui l’habitent dans la manière de pratiquer la politique.

« Certes, je représente l’incarnation en ma qualité de maire d’un concept à décliner pour l’essor de la ville, mais je le fais en dépassant le cadre de ma personne. Aujourd’hui, je raisonne bien au-delà de ces considérations en devenant un transmetteur de responsabilité auprès des plus jeunes, en y mêlant l’autorité et l’expérience. Toutes les conditions requises pour présenter ce projet à travers cette liste étaient donc réunies… ».

S’inscrire dans la continuité en y injectant de nouvelles pierres à l’édifice n’est-il pas le propre de ces bâtisseurs qui veulent laisser leurs empreintes immuables une fois que leur temps sera révolu ?

C’est peut-être que ce désire le chef de l’exécutif auxerrois depuis 2001. Un homme qui prend le temps de lire trois ouvrages à la fois en passionné de lecture qu’il est et qui n’a absolument pas envie de passer la main au niveau de sa passion première : la politique…

 

 

 

 


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Produire de l’électricité propre et la convertir, c’est bien ! La stocker en se constituant d’appréciables réserves dans un souci d’anticipation consumériste, c’est mieux ! Voilà l’équation à plusieurs inconnues à laquelle s’attaque désormais le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) en vue d’optimiser le développement des énergies renouvelables auprès de ses partenaires naturels, soit les collectivités territoriales. Par déduction, le stockage de l’énergie s’inscrivait donc comme une thématique majeure, abordée lors des 9ème Assises, où témoignages et analyses d’experts agrémentèrent le flot de réflexions passionnantes…

MONETEAU : Précurseur dans bon nombre de domaines inhérents au développement des énergies renouvelables sur le territoire, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne s’est donc attelé lors de son colloque annuel à aborder une piste interrogative, fondamentale et nécessaire à la vulgarisation pragmatique de celles-ci, le stockage.

Partant du postulat qu’un fonctionnement optimal du réseau électrique dépendait de l’équilibre entre l’offre et la demande, l’organe institutionnel de l’Yonne préconise de prioriser des solutions de stockage. Afin de maintenir judicieusement ce fameux équilibre selon les besoins.

Si cela ne pose de problèmes en soi pour contenir dans une structure confinée les énergies gazeuses (méthane de synthèse, hydrogène), il n’en est pas de même pour l’électricité à proprement parlé, beaucoup plus complexe à conserver.

La diversité des sources d’énergies explique ce besoin d’optimisation du stockage. Comme devait l’indiquer le président du SDEY Jean-Noël LOURY dans ses propos liminaires : « nous sommes conscients que nous avons avec le vent, le soleil et la biomasse des outils de substitution qui à terme nous permettront de recouvrer notre indépendance énergétique localement. Mais, nous avons aussi conscience que notre devoir est d’agir pour pérenniser notre confort de vie tout en respectant les ressources naturelles mises à notre disposition… ».

 

Encourager et accompagner la mutation énergétique…

 

Le syndicat est à l’origine de la création d’une société d’économie mixte (SEM Yonne Energie) qui à ce jour prospecte et travaille sur des projets d’avenir permettant de créer d’autres ressources naturelles. Parmi lesquelles l’électricité par l’éolien ou le photovoltaïque, l’hydrogène par électrolyse, le méthane de synthèse, un processus développé avec le concours de trois partenaires (STORENGY, AREVA et ELECTROCHAE) sur une décharge gérée par COVED à Saint-Florentin.

Le thème du stockage occupa les congressistes une majeure partie de la matinée grâce à une table ronde où se succédaient les exégètes de la spécialité.  

 

 

 

Si la légitimité initiale du syndicat d’énergies de l’Yonne reposait sur la gestion des réseaux d’électrification (un chantier qui est loin d’être abandonné de surcroît comme le rappela le président de l’organisme), le SDEY a pris pour cible les enjeux fondamentaux de la transition énergétique dans sa globalité. Créant une multitude d’outils et actions pour favoriser cette profonde mutation. Ceci étant profitable aux collectivités territoriales dans leur stratégie d’adaptabilité et de changements.

 

Le SDEY au service des communes dans l’accomplissement de leurs travaux…

 

Quant à la première table ronde, elle fut programmée un peu plus tôt dans la matinée. Elle sera le reflet de témoignages plus terre à terre, avec l’énumération de ceux vécus par les élus du département qui présentaient leurs multiples actions en matière d’amélioration dans l’emploi des énergies renouvelables dans leurs communes.

Furent ainsi mises en exergue toutes les opérations favorisant la pratique de l’auto-partage, la pose de bornes de charge de véhicule électrique, la rénovation de l’éclairage public ou encore l’utilisation de la connectique dans la gestion de cette même typologie d’éclairage.

La présence des représentants du syndicat donnera l’opportunité à ces derniers de pouvoir expliquer comment les services de la vénérable institution jouaient un rôle de facilitateur qualifié dans la réalisation de ces travaux.

Bref : ce furent des Assises de belle facture par leurs débats riches et nourris, offrant des éclaircissements et des réponses aux élus pouvant encore s’interroger sur les actions à mener pour devenir de véritables acteurs de la transition énergétique.

 

 

 

 


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Longtemps espéré, mais jamais obtenu au grand dam des consommateurs de l’Auxerrois, le projet d’ouverture de la FNAC, tel un Phénix renaissant de ses cendres, refait surface en ce mois d’octobre. Son installation pourrait même se concrétiser d’ici quelques mois et occuper un des espaces névralgiques de l’activité commerçante du centre-ville, le Carré du Temple. Mettant un terme définitif à des années de rumeurs et autres supputations en tout genre. Toutefois, si cette venue se confirmait, elle devrait s’effectuer dans un esprit d’offre culturelle plurielle comme l’a déjà fait savoir l’édile d’Auxerre Guy FEREZ…

AUXERRE : Viendra ? Ou ne viendra pas ? Durant de longues années, la question se posait avec la régularité d’un métronome parmi toutes les strates de la population encline à l’implantation d’un poids lourd de la diffusion culturelle : la FNAC.

Or, force est de constater que les ouvertures de la fameuse enseigne se sont souvent succédées dans les quatre coins de l’Hexagone, en évitant soigneusement le département septentrional de la Bourgogne.

Engendrant la frustration naturelle de celles et ceux de nos concitoyens icaunais qui voulaient bénéficier du choix pléthorique des offres culturelles et des prix bons marchés, assurés par ce distributeur national.

Se rendre dans une FNAC supposait alors prendre son bâton de pèlerin et se mouvoir au plus près à Dijon, à Paris, à Orléans ou à Troyes ! Fin du premier acte !  

Et voilà qu’en cette fin d’année 2019 ou presque, ce vieux serpent de mer remonte à la surface pour humer de nouveaux embruns pouvant être profitables pour le consumérisme de l’Yonne. Cette fois-ci de manière quasi palpable.

Un compromis de vente a été signé entre les propriétaires du Carré du Temple, pratiquement vierge de toutes vitrines commerçantes depuis belle lurette si ce n’est un opticien et une boutique de prêt-à-porter, et l’actuel exploitant de la FNAC de Nevers. Le désir de ce dernier est simple et légitime : accroître sa présence sur le terrain en concevant un judicieux maillage entre les deux territoires en y posant ses jalons.

 

Un compromis de vente confirmé par la municipalité

 

Alors qu’un scientifique vient de démontrer, preuves à l’appui, que « Nessie », ce gentil monstre du Loch Ness en Ecosse, n’existait pas (il ne faut pas prendre de gigantesques anguilles pour des lanternes !), c’est donc un autre mythe qui tombe avec l’installation quasi probable d’une FNAC à Auxerre après tant d’années d’espérance !

Faisant taire de manière définitive toutes les rumeurs plus ou moins fondées qui ont couru au fil des années sur les réseaux sociaux quant à l’hypothèse d’une éventuelle ouverture.

La signature de ce compromis de vente induisant la probable installation de la FNAC a même engendré la réaction officielle du maire de la ville et président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Via un communiqué de presse, émanant de son cabinet, Guy FEREZ s’autorise une double expression faisant foi de réaction officielle.

« Si la vente se confirme, cela appelle à deux réflexions de ma part, commente-t-il, premièrement, lorsque la FNAC choisit de s’installer dans le cœur d’une ville, c’est le signe qu’elle croit en la force et l’attractivité de ce cœur. Cette force et cette attractivité résultent de la complémentarité entre l’initiative publique, celle de la ville, et l’initiative privée : la FNAC, aujourd’hui ; d’autres services et commerces, demain… ».

 

 

Préserver les intérêts économiques des indépendants…

 

Mais, plus en avant, Guy FEREZ rappelle que l’offre culturelle est plurielle et qu’elle a pour vocation à le rester.

« Deuxièmement, le centre-ville doit maintenir la variété des commerces, dans leur offre et sans esprit de domination… ».

En terme clair, le maire de la capitale de l’Yonne pose des garde-fous pour que cette future ouverture de ce poids lourd de la distribution ne vienne pas contrarier les activités professionnels des indépendants. Et de surcroît, celles de la librairie indépendante du cœur de ville. 

« Toutes les présences commerçantes ont pour vocation à s’additionner… exprime-t-il un peu plus loin.

On l’aura compris : Guy FEREZ souhaite que s’applique des règles d’intelligence entre professionnels afin de préserver et faire prospérer les activités économiques.

 


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