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Record de collecte et de patrimoine financier : un volume de 6 000 milliards d’euros, deux fois la dette de la France !
octobre 01, 2023Le Livret A et le Livret de Développement Durable et Solidaire (LDDS) ont poursuivi au mois de juillet leur dynamique record de cette année. Une annonce faite par la Caisse des Dépôts (CDC). Près de 38 milliards de collectes depuis janvier pour atteindre l’encours global de 547 milliards d’euros ! Même, le taux est passé de 2 à 3 %, cette augmentation ne peut expliquer un tel engouement pour ce type d’épargne.
TRIBUNE : Pourquoi autant d’épargne sur les livrets ? Il est surprenant de constater que l’épargne versée sur les livrets augmente toujours alors que le taux de rémunération, à 3 %, est bien inférieur au taux d’inflation ! Plusieurs raisons à cela : il y a déjà des raisons psychologiques. La raison d’être des livrets, ce sont les disponibilités, placement bancaire donc sûr. En période d’incertitude quand nous redoutons un avenir incertain (chômage, épidémies, guerre, instabilités politiques…), nous souhaitons renforcer l’épargne de précaution.
Il y a aussi des raisons techniques. Contrairement à la période COVID, nous n’épargnons pas plus mais nous orientons notre épargne. On assiste ainsi à une décollecte de certains placements : si les Français placent davantage d’argent sur leur livret A, c’est donc qu’ils en mettent moins sur les autres placements à leur disposition. L’assurance-vie est le placement qui en pâtit le plus. Entre 2019 et 2022, la Banque de France constate que l’encours des contrats d’assurance-vie en euros est passé de 1 723 à 1 436 milliards d’euros soit une chute de 17 %. L’incertitude est telle dans l’esprit des Français que seul « le court terme » trouve grâce à leurs yeux.
La France entre progressivement en récession
Le processus de récession s’accélère. La dernière grave récession remonte à 2008 avec la crise des « subprimes ». La plus récente date de 2020 avec la pandémie de la COVID. Comme pour la majorité des pays de la planète (Chine, USA, nombreux pays européens…), la France se situe dans cette phase, quoi qu’en disent et pensent nos dirigeants.
Dans ce cadre, le glissement annuel du PIB français devrait très vite tomber vers les – 3 % et ce, au moins jusqu'à la fin 2023. Le risque est bien réel ! Les caisses de l’Etat sont vides et la politique du « ça coûtera ce que ça coûtera », n’est plus d’actualité.
Qui va investir ? Pas l’Etat français qui ne fait rien sans le Parlement européen et qui n’a plus de monnaie ; beaucoup moins les collectivités qui subissent l’inflation, et qui doivent éponger leurs dettes, tandis que les particuliers investissent de moins en moins vers les équipements et encore moins dans l’immobilier. Il reste donc les entreprises.
Le faible rythme des investissements des entreprises est défavorable à notre économie et provoque une décomposition progressive de la croissance. L’Etat compte sur la voiture électrique pour relancer l’économie. C’est une suggestion très incertaine aussi face aux problèmes techniques posés par lesdits véhicules.
La situation semble simple : la récession est déjà là et la guerre en Ukraine s’installe à notre porte. La crise économique est propre à l’inflation, la récession annonciatrice de chômage, une crise immobilière est prévisible pour 2024… la bourse suivra logiquement…
Epargne : attention aux chants des sirènes !
Depuis peu, sur les réseaux sociaux, nous voyons fleurir les appels à épargner en bourse, via des logiciels auxquels ceux qui les présentent n’y comprennent rien non plus ! La gestion collective est à proscrire.
Dans cette période, il est important de prendre son bénéfice. Vous avez des parts de SICAV, FCP et autres SCPI qui vous laissent une belle plus-value, vendez ! Pour les actions, il faut aussi savoir prendre son bénéfice : se fixer un taux et vendre dès qu’il est atteint. Si vous persistez dans les investissements en bourse, fuyez et soldez les positions sur des actions concernant les sociétés financières et bancaires. Les cours dévissent depuis plusieurs mois tant en France qu’aux Etats-Unis. N’oublions jamais qu’une banque peut faire faillite !
Quelle destination pour l’épargne ?
Conserver sur les livrets un maximum de liquidité. Au-delà, il faut surveiller l’évolution des taux des comptes à terme (CAT) en interrogeant ponctuellement votre banque. Aujourd’hui, nous sommes en moyenne à 3 % mais on peut en trouver à 4,5 %. En période de forte inflation, fin des années 70 et début 1980, les taux de compte à terme dépassaient les 20 % !
Il faut prendre en compte la fiscalité : les intérêts perçus via un CAT relèvent du régime fiscal des revenus de capitaux mobiliers et sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU), au taux de 30 % (12,8 % pour l'impôt sur le revenu et 17,2 % pour les prélèvements sociaux).
Soulignons encore l’importance de l’or, les cours continueront de progresser. En ce qui concerne l’immobilier, il semble important d’investir dans les équipements qui permettront de réaliser des économies d’énergie dans les résidences principales et secondaires. L’immobilier de rapport est à privilégier pour les résidences étudiantes. On peut aussi faire ses courses dans les ventes aux enchères : attention aux travaux à prévoir !
Une suggestion d’investissement immobilier
Allez, déculpabilisons d’être un peu capitaliste ! Acheter un box voiture, fermé à clef au prix de 10 000 euros. Proposons une location de 60 euros par mois pour six motos. Soit 360 euros de revenu mensuel et donc 4 320 euros par an. Retour sur investissement : 2 à 3 ans. Bonne rentabilité, risque peu élevé. Nous n’avons jamais été aussi créatifs que dans les périodes de crise ou de survie.
On peut s’interroger sur le volume total de l’épargne en France (hors immobilier), soit près de 6 000 milliards, deux fois la dette du pays. Quand on isole les plus démunis et les plus pauvres, combien de personnes, et qui, possède cette épargne ? Quelle utilisation « productive » pour le pays ?
L’Etat semble inefficace pour résoudre l’inflation et la récession : des mensonges concernent les statistiques, et surtout des solutions copiées sur les vieux manuels de l’ENA. Les grandes écoles et les sociétés de conseil produisent assez peu d’artistes et de créatifs !
Dans ce contexte, il paraît important de suivre le conseil de notre Voltaire national : « si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de la monnaie à prendre ». !
Jean-Paul ALLOU
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Stratégie de conquête : la Société Générale Grand-Est en mode présence optimale à Joigny !
septembre 20, 2023Occupation de terrain ! On se croirait dans l’univers rugbystique – normal, deux maillots de l’équipe du XV de France étaient offerts aux personnes présentes à l’issue d’un quizz relatant l’historique de la Société Générale – mais c’est bel et bien de banque dont on parle. En endossant la vêture de nouvelle directrice de l’agence locale, Sevda KOKEN, une ancienne de BNP Paribas et de KOLB, entend bien conquérir de nouvelles parts de marché. Comme dans un match de l’ovalie, en somme !
JOIGNY : Ils affichent de larges sourires, les heureux gagnants d’un soir ! Deux couples de clients, fidèles aux valeurs traditionnelles de la Société générale qui apprécient le nouvel univers se présentant à eux. Un cadre à l’estampille de la SOC Grand-Est devrait-on dire après les dernières fusions entre les deux filiales qu’étaient la KOLB et le Crédit du Nord, deux entités régionalistes de la puissante maison mère, l’une des valeurs sûres du CAC 40.
Normal, les clients invités à cette cérémonie de présentation de la nouvelle équipe – Sevda KOKEN transfuge de la KOLB d’Auxerre hérite du poste de directrice de l’agence de Joigny à l’estampille de sa nouvelle bannière représentative et succède à Bruno GARCIA faisant valoir ses droits à la retraite – ont reçu en guise de lots pour avoir répondu positivement aux questions d’un quizz retraçant les grandes étapes de la Société Générale deux maillots de l’équipe de France de rugby.
Derrière ces aspects festifs d’un soir – une fin d’après-midi dirons-nous – se cache la volonté intrinsèque de la nouvelle direction de marquer déjà son territoire. Tant sur le JOVINIEN que sur le MIGENNOIS, voire même la Puisaye, un autre terrain de chasse de la structure bancaire.
Une agence de six personnes tournées vers les particuliers et les professionnels
Ayant fait ses gammes à Joigny où elle débuta au sein de la BNP Paribas en qualité de conseillère commerciale, la jeune femme, membre de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, effectue donc un retour en force dans la localité. Elle y retrouvera d’ailleurs d’anciens clients qui fréquenteront la vitrine commerciale de la nouvelle entité après les rapprochements survenus en début d’année.
Forte de six personnes, l’agence bancaire a même vu la création d’un nouveau poste dédié à la clientèle de professionnels au 01er juin. Une volonté d’optimiser ce secteur d’activité en profitant des acquis des ex-collaborateurs de la KOLB, davantage baignés dans la culture bancaire pour les entreprises.
« Avec ce point commercial, nous souhaitons être plus proches de la clientèle de cette vaste zone de chalandise, précise Sevda KOKEN, tout en dynamisant la conquête de nouveaux clients… ».
Régionaliser la stratégie de la Société Générale au plus près de ses cibles à l’échelle du quart Grand-Est est un sujet de motivation pour la nouvelle équipe qui posera in fine sur la photographie presque de famille !
Thierry BRET
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L’assureur mutualiste équipe ses agences dont Toucy : GROUPAMA sauve des vies avec ses défibrillateurs
septembre 13, 2023Installé sur la façade extérieure de l’agence de Toucy, l’appareil est visible de tous. Un endroit plutôt judicieux, si un passant lambda ou un client de l’assureur mutualiste se voyait dans l’obligation de s’en servir avec spontanéité. Une dizaine de défibrillateur sont ainsi accessibles aux besoins de la population locale. Celui-là est financé par GROUPAMA. Il a été inauguré par les représentants de la structure et le maire, Michel KOTOVCHIKHINE…
TOUCY : GROUPAMA et le volet sanitaire, ce n’est pas d’aujourd’hui. Depuis très longtemps, dans un souci d’arrimer davantage sa présence territoriale au plus près de ses sociétaires mais aussi des autres personnes, le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance décline vers qui veut l’entendre des animations à caractère pédagogique, facilitant la sensibilisation et l’éducation, accessibles à tous.
Comme le constate Benjamin MARTIN, responsable commercial de l’entité professionnelle sur le département de l’Yonne, « on est beaucoup dans la prévention, on propose la révision des extincteurs, on initie aux gestes qui sauvent, on installe des défibrillateurs, on informe sur la cybercriminalité, on intervient sur tous les champs. Là, c’est la suite logique avec la pose sur la façade de notre enseigne d’un défibrillateur. Et nous en sommes très fiers… ».
Un appareillage fort utile pour prévenir les accidents de risques cardio-vasculaires pouvant survenir à n’importe quel moment dans la rue, voire dans un commerce. Mercredi en milieu de matinée, une petite cérémonie, à laquelle participaient Hervé CHAPUIS, président de la Caisse locale, Benjamin MARTIN – déjà cité- et la caporale-cheffe Ophélie BORDET (la jeune femme, sapeur-pompier volontaire, représentait sa responsable Nadège VIVANT du Centre de secours de Toucy), s’est déroulée presque devant l’entrée de la vitrine commerciale de GROUPAMA.
Vedette du jour : l’appareil renfermé dans un boîtier de verre, un défibrillateur !
« C’est une bonne chose, affirma l’édile de Toucy, Michel KOTOVCHIKHINE, aujourd’hui une dizaine de ces appareils ont fleuri dans notre localité… ».
Après Sens et Tonnerre, Toucy devient donc la troisième agence de l’assureur mutualiste à être pourvue de ce précieux système de réanimation en cas de problème cardiaque.
Responsable de la Vie mutualiste, Valérie ZEKL est formelle : « GROUPAMA recense dix agences sur le territoire de l’Yonne, toutes seront progressivement équipées de ces appareillages nécessaires à la sauvegarde de la vie… ».
On ne connaît pas en revanche le calendrier desdites installations. Mais, selon la représentante de la structure, tous les équipements financés par les deniers de l’enseigne devraient être posés d’ici le terme de la saison.
Prodiguer les premiers secours aux personnes en souffrance cardiaque n’est pas le seul axe de réflexion de GROUPAMA. Un nouveau cycle de formation aux gestes qui sauvent va se mettre en place dès le 26 septembre. Notamment, avec une première réunion accueillie à Auxerre. Le 29 septembre, ce sera à Pont-sur-Yonne, ville septentrionale qui avait déjà réalisé plusieurs sessions les saisons dernières. Ajoutons-y deux dates en novembre (le 09 à Chablis et le 21 à Avallon), et le tour pédagogique décliné par GROUPAMA dans l’Yonne sera bouclé !
Thierry BRET
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L’envolée des prix des céréales affole les marchés : l’inéluctable jeu trouble des spéculateurs (2/2)
septembre 08, 2023Après l’annonce de la suspension de l’accord céréalier établi entre la Russie, la Turquie et l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, la tonne de blé est passée à 235 euros. Mais, rien à voir avec le pic de 430 euros la tonne qui affolait les marchés en mai 2022. Soulignons, qu’il s’agit à date d’une suspension d’accord et non d’une rupture définitive. C’est une nuance importante qui ouvre, peut-être encore la porte à des négociations…ce que souhaite les professionnels de l’agriculture.
TRIBUNE : En juillet 2023, si les conséquences sur « les pays les plus dépendants du blé ukrainien » sont davantage inquiétantes, Marc FESNEAU (ministre de l’Agriculture) admet que le contexte pourrait engendrer un « effet rebond » en France, pouvant faire grimper les prix. Il cite en particulier l’éventualité d’une non-prolongation de l’accord céréalier ukrainien. Scénario finalement confirmé, avec l’annonce du Kremlin de son souhait de se retirer des négociations.
La pénurie guette à moyenne échéance…
Faut-il pour autant redouter des pénuries de céréales, voire des épisodes de famine ? Tout dépendra de la durée de la suspension de l’accord. Même si elles sont plus coûteuses, d’autres voies d’acheminement des céréales existent. Ensuite, l’Ukraine n’en est pas le seul fournisseur : elle était en 2021 le troisième exportateur mondial d’orge, le quatrième de maïs et le cinquième de blé. Les récoltes ayant été bonnes dans l’hémisphère nord, il suffit de pouvoir les transporter. Si on manquait de blé, ce serait plus difficile. Beaucoup de pays pourraient avoir des difficultés à supporter une augmentation des prix sur le long terme. Leurs finances ont déjà été affaiblies par la hausse brutale de l’an dernier. Le pain et tous les produits dérivés, les pâtes, industriels ou artisans, pourraient ne pas se remettre d’une deuxième vague d’augmentation des matières associées à la flambée de l’électricité !
A court terme, même si le marché se tend et les prix augmentent, il n’y a rien de dramatique. A moyen terme par contre, c’est la pénurie qui guette. D’autant plus que la production de blé ukrainien va diminuer fortement du fait du conflit. Une moindre production impactera nécessairement les prix.
Le jeu trouble de la spéculation
Les spéculateurs se comportent comme des vautours sur une carcasse ! Le blé, le soja, le maïs…sont cotés en bourse. Exactement comme le pétrole, l’aluminium, l’or ou d’autres matières premières. La plus importante bourse aux céréales au monde se trouve à Chicago, une autre à Paris. Là, des vendeurs et des acheteurs s’échangent virtuellement des milliers de tonnes de céréales. Un processus informatisé, automatisé, à partir d’instructions données à des algorithmes qui procèdent à ces échanges. Le nombre d’opérations boursières potentielles effectuées peut se calculer par microsecondes, tellement le procédé s’effectue rapidement. On appelle cela le courtage (ou trading) à haute fréquence. A Paris, la spéculation financière sur le blé se passe sur le MATIF (Marché à Terme International de France).
En effet, ces spéculateurs ne sont pas intéressés d’acheter des tonnes de blé, de maïs ou de soja. Ils sont intéressés à faire du profit à court terme en anticipant l’évolution des prix et en faisant des paris sur l’avenir. Si tous ces acteurs font un pari semblable en s’espionnant les uns les autres, en suivant, dans un comportement moutonnier, ce que les autres font, cela amène les marchés à paniquer !
Car ils se disent qu’au fond, si Goldman Sachs, si Bank of America parient à la hausse, c’est qu’il doit y avoir des raisons de voir les prix monter à l’avenir. Donc on va retarder l’écoulement des stocks. On va demander à être payé plus cher pour les ventes de nos récoltes. Et c’est là qu’une bulle spéculative se forme. Il y a alors une déconnexion entre les marchés physiques qui réagissent à l’offre, à la demande réelle dans le monde, et les marchés financiers qui eux sont régis par une logique spéculative. Ce ne sont plus des agriculteurs, des négociants, des meuniers qui s’échangent des céréales mais des banques.
Un petit exemple pour comprendre
Je suis financier et j’achète, à terme 50 tonnes de blé à échéance de décembre 2023, puis je vends des contrats virtuels sur des matières premières que je ne possède pas au cours de 280 euros (cours du jour). On note que je ne produis rien et je vends ce que je ne possède pas. Bien sûr, je ne règle rien. Sans entrer dans le détail, il faut offrir des garanties, « déposits » sur contrats… En décembre, le cours est passé à 350 euros et je vends des contrats pour 50 tonnes de blé à ce cours. Résultat : je gagne 3 500 euros ((350-280) x 50). C’est aussi simple mais à la portée uniquement de ces grands financiers qui n’ont jamais hésité à affamer les uns pour enrichir quelques autres.
« Il faut faire le bien pour mériter son bonheur, on n'y arrive pas par la spéculation et la paresse. La paresse séduit et le travail satisfait. C'est dans une conscience tranquille qu'on puise sa force. » Anne FRANK. Plus que jamais, une phrase à méditer !
Jean-Paul ALLOU
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La CPME de l’Yonne s’immerge dans les crypto-actifs : une conférence proposée par MUGI, ESCALIA et T 10 à Auxerre
août 28, 2023Les deux spécialistes de la blockchain et de la crypto-monnaie que sont Alexandre TEINTURIER et Maxime CHERY, de la société MUGI – une des belles pépites entrepreneuriales que compte le département de l’Yonne positionnée sur ce segment d’activité – proposeront en guise de hors d’œuvre de rentrée pour les adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) mais aussi pour toutes celles et tous ceux qui sont intéressés une thématique spéciale sur l’économie de demain, via ces systèmes de paiement numérique qui ne s’appuient pas sur les réseaux bancaires traditionnels.
AUXERRE : Sans doute devrait-il y avoir foule car le sujet proposé lors de cette conférence de rentrée ne manque pas de passionner les aficionados de la finance, en temps normal ! Les membres de la CPME Yonne sont ainsi conviés à assister à une soirée spéciale proposée par MUGI, ESCALIA et T 10 autour de l’univers de la crypto et du web 3, des termes qui parlent déjà aux initiés et ils sont légion y compris sur notre territoire !
Un rendez-vous qui sera animé par Alexandre TEINTURIER et Maxime CHERY, deux des dirigeants de la structure icaunaise MUGI, avec sans aucun doute un préambule de Sonia MOUFFOK, responsable de la société ESCALIA, associée à ce projet de vulgarisation autour de cette économie de demain, faite de transactions numériques.
Le rendez-vous est décliné au 10 rue du Temple (le T 10) à Auxerre le jeudi 07 septembre à partir de 18h30, ouvert à tous.
Thierry BRET
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