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La Banque de France se transforme : le directeur du réseau national Jean-Yves HAUSSAIRE en explique les enjeux…
mai 28, 2019Institution dont le capital appartient à l’Etat, la Banque de France ne cesse de se transformer à l’instar de son environnement. Dans le souci de réaffirmer son ancrage territorial qui demeure prégnant au cœur de chaque territoire. La structure entend à ce titre être plus accessible et gagner en visibilité. D’où un déménagement récent de son site patrimonial jusque-là implanté rue de la Banque à Auxerre. C’est aux abords de la place de l’Arquebuse, rue de la Laïcité, que siège dorénavant la nouvelle vitrine de la « banque de tous les Français ». Directeur général adjoint et directeur du réseau national de cette enseigne historique, Jean-Yves HAUSSAIRE nous dévoile les enjeux stratégiques de cette évolution…
AUXERRE : En préambule de cet entretien, comment se porte la Banque de France en ce premier semestre 2019 ?
Plutôt bien ! L’établissement vient de dégager des résultats financiers conséquents. Il a effectué au titre de ses bénéfices de 2018 la contribution à l’Etat la plus importante de son existence, soit 5,6 milliards d’euros.
Vous inaugurez ce jour (ndlr : mardi 28 mai) le nouveau cadre auxerrois qui accueille vos collaborateurs. Un site ergonomique, moderne, fonctionnel, bref, différent de ce que présente d’ordinaire une institution telle que la vôtre en matière d’accueil au public. Qu’est-ce qui expliquent ces changements surprenants ?
Nous souhaitons dorénavant être plus accessible et visible aux yeux d’un plus grand nombre. Le monde se transforme ; nous, aussi. Mais, cette transformation n’est là que pour mieux réaffirmer notre ancrage territorial. Bien sûr, au-delà de ces aspects immobiliers, il s’agit aussi d’optimiser notre performance et d’être davantage novateur dans nos initiatives et actions.
La présence de la Banque de France dans l’Yonne, c’est déjà une vieille histoire d’amour…
Oui ! Notre implantation initiale remonte à 1869 ! Soit cent cinquante années d’expériences vécues dans notre immeuble qui est situé dans la rue de la Banque à Auxerre. Ce bâtiment était chargé d’histoire. Nous devons sa création à Napoléon III après une visite faite à la capitale de l’Yonne en 1866. Il a dû être agrandi en 1922, pour devenir un édifice spacieux de 1 500 mètres carrés. Mais, son architecture quelque peu surannée ne correspondait plus vraiment à nos besoins. Nous ne pouvons pas être de grands donneurs de leçon autour de la rigueur de la gestion publique et ne pas nous l’appliquer à nous-mêmes !
Cette mue de la Banque de France répond à des enjeux fondamentaux. Quels sont-ils ?
Primo, il s’agit de réaffirmer la plénitude de nos missions. Voire d’en ajouter de nouvelles. L’ancrage territorial auquel nous prétendons nous offre la possibilité d’être un grand service public de confiance et d’excellence. Secundo, nous souhaitons accroître fortement notre efficacité. En révisant nos organisations, nos processus, nos systèmes d’information. Cela nous a conduits à réduire, sur la période 2015/2020, nos effectifs de 25 % et nos dépenses de fonctionnement de 10 %. Enfin, et pour être tout à fait complet sur la question, l’amélioration du cadre d’activité professionnelle de nos équipes est devenue une priorité. Grâce à une modernisation des outils et des environnements de travail. Ce que nous voyons aujourd’hui à Auxerre en est le reflet. Comme cela l’a été en 2018 à Nevers. Comme cela le sera d’ici quelques mois à Belfort, Vesoul ou Lons-le-Saunier…
Pouvez-vous nous rappeler quels sont les publics concernés par vos activités ?
A Auxerre comme ailleurs, notre action est orientée vers les particuliers, les entreprises et les collectivités. Dans le cadre des particuliers, notre mission est de nous intéresser aux plus fragiles d’entre eux. Pour ce faire, nous avons tissé un réseau de partenariats éclectiques : banques, juges, chambres consulaires, les services de l’Etat et du Conseil départemental, les opérateurs publics. Au titre de l’année dernière, ce sont 1 235 dossiers de surendettement qui ont été déposés dans le département de l’Yonne. Nos services ont accueilli plus de 2 500 personnes autour des droits d’accès aux fichiers, du droit au compte. Depuis peu, les équipes du directeur départemental Jean-Claude BOUEROUX proposent des séances d’éducation financière. Dans le cadre du plafonnement des frais bancaires, la Banque de France a joué un rôle déterminant pour que les établissements s’engagent dans ce processus…
Vis-à-vis des entreprises, la Banque de France intervient au niveau de la médiation du crédit…
C’est exact. Là aussi, toutes nos équipes sont mobilisées auprès du tissu économique départemental. En 2018, mille six cents entreprises ont été visitées par nos soins au niveau de la Bourgogne Franche-Comté dont deux cents pour le seul territoire de l’Yonne. Ces dirigeants de société ont été contactés, rencontrés, autour de l’attribution de leur cotation. Certains, une vingtaine de responsables, ont été accompagnés ou orientés au titre de notre fonction de correspondant TPE (Très Petite Entreprise)…
Reste votre relation constructive avec les collectivités…
Nous travaillons en étroite osmose avec les chambres consulaires, la direction départementale des finances publiques, le Conseil départemental…Le partage de l’information économique est devenu une nécessité. Ce que nous voulons est simple : c’est le financement le plus sain de l’économie et de toutes ses composantes…
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La politique de la puissance, seule alternative pour sortir l’Europe de la crise pour Christian SAINT-ETIENNE
mai 21, 2019Lucide sur l’état actuel de la construction européenne et le poids restrictif occupé par la France, l’économiste et universitaire ne se fait guère d’illusions à quelques jours d’une échéance électorale jugée capitale. Alors que les Etats-Unis et la Chine se livrent à une guerre commerciale impitoyable, l’Europe ne pèse pas bien lourd à l’échelle du globe face à ces deux super puissances qui cannibalisent les projets de développement économique. La désindustrialisation du Vieux Continent et son inquiétant retard observé dans le domaine de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies traduisent un déclin continuel qui se poursuit depuis plusieurs décades. A moins qu’un ultime sursaut autour d’un noyau dur de pays plus entreprenants inverse enfin la tendance à court terme ?
AUXERRE : Son dernier ouvrage publié en novembre 2018 constitue déjà une référence sérieuse pour les adeptes de géopolitique. Il relate l’opposition galopante que vivent depuis plusieurs mois Américains et Chinois. « Donald TRUMP et Xi JINPING ne sont que des apprentis sorciers… lâche sans ambages et en guise de préambule le professeur de Paris Dauphine, membre du Conseil d’analyse économique (CAE).
A l’invitation de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris-Val-de-Loire, Christian SAINT-ETIENNE accorde quelques heures de présence au territoire de l’Yonne. Le temps d’une intervention orale de soixante minutes où il expliquera sa vision personnelle sur l’avenir stratégique de la France dans une Europe en crise. Habitué de la sphère médiatique, l’administrateur de l’OCDE à Paris se prête volontiers au jeu de l’entretien. Sans langue de bois. En égratignant, au passage, les 34 listes politiques qui ont été retenues pour la prochaine joute électorale…
« J’espérai avec une grande naïveté que l’on parle enfin des véritables enjeux pour construire l’Europe de demain. C’est-à-dire la thèse que je défends où l’Europe ne doit plus opérer sur un principe de concurrence telle qu’elle a été imaginée dès le Traité de Rome de 1957. Mais qu’elle devienne enfin un acteur de puissance à part entière face aux autres blocs mondiaux. Or, cela n’arrivera jamais après ce que j’ai lu et découvert parmi les trente-quatre programmes des partis politiques français. C’est pitoyable : cela donne l’impression que tous ignorent vraiment la réalité de la situation mondiale… ».
Ni optimisme ni pessimiste, simplement réaliste…
Christian SAINT-ETINNE déplore l’incroyable retard technologique dans lequel l’Europe se morfond depuis des lustres. Son analyse est pertinente, tranchante. Le couple franco-allemand ne fonctionne plus, c’est une évidence. Lui qui était le socle de ce bastion du progrès. La France est devenue minoritaire dans ce cénacle du fait de son affaiblissement économique. Quant aux pays de l’Europe de l’Est, ils sont opportunistes.
Bref, ce n’est pas un tableau franchement idyllique qu’aura brossé l’économiste durant son propos. Ni optimiste ni pessimiste. Mais, très réaliste.
« L’Europe s’est désindustrialisée en l’espace de trois décennies. C’est l’une des causes majeures de son recul à l’échelle planétaire. En outre, les GAFA ne viennent pas de notre continent. Ils pillent allègrement nos données et s’en servent à bon escient contre nos intérêts… ».
Le décryptage que l’orateur effectue de l’actualité européenne nous ramène à de drôles de réalité : à nous faire sourire jaune !
« L’Europe ne possède peu ou pas d’industries fabricant des micro-processeurs, ajoute-t-il, nous accusons une réelle carence dans la révolution industrielle qui est en train de faire chavirer le monde. Alors que la Chine et les Etats-Unis accélèrent leurs programmes de développement, l’Europe est sans voix. La crise commerciale qui existe entre ces deux nations va structurer pour les quinze prochaines années les milieux économiques. Or, que constatons-nous ? Nous sommes absents de toutes négociations… ».
Ouvrant une parenthèse subtile, voire ironique, Christian SAINT-ETIENNE évoque les tentatives de micro-initiatives autour de la fabrication de batteries. Celles-ci qui alimentent en énergie les véhicules électriques.
« Il faut savoir que ces batteries conçues en Chine le sont grâce à de l’électricité issue du charbon, donc très polluant. Puis, on exporte lesdites batteries vers le reste du monde par des containers embarqués sur des bateaux. Une pollution qui est sans égale par rapport à l’automobile. Qui a fait le bilan carbone de ces batteries qui arrivent en Europe ? ».
Alors que la France injecte 1,7 milliard d’euros au développement de ce type de projet, mené en accointance avec l’Allemagne, il aurait été souhaitable, selon l’expert économique, que l’enveloppe financière soit élevée à un rang nettement supérieur d’un montant de 17 milliards d’euros. « Juste pour rattraper notre retard vis-à-vis des Chinois et des Américains ! ».
Renforcer la politique commerciale de l’Union européenne, grâce à un marché unique, serait l’une des orientations pour sortir de l’ornière. Christian SAINT-ETIENNE préconise deux autres suggestions : l’adoption de l’état de droit et la mise en place d’une taxe carbone, applicable par tous les pays européens.
Une France totalement isolée dans le concert des nations…
Le malaise socio-politique est palpable à tous les étages. D’ailleurs, il n’y a rien à attendre des échéances européennes du 26 mai.
« Ces élections s’apparentent ni plus ni moins à une succession de référendums nationaux contre les pouvoirs en place. Il serait temps de revenir à des choses pragmatiques. Comme envoyer des députés nationaux au Parlement européen. Il y aurait une certaine cohérence entre la prise de décisions et les actions concrètes menées dans chacun des pays concernés. Pourquoi irions-nous donner, nous autres Français, des leçons de savoir-faire aux Polonais ou aux Hongrois qui enregistrent une meilleure croissance économique que nous ! Vu d’Allemagne, la France n’a plus de crédit. Cela fait quarante ans que l’Hexagone vit dans une latence incroyable, tributaire du déficit public. Nos gouvernants n’ont jamais su le réduire : nous avons perdu toute crédibilité à l’international… ».
Le président de la République n’est pas épargné par cette analyse fine. Pour Christian SAINT-ETIENNE, Emmanuel MACRON a dilapidé son aura en multipliant les remarques agressives envers les uns et les autres de ses partenaires européens. « Il aurait été plus sage de construire un noyau dur autour d’une dizaine de pays pour établir une relation de puissance envers les Etats-Unis et la Chine. Il nous reste que peu de temps pour le faire si l’on veut sortir de l’impasse actuelle… ».
L’économiste l’affirme : la réforme des retraites sera la mère de toutes les réformes structurelles à concevoir dans notre pays. « N’oubliez pas que la retraite en France, c’est un quart de la dépense publique ! ».
Quant au mouvement des Gilets jaunes, il retient l’attention de l’analyste : « Les Chinois et les Japonais nous regardent comme si on débarquait de la Lune en se disant c’est quoi cette histoire : il y a 100 000 « mecs » qui mettent le pays à genou depuis 26 semaines. C’est risible ! Mais, de manière plus insidieuse, cela démontre aussi qu’il y a un rejet massif de la chose politique. Auparavant, il y avait acceptation du résultat des élections présidentielles. Or, dans le cas présent, un homme est élu et un an après, le peuple lui intime l’ordre de dégager ! La stratégie du dégagisme, chère à Emmanuel MACRON, s’est retournée contre lui ! ».
La faible croissance enregistrée par la France explique en partie les causes de ces actes répétitifs à longueur de semaines. Depuis 2001, la moyenne du taux de croissance s’élève à 1,1 % dans l’Union. Or, l’Hexagone se situe en dessous, autour de 0,8 %, avec un chômage important avec 3,5 millions de personnes en quête d’un emploi.
Les Anglais sont dans l’Union pour casser la dynamique européenne
Reste le BREXIT. « Il faut le souhaiter à tout prix, tempête Christian SAINT-ETIENNE, les Britanniques veulent casser la dynamique européenne. C’est la politique qu’ils appliquent depuis mille ans ! Chaque fois qu’ils sont gentils avec nous, cela ne signifie pas que nous soyons devenus extraordinaires à leurs yeux. C’est parce que nous sommes tout bonnement dans une position de faiblesse. Dès qu’un état fort les menace, les Britanniques s’allient avec des pays plus faibles économiquement pour rester fort… ».
S’en suit la démonstration littéraire avec la fable de la grenouille et du scorpion. « Un scorpion veut traverser une rivière sur le dos du batracien. Ce dernier refuse de l’aider : « Si tu montes sur mon dos, tu vas me piquer et nous allons nous noyer. Le scorpion certifie le contraire, arguant de sa bonne foi. Rétive, la grenouille accepte. Mais, au beau milieu du gué, elle est piquée par le scorpion ; interrogé sur ses intention, celui-ci répond : « je n’ai pas pu m’en empêcher ! ». Dans cette histoire de la construction européenne, les Britanniques ne peuvent pas s’empêcher de mettre le bazar pour nuire à la fiabilité du projet… ».
Des clés de lecture passionnantes dont auront profiter les sociétaires de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire pour mieux appréhender l’environnement actuel et les enjeux de ce scrutin qui ne changera pas les règles du jeu, vraisemblablement…
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GROUPAMA Paris Val-de-Loire : une rencontre informative pour expliquer l’ancrage territorial…
mai 13, 2019Organisés par les Fédérations départementales des caisses locales, les rendez-vous d’information et d’échanges, déclinés par l’assureur mutualiste, se déroulent chaque année en cette période du printemps. C’est ce mardi, dans l’enceinte d’AUXERREXPO, que l’exercice 2019 aura lieu. Il accueillera les sociétaires de l’Yonne. Outre la présence de l’économiste Christian SAINT-ETIENNE qui apportera lors d’une conférence sa vision et analyse des perspectives de la France avant les élections européennes, c’est le directeur général adjoint de l’un des leaders nationaux de l’assurance et de la prévoyance, Jean-Christophe REMAUD, qui brossera dans le détail l’actualité économique et institutionnelle de l’entreprise en rapport avec le département.
AUXERRE: Que ce soit lors de la conférence de presse ou au cours de la rencontre départementale qui s’en suivra, il sera beaucoup question de stratégie et d’engagements économiques pour illustrer l’action de l’assureur mutualiste sur son territoire.
Conformément à sa volonté intrinsèque d’en justifier les faits et les conséquences de manière annuelle, la direction départementale mais aussi régionale du groupe déroulera lors de cette soirée réservée à ses sociétaires tous les aspects explicatifs permettant de mieux appréhender le poids de cet ancrage territorial qui demeure le socle majeur de son intervention au quotidien.
En l’absence du directeur général de Paris Val-de-Loire, Eric GELPE, retenu sous d’autres cieux et d’autres obligations, c’est son adjoint, Jean-Christophe REMAUD, qui aura la tâche de conduire la table ronde, aux côtés du président de la Fédération départementale des caisses locales, Pascal MAUPOIS, et du directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT.
Un exercice complet où l’auditoire constatera chiffres à l’appui les bonnes performances enregistrées par le groupe au-delà de l’exercice 2018. Mais, de cela, nous aurons le temps d’en reparler !
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Chaque année, la direction des Ressources humaines de l’un des premiers recruteurs privés des départements de l’Aube, de la Côte d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne puise parmi son vivier de candidats potentiels pour embaucher de nouveaux collaborateurs. Ce fut le cas en 2018 avec 122 recrutements. 2019 ne dérogera pas à la règle. Afin de renouveler, voire de compléter des postes stratégiques dans les agences de proximité et sur les sites administratifs…A vos lettres de candidature !
DIJON (Côte d’Or) : Ambitieuse de coutume, la politique consacrée à l’optimisation des ressources humaines le sera cette année encore au Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne. L’établissement régional se mobilise pour attirer de nouveaux talents dans son escarcelle.
Fort de ses 1 707 collaborateurs, le groupe procédera au cours de ces prochaines semaines à l’accroissement de ses effectifs. Une centaine de postes en CDI figurent, en effet, parmi les propositions d’emploi à occuper dès que possible.
Quant à la palette des métiers, elle est plutôt éclectique. En pleine mutation du fait de la présence maximalisée du digital, le secteur bancaire offre un choix conséquent de métiers. Et pas seulement des postes de conseillers commerciaux.
L’établissement désire étoffer ses fonctions supports, celles du back-office, en dynamisant ses différents services que sont l’audit, le juridique, le marketing, les ressources humaines.
« Travailler au Crédit Agricole, c’est être sûr d’avoir un métier qui évolue au rythme des besoins de la clientèle et d’être formé en conséquence, stipule Patrick SCRO, directeur des ressources humaines et de la communication ».
L’accès à ces diverses fonctions est également facilité par le biais de l’alternance. Elle représente 30 % des recrutements annuels.
« A l’issue de leur période de formation, précise le directeur de la DRH, plus de 60 % des alternants rejoignent nos services avec un contrat à durée indéterminée dans la poche… ».
Le profil des expériences et du comportemental plus que le CV…
Garantissant une évolution de carrière, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne applique une politique de rémunération attractive. A ce titre, et selon les sources fournies par le ministère du Travail, la banque occupe, juste après le secteur pharmaceutique, une position privilégiée en matière de salaire. Avec un référent mensuel net moyen de 3 669 euros. Autant dire de précieux éléments à faire valoir pour accueillir les jeunes diplômés ou le bon profil dans ses rangs.
C’est d’ailleurs cet intérêt humain, fait d’expériences et d’analyse du comportement qui prime aujourd’hui dans la politique de recrutement de la Banque verte. Plutôt que le traditionnel CV.
D’ailleurs, la caisse régionale multiplie les initiatives originales, voire parfois décalées, pour trouver la perle rare, par le biais de job-dating, d’escape-game, d’after-school, mais aussi d’entretiens vidéo.
« Nos chargés de recrutement, ajoute Patrick SGRO, mettent tout en œuvre pour faire venir les meilleurs profils dans une véritable relation gagnant/gagnant… ».
Un processus méthodique, forcément profitable pour les deux parties en présence…
Pour en savoir plus sur la politique d’embauches du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, un référent multimédia : www.ca-cb.fr/recrutement
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Stratégie : la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté pousse les pions de la communication à son avantage…
avril 28, 2019En poste depuis un semestre, l’ancien responsable de l’entité beaunoise, Jean-Pierre CHAPUIS, devenu entre-temps directeur d’établissement de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne, se dit très satisfait des réelles potentialités de développement qui prévalent sur ce territoire. En accointance avec le directeur de l’agence principale d’Auxerre, Pascal THOLLON, le manager a innové dans la manière de communiquer en proposant une rencontre opportune et directe avec les acteurs locaux du marché professionnel. Réunis dans le magnifique hall de cet édifice à l’architecture séculaire, artisans, commerçants mais aussi institutionnels et professions libérales ont pris part à ce premier rendez-vous exploratoire qui, d’emblée en appelle déjà d’autres…
AUXERRE : L’effervescence était de mise dans le majestueux hall d’entrée de la principale agence départementale de la Caisse d’Epargne. Concoctée en termes de faisabilité et de logistique par son propre directeur, Pascal THOLLON, soutenu par son équipe d’une douzaine de collaborateurs, une rencontre informelle ouverte aux représentants du marché professionnel s’est tenue il y a quelques jours dans un esprit d’échange et de convivialité.
Ce fut une grande première placée sous le signe de la communication et du partage informatif. Une opération, somme toute réussie au vu de la représentativité, selon le directeur d’établissement icaunais, Jean-Pierre CHAPUIS qui devait en apporter les conclusions et remerciements d’usage.
Ce dernier ne pouvait pas mieux faire coïncider son sixième mois de présence sur notre territoire avec l’organisation d’un évènementiel dont il avait soutenu l’initiative avec ardeur.
La présence de quelques clients particuliers était à noter lors de cette manifestation qui toutefois s’arc-boutait sur une forte représentation d’entrepreneurs, de responsables associatifs et de porte-paroles de structures institutionnelles. Cette nouvelle stratégie en matière de communication directe avec le monde professionnel devrait faire florès et se réitérer prochainement de l’avis du manager de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne.
Démonstrations de savoir-faire avec les directeurs de marché…
Présent sur ce marché depuis plusieurs décades, le groupe bancaire se définit au plan déontologique comme un acteur économique de proximité, soucieux de prodiguer conseils et préconisations utiles auprès des 77 % d’artisans et commerçants en portefeuille dans la région. Le reliquat se composant des professions libérales.
Outre la présentation individuelle de chacun des collaborateurs de l’agence principale auxerroise, Pascal THOLLON expliqua ensuite par effet gigogne le rôle spécifique des directeurs de marché.
En particulier, ceux joués par Romain BARNAY, responsable de la gestion privée qui fit une brillante démonstration de son savoir-faire et de ses références historiques en renvoyant les visiteurs d’un soir à l’aune de la crise américaine des « subprime » de 2008.
Crise majeure dans l’immobilier qui provoqua un séisme planétaire incommensurable dont certains entrepreneurs ne sont jamais remis, y compris dans l’Hexagone.
Puis, Victor PINTO, directeur du marché de l’immobilier, fit une intervention détaillée sur les vertus fiscales des textes législatifs régissant cet item, à savoir PINEL et MALRAUX, toujours d’actualité. Avant d’évoquer le cruel déficit de logements qui touche notre pays.
Le terme de cette invitation taillée sur mesure de la discussion ouverte et relationnelle entre tous ces acteurs de l’économie de proximité ne pouvait s’achever autrement qu’en levant le verre de la convivialité. Un axiome important qui ne doit jamais se départir de toute stratégie de communication directe qui se respecte !
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