Après treize années d’existence, l’édition Centre Yonne du « Criquet Magazine » demeure un support de communication qui ne cesse de progresser en parts de marché publicitaire. Portée depuis mai 2005, à l’initiative de Thierry SMOLARSKI, cette presse à vocation commerciale possède ses aficionados auprès des artisans, commerçants et monde associatif. La licence de marque exploitée par l’entrepreneur de Puisaye édite chaque mois près de 20 000 numéros et fidélise un lectorat en nombre croissant. Pour un chiffre d’affaires qui s’élève à 250 000 euros à l’année ! Qui dit mieux sur ce créneau si convoité des gratuits ?
AUXERRE : Propriété depuis 1992 de l’ancien sérigraphe Pierre LECHAT, la licence de marque du « CRIQUET MAGAZINE » dispose de manière paradoxale d’un maillage assez peu représentatif du succès qu’elle véhicule auprès des indépendants ayant choisi de développer cette référence de la presse gratuite en France. A peine une vingtaine d’éditions se disputent aujourd’hui le fort potentiel de valeurs ajoutées publicitaires exercé par les artisans et commerces de proximité.
Pourtant, ce concept bien assis sur le territoire de l’Yonne avec deux éditions distinctes (Avallonnais/Vézelien et Centre Yonne) présente un double intérêt pour celles et ceux qui y succombent. Bénéficier d’une tribune informative ultra locale et identifier sous ses meilleurs avantages les offres commerciales des annonceurs…
« Idéalement, explique Thierry SMOLARSKI, gérant de l’édition Centre Yonne, la volonté du support est d’offrir à ses partenaires une communication récurrente et efficace en pratiquant une politique tarifaire qui est restée identique depuis…2005 ! ».
Un volume de publicité garanti à 80 % avant chaque numéro !
Média gratuit, Le CRIQUET MAGAZINE a su capter les desiderata de ses investisseurs en leur offrant un certain nombre de garanties. A commencer par le capital lié au professionnalisme de ses promoteurs et la qualité d’un produit bien ficelé.
« Le grammage et la texture du papier sont des éléments d’appréciation incontestables pour faire la différence. L’impression est réalisée au plus près de notre siège chez CHEVILLON à Sens. Quant à la distribution, je l’assure moi-même avec la connaissance personnelle des 900 dépositaires qui relaient le titre et le tout en un laps de temps record après la parution du magazine » explique l’entrepreneur de l’Yonne.
Dès le démarrage d’un nouvel opus qui compose l’un des dix numéros prévus dans la saison, 80 % du chiffre d’affaires est déjà assuré par les partenaires. Quant au taux de récupération des exemplaires, il s’élève à 0,5 % dans les plus mauvais cas ! Cela octroie à la petite structure qui travaille à la réalisation de ce mensuel (Jonathan, le fils de Thierry SMOLARSKI, gère la créativité graphique et la maquette) une très large souplesse, voire une tranquillité d’esprit évidente !
« Nous sommes très loin des seize pages conçues à la hâte pour boucler le premier numéro de mai 2005, plaisante le chef d’entreprise, le support oscille à l’heure actuelle entre une quarantaine et une cinquantaine de pages selon la saisonnalité… ».
Des notes de modernisme pour faire évoluer le concept
Le CRIQUET MAGAZINE ouvre sa treizième année avec de nouveaux challenges à ajouter à sa besace. L’ouverture à d’autres partenariats et le choix de nouveaux thèmes se profilent ; histoire d’entretenir une touche régulière de modernisme profitable à l’outil dont la réussite repose sur le simple geste, pour le lectorat, d’aller quérir le support sur l’étal d’une boulangerie, chez un artisan ou au gré d’une salle d’attente notariale ou immobilière.
Quant à Thierry SMOLARSKI, ancien salarié qui évoluait dans le secteur de la communication (création de guides touristiques), avant qu’il ne reprenne sa destinée en main au début des années 2000, il ne regrette pas l’opportunité qui s’est présentée à lui, en lisant un jour un exemplaire de l’édition avallonnaise.
Sa société « A2J », inspirée par les prénoms de ses enfants et qu’il a initiée pour développer le concept, peut entrevoir l’avenir de manière sereine…
Cinq décès, trente blessés dont dix-sept hospitalisés : le bilan de l’accidentologie n’est guère fameux sur les routes du territoire icaunais à la fin du mois de juillet. Malgré une baisse de 29 % par rapport à la période équivalente de 2016, automobiles, deux roues et piétons sont toujours aussi exposés avec le non-respect des règles de circulation comme cause prioritaire…
AUXERRE : A peine installé, le nouveau préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, a dû découvrir les chiffres des services de la Sécurité routière, faisant état de l’accidentologie sur les routes du département. Et au vu des premières indications, et de l’analyse de ces statistiques, il devrait rester inflexible à toute velléité d’assouplissement des règles de circulation.
Au contraire, le représentant de l’Etat a même souhaité renforcer les opérations de contrôle de vitesse et d’alcoolémie en cette fin de période estivale. Pour s’en expliquer, son service de communication a insisté sur la hausse du nombre de véhicules circulant sur les autoroutes et routes de l’Yonne ; cela entraînant une dégradation des conditions de circulation.
Si la conduite sous l’emprise de l’alcool représente 17 % des accidents, soit 6 personnes tuées depuis ces douze derniers mois, les pertes de contrôle imputables à une vitesse excessive occasionnent encore 20 % des sinistres (7 décès). Mais, l’essentiel de l’accidentologie prend sa source dans le non-respect du code de la route et de l’application des bonnes règles de conduite. 32 % des accidents sur la saison 2016/2017, ce qui aura engendré 11 morts.
Un taux de gravité des accidents supérieur à la France
Rapporté à la population, le nombre de personnes tuées par million d’habitant demeure très élevé dans l’Yonne, avec un taux de gravité de 102 alors que l’indice de référence nationale n’excède pas…54 !
Seule lueur d’espérance dans ce tableau assombri par tant de mauvais chiffres, les résultats de la plupart des indicateurs de l’accidentalité de ce mois de juillet sont en diminution : baisse de 29 % du nombre d’accidents (22 sinistres contre 31 en 2016), baisse de 21 % du nombre de blessés (30 blessés contre 38 en 2016) et baisse de 35 % du nombre de blessés hospitalisés (17 personnes hospitalisées contre 26 en 2016).
Mais, hormis le nombre de tués sur nos routes (il s’élève à cinq décès en juillet 2017 contre sept l’année antérieure), les évolutions du cumul de ces indicateurs sont par contre toutes en hausse pour 2017. Et le mois d’août, point culminant des départs en vacances, n’a pas encore livré son verdict.
Les créateurs d’entreprise constituent une cible à privilégier pour les responsables du Crédit agricole Champagne Bourgogne. Après le succès rencontré lors des trois « Cafés de la création », menés au printemps à Dijon, Troyes et Avallon, l’établissement bancaire pense déjà capitaliser sur la poursuite de cette démarche incitative dès la saison prochaine.
DIJON (21) : « Les Cafés de la création sont devenus le rendez-vous incontournable où les futurs entrepreneurs de la région Champagne Bourgogne obtiennent les réponses indispensables à leurs interrogations. Et surtout des contacts précieux et utiles, propres à les aider dans le développement de leur projet… ».
Directrice des marchés des particuliers, des professionnels, du marketing, du multicanal et de l’innovation, Isabelle AUGRAIN résume ainsi la philosophie de l’opération, déclinée entre avril et juin, dans les trois départements couverts par le groupe.
Depuis le lancement de cet événement, ce sont 170 porteurs de projets aux profils différents qui ont ainsi pu bénéficier de ces échanges, vécus dans un esprit constructif.
Soutenu par une dizaine de partenaires, et non des moindres (Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Ordre des avocats du barreau d’Auxerre, Ordre des experts-comptables de Bourgogne Franche-Comté, Chambre départementale des notaires, Pôle emploi ou le Régime social des indépendants de Bourgogne-RSI), le Crédit agricole a conçu le temps de cette rencontre conviviale un espace de discussion où étudiants et demandeurs d’emploi mais aussi les personnes en reconversion professionnelle, voire des retraités s’exprimaient en totale liberté. Qu’ils soient d’ailleurs clients ou pas de l’établissement bancaire, tous étaient les bienvenus à ces rendez-vous.
Quant aux informations glanées çà et là par les entrepreneurs en devenir, elles portaient sur les fondements de la création d’un outil de travail personnalisé : comment construire un projet ? Quelles formalités engager ? Quel budget et comment le financer ? Quelles sont les aides à solliciter et auprès de quels organismes ? La récurrente question du statut social occupait un point essentiel de ces séances informatives.
Autant de sujets qui n’auront pas manqué d’interpeller les personnes en quête d’un véritable projet professionnel…et qui ne savent pas toujours comment s’y prendre parmi les méandres juridiques, fiscaux et administratifs.
Six heures à peine après sa prise de fonction, Julia CAPEL-DUNN, nouvelle sous-préfète d’Auxerre et directrice de cabinet du préfet de l’Yonne Patrice LATRON, a pris ses premiers contacts avec les médias du territoire icaunais. Histoire d’évoquer son futur mode opératoire, de se présenter au travers un parcours plutôt flatteur et d’en savoir davantage sur le nouveau département qui l’accueille…
AUXERRE : « Je ne suis présente dans le département de l’Yonne que depuis quelques heures, mais je sais déjà que certains dossiers importants m’attendent sur le coin d’un bureau ! ». Avec un zeste d’humour, la nouvelle sous-préfète d’Auxerre, Julia CAPEL-DUNN, sait que les prochaines journées de son emploi du temps seront très chargées.
Entre les visites protocolaires aux milieux institutionnels et économiques, la gestion de dossiers quelque peu brûlants et la découverte de ses collaborateurs, la directrice de cabinet du nouveau préfet, lui-même en poste depuis le 21 août, ne devrait pas chômer un seul instant.
Agée de 41 ans, la diplômée de l’Institut régional d’administration (IRA) de Lyon troque une fonction similaire de sous-préfète des Ardennes (elle occupait le poste depuis avril 2013 à Sedan) pour une double activité de sous-préfète et directrice de cabinet dans l’Yonne.
Un binôme efficace avec le nouveau préfet
Durant deux saisons, la jeune femme, passionnée de littérature et civilisations étrangères (licence obtenue en université à Dijon) s’applique à gérer de manière optimale d’importantes problématiques liées à l’économie dans une contrée plutôt éprouvée par la crise tout en abordant ses aspects sécuritaires. La Belgique n’étant distante que d’une trentaine de kilomètres de la seconde ville de ce territoire excentré…
Chef du département des réfugiés et de l’accueil de demandeurs d’asile au secrétariat général à l’immigration et à l’intégration au ministère de l’Intérieur en 2008, Julia CAPEL-DUNN remplace Emmanuelle FRESNAY, entre-temps nommée au sein d’une direction de ce grand ministère d’Etat.
« Je ne vois que des avantages à mon affectation dans l’Yonne, devait-elle préciser pour conclure, nous devrions former un binôme complémentaire avec le nouveau préfet, Patrice LATRON, prêts à prendre en main la gestion de tous les dossiers prioritaires… ».
Une équipe efficace au service de l’Yonne : c’est tout ce que l’on peut souhaiter aux habitants de ce territoire…
Le 10 juillet dernier, depuis la mairie de Venoy, la nouvelle édition du Yonne Tour Sport prenait son envol pour la douzième année consécutive. L’expérience s’adressait comme à l’accoutumée au jeune public âgé de 6 à 16 ans dans de nombreuses communes du territoire nord-bourguignon avec un unique objectif : faire participer de manière gracieuse le maximum d’enfants et d’adolescents à des journées d’activités sportives…
VENOY : A l’identique des saisons précédentes, le Conseil départemental de l’Yonne a offert cette année encore la possibilité aux enfants et adolescents du territoire icaunais de découvrir la pratique du sport par le biais d’une campagne de sensibilisation grandeur nature. Du 10 juillet au 11 août, la caravane de l’opération Yonne Tour Sport s’est déplacée dans un peu moins d’une trentaine de localités avec ce désir de convaincre petits et plus grands de s’adonner à la joie de disciplines sportives, parfois méconnues.
Pour l’organisateur de l’événement, cette formule découverte itinérante correspondait à une double volonté : animer le territoire rural durant la longue période estivale et surtout proposer aux enfants, notamment ceux qui n’ont pas la chance de partir en vacances, une alternative constructive en participant à des ateliers de pratiques sportives originales encadrées par des professionnels.
Vingt-cinq dates destinées à accueillir plus de 15 000 enfants…
Ce sont plus de 15 000 enfants dont 80 % étaient des individuels qui ont pu prendre part à ces sessions très conviviales. Ici, sur le Yonne Tour Sport, pas d’esprit de compétition. Juste un aperçu pédagogique d’épreuves pouvant apporter dans l’instant un moment de détente. Voire, pourquoi pas, une incitation à prolonger les cours dès la rentrée en rejoignant une association officielle. On peut penser aux joies du tir à l’arc, de certains arts martiaux comme le judo ou le karaté, la plongée (l’un des ateliers les plus suivis durant ce périple original).
Pour Philippe LALA, directeur des Sports et de la Jeunesse dans l’Yonne, « cette manifestation favorise le lien social et rend les activités sportives plus accessibles même dans les endroits les plus reculés du territoire ».
Rendez-vous devenu incontournable pour de nombreuses familles, le Yonne Tour Sport reçoit aussi le soutien de nombreux partenaires économiques et institutionnels. Aux côtés des attractions sportives, les plus diverses et insolites, certains organismes n’hésitent pas à se démarquer sur leurs stands en accueillant à chaque étape les visiteurs. C’est le cas des sapeurs-pompiers, de la gendarmerie, de la Croix-Rouge, mais aussi de structures moins officielles telles que GROUPAMA, des ambulances CHOIRAL ou du concessionnaire, JEANNIN Automobiles, qui met toujours à disposition des organisateurs des véhicules dernier cri sur l’événement. Quant aux communes d’accueil, elles apprécient aussi cette animation offerte par le Département et sont de véritables partenaires de l’opération, en facilitant l’accueil de la caravane tout en prenant en charge l’équipe d’éducateurs lors des repas.
Une douzième édition ponctuée de nouveautés…
Cet été, les suiveurs du Yonne Tour Sport ont pu apprécier les innovations. En particulier, celles conçues autour de la connaissance générale et de la culture avec la réception de la Bibliothèque départementale sur une dizaine de dates. Au-delà des nombreux ouvrages proposés, pour petits et grands (romans, BD, guides de voyages, albums illustrés...), des liseuses ont été mises à disposition tandis que les ressources numériques du portail COLYBRIS 89 étaient présentées en parallèle avec la presse et la musique indépendante.
Le camion-podium du Conseil départemental devait accueillir bon nombre d’animations et de jeux durant ces semaines festives, sous la houlette du maître de cérémonie, Philippe MAUDUIT, de la société MGM Evènements, et de ses équipes d’animateurs. La plupart des questions posées durant les jeux sous la forme de quizz portaient sur les compétences du Conseil départemental et son fonctionnement. De quoi joindre l’utile à l’agréable en matière d’informations !
Et de permettre au sport et à la culture de se mêler progressivement pour faire du Yonne Tour Sport un véritable lieu de plaisir et de rencontres. Rappelons que le Conseil départemental porte d’autres manifestations de la même mouture telles que Yonne Sport Seniors, Yonne Sport Adapté, Yonne Nature Sport ou le Raid des Collégiens. Le nouveau Raid des Cycles 3 s’inscrit dans la même veine avec ce besoin de raffermir les liens sociaux et la convivialité entre participants.